Histoires de sexe gratuites Histoires de sexe travesti

La nouvelle vie de Marie – Chapitre 3

La nouvelle vie de Marie - Chapitre 3



La nouvelle vie de Marie 3

1

5h30

C’est avec beaucoup de difficulté que Marie se lève ce matin. En effet même si elle passé une bonne nuit, elle n’a pas assez dormis.

Se trainant hors du lit, elle se dirige tel un zombie vers la cuisine.

Elle sent qu’elle a peu froid et se rappelle qu’elle est nue et cela la fait sourire.

Arrivée dans la cuisine, elle allume sa cafetière et fait demi-tour et se rend aux toilettes.

Elle en ressort quelques minutes plus tard en humant la bonne odeur de café chaud qui commence à embaumer son appartement.

Elle se dirige alors vers sa salle de bain et se glisse dans sa douche.

5h50

En sortant de sa douche, elle se regarde dans le miroir et se dit qu’elle ne peut pas faire sa première photo du jour avec une tête pareille. 

Elle repart alors dans la cuisine, se sert une grande tasse de café et retourne dans sa chambre pour choisir sa tenue du jour.

Arrivée dans sa chambre, elle saisit son téléphone de sa main libre tout en continuant de boire son café et elle consulte la météo. Il devrait faire beau.

Elle ouvre alors son placard et en sort un tailleur-jupe gris anthracite et un chemisier blanc, quelle dépose délicatement sur le lit.

Elle ouvre ensuite un des tiroirs de son dressing et farfouille dans ses sous-vêtements pour trouver un bel ensemble.

Après quelques minutes de recherche, elle finit par trouver un ensemble avec un petit shorty en dentelle noire que lui avait offert son ex-mari :

« Mon pauvre Etienne, tu avais beaucoup de défaut mais par contre un goût sur pour choisir de la lingerie, dommage que tu n’aies pas su en profiter. »

A cela elle rajouta une paire de bas noir auto-fixant et Marie retourna dans la salle de bain pour « se faire belle » pour son Maitre.

Sachant pertinemment que Thomas n’aimait pas les femmes trop maquillée, elle se contenta de se coiffer, d’un maquillage discret et elle termina son café en sortant de nouveau de la salle de bain.

Une fois dans sa chambre, elle se plaça devant son miroir et pris sa première photo. Elle vérifia immédiatement la qualité de celle-ci et en fut satisfaite.

Puis elle attrapa son ensemble de lingerie, l’enfila délicatement et fit de même avec les bas.

Elle fit la deuxième photo, qu’elle dut cette fois refaire une deuxième fois car celle-ci était floue.

Enfin elle enfila ses vêtements et fit la troisième photo qui fut réussi du premier coup.

6h45

Marie jeta un il sur son réveil et vit qu’il était plus que temps de partir. Elle attrapa ses affaires et sortie de son appartement.

Elle se dit dans l’ascenseur qu’elle enverrait les photos pendant qu’elle serait dans son train.

Une fois arrivée sur le quai de la gare, Marie sortie son téléphone de son sac et se connecta à sa messagerie.

Il n’y avait pour le moment aucun message de son Maitre et elle remarqua également qu’il n’avait pas lu le message de cette nuit.

Elle espérait que d’avoir deux messages à la suite suffirai à ne pas le contrarié de son retard.

Elle composa alors son message tout en montant dans son train qui venait d’arriver et en s’installant sur une banquète vide un peu l’écart. 

De : soumise_M

A : Maitre_T

Bonjour Maitre,

De nouveau, je tiens à m’excuser pour mon retard de cette nuit.

Comme convenu, je t’envoie mes 3 photos du matin, j’espère qu’elles te plairont surtout celle en sous-vêtements, pour info, c’était « l’autre » comme tu l’appelles qui m’avait offert cet ensemble.

J’avoue que cela m’excite beaucoup de porter cet ensemble pour toi alors que je ne l’ai jamais porté pour lui.

Dans l’espoir de te lire rapidement, tu me manques.

soumise_M

Marie relut rapidement son message y joignit les photos et envoya le message et garda sa messagerie ouverte pour pouvoir rapidement la consulter.

Une fois cela fait, elle se plongea dans la lecture de son journal contente de commencer une nouvelle journée qu’elle espérait fructueuse.

2

6h25

Comme tous les matins, Thomas c’était réveillé de lui-même quelques minutes avant son réveil et c’était tourné vers Audrey pour la regarder dormir.

Tout en regardant la femme qu’il aimait, il ne pouvait s’empêcher de penser à ces derniers échanges avec Marie.

Il avait l’impression de trahir sa femme, bien sûr que c’était une trahison et si elle devait l’apprendre, il la perdrait, mais c’est surement elle qui souffrirait le plus car elle aurait été trahit à la fois par son mari et par sa sur.

6h30

Le réveil sonne enfin, Thomas regardait toujours Audrey quand celle-ci ouvrit doucement les yeux sortant péniblement de sa léthargie :

« Bonjour doudou » dit elle

« Bonjour ma puce » répondit Thomas

« Bien dormi ? »

« Très et toi ma chérie ? »

« Pas mal, pas mal »

Sur ces mots, Thomas se rapprocha d’Audrey, déposa un baiser sur ces lèvres puis se leva.

L’organisation du matin était une vraie tactique militaire chez Thomas et Audrey.

Levé 6h30

Passage aux toilettes puis salle de bain pour Thomas.

Audrey passait d’abord par la cuisine pour allumer la machine à expresso puis passait à son tour aux toilettes.

Une fois sa douche terminé Thomas se rendait dans la cuisine pour faire les cafés pendant qu’Audrey prenait la sienne.

Une fois les cafés passés, Thomas amenait les tasses dans la salle de bain et commençait à se raser.

Chacun avait sa propre vasque donc chacun faisait sa toilette matinale sans gêné l’autre.

7h00

Thomas comme d’habitude sortie le premier de la salle de bain et s’installa dans le canapé avec son téléphone.

Il se demandait s’il devait dès maintenant vérifier s’il avait bien reçu le message de Marie ou plutôt attendre.

L’arrivé dans le salon d’Audrey à moitié nue, cherchant elle aussi son téléphone le coupa dans sa réflexion et il téléchargea son journal pour commencer à le lire tranquillement alors qu’Audrey ressortit du salon en gambadant et en lançant un :

« Je t’aime mon chéri »

7h15

Thomas rejoignit Audrey qui terminait d’enfiler ses chaussures et celui-ci fit de même.

Il aida ensuite Audrey à enfiler son manteau et pris sa veste. Ils prirent chacun leurs sacs et sortirent de l’appartement. Ils descendirent l’escalier en silence chacun semblait avoir déjà l’esprit plongé dans le travail.

Arrivé en bas, ils échangèrent un tendre mais rapide bisou accompagné d’un « Bonne journée, vivement ce soir » et ils partirent chacun de leur côté pour attraper leurs métros et RER respectif.

Thomas allait enfin pouvoir consulter sa messagerie et voir si sa soumise lui avait obéit.

3

Thomas s’installa près de la porte en tête de wagon, contre la cloison afin d’être sûr que personne ne pourrait voir ou regarder par-dessus son épaule. Une fois assis, il se connecta à son tour à sa messagerie pour constater qu’il avait reçu deux messages dans la nuit. Il remarqua immédiatement que le premier avait été envoyé vers 2h30 du matin et que le deuxième venait d’être envoyé il y à peine quelques minutes.

Thomas souris intérieurement en se disant qu’il allait pouvoir punir sa soumise.

Il lut rapidement le premier message, souris de nouveau en lisant le texte et en se disant toujours intérieurement qu’entre la sodomie et le côté bi curieuse de Marie, ils allaient bien s’amuser.

Thomas prit ensuite le casque qu’il avait dans son sac, le brancha sur son téléphone et lança l’enregistrement que Marie avait joint à son message. Le bruit de sa soumise gémissant et exprimant sans retenue son plaisir fit immédiatement bander Thomas. Il ferma alors les yeux et s’imagina immédiatement avec Marie nue à ses pieds en train de prendre son sexe en bouche comme elle l’avait fait dans la cuisine. Une fois l’enregistrement terminé, il rouvrit les yeux et lu le deuxième message qu’il survolât pour ouvrir les photos. Il là trouva magnifique et se dit qu’effectivement qu’elle porte un ensemble offert par son ex pour lui était très excitant et que cela aller parfaitement coller avec le programme qu’il avait prévu pour la journée.

Thomas cliqua alors sur le bouton nouveau message et commença à écrire :

De : Maitre_T

A : soumise_M

Soumise,

Je dois te dire qu’en voyant ce matin l’heure à laquelle tu avais envoyé ton message de la nuit j’étais partagé entre la colère et la déception. La colère parce que tu étais en retard et que tu sais parfaitement que je déteste ça et la déception parce que c’était ton premier vrai devoir et tu semblais avoir échouée n’ayant pas respecté une des consignes les plus importantes.

Je me suis alors dis que je ne pouvais pas te faire confiance et que tout cela ne rimais donc à rien, prendre autant de risques pour quelqu’un d’aussi peu sérieux pas capable de respecter une règle aussi simple que d’envoyer un email à l’heure ne méritait pas de prendre autant de risques.

Mais j’ai ensuite écouté ton enregistrement et tu as fait bander ton Maitre comme un âne comme on dit, je t’ai alors imaginé à mes pieds, nue, offerte, à me faire une gâterie comme tu m’avais faite dans ta cuisine et je me suis dit que peut être j’avais un peu sur-réagis.

J’ai ensuite lu ton message de ce matin et ce petit détail concernant ta lingerie m’a rassuré.

Tu es donc pardonnée pour cette faute.

Mais, même si tu es pardonnée, tu dois quand expiée ta faute et je suis obligé de te punir.

Je veux qu’en arrivant à ton travail, comme je sais que tu as du temps avant que ton équipe n’arrive, en laissant la porte entre-ouvert :

Tu remontes ta jupe jusqu’à ta taille

Tu retires ton shorty

Tu prends une règle plate

Tu t’installes sur ton fauteuil

Tu poses les pieds sur ton bureau en écartant bien les jambes

Tu frappes ton sexe 10 fois avec la règle en disant « Pardon Maitre pour mon retard »

Je veux que tout cela soit filmé, je veux tout voir, je veux voir que la porte de ton bureau n’est pas entièrement fermé, je veux te voir remonter ta jupe et retirer ta culotte, je veux te voir les jambes écartées, offertes, ton sexe offert à mes assauts comme tu le ferais si j’étais présent. Je veux te voir te frapper pour expier ta faute, je veux t’entendre réclamer mon pardon et je veux voir son sexe bien rouge.

Je veux cette vidéo avant 10h ce matin, ne soit pas en retard cette fois.

Je te prépare également un deuxième message, je te préviens que tu vas avoir une journée chargée, tu vas aller faire des courses ce soir, il nous faut des jouets.

Je vais te préparer une liste de « course » et l’endroit où tu devras aller.

Ne t’inquiète pas pour l’argent, comme prévu on fera moitié-moitié, tu n’auras qu’a m’envoyé le montant et je te ferai immédiatement un virement pour te rembourser.

Prépare toi à une grosse journée.

Dépêche-toi de m’envoyer la vidéo, j’attends !!

Maitre_T

Thomas relut rapidement le message et il l’envoya.

Il ouvrir ensuite un 2ème nouveau message et commença à pianoter sur son clavier afin d’expliquer à Marie où elle allait devoir aller faire et les courses et surtout ce qu’elle avait devoir acheter.

4

7h30

Marie était sur le point d’arriver à sa gare de destination quand elle sentie son téléphone vibrer.

Toute excitée et inquiète à l’idée de lire un message de son Maitre, elle saisit fébrilement son téléphone et le déverrouilla.

En lisant, le début de celui-ci, elle sentie les larmes monter et fut prise une panique soudaine. Mais fut aussitôt soulager en lisant la suite.

Elle lut consciencieusement les consignes de sa punition et bien qu’un peu inquiète de devoir faire ça dans son bureau, elle sentie une vague de chaleur envahir son bas ventre.

Elle cliqua alors sur répondre :

De : soumise_M

A : Maitre_T

Maitre,

Je viens de lire ton message et j’arrive à l’instant à ma gare.

J’accepte ta punition car je la mérite.

Je me dépêche d’arriver à mon bureau et je t’envoi la vidéo dans la foulé.

soumise_M

Marie envoya le message tout en descendant du train et accéléra le pas pour arriver aussi vite que possible à son bureau.

Quelques minutes tard, Marie arrivait à son étage, après n’avoir croisé personne aussi bien à la sécurité que dans l’ascenseur.

Il était presque 7h45, elle disposait d’un gros quart d’heure avant l’arrivée de ses premiers collègues.

Elle se précipita dans son bureau, déposa son sac sur le fauteuil invité et retira sa veste de tailleur qu’elle accrocha au porte-manteau.

Elle prit alors son portable et enclencha la fonction vidéo :

« Mon Maitre, pour expier mes fautes et comme tu me l’as ordonné, je vais exécuter ma punition. »

Tout en tenant son téléphone, Marie se dirigea alors vers sa porte qu’elle laissa entrouverte, puis faisant demi-tour elle contourna son bureau.

Elle déposa son portable debout sur son bureau qu’elle calla grâce à un pot à crayons bien orienté vers le fauteuil. Celui-ci glissa et elle dût s’y reprendre à deux fois pour bien le caler.

Une fois le portable positionné, elle se plaça alors bien en face de l’objectif et commença à se tortiller afin de remonter sa jupe jusque sur ses hanches.

Marie entrepris alors de faire un tour sur elle-même pour bien montrer à son Maitre que la jupe était bien remontée, puis elle retira délicatement son shorty et exhiba fièrement la marque de son Maitre puis elle fit de nouveau un tour sur elle-même.

Marie saisie ensuite le dossier de son fauteuil, le rapprocha actionna la manette de réglage de la hauteur afin d’être le plus haut possible pour être bien en face de l’objectif. Elle s’assit alors et actionna la manette du dossier cette fois afin de le débloquer afin que celui s’abaisse.

Une fois tous ces réglages fait et après avoir testé une première fois sa position que Marie jugea acceptable, elle saisit sa règle et reprit sa position.

Alors qu’elle s’apprêtait à taper Marie, s’arrêta une seconde et pensa une seconde à ce qu’elle était en train de faire.

« Ma fille, tu es au boulot, la jupe relevée, vautrée sur ton fauteuil, les jambes écartées et posées sur ton bureau et tu vas te frapper avec une règle pour te punir d’avoir envoyé en retard un email à ton beau-frère qui est ton Maitre. »

Cette pensée la fit sourire et elle leva le bras.

Le premier coup, là fit crier, Marie ne s’attendais pas à une telle douleur et elle faillit défaillir mais elle savait qu’elle devait tenir le coup et qu’elle ne devait pas oublier de demander pardon, elle dit donc tout fort :

« Pardon Maitre pour mon retard ! »

Une fois la surprise passée, elle recommença à se frapper. Les coups pleuvaient, elle faisait bien en sorte de bien frapper sur toute la longueur de son sexe aussi bien son clitoris que sur ses lèvres charnues mais cela devenait de plus en plus difficile.

En effet, elle ressentait une double sensation qu’elle pensait impossible à associer, elle souffrait mais elle aimait ça, elle avait mal mais ça l’excitait de plus en plus. L’excitation rendait son sexe de plus en plus sensible, ce qui rendait chaque coups de plus en plus douloureux ce qui l’excitait encore plus, l’expression cercle vicieux prenait tout son sens.

Marie se sentait excitée comme jamais alors qu’elle arrivait au 10ème coup. Dans un geste d’une grand amplitude et d’une grande élégance, elle leva le bras bien haut au-dessus de se tête et elle le rabattit le plus fort possible ce qui lui déclenchât un orgasme qui fit trembler Marie de tout son corps à tel point qu’elle en glissa de son fauteuil et elle se retrouva par terre le souffle court.

Après quelques secondes, Marie finit par entendre un bruit dans la pièce d’à côté, toujours à terre et prise de panique, elle finit rapidement glissé sa jupe et se mit debout d’un bond. Elle s’assit rapidement sur son fauteuil, saisit son téléphone et coupa la vidéo. Et alors que quelqu’un finissait par toquer à la porte, elle aperçut alors son shorty poser sur le bureau. Elle eut juste le temps de l’attraper alors que la porte s’ouvrait pour laisser apparaitre la tête d’une des membres de son équipe.

« Bonjour Marie, vous allez bien ? »

« Bonjour Lucie, oui très bien et vous ? »

« Bien merci ! Vous êtes sûr que ça va ? J’ai entendu un gros boum en arrivant dans le bureau ? Comme si quelqu’un était tombé»

« C’est rien ne vous en fait pas, c’est moi, enfin c’est moi, j’ai juste fait tomber les parapheurs, ne vous inquiétez pas. »

Lucie sembla jeta un regard surpris et interrogateur à la pièce comme si elle cherchait les fameux parapheurs ce qui paniqua Marie.

Après quelques secondes Lucie finit par dire :

« Ah d’accord, ok, bon et bien à plus tard pour le café ? »

« Oui ! Oui ! Comme d’hab ! A tout à l’heure ! » Lui répondit Marie

Soulager que l’excuse des parapheurs semblait avoir convaincu Lucie, Marie poussa un « ouf » de soulagement. Son shorty toujours dans sa main, elle se leva et se dirigea discrètement mais rapidement vers les toilettes alors que les autres membres de son équipe arrivaient.

Une fois dans les toilettes, Marie se regarda dans le miroir et elle comprit immédiatement le regard suspicieux de Lucie. Elle était toute rouge et décoiffée. Son chemisier était ouvert laissant presque apparaitre son soutien-gorge. Marie réajusta alors son chemisier, enfila sa culotte et essaya de remettre dans l’ordre dans ses cheveux. Elle but un peu d’eau et pris une grande respiration avant de sortir des toilettes.

En effet, elle savait parfaitement que Lucie, en grand pipelette qu’elle est, avait surement déjà parlé de l’incident de ce matin à toutes les personnes qui étaient arrivés et elle était doutait de plus en plus sûre que l’excuse des parapheurs ai pris.

Elle sortit alors des toilettes et à peine était-elle entrée dans l’open-space où travail son équipe, qu’elle comprit que ses doutes étaient fondés. En effet, à peine était-elle entrée que toutes les conversations stoppèrent et les regards se tournèrent vers elle. 

S’étant préparée à cette situation, elle resta de marbre et fit le tour de l’open-space pour dire bonjour à tout le monde avant de retourner dans son bureau dont elle laissa la porte grande ouverte pour bien montrer qu’elle n’avait rien à cacher.

Une fois assise à son bureau, Marie saisie son téléphone et se connecta à sa messagerie pour écrire un nouveau message il était un peu de 8h30 :

De : soumise_M

A : Maitre_T

Bonjour Maitre,

Je viens d’exécuter ma punition et je t’en remercie.

Elle ne fut pas simple à appliquer mais elle m’a permis de découvrir de nouvelles sensations.

De plus, j’ai faillis me faire surprendre par une de mes employées qui est arrivée juste à la fin, c’est pour cela que j’ai coupé la vidéo de manière un peu abrupte. 

Je te joins donc la vidéo.

J’attends la suite avec impatience surtout cette histoire de shopping qui m’intrigue et m’excite déjà.

soumise_M

5

Le reste de la matinée se passa normalement pour Marie même si elle sentait les regards à la fois suspicieux et même un peu moqueur des membres de son équipe quand elle passait dans l’open-space. La seule chose qui l’inquiétait, était de ne pas avoir reçu de nouveau message de Thomas et cela l’empêchait de se concentrer pleinement sur son travail.

L’heure du déjeuner arriva et elle n’avait toujours rien, contrariée par cette absence et malgré l’ambiance particulière du bureau, sachant qu’elle devait donner le change auprès de son équipe, elle décida de ne pas changer ses habitudes et elle sortis déjeuner avec eux. L’ambiance à table sembla un peu se détendre et tout le monde profita pleinement de ce repas en terrasse et du soleil.

Une fois de retour à sa place, Marie consulta une nouvelle fois sa messagerie pour constater avec soulagement qu’elle avait reçu un message de Thomas :

De : Maitre_T

A : soumise_M

Soumise,

Quelle magnifique vidéo, c’est très bien je suis fière de toi !

Comme je te disais ce matin, tu vas devoir aller faire un peu de shopping ce soir après le travail.

Tu vas te rendre Rue des Bergers dans une boutique un peu spéciale qui s’appelle « Jeux Interdis ».

Je pense que tu as déjà compris ce que vendait cette boutique, mais je t’interdis d’aller sur leur site.

Je veux que tu t’y rendes et que tu te présentes à la personne sur place en lui disant que tu es là sur ordre de ton Maitre et que j’ai un message pour elle.

Tu devras alors lui donner ton portable.

En effet, il y a une pièce jointe à ce message que je t’interdis d’ouvrir et de lire. Seule la personne de la boutique doit lire ce message.

Je te dis juste que sur ce document, il y a la liste des objets que tu dois acheter mais aussi certains autres détails que tu découvriras au fur et à mesure.

Maitre_T

Marie consulta sa montre, il n’était que 13h30, l’après-midi allait être longue, elle mourait d’envie d’ouvrir cette fameuse pièce jointe mais elle devait obéir. Elle mourait d’envie de voir à quoi ressemblait cette boutique en allant sur internet mais elle devait obéir.

Heureusement, elle avait beaucoup de réunions cet après-midi et cela allait l’occuper.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire