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Surprise surprise – Chapitre 1

Surprise surprise - Chapitre 1



AGREABLE SENSATION

18 h 50 : Je termine mon dernier client. Plus d’une heure de route avant de rentrer à la maison et des kilomètres de bouchons en perspective. Justement un salon de coiffure ouvert et aucun client. Je décide donc de me faire faire une coupe en attendant que la circulation soit plus fluide.

— Bonsoir, mademoiselle, puis-je user de vos services ?

— Nous devons normalement fermer de bonne heure, mais attendez, je vais voir le patron.

La jeune fille me dévisage d’un air gourmand et me tourne les talons. Pendant qu’elle se dirige vers l’arrière-boutique je dresse un rapide ’inventaire’ tout juste la vingtaine, brune 1 m 65 un corps pulpeux outrageusement moulé dans une petite robe courte noire et dont le décolleté avait du mal à cacher son opulente poitrine. Comme souvent dans ces cas là, je commençais à fantasmer.

— Notre dernier client vient juste de se décommander, me dit mon hôtesse qui se prénommait Sabine, veuillez me suivre au vestiaire avant de vous installer.

Pendant qu’elle m’aidait à enfiler une blouse, le patron allait vers la vitrine, fermait la porte du salon, et tirait les rideaux. Je pensais en moi-même :

’ – il est pressé et j’espère que le travail ne sera pas bâclé ! ’

J’ai pris place sur le fauteuil en basculant la tête en arrière dans le bac. Le massage capillaire de ma shampouineuse commençait à agir, je me remis à fantasmer et une grosse bosse déforma l’avant de mon pantalon.

— Je suis heureuse de constater que vous appréciez mes soins !

J’ouvre les yeux, son regard brillant observe ma bosse, la pointe de sa langue passe sur ses lèvres. Sans un mot, elle me rince les cheveux et les essuie en se plaçant à coté de moi. J’ose poser ma main sur sa cuisse. Elle écarte légèrement ses jambes pour permettre à ma main de la parcourir. Je caresse en remontant l’intérieur de ses cuisses. Mes doigts frôlent sa culotte détrempée d’envie.

Elle à un spasme et pousse un petit gémissement. Elle caresse ses seins à travers sa robe, j’écarte sa culotte et ne ressens aucune pilosité sur son minou. Mon pouce titille son bouton d’amour et trois doigts s’enfoncent dans sa vulve gonflée de désir. D’une main experte, elle défait ma ceinture et baisse ma braguette, elle empoigne mon sexe d’une main et commence à me branler en douceur.

— Laisse-toi faire !

Elle me fait signe de me lever, me déshabille entièrement et se déshabille à son tour. Des seins pleins lourds et fermes, les pointes dressées, une taille fine et une croupe à damner un saint. Elle se penche en arrière, m’invitant à lui sucer les seins. Humm quelle douceur ! Ma bouche descend le long de son ventre, je m’agenouille devant elle et je plonge ma langue entre ses lèvres ou coule une mouille abondante. Mes mains pétrissent ses fesses et d’un doigt je caresse sa rondelle.

Elle m’allonge par terre sur le dos et s’accroupit sur mon visage offrant à ma bouche son sexe gourmand. Pendant que je la lèche elle recommence à me branler.

Trop absorbé par ma position je n’ai pas vraiment fais attention à ce qui se passait dans le salon. Alors que j’avais la tête coincée entre les cuisses de Sabine, je sentis une langue parcourir ma queue et la douce sensation d’une bouche qui me suçait. Sabine se releva et là : le choc… j’étais en train de me faire pomper par son patron.

Entre la stupeur et ce plaisir particulier (c’était la première fois que cela se passait avec un homme) j’optais pour le laisser faire. Sabine avait changé de position et suçait maintenant son patron (Jérôme).

Sabine me pria de prendre sa place, et a ma grande surprise je pris la bite de Jérôme dans la bouche, et découvris ainsi et instantanément le plaisir qu’avaient certaines femmes à nous sucer. Sabine me pompait maintenant et de temps en temps me lançait un regard pour me faire comprendre ce que je devais faire. J’accélérais, ralentissais, branlait sucer les couilles épilées. Au moment ou j’explosais dans la bouche de Sabine, Jérôme explosa dans la mienne.

Quatre ou cinq longs jets d’une substance chaude et légèrement amère me remplirent la bouche. Un nouveau regard de Sabine, et j’avalai ce sperme… Comme c’était bon !

Pendant que Jérôme et moi reprenions nos esprits, Sabine se branlait furieusement avec le manche d’une brosse. Mon excitation était telle que je fus le premier à rebander. Sabine s’est mise à quatre pattes et je l’ai prise en levrette enfonçant mon sexe sans aucune tendresse. La vue de sa splendide croupe m’a fait devenir fou, je la limais comme un malade, mes couilles s’écrasant sur ces cuisses à chaque avancée, elle jouit de tout son corps au moment ou j’explosais à nouveau en elle. Insatiable elle s’empalait sur la bite de Jérôme, son cul pointé vers moi. Je m’approchais du couple et commençais à lécher son petit trou. Je le remplissais de salive et d’un, deux, puis trois doigts et quand je sentis son anus prêt je pris position et appuyais mon gland sur cette entrée. Elle poussa vers moi et centimètre par centimètre je lui remplis le cul. Une fois calés contre elle, Jérôme et moi de concert, l’avons copieusement labourée par les deux orifices. Sabine criait sa jouissance, nous insultait. Elle était en transe. D’un coup, Sabine poussa un râle et s’écroula sur Jérôme, au moment ou je jouissais en elle. Jérôme commençait à se branler pour se finir, je le pris à nouveau dans ma bouche et il y jouit encore abondamment.

Nous sommes restés là, inertes un long moment avant de reprendre nos esprits.

Nous nous sommes rhabillés tout doucement, sans un mot, juste en échangeant des sourires complices.

En remontant dans ma voiture, je me suis dit en souriant :

— Avec tout ça, je ne me suis pas fait couper les cheveux…..!

Quatre mois ont passé, avant que je retourne dans ce secteur. Sur le salon un grand panneau indiquait :

CHANGEMENT DE PROPRIETAIRE

?et aucune employée ne se prénommait Sabine..

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