Je dors encore lorsque j’entends vaguement une voix qui dit à travers la porte :
— Aurélie, il serait temps de vous lever, tu sais que ton père a horreur d’être en retard et nous avons beaucoup de choses à montrer à Anna aujourd’hui.
Je ne réponds pas, étant trop bien dans les bras de mon amie. J’entends ma mère frapper discrètement à la porte. Je n’ouvre toujours pas les yeux et essaie de dormir encore quelques instants. Comme elle le fait parfois lorsque j’ai des difficultés à me lever, ma mère ouvre la porte pour me réveiller complètement. Alors elle découvre le tableau que nous lui offrons bien involontairement avec Anna. En effet, nous sommes toujours nues et enlacées dans les bras l’une de l’autre. Dans notre soif d’être blotties nous avons repoussé les draps au pied du lit, si bien que ma mère comprend aisément pourquoi nous avons des difficultés à nous lever. Elle entre donc dans la chambre en refermant la porte et va ouvrir les rideaux. Le jour nous réveille enfin Anna et moi, mais nous restons blotties. Ma mère qui ne me paraît pas offusquée le moins du monde nous dit alors :
— Je vois que vous avez fait connaissance et que vous semblez bien vous entendre. J’en suis ravie. Aurélie, tu te rappelle que nous avons projeté de faire découvrir Paris à notre amie, alors il est déjà près de 9 h et il serait temps de vous apprêter.
— OK Maman, te temps de prendre une douche de nous habiller et nous arrivons.
Je m’aperçois que pendant toute cette scène, Aussi bien Anna que moi-même, nous n’avons esquissé aucun geste pour nous couvrir. Manifestement ma mère a compris à quels jeux nous avons occupé une partie de notre nuit. Elle ne paraît pas nous en tenir rigueur, et cela me surprend. Pour gagner du temps nous prenons notre douche ensemble et nous savonnons mutuellement. Bien évidemment nos mains s’égarent et nous nous donnons rapidement un peu de plaisir. Mais nous n’avons pas le temps de nous faire jouir mutuellement. Nous nous habillons rapidement et nous retrouvons avec la famille dans la salle à manger pour le petit déjeuner. Ma mère nous regarde avec bienveillance et je ne sais pas qu’en penser. Pendant que nous finissons de nous préparer, ma mère m’attire à l’écart et me dit le plus sérieusement possible :
— J’ai pu remarquer ce matin que tu t’entends particulièrement bien avec Anna, mais pense que ce n’est qu’une amie pour quelques jours. Il serait dommage que tu fasses trop de bêtises avec elle. Par contre si cela te permet de former ta sexualité, je ne peux que t’encourager à te rapprocher d’elle. Tu sais, moi aussi, avant de connaître les hommes j’ai eu des aventures avec des filles. Je dois t’avouer que j’ai même eu une relation très intimes avec une femme alors que nous étions déjà mariés avec ton père. Mais penses bien que l’amour entre femmes ne pourra jamais remplacer les relations entre femmes et hommes et que le meilleur pour une femme est d’être pénétrée par un homme. Maintenant ma chérie, fais comme bon te semble, je ne te critiquerai jamais, mais pense à ce que je viens de te dire.
Je suis abasourdie. En un peu plus d’une heure, ma mère m’a trouvée nue enlacée avec une étrangère dans une pose particulièrement impudique, puis m’a avoué avoir eu des relations homosexuelles avant et après son mariage, et en prime les termes employés laissent supposer qu’elle a connu plusieurs hommes avant mon père. Je sens la nécessité de faire le point. Mais ma mère me serra dans ses bras et en m’embrassant affectueusement sur les joues insiste :
— Aurélie, ma chérie j’ai remarqué depuis quelque temps l’éveil de ta sexualité. Je pense que c’est un bien. Vois-tu à lorsque j’avais ton âge, ce que nous craignions le plus, nous les filles, c’était de nous retrouver enceinte car pour avoir la pilule, il fallait l’accord parental, et tu t’imagines si je l’avais demandé à tes grands parents. Mais maintenant, ce que tu dois craindre, c’est le SIDA. Donc promets moi, à partir de maintenant d’avoir toujours des préservatifs à portée de main. En voici trois, je pense que pour le moment cela doit te suffire, mais n’hésite pas à te confier à moi.
Je suis de plus en plus éberluée. Moi qui voyais ma mère en femme coincée, je n’en reviens pas. Je me rends compte que n’ai encore jamais de conversation aussi sérieuse avec qui que ce soit. Même avec mes meilleures amies du lycée, je ne parle pas aussi librement des problèmes sexuels.
La journée se passe comme prévu et mes parents nous font visiter quelques lieux cultes de Paris. Anna veut absolument monter à la Tour Eiffel qui est dans le monde entier le symbole de notre capitale. Mes parents nous attendent en bas, ayant besoin de se reposer un peu. Pendant cette visite, je fais part à mon amie de la conversation que j’avais eue le matin même avec ma mère. Elle est aussi surprise que j’ai pu l’être moi-même. Elle se sert encore plus fort et me glisse à l’oreille :
— Tu as une chance inouïe ma chérie. Vois-tu, chez moi, comme je te l’ai dit, nous n’avons pas la pudeur des latins, et nous nous montrons nus sans aucune gène, mais je ne peux pas m’imaginer avoir ce genre de discussion avec ma mère. Je suis certaine que je ne saurai jamais rien de sa sexualité. Toi, tu vas avoir une amie formidable à qui tu pourras tout raconter et qui pourra te conseiller.
— Tu as raison, mais je m’étais fait une image de mes parents qui est maintenant dépassée. Je me suis prise dans la voiture tout à l’heure à m’imaginer mes parents en train de faire l’amour. Je n’y avais jamais pensé auparavant.
La journée se termine enfin et nous rentrons à la maison passablement fatigués, surtout que aussi bien Anna que moi, nous n’avons pas beaucoup dormi la nuit dernière. Après le repas, ma mère nous regarde Anna et moi et nous dit très sérieusement, mais un petit sourire équivoque :
— Je pense que nos jeunes filles doivent avoir envie d’aller se coucher de bonne heure, la journée a été fatigante et elles doivent avoir hâte de faire encore plus ample connaissance.
Mon amie et moi nous regardons et je manque d’éclater de rire en entendant les propos de ma mère. Nous nous éclipsons donc dans ma chambre, heureuses de nous retrouver entre nous deux avec la bénédiction de mes parents. Nous sommes à peine dans la chambre que nous nous jetons dans les bras l’une de l’autre. Nous échangeons un long baiser mêlant nos langues. Nous sommes serrées l’une à l’autre. Nous nous dévorons. Sans réfléchir, je passe ma main sous la jupe d’Anna et caresse ses fesses à travers son slip. Elle m’en fait autant. Je baisse légèrement son slip pour dégager ses fesses et je peux enfin sentir sa peau si douce sous mes mains. Dire que j’attends ce moment là depuis ce matin. Je fais passer un doigt entre ses fesses et je parcoure le sillon qui les sépare. Anna se serre encore plus contre moi et ronronne de plaisir. Une idée me traverse l’esprit : s’est-elle déjà fait sodomiser?
Nous restons un long moment unies comme cela au milieu de la chambre. Puis, mon amie commence à déboutonner mon chemisier et vient insérer son nez entre mes seins. Elle me fait savoir que cela lui procure un plaisir immense :
— Aurélie chérie j’adore ton odeur, j’apprécie les senteurs mêlées de ton parfum et de ta transpiration. Laisse moi te déshabiller.
Je ne me fais pas prier pour obéir, et c’est mon amie qui finit de retirer mon chemisier. Elle défait lentement mes boutons et fait glisser les manches. Je suis en soutien-gorge et en jupe. Elle se plaque à nouveau à moi et passe ses mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge qui n’attend que cela. Je voudrais qu’elle aille plus vite, mais elle fait durer le plaisir. Mon soutien-gorge ne reste en place que parce qu’elle est serrée contre moi. Elle attend encore quelques instants et se recule pour laisser tomber l’accessoire qui ne sert plus à rien. Je sens que ma poitrine est gonflée de plaisir attendu. Mes mamelons sont durs et me font mal en attendant la jouissance quoi va venir plus tard. Elle me caresse le dos de ses deux mains, me griffant très légèrement de ses ongles. Je suis au paradis. Moi qui pensais que seuls les caresses sexuelles pouvaient procurer du plaisir, je modifie mon jugement.
Après de longs moments, Anna s’attaque enfin au bas de ma tenue. Elle défait la fermeture éclair de ma jupe et la fait descendre le long de mes jambes. Il me reste pour tout vêtements mon mini-slip et mes bas jarretière qui ne nécessitent pas de porte-jarretelles. A mon tour, je veux la déshabiller, mais elle m’en empêche en me disant :
— Je ne veux pas que me retire mes vêtements. Je vais te déshabiller complètement, et après je vas essayer de te faire un strip-tease amateur comme j’en ai déjà vu en boite.
Je ne m’attendais pas à ce qu’elle me dise cela et je décide de la laisser faire. Elle vient à nouveau m’embrasser, mêlant nos langues dans ma bouche puis dans la sienne. Nous échangeons nos salives et je sens mon slip se mouiller sous son baiser. Je n’en puis plus. Elle s’en rend compte et se baisse. Mais au lieu de retirer mon slip, elle s’arrête et m’embrasse les seins qui n’attendaient que cela. Elle les suce et en fait dresser encore plus les tétons déjà durs comme du bois. Elle se décide enfin et descend encore plus bas. Elle pose sa bouche sur ma vulve à travers mon slip et me dit :
— Je ne sais pas si je vais pouvoir te le retirer, car tu mouille tellement que j’ai l’impression qu’il est collé.
Elle passe sa main sous l’élastique et le fait descendre le long de mes jambes, libérant mon sexe et ses odeurs. Elle vient immédiatement coller ses lèvres aux miennes plus intimes et se régale de ma liqueur qui s’écoule abondamment de mon vagin. Elle fourre sa langue dans ma chatte et se régale. Je sens qu’elle dirige un de ses doigts dans le sillon séparant mes fesses et qu’elle commence à me caresser. Je la laisse faire en pensant que quelques instants plus tôt j’en ai également éprouvé le besoin. Elle présente son index sur mon anus et commence à le titiller. Cela me procure une sensation très agréable et j’apprécie sa caresse. Elle revient mouiller son doigt à ma fontaine et recommence sa caresses anale. Je me doute de ce qu’elle désire, mais je ne me sens pas encore prête à accepter. Je lui fais donc savoir :
— Anna chérie, j’apprécie énormément ta caresse, mais je t’en prie attends encore un peu pour me pénétrer. Je ne suis pas encore prête. Tu sais tu me fais progresser très vite et parfois j’ai un peu peur.
— Calme toi et n’aies pas peur. Je t’ai promis de te respecter. Je sais aux contractions de ton sexe que la caresse que je viens de faire sur ton anus t’a procurée beaucoup de plaisir. Nous continuerons peut-être tout à l’heure.
Elle finit de retirer mon slip qui était devenu bien inutile à mes chevilles et elle roule mes bas pour me les retirer. Je suis complètement nue alors qu’elle est encore habillée. La situation me paraît cocasse, mais je sais que depuis qu’elle est entrée hier dans ma chambre et dans ma vie, c’est elle qui a l’initiative de notre vie intime. Elle s’écarte de moi et me regarde en prenant un air très sérieux. Elle me dit alors :
— Vas t’asseoir dans le fauteuil qui est là-bas. Tu es au spectacle et tu attends. Surtout, ne pense pas que tu es nue, mais au contraire, tu t’imagines correctement habillée au milieu d’une assistance nombreuse. Attends encore un peu, le spectacle va commencer.
Comme mon amie me le demande, je m’assois dans le fauteuil qui est dans ma chambre et attends en croisant les jambes. Anna me regarde et me dit encore.
— Je crois que ce n’est pas correcte de croiser les jambes pour une jeune fille de bonne famille. Tu te rends compte, si tu portes une jupe courte, on risque de pouvoir admirer ta culotte.
— Tu ne risque pas, puisque en ce moment, je suis à poil.
— Chérie, je t’ai demandé de ne plus penser que tu es nue.
Je décide de ne plus faire de remarque et je décroise mes jambes et me tiens comme au théâtre. Anna s’approche de ma chaîne hi-fi et met un disque de slows langoureux que nous aimons toutes les deux. Elle s’approche de moi et me dit :
— Mademoiselle, la direction de l’établissement espère que vous êtes satisfaite de votre place. Nous avons fait du mieux pour vous. Si quelque chose n’est pas parfait n’hésitez pas à nous en avertir, la volonté de la direction est que tous les spectateurs soient satisfaits. Pour votre confort, il serait préférable de glisser une serviette de toilette sur le fauteuil, car compte tenu de votre tenue, vous risquez de tacher celui-ci et ce serait dommage.
Elle va donc chercher une serviette dans la salle d’eau et me la glisse sous les fesses. Elle se recule alors et me déclare :
— Maintenant attention, le spectacle commence.
Mon amie éteint la lumière en ne laissant qu’une lampe de chevet qui répand une lumière diffuse et particulièrement faible. Elle commence à danser seule dans la chambre. Elle prend des poses érotiques, elle se passe les mains sur les fesses, et se caresse comme si elle était seule. Elle porte ensuite ses mains à sa poitrine en en soulignant les deux globes qui pourraient se dispenser de soutien-gorge. Elle ondule et prend des poses aguichantes. Elle danse comme cela pendant tout le premier slow. Je suis excitée et je commence à mouiller.
Dès l’entame du second slow, elle commence à dégrafer son chemisier, apparaissant en jupe et soutien-gorge. Elle passe langoureusement sa main sur son ventre et mime l?extase sous cette caresse. Elle défait encore la fermeture éclair de sa jupe et la fait glisser le long de ses jambes. Elle est magnifique. Elle est devant moi, à moins d’un mètre en soutien-gorge et en mini-slip. Elle ne porte pas de collant ni de bas. Le second slow s’arrête, et en attendant le suivant, elle reste immobile dans la position exacte qu’elle avait.
Dès le slow suivant, elle me tourne le dos et elle dégrafe son soutien-gorge. Elle se retourne alors vers moi mais maintient cet accessoire avec ses mains. Elle continue à se déhancher devant moi. Je suis terriblement excitée et instinctivement, ma main se porte vers mon minou qui mouille abondamment. Me voyant sur le point de me masturber pour me soulager, Anna me dit :
— Mademoiselle, un peu de tenue. Je vous rappelle que nous sommes dans une salle de spectacle et je vous demande de respecter une tenue décente vis à vis des autres spectateurs.
Je retire ma main, mais je sens mon sexe qui coule en permanence. Elle a eu raison de mettre la serviette. Elle continue de danser devant moi et en me tournant le dos, elle retire complètement son soutien-gorge et me le lance par dessus son épaule. Je le blottis contre moi et le porte à mon nez pour profiter de son odeur. Elle me fait à nouveau face, mais elle croise les bras, me masquant ses magnifiques seins que je connais si bien avec leurs pointes roses. C’est le moment que choisit la musique pour s’arrêter.
Lorsque la musique reprend, elle lâche sa poitrine pour faire glisser légèrement son slip. Je peux admirer ses seins magnifiques qui se balancent doucement au rythme de la musique. Elle est vraiment belle et impudique. Elle s’offre tout en restant distante. Je peux également admirer le haut de son triangle dont elle ne montre que quelques poils qui dépassent de son mini-slip. Elle me tourne à nouveau le dos et sans plier les jambes, elle descend son slip jusqu’aux chevilles. Elle dégage un pied, puis l’autre et se retourne à nouveau vers moi. Au dernier moment, elle me cache son pubis d’une main, l’autre faisant mine de me cacher sa poitrine. Je n’en peux plus, et je me sens couler abondamment. Si cela continue, je vais tacher le fauteuil à travers la serviette. Elle continue à danser et finit enfin par écarter les bras pour s’exposer intégralement nue à mon regard.
Elle continue à suivre le rythme de la musique, mais on ne peut pas vraiment dire qu’elle danse. Elle se montre sous tous les angles. Elle s’allonge à, plat dos sur le sol, les pieds à quelques centimètres de mon fauteuil et levant les jambes à la verticale, elle les écarte le plus possible pour m’offrir une vue magnifique sur son minou. Je vois qu’elle aussi elle mouille copieusement, car ses grandes lèvres sont luisantes de cyprine. Elle commence à se caresser et d’une main écarte ses lèvres pendant qu’elle titille son bouton d’amour avec son autre main. Elle fait alors entrer un doigt dans son vagin et s’en sert comme si c’était un sexe masculin. Je suis sidérée de la voir se pénétrer devant moi, sans pudeur. Elle fait pénétrer un deuxième, puis un troisième doigt et commence des va-et-vient des plus suggestifs. A mon tour, je porte ma main à mon sexe et commence à en écarter les lèvres. Me voyant faire, elle me dit à nouveau :
— Mademoiselle, c’est interdit par le règlement du théâtre, si vous voulez vous caresser, il faut quitter la salle.
Puis, plus intime, elle insiste :
— Aurélie chérie, je t’en prie, attends moi.
Elle continue de se masturber. Elle a maintenant introduit un deuxième doigt, puis un troisième dans son conduit vaginal. Elle se caresse le clitoris avec le pouce et je la vois jouir abondamment. Sa main est toute luisant de ses sécrétions et son odeur que je connais si bien commence à parfumer la chambre. La musique continue toujours, mais ni l’une ni l’autre n’y accordons la moindre attention. Anna est toute à son plaisir, et moi, je l’admire et supporte tant bien que mal ma frustration. Je vois son bassin se soulever très haut et ses doigts accélérer dans son sexe. Elle se balance dans tous les sens. Je ne l’ai jamais vue jouir de la sorte. Enfin, dans un râle qui en dit long sur son plaisir, elle s’écroule, gardant ses doigts profondément enfoncés en elle.
Après quelques secondes durant lesquelles elle reprend lentement ses esprits, elle se lève et vient enfin vers moi pour me déclarer :
— Mademoiselle j’espère que le spectacle de ce soir vous a plu et que nous vous reverrons souvent dans notre établissement. Pour vous récompenser de votre attente, la direction vous offre un supplément gratuit.
Elle s’approche encore plus de moi et pose un pied sur le bras du fauteuil. Elle me présente ses lèvres intimes à quelques centimètres du visage et me murmure :
— Je t’en pris ma chérie, maintenant suce moi.
Je ne me fais pas prier et je plaque mes lèvres sur les siennes pour y récupérer le maximum de sa jouissance. J’avale son miel intime dont j’apprécie tant le goût. Elle continue à mouiller et j’ai peine à tout avaler. Elle me plaque la tête sur son bas ventre et mon nez s’écrase sur son pubis. Elle est véritablement déchaînée. Je la tiens par les fesses sur lesquelles j’ai plaqué mes mains. Il me vient alors une idée. Je mouille un de mes index à sa chatte et le présente sur son anus. J’en fais le tour en le caressant doucement. Elle se met immédiatement à ronronner et à bouger son bassin au rythme de ma langue et de mon index. Celui-ci fait plusieurs fois le voyage entre son sexe et son anus pour bien lubrifier ce dernier. Je m’enhardis et commence à présenter mon doigt au centre de son petit trou. Elle se détend et je l’entends murmurer dans un souffle :
— Oui, chérie, continue, je n’osais pas te le demander.
Devant son accord concernant ma caresse, je presse encore un peu plus mon index sur son petit trou, et je sens celui-ci s’ouvrir sous ma légère pression. Je ne me reconnais plus. Je ne pensais pas il y a encore quelques heures que je mettrais mon doigt dans le cul d’Anna. Elle soupire d’aise et je m’enfonce complètement en elle. Elle jouit encore plus abondamment et ma bouche toujours sur sa vulve j’ai de plus en plus de difficultés pour tout avaler. Je fais aller et venir mon index dans son sphincter anal que je sens se resserrer nerveusement sur mon doigt. Je prends alors l’initiative, et sachant que ce petit trou est très facilement dilatable, je présente à son entrée mon majeur que j’essaie d’introduire en plus de mon index. Je n’y arrive pas, mais je ressors mon index et présente alors les deux ensemble. Je force un peu son anus et rapidement mes deux doigts sont bien au chaud en elle. Elle se met à gémir et ne contrôle plus du tout ses mouvements ni ses paroles. Je recommence mes va-et-vient en elle et elle jouit toujours. Je décide alors de glisser un troisième doigt qui lui rentre sans effort dans Anna véritablement ravie de mes caresses. Nous sommes toutes les deux au septième ciel et n’avons plus aucune notion ni du temps ni du lieu où nous nous trouvons.
(A suivre)
Aurélie