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Comme ma femme, je suis une salope. – Chapitre 1

Comme ma femme, je suis une salope. - Chapitre 1



Je vous ai conté comment j’avais découvert la carrière d’actrice X de ma femme puis comment j’avais facilement glissé vers cette activité sexuelle débridée. Depuis je joue des rôles de salope et me fait défoncer à tour de bras.

Mais j’avais moi aussi un secret que j’ai révélé depuis à ma chère femme et amie un jour où elle s’étonnait des mes performances anales.

En fait je me défonce. Seul, en secret. Je n’ai jamais parlé de ça à personne pendant 3 ans. Quand j’étais seul à la maison, je m’enfilais tout ce que je pouvais.

Je me branlais face à la grande glace du couloir en me baisant et je prenais un plaisir incroyable.

Au collège puis au lycée ce n’était pas les copains qui m’attiraient mais leurs queues. Je n’avais aucune attirance particulière pour les garçons, j’aimais la sodomie c’est

tout.

Je ne nierai pas que j’étais curieux de connaitre la sensation de sucer mais ce n’était pas la priorité.

Et puis je me sentais vraiment salope. J’avais des copines. Je les aimais bien mais c’était trop sage. Moi je voulais (déjà !) du hard.

Plus tard, assumant un peu plus mes penchants, je me fis moins discret sur mes goûts que j’avais finalement moi même accepté.

Je savais qu’un gars, que je connaissais assez bien car nous étions voisins, en pinçait pour moi. Il me donna un rendez-vous au bord de la rivière. Il avait toujours des revues porno de tous genres mais beaucoup de gay.

J’étais arrivé le premier et je voulais tester mon pouvoir de séduction sur lui, mon talent de salope en fait.

Je m’étais donc mis en slip. Quand il arriva, il m’excita tout de suite et je vis très bien qu’il matait mon petit cul. D’autant plus que prétextant vouloir bronzer, j’avais

roulé

les côtés ce qui me faisait un genre de string. Le slip était en coton blanc.

Lui était en short de sport et débardeur, plutôt sexy.

Il s’était installé à côté de moi. Immédiatement il se mit à me mater discrètement. Nous discutions un peu mais il y avait de la tension dans l’air. Il faisait très beau et chaud.

Je me levais. Il regarda mes fesses rondes.

— J’ai envie de me baigner, dis-je, en approchant de la berge qui en pente douce menait à la anse où nous avions tous nos habitudes.

Je savais qu’il matait mon cul.

J’entrais dans l’eau fraîche et m’immergeais vite. Je savais que mon slip blanc une fois mouillé ne cacherait plus grand chose. Je ressortis aussitôt.

Il bandait tout en essayant de le cacher. Et moi je faisais tout pour qu’il bande encore plus. Il matait maintenant mon entrejambe où ma bite en semi érection était parfaitement visible.

Puis je me rassis face à lui

en

tailleur, cuisses bien écartées.

— Ton slip …

— Quoi ?

— Tu devrais le retirer sinon il ne sera pas sec.

— Tu as raison, si je rentre comme ça, ça se verra.

Et m’allongeant dans l’herbe je le retirais. Il était tout rouge et contemplait ma queue lisse qui était maintenant bien bandée.

— Tu n’as pas de poils ?

— Non aucun.

— C’est beau comme ça.

Je restais allongé. Les jambes pliées et les pieds écartés. Il ne quittait pas mon bassin des yeux.

Je fis tout pour que mes fesses s’entrouvrent et qu’il puisse apercevoir mon oeillet lisse aussi.

— Je peux te toucher ?

— Oui bien sûr. Fais ce que tu veux.

Il manquait de s’étrangler. Je me demandais si mon attitude faisait bien salope.

Il posa sa main sur mon genou et à genoux à côté de moi poursuivit sa caresse vers mon ventre. Je frisonnais. Ses doigts étaient maintenant sur mon ventre à quelques

centimètres de ma

bite tendue.

J’ondulais lentement pour lui montrer que j’aimais.

Sa main glissa sous ma cuisse et il caressa ma fesse près du périnée.

Je bougeais, écartais encore mes pieds. Mes fesses s’ouvrirent encore.

— Tu m’excites, c’est bon dis-je pour l’encourager.

— Toi aussi tu m’excites, dit-il la gorge nouée d’excitation. C’est comme dans mes revues, j’adore.

Le bout de son doigt caressait le côté de ma raie.

Il était très doux et se maitrisait bien.

Moi j’ondulais et gémissait dès qu’il effleurait une nouvelle parcelle de peau.

Il effleura mon oeillet. Mon bassin se cambra.

— Tu as vraiment un beau cul.

Il se redressa et me fit brutalement ramener les cuisses sur le ventre pour s’offrir la vue sur mon cul cette fois totalement exposé. Il semblait fasciné.

Il me leva le bassin rapprochant mon cul de son visage. Je ne reposais plus que sur les épaules. Ma

bite tombait vers moi

et le compas de mes jambes était grand ouvert. Il avait mon anus en point de mire. Il plongea.

Sa langue lappa mon oeillet.

C’était la première fois évidemment. Quelle délicieuse caresse. La pointe tournait de ma pastille brune. Ma bite coulait vers mon visage. Je voyais ce filament translucide, brillant au soleil, tomber lentement vers ma bouche. J’étais à l’époque très souple. Il força du poids de son corps. Mon gland approchait de mon visage.

Enfin il commença vraiment à me bouffer le cul.

Je ne cessais de manifester mon plaisir.

Je lui attrapais même la tête pour qu’il aille encore plus profond.

Je sentis sa langue pénétrer un peu dans ma grotte. Il s’appuya encore sur moi et, Ô miracle, je parvins à me lécher le gland. Il ouvrit de grands yeux et se redressa.

— Tu es vraiment chaud toi !

Il appuya encore et je pus sucer mon sexe. Je découvrais cette

sensation et pensais que j’étais

une super salope. Il le pensait aussi.

Il se redressa me tenant le cul en l’air.

— T’es vraiment une pute. Tout le bahut le sait.

Il replongea sa langue m’arrachant de nouveaux soupirs. Il me tenait tellement bien que je pus écarter mes fesses de mes mains.

Ce qu’il venait de me dire m’excita encore plus.

— Baise moi maintenant, tu m’as trop excité, lui soufflais-je.

— Mais j’ai jamais fait ça !

Il paraissait apeuré.

— Tu m’as bien leché le cul.

— Oh oui j’ai aimé. Il baissa son visage et la pointe de sa langue effleura encore mon anus hyper sensible.

— C’est trop boooon.

— J’ai adoré quand tu t’es sucé la queue. C’est trop fort.

— Baise moi pendant que je me suce alors.

— Putain oui.

Il cracha sur mon orifice et se releva et se plaça pour me maintenir le cul puis il posa son gland contre mon oeillet avec sa queue qu’il dirigeait

donc vers le bas. Il poussa à peine et parut surpris de voir me pénétrer aussi aisément. Il força à nouveau guettant la descente de ma queue vers ma bouche. Il donnait des coups de reins et fléchissait les cuisses. Heureusement il était costaud et heureusement j’étais souple et mince.

Je me léchais le gland et tout en me sodomisant il appuyait sur mes cuisses pour que je puisse mieux avaler ma propre queue. C’était divin.

Il me regardait faire et je crois que c’était ce qu’il préférait même.

Parfois cependant, il prenait soin de bien me ramoner. Certes pour une première fois c’était déjà du très haut niveau !

— Tu me fais craquer salope ! Je vais juter !

Il se retira juste à temps pour ejaculer sur mon trou. Je sentis la chaleur de sa semence. Je passais ma main pour la toucher. J’en profitais pour me doigter avec son jus.

Il aima que je fasse ça.

— Quelle pute tu es ! Vraiment ! Allez je veux te voir te sucer et avaler ton jus. Il rappuya sur mon bassin et je repris mon auto fellation. Cette fois avec l’intention de jouir.

Je m’aspirais le gland et le titillait avec ma langue.

Quand ma jouissance arriva, j’ouvris grand la bouche et mon sperme gicla dedans.

— Putain, c’est trop bon.

Je jouais avec cette semence dans ma bouche puis l’avalais tout.

Je dus rester un bon moment allongé pour récupérer.

Il se montra câlin et gentil même s’il ne cessa de me traiter de tous les noms.

Voilà donc ce que j’ai révélé à ma femme.

Nous avions chacun notre secret mais c’est fini !

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