APPRENTISSAGE DE LA ZOOPHILIE – Chapitre 2
Mon amour de chien
Le premier chapitre de cette histoire vraie a été publié le 31 décembre 2013
Quelque temps après, j’ai écrit et envoyé le chapitre 2. Mais, je ne sais pas pourquoi, cette suite a disparu et n’a jamais été publié… Je vais donc remédier à cette lacune…
Avant, je voudrais préciser, pour les lectrices et les lecteurs qui s’en étonnent, je suis bien un homme de plus de 70 ans. Cette histoire est bien celle de Véronique qui me l’a racontée, il y a longtemps. Elle m’a permis de l’écrire et de la publier, en la romançant un peu.
Pour en faciliter la lecture, je lui laisse la parole :
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Bonjour,
Vous allez lire la suite de mon expérience de zoophile. Elle est vraie. Cela m’a procuré beaucoup de plaisir. Je voulais faire connaitre et partager cette merveilleuse expérience, à mon sens. Je l’ai raconté à un ami qui l’a écrite.
Quand je suis arrivée dans cette ferme équestre, il y avait Wolf le chien. C’est un jeune berger-allemand. Il était encore un peu « fou-fou ». Très vite nous sommes devenus amis..
En moins de deux ans, j’ai réussi à le calmer, à en faire un gardien des lieux efficace. Il était devenu un compagnon idéal, intelligent, affectueux et obéissant. Certains diront qu’il ne lui manquait que la parole.
Il n’avait aucune expérience sexuelle « naturelle ». (il ne s’était jamais accouplé avec une chienne). Il ne cherchait jamais à simuler une saillie, par exemple, contre les jambes des humains ou avec divers objets.
Le soir, après avoir mangé et vérifié la fermeture des portes, je prenais une douche. Si le temps le permettait, nous allions faire une promenade dans les environs de la ferme, jusqu’au bord d’une petite rivière.
Au retour de ces sorties, après quelques caresses, je laissais mon compagnon dans sa niche avant d’aller me coucher.
Si la soirée n’était pas propice à la promenade ou si j’avais envie de réviser mes cours, je restais dans mon studio. J’appelais mon compagnon canin pour me tenir compagnie.
Pendant que je me douchais, Wolf m’attendais dans le coin salon couché sur une couverture pliée.
Quand je sortais de la salle de bain, seulement vêtue d’un peignoir, il venait me trouver pour avoir quelques caresses, puis attendait que je m’assois pour venir se coucher à mes pieds. Si j’ouvrais mon peignoir, il se levait pour me lécher l’entre jambe. En même temps, je caressais mon corps en insistant sur les seins, sans oublier mon clitoris. Très vite je jouissais, jusqu’à l’orgasme. Je récompensais mon compagnon en lui offrant un biscuit pour chien, une croquette de viande ou toute autre friandise
Si je me mettais nue et que j’attrapais le tube de lait concentré, il manifestait sa joie « frétillant » sur place, se frottant contre mes jambes, remuant la queue, voulant me lécher la figure.
Il savait ce que j’avais envie de lui faire et ce que je voulais qu’il me fasse. Son pénis sortait de son fourreau. Il lui donnait quelques coups de langue puis me regardait d’un air implorant, la bouche ouverte, la langue sortie, le souffle plus court, plus rapide.
Une telle manifestation de joie me confirmait que le chien aimait avoir du plaisir en ma compagnie, comme j’en avais avec lui.
Outre les caresses, de temps en temps, je le masturbais jusqu’à ce qu’il éjacule. J’étais fascinée, subjuguée à voir son pénis se transformer.
Ayant déjà vu des chiens s’accoupler et rester « collés ». Je rêvais, de me retrouver, un jour, dans une telle situation.
Nos « relations » devenant de plus en plus « intimes », je voulais aller plus loin. Je voulais que Wolf me prenne comme une vraie chienne. Je voulais avoir de vrais rapports sexuels avec lui. Je voulais être sa femelle toujours en « chaleur ». Je voulais avoir toujours plus de plaisir, jouir encore plus…
Mais c’était un fantasme. J’avais un peu honte d’avoir de telles pensées. Mais je ne savais pas comment faire pour que cela devienne réalité.
En me léchant les doigts, j’avais goûté son sperme et autres « liquides séminaux ». Au début, je n’appréciais pas trop. Avec la pratique, je trouvais une saveur agréable à cette «liqueur ».
Voulant aller toujours un peu plus loin, j’avais trouvé une « technique » appréciée par nous deux pour avoir plus de plaisir.
Pour éviter de laisser des traces ou de faire des tâches sur la literie, c’est sur sa couverture, un peu usagée mais propre, étalée sur le sol que nous pratiquions,
Complètement nue, caressant tout mon corps, je mettais des gouttes de lait concentré sur les parties que je voulais faire lécher par mon chien. Sa langue râpeuse me procurait des orgasmes à répétition. Quand il la passait entre mes lèvres vaginales pour aller chercher sa « friandise », mélangée à ma jouissance, dans mon vagin, j’atteignais l’apogée de la jouissance.
Retrouvant mon calme, je le masturbais.
Nue, je m’allongeais sur la couverture, un coussin sous la tête. Wolf, debout, parfois couché à côté de moi, il savait ce que nous allions faire. Il attendait mes caresses. En demi érection, son pénis sortait de son fourreau. Quand je le prenais en main, il manifestait son plaisir en me léchant la figure ou les seins.
Cette position était « confortable » pour nous deux.
D’une main, je le masturbais, de l’autre, je me caressais l’entre jambe, excitais mon clitoris. Je pouvais voir, et sentir dans ma main, la montée de la tension dans son sexe.
Quand il éjaculait, je recueillais son sperme dans un verre en plastique. Wolf se léchait le sexe jusqu’à ce qu’il se « dégonfle » et rentre dans son fourreau. Moi je finissais de me branler pour atteindre rapidement un orgasme.
Suivait une période de calme. Je félicitais mon ami pour le plaisir qu’il m’avait donné.
Je gouttais sa semence diluée dans un peu d’eau gazeuse…
Après avoir repris une douche, remis les choses en place, nous allions nous coucher, moi dans mon lit, Wolf dans sa niche.
Périodiquement et au moins une fois par an, Monsieur Armand, un vétérinaire d’un certain âge, venait contrôler le bon état de santé des animaux. Pour parfaire ma formation et l’assister, je le suivais pendant ces visites. Si besoin, il faisait des prises de sang, d’urine, il vaccinait, prescrivait des médicaments, donnait des conseils, etc…
Il « visitait » tous les animaux, y compris Wolf. Après avoir contrôlé son carnet de santé, vérifié qu’il était à jour de ses vaccinations, il examinait ses yeux, ses oreilles et, ce qui m’étonnait, tout en le caressant, il tirait son fourreau pour faire sortir son pénis. Il l’examinait, faisait quelques mouvements masturbatoires avant de le relâcher. Il m’expliquait que les chiens s’allongeant bien souvent sur le ventre pour se reposer, leur sexe se trouvait en contact avec le sol. Ils pouvaient attraper, facilement, quelques mauvaises infections transmises, entre autre, par des animaux sauvages. Après m’avoir expliqué comment diagnostiquer une éventuelle inflammation, il me conseillait de faire un tel contrôle de temps en temps,.
Devant partir à la retraite à la fin de l’année, sa dernière visite terminée, en remerciement de mon aide et de notre amitié, Monsieur Armand, m’offrit quelques ouvrages et fascicules concernant les soins à apporter aux équidés en général et aux animaux de compagnie en particulier,
Parmi ces ouvrages, il y en avait deux consacrés à la race canine.
Je les ai feuilletés puis lus plus attentivement. C’est ainsi que j’ai appris qu’avec un chien de compagnie propre et en bonne santé, il y avait très peu de maladies ou autres infections transmissibles à l’homme.
Concernant la reproduction, j’ai appris que le pénis du chien est un organe très sensible, très fragile, de longueur et grosseur variables. Il n’apparaît que lorsqu’il est en érection.
Lorsque le pénis est au repos, il est entièrement recouvert par le prépuce (aussi appelé « fourreau »).
— L’extrémité allongée du gland est érectile pour faciliter la pénétration. C’est la partie visible ;
— Le bulbe, érectile aussi, se gonfle et assure le nouage au cours du coït.
Au cours de l’accouplement, le mâle introduit son pénis dans le vagin de la femelle. Son érection est complète que lorsque le pénis est introduit dans les voies génitales femelles.
Puis, le bulbe entre en érection après l’intromission. Il peut se dilater jusqu’à 8 cm environ. C’est lui qui assure le " nouage " du mâle à la femelle.
Le phénomène de " nouage " dure entre cinq et trente minutes (quinze en moyenne).
L’éjaculation commence dès la pénétration. Elle peut durer jusqu’à la séparation des animaux.
Instruite par ces nouvelles connaissances, je m’enhardissais de plus en plus. Au cours de la masturbation, j’approchais ma bouche et embrassait, du bout des lèvres, son pénis.
En l’absence de réaction négative de mon compagnon, petit à petit, j’en étais arrivé à le sucer en pleine bouche. J’y trouvais un plaisir certain,
Wolf, instinctivement, manifestait le sien en donnant des coups de reins pour faire pénétrer son organe plus profondément dans ma bouche chaude et humide.
Quand je sentais venir les premiers spasmes de l’éjaculation, je me retirais pour recueillir sa semence dans le verre.
Un soir, devait arriver ce qui arriva : toute attentionnée à mon plaisir, je nai pas eu le temps de me retirer assez tôt. J’ai pris les giclées dans la bouche et sur la figure. Surprise de recevoir ces saccades tièdes, j’ai avalé… J’ai trouvé bon… Wolf est venu lécher le reste…
Je venais de franchir un pas de plus dans ma pratique de zoophile.
Au cours de ces masturbations, je prenais du plaisir à le sucer. Je sentais son nud grossir contre mes lèvres. Malgré l’appréhension due à sa grosseur, je fantasmais toujours autant de le recevoir dans ma chatte.
Un soir, après m’être caressée et avoir caressé mon chien, je me mettais à « quatre pattes », jambes écartées, afin de bien lui présenter ma « croupe ». J’avais mis du lait concentré entre mes lèvres intimes et dans mon vagin, Wolf s’est mis derrière moi pour lécher. Cela me donnait beaucoup de plaisir. Je mouillais abondamment.
À la fin, il a détourné la tête et s’apprêtait à quitter sa place. J’ai alors mis du lait par-dessus mes épaules. Me contorsionnant un peu, je l’attrapais par la peau du cou pour l’obliger à me chevaucher afin d’atteindre sa friandise. Comprenant mon intention, il me monte dessus. J’attrape ses pattes avant pour les faire descendre de chaque côté de mes hanches, son ventre reposant sur mon dos. Tirant sur ses pattes, je le fais glisser vers l’avant au maximum. Je sens son sexe humide et chaud contre mes fesses. Lentement, je fais bouger mon bassin jusqu’à faire venir son bout pointu entre mes lèvres vaginales. Instinctivement, Wolf se met à donner des coups de rein. Je sens sa pine se durcir, s’allonger et pénétrer dans mon intimité.
Je lui rends sa liberté de mouvements en lâchant ses pattes. Pliant les bras, je prends appui sur mes coudes. Abaissant ainsi mon dos, je facilite la pénétration de son sexe dans ma vulve.
Mon fantasme devenant réalité, toute à mon plaisir, je ne contrôle plus rien… Ma jouissance est continue… J’ai un moment de lucidité quand je sens son nud gonfler dans mon vagin. La crainte de rester collée m’a fait avancer légèrement pour éviter d’être prise. Aussitôt, de longues et puissantes giclées chaudes viennent remplir mon « ampoule ». Je jouis comme jamais je n’ai joui. J’ai encore assez de lucidité pour ne pas hurler mon plaisir. Cette « saillie », de quelques secondes, m’a semblé interminable.
Wolf, s’étant retiré, il prolonge mon plaisir en léchant le sperme qui s’écoule de mon sexe. Je reste figée tout en retrouvant, lentement, mon calme.
C’est à moitié consciente de mes mouvements que je me suis douchée et couchée
Le lendemain, me réveillant nue dans mon lit, voyant mon chien couché, sur sa couverture chiffonnée, dans ma chambre, je réalise que je n’ai pas rêvé. Mon fantasme était devenu réalité… Je m’étais faite saillir par mon chien… Cette réalité a tourné toute la journée dans ma tête… J’étais, à la fois heureuse et honteuse.
J’avais honte. À vingt ans et demi, j’aurais pu « sortir » plus souvent, avoir quelques aventures. J’aurais pu me laisser draguer par un garçon de mon âge. Bref, j’aurais pu avoir une activité sexuelle « normale »,
Étant un peu « casanière », je n’aimais pas trop sortir. Mes premières expériences avec des garçons s’étant soldées par des échecs, je ne me laissais pas approcher. Pour éviter tout conflit avec mes camarades de travail, je ne voulais pas partager des moments intimes avec un employé ou un client de la ferme.
Avant de connaitre Wolf, me donner du plaisir seule me convenais très bien.
Mais, me faire saillir comme une chienne me laissait un gout « amer » dans ma tête. J’avais honte d’en être arrivée à ce résultat. Ma conscience me reprochait cet acte. Les remords hantaient mes soirées. Je me sentais humiliée, déshonorée, indigne d’appartenir à l’espèce humaine…
Malgré cela je ne pouvais pas oublier ce merveilleux moment.
Avec mon chien, me faire lécher les seins, la chattes et les autres parties érogènes de mon corps, avoir un premier rapport sexuel complet j’ai découvert d’autres plaisirs, d’autres façons de jouir.
Pendant près d’un mois, nos « relations » se sont limités à des caresses, quelques léchages, une « branlette » ou deux.
Le temps passant, scrupules, appréhension, pudeur, inquiétude, hésitation s’estompaient.
Le soir venu, avant de nous séparer pour dormir, je caressais bien sagement mon amant canin, surement avec plus de douceur que d’habitude…
Je m’endormais en me promettant de recommencer…
Un soir, je reste nue à la sortie de la douche. J’attrape le tube de lait. Me voyant faire, Wolf manifestait sa joie. Aussitôt, je me mets à quatre pattes. Je dépose quelques gouttes de lait par-dessus mes épaules. Aussitôt, il me monte dessus, et me donne des coups de reins. Je sens son pénis se raidir, commencer à écarter mes lèvres intimes. Très vite, il s’enfonce dans mon vagin. Ses coups de reins sont plus rapides, plus forts. La pénétration est plus profonde. Des décharges électriques parcourent tout mon corps.
Je sens son nud gonfler à l’entrée de ma vulve. À demi inconsciente, je reste sans réaction tout en savourant mon plaisir. En longues, chaudes et puissantes giclées, mon amant canin vide sa semence dans mon réceptacle vaginal. Son knot distend mes chairs intimes.
Le calme revenu, retrouvant mes esprits, j’allonge mes jambes pour me poser à plat ventre sur la couverture. Me sentant tirée en arrière, je réalise que j’étais collé à mon chien. Nous étions soudés l’un à l’autre par nos sexes… Pendant quelques secondes, effrayée par cette situation, je panique un peu… Me rappelant la lecture des ouvrages donnés par le vétérinaire, je me rassure car ce « nouage » ne devrait durer qu’une quinzaine de minutes au maximum. Durant cette attente, Wolf, allongé sur mon dos, léchait le lait sur mes épaules. Il continuait à expulser ses liquides spermatiques. Je sentais mes entrailles se remplir, la pression intérieure augmenter… Ma jouissance était à son comble…
Quand nous nous sommes séparés, Wolf est venu lécher le sperme, mélangé à ma cyprine, qui coulaient de ma vulve. Je le récompense avec des caresses et des friandises qu’il apprécie…
Après remis de l’ordre dans la pièce, je le renvoie dans sa niche. Après m’être douchée, je me couche avec la tête pleine de rêves. Aucun regret venant troubler ma plénitude, je suis heureuse et un peu fière d’avoir réussi cet accouplement complet… J’éprouve un immense plaisir nouveau et savoureux..
Petikokin (sous le contrôle de Véronique)