L’étalon qui la besognait se retire, celui qui se faisait sucer en fit autant, et le troisième s’occupe de Sophie en la léchant, alors que cette dernière restait debout au côté de Laurence, ayant vidé les couilles de celui qui la lèche.
Laurence se releva, laissant la place à son premier étalon, qui s’allongea, toujours en érection, pour que Laurence vienne se faire pénétrer, alors que celui qui avait été sucé, se place derrière elle, et glisse sa queue, heureusement, plus fine que celui sur lequel elle est assise, évitant une fissure au périnée, et ainsi prise comme elle aime, durant un long moment, Sophie, ayant pitié pour ses deux gros cochons, les mettant face à elle, puis s’agenouillant, elle les suce sans relâche, à vider leurs couilles, tout en regardant, leur chienne de Laurence, se faire démonter du cul et de sa chatte, à hurler son bonheur, la sodomie se termine, en jouissant sur son fessier ouvert, alors que son étalon, à la longue queue, s’agite, sans fin, jusquà épuisement, au point où Laurence, n’a plus la force de se bouger, elle se retire de sa position, l’étalon se lève à son tour, puis Laurence restant debout, s’accoude, à nouveau au rebord de table, offrant son fessier, à celui qui, queue en érection, se place de son beau petit cul, à la raie dilatée, lui écartant ses joues pour découvrir un anus béant, dut à l’action du gel, toujours aussi actif, et à cette sodomie, qu’elle venait de se prendre.
Résultat, lorsque cette belle queue s’introduit, ce ne fut que du bonheur !!!
Grosse elle était. Mais, ses mensurations lui correspondaient à son besoin. Une vraie sodomie, la preuve, Laurence gémit, halète, pour jouir de tout son corps, en se raidissant, lorsque cette queue éjacule, dans un spasme et un cri accompagné d’un coup de reins de ce bel inconnu, au plus profond de son trou béant.
Laurence reste un long moment, à reprendre son souffle, levant la tête, cherchant ses deux gros cochons, qui eux, se font sucer par la belle Sophie, qui se trouvent dans le recoin de l’allée. Laurence se relève, et alors qu’elle est à la recherche de sa petite culotte, Jean-Marc lui dit, encore deux soupirs de plaisirs, résultante de la fellation toujours en cours.
— Que cherches-tu ??? Ma chérie.
— Ma petite culotte !!!
— Ah !!! Je jouis. AH. OUI. Hum. Crie Jean-Marc.
— C’est bien. Sophie t’a soulagé, hein !!! Mon gros cochon. Qu’est-ce qu’on dit à Sophie ???
— Hum. Merci. Sophie. Eh, Jean-Marie, t’en es où ??? Dit Jean-Marc.
— J’arrive. Ah. Oui. Oui. Hum. Elle suce bien. Crie Jean-Marie.
— Eh Bien, voilà, mes petits cochons, vous avez eu votre dose !!! Dit Laurence.
— Et toi, ma chérie ??? Demande Jan-Marc.
— Je m’en suis pris plein les orifices. Euh, ma petite culotte ??? J’ai perdu ma petite culotte.
— Je la garde en souvenir, ma petite chatte, dit Sophie, qui lui exhibe du bout des doigts.
Jean-Marc put deviner que Laurence pouvait encore en avaler, ses yeux brillaient d’envie, en regardant tous les voyeurs qui étaient encore à une éventuelle proposition de fellations.
C’est Sophie, qui, vient jusqu’à Laurence, qui n’ayant pas retrouvé sa petite culotte blanche, pour cause, remit la micro jupette et le tee-shirt.
— Tu ne vas pas partir comme ça. Dit Sophie, il faut absolument que tu fasses un petit tour par nos gloryholes. Tu as déjà fait ???
— Non, jamais. C’est quoi ???
— Viens, je vais te montrer. Tu vas vite comprendre le principe.
Les deux jeunes femmes se dirigent au fond du magasin, dans un espace feutré, un long couloir, de chaque côté, des cabines ouvertes, avec des larges orifices à mi-hauteur, afin que l’intéressé y présente sa queue pour se faire sucer, mais aussi, qu’il puisse y passer son bras, et lui, à son tour, la doigter. Ceci, à chaque cloison, laissant la possibilité de sucer tout en se faisant prendre de l’autre côté.
C’est Sophie qui l’installe dans la première cabine vide, une chaise où elle fait asseoir notre Laurence alors que déjà, des queues sont en attentes dans chaque orifice du gloryhole, puis, lui ouvrant ses cuisses, elle vient s’agenouiller devant sa vulve béante d’un plaisir de se faire lécher, pendant qu’elle masturbe de ma gauche une des queues, alors que sa bouche gourmande, vient sucer une des queues à sa droite, pouvant à la fois en sucer un tout en branlant un autre.
Sophie, elle, lui lèche ce véritable pénis clitoridien, qui germe entre son épais duvet, l’index et son majeur droit coulissant dans son col utérus, pour rapidement, aidée de Laurence, par sa position, afin de lui mettre sa main et pratiquer un fist, la faisant grogner de plaisirs. Jean-Marie et Jean-Marc suivent de très près le jeu des deux femmes, en étant devant la cabine ouverte.
Laurence de fellation en fellation, avait besoin de recevoir du lourd dans ses deux orifices. Sophie, après avoir profité des orifices de Laurence, se relève, se dirige aux pieds des deux gros cochons, pour les branler, alors que Laurence s’active à se faire prendre par l’une des queues bien raides, tout en suçant jusqu’à l’éjaculation, une queue en face, restant debout, offrant ses deux orifices, où plusieurs, à tour de rôle, vinrent l’enfiler, avant de crier et se cambrer d’un coup, signe d’un orgasme bien mérité. Elle finit de sucer et branler les queues qui se présentaient à elle, puis sort de la cabine, alors que ses deux gros cochons viennent de vider leurs jus sur le visage de Sophie, bouche ouverte, Laurence embrasse à pleine bouche cette dernière, pour la remercier.
— Allez, mes deux cochons, à la maison. Dit Laurence, il se fait très tard, et tout à l’heure, le soleil se lèvera, et nouvelle journée de travail s’annonce. Nous reviendrons, j’en ai déjà une forte envie, j’ai adoré.
— Nous allons payer nos achats. Dit Jean-Marie, en prenant le pot de gel, les deux strings blancs, ouverts devant, laissant libre accès pour un doigté, les deux colliers, les chaînettes à pinces à tétons. Et le plug anal.
Après être passé à la caisse, le trio ressort du sexe-center, totalement comblés de leur soirée libertine pour rejoindre la BMW, et prendre la route du retour.