Cela faisait maintenant une dizaine de jours que mon aventure au parc s’était déroulée, et j’en venais à me demander si je ne l’avais pas purement et simplement rêvée… J’en gardais un souvenir bien vivant qui échauffait mes nuits de plaisirs solitaires, mais ma messagerie restait en mode silence, et je commençais à perdre tout espoir… et ce, jusqu’à hier… car en effet, hier, mon coeur a failli exploser à la lecture de mon nouveau message, et mon désir a atteint son comble… le nouveau rendez vous me semblait encore plus délirant que le précédent, puisqu’il était dans un lieu ouvert au grand public, mais mon impatience m’interdisait de ne pas m’y rendre… et c’est pour aujourd’hui…
Autant dire que je n’ai pas dormi de la nuit tellement mon imagination vagabondait. Le message était clair et tout à la fois sans explication précise, il disait simplement : "rendez vous demain à 15h à la brasserie de la gare. Tu seras habillée d’un chemisier blanc légèrement transparent et d’une jupe courte noire, assortie à tes chaussures à talons fins. Tu ne porteras aucun sous vêtement. Assieds toi sur un tabouret de bar et commande toi une boisson fraîche". C’était tout.
Il est bientôt 15 heures, et j’arrive ainsi vêtue. Est ce simplement mon imagination ou ai je vraiment l’impression de ces regards d’hommes me déshabillant. Au travers de mon chemisier, mes tétons tendus semblent apparaître sans pudeur, tandis que ma jupe cache à peine ma nudité… Mes talons accentuent la longueur de mes jambes fines et semblent dire à ceux que je croise, regardez moi, regardez bien tout en détail, vous y verrez tout ce que vous cherchez… je me sens tout à la fois gênée et très excitée…
Je m’installe sur un tabouret de bar et ma jupe ne peut alors que se raccourcir encore plus… je croise mes jambes pour que ma petite chatte ne se voit pas mais est ce bien suffisant ? je n’en suis pas certaine…
je sirote maintenant depuis quelques minutes mon diabolo lorsqu’un serveur, au sourire entendu me tend un papier même pas plié… assorti d’un billet de train. Je dois maintenant me rendre au premier wagon du train en partance pour la prochaine gare, et aller à la fenêtre. Y rester ainsi et attendre tout simplement.
quelque peu fébrile, je suis les consignes et tremblante je me tiens maintenant à la fenêtre du train que je sens démarrer… je sais que de nouveau je ne verrai pas mon inconnu arriver, mais peut être aurais je la chance de l’entendre me parler…
le vent glisse sur mes cheveux à travers la fenêtre entrouverte… et je remarque à peine le paysage commencer à défiler… de même que je ne l’entends pas s’approcher… je sens juste sa présence derrière moi… je me crispe un peu et par réflexe ferme mes yeux… j’attends, le coeur battant…
Une main se glisse alors entre mes cuisses tandis que l’autre remonte ma jupe jusqu’en haut de mes fesses… je le sens m’écarter et venir fouiller ma petite chatte déjà bien humide. Je ne peux m’empêcher de me cambrer..
Sa main me fouille brutalement, je sens ses doigts me pénétrer et s’enfoncer, caresser fermement mon intimité… le plaisir monte irrésistiblement en moi et cambre encore plus mon échine
La main remonte alors, le long de ma raie et un doigt s’arrête sur mon petit anneau… j’ai en mémoire qu’à la fin de notre première rencontre il m’avait clairement exprimé que je n’avais d’autre choix que de m’ouvrir totalement à lui. Je savais ce que cela signifie, et malgré mon inquiétude, je ne veux pas le décevoir. Je tente de ne pas résister lorsque je sens un doigt tenter de forcer le passage, mais je ne peux malgré tout m’empêcher de me contracter… Sûrement s’en rend il compte car il enserre ma taille pour la maintenir fermement. Sa main alors se fait alors plus pressente au niveau de la raie de mes fesses et lentement, maintenant, je sens mon petit orifice s’ouvrir sous sa volonté. Les mouvements sont lents et fermes, par petits à coup. Ils forcent progressivement la résistance…
La sensation devenait presque agréable et je commence à me laisser aller…
Je sens maintenant comme une sensation froide que mon anneau, peut être une crème ? Un gel ? qu’il prend soin d’appliquer aussi bien sur l’extérieur qu’à l’intérieur. Le passage devient plus facile et bien plus agréable… je commence à vraiment aimer… lorsque tout à coup, quelque chose de plus rigide commence à me caresser intimement…. je le sens dans ma chatte maintenant trempée et comprends aussitôt qu’il s’agit d’un god, d’un volume modeste mais bien ferme néanmoins… Les à coups dans ma chatte me donnent un plaisir intense mais je me sens me crisper lorsque je me rends compte des mouvements le remontant vers mon petit trou… Je comprends que ce god va venir s’y loger et m’écarter bien plus qu’un simple doigt… Je ne dois pas résister, il me faut m’ouvrir complètement à lui…
Je sens maintenant l’objet tenter d’ouvrir le passage toujours un peu difficile… Je ressens une douleur réelle tant il doit forcer pour m’écarteler… J’ai l’impression qu’il force une résistance et que tout à coup la douleur s’évapore… le god s’est enfoncé et je n’ai plus mal… au contraire… un plaisir jusqu’alors inconnu me submerge et c’est maintenant avec une certaine impatience que j’attends les va-et-vient… le mouvement de ce membre enfoncé en moi, ce passage encore et encore forcé m’électrise, je me cambre encore plus et je ne peux être que déçue lorsqu’il s’arrête.
La main l’a ôté mais continue de me caresser… les doigts sont maintenant devenus source de plaisir, et j’aime… ils me prennent et m’écartent, encore et encore, jusqu’à ce que je sente maintenant quelque chose de doux dur et ferme, bien plus imposant que le god précédent… Je sens un sexe tendu, en érection, qui ne demande que ce qu’il est en droit de réclamer… mon petit cul dépucelé juste pour lui… ce membre que je sens à la porte de mon orifice et qui doit forcer un passage encore trop étroit…
Les mains sont maintenant sur mes hanches et impriment leur force pour me rapprocher… j’ai de nouveau mal, je me sens comme déchirée et pourtant, lentement très lentement, il s’enfonce en moi… les mouvements lents du début commencent à saccélérer et devenir de plus en plus profond… la douleur s’efface et le plaisir de me sentir prise ainsi s’amplifie… je suis en train de me faire prendre profond, comme cette fois ci une vraie petite chienne que je suis en train de devenir. Maintenant il va et vient en moi librement, sans effort , en totalité…. il me remplit de toute sa largeur et de toute sa longueur…. je le sens et je jouis maintenant d’un plaisir encore plus intense que ce que je n’avais connu…
Dans un dernier sursaut, il se retire et je sens son sperme inonder mon dos, ma chemise… il se vide sur moi dans un dernier souffle…
Nous restons quelques instants ainsi, puis il se sépare de moi, replace ma jupe et y glisse un papier à la ceinture…
Le temps que je reprenne vraiment mes esprits, je réalise qu’il est parti… et à ma ceinture se trouve juste mon billet de train retour, sans un mot.
Je me suis ouverte à lui, je me suis offerte, ou plutôt il m’a prise… alors maintenant, vais je de nouveau le revoir ?