Les semaines qui nous séparaient de son anniversaire furent longues. J’eus deux conversations téléphoniques avec Maelis pour régler les derniers détails. Elle me transmit par SMS son certificat médical de dépistage des MST. Sa voix chaude et sensuelle me mettait chaque fois dans tous mes états.
Nos ébats avec Franck restèrent réguliers. Nous utilisions presque à chaque fois nos jouets.
Je commençais à vraiment prendre du plaisir à la sodomie et à la fellation avec consommation de son sperme.
Enfin, nous arrivions à ce fatidique samedi soir qui allait changer notre vie.
J’avais préparé un bon repas, pas trop chargé, mis une superbe robe noire très sexy avec un décolleté plongeant et un laçage dans le dos. Cette robe se portait sans soutien-gorge et j’avais acheté un string fendu devant et derrière.
Le repas terminé, après le café, je retournais à la cuisine et constatais que Maelis était en attente dans le jardin.
Mon excitation monta encore d’un cran. Je sentais mes tétons s’ériger d’un coup et ma chatte s’humidifier.
Je dis à mon homme.
Ce soir pour fêter ton anniversaire, je te réserve une petite surprise. Tu sais que j’aime parfois lors des préliminaires que tu me bandes les yeux. Ce soir, c’est toi qui auras le privilège d’avoir les yeux bandés. Tu devras te laisser aller et je te promets de te guider vers des sommets de luxure.
Ton programme m’excite déjà ma chérie. Je serais sage et obéirais à tes demandes.
Je lui pris la main et le guida jusqu’à notre chambre. Je lui bandais les yeux et le fis allonger sur le lit. Je le déshabillais et lui liais les mains à la tête de lit. Je liais ses jambes écartées aux pieds du lit.
Mon cochon, tu as une trique d’enfer. Tu bandes comme un âne. Nous allons prendre beaucoup de plaisir.
Joignant les actes à la parole, je commençais à lui lécher les couilles puis son phallus.
Tu m’as avoué avoir aimé voire ma chatte lisse. C’est à mon tour de faire disparaître tous ces poils disgracieux.
C’était Maelis qui m’avait suggéré de lui raser le sexe et les bourses. Les sensations, me disait- elle, ne seraient pas les mêmes pour Marc et il ne se rendrait pas compte tout de suite qu’il n’avait pas affaire avec sa femme.
Tu veux me raser la bite ?
Oui mon amour, je veux l’avoir lisse dans ma bouche.
Mais fais attention à ne pas me couper.
Je cherchais de quoi le raser et accueillis la belle rousse dans notre demeure.
Elle était vêtue d’une superbe minijupe cuir dentelle et d’un body noir dentelle très décolleté, laissant deviner ses magnifiques tétons percés. Elle avait retiré ses chaussures et tenait à la main un grand sac. Elle me confessa discrètement qu’il contenait quelques accessoires.
J’étais un peu surprise, mais c’est elle qui allait avoir la main sur la soirée.
Je revins dans la chambre avec Maelis qui put pour la première fois admirer mon homme. Un grand sourire vint éclairer son magnifique visage.
J’entrepris le rasage avec délicatesse puis une fois terminé, je passais la main, ou plutôt la bouche à mon invitée pendant que je m’éloignais pour m’installer sur le fauteuil.
Maelis s’allongea entre les jambes de Marc et sans se servir de ses mains, elle emboucha la queue de Marc, ce qui provoqua chez moi une montée d’excitation, mais aussi de jalousie.
C’était la première fois que je voyais une autre femme s’occuper de mon mari. Cette pipe, je l’avais rêvée des dizaines de fois dans mes fantasmes. Elle alternait prise en bouche, léchage de la bite, du gland et plusieurs fois, descendit jusqu’à son petit trou pour lui faire une feuille de rose. Je n’avais jamais osé aller aussi loin dans nos pratiques.
Visiblement, Marc appréciait cet anulingus.
Oh oui, ma chérie, continue, j’adore ce que tu me fais.
La belle rousse continua son petit manège pendant encore un petit moment puis se déplaça et se mit à lui titiller les tétons avec sa langue avant de les mordiller. Marc gémissait de plus en plus fort.
Maelis sortit alors de son sac deux anneaux en silicone réglable. C’était la première fois que je découvrais un cockring. Elle m’invita à venir à côté d’elle pour répondre aux éventuelles interrogations de mon homme. Discrètement à l’oreille, elle me révéla ce que c’était et le but de la manuvre. Elle le plaça à la base du pénis, englobant les testicules. Marc fut surpris.
Waouh, qu’est-ce que tu me mets sur la queue ?
Ne t’inquiète pas mon chéri, c’est un cockring. Cela va augmenter le volume de ta bite, retarder ton éjaculation et nous donner plus de plaisir.
Maelis me renvoya à ma place de voyeuse et reprit le membre de mon mari dans la bouche. Effectivement, la queue de Marc avait gonflé, ses veines étaient plus saillantes et son gland était devenu plus proéminent.
C’est génial mon cur, j’ai l’impression que ma bite a doublé de volume.
Maelis le suça encore quelques instants puis se leva, retira sa minijupe et son body et vint présenter sa vulve au sommet du pic qu’était devenu le membre de Marc.
Tout doucement, elle commença à descendre sur le vit dressé. J’entendis le feulement de mon homme quand il pénétra la grotte de la rousse.
Cette nouvelle expérience est sensationnelle. C’est la première fois que je ressens avec une telle intensité ta chatte. J’ai l’impression que c’est la première fois que je te baise, tellement elle me semble étroite.
Sur mon fauteuil, je voyais Maelis monter et descendre doucement sur la bite de mon mari.
J’étais au comble de l’excitation. Je m’étais déshabillée, me triturais les tétons et me masturbais avec de plus en plus de violence. Pendant que la rousse baisait mon mari, je m’enfonçais 2 puis 3 et enfin 4 doigts dans mon vagin. Avec mon pouce, je frottais mon clitoris que j’avais décapuchonné.
Après une dizaine de minutes de ce traitement, je jouis silencieusement pendant que les amants continuaient leur baise intense. Marc annonça qu’il sentait sa jouissance arriver.
Ah, c’est trop bon, trop fort … Oui encore, plus vite. Oh ouiiii… attention, je vais venir.
Maelis se retira, enleva le cockring, emboucha la bite de mon mari et le suça jusqu’à recevoir la totalité de son sperme qu’elle avala goulûment. Elle nettoya d’une manière très méticuleuse la queue de Marc.
Je m’étais levée pour me mettre à côté de Marc. Mon invitée s’écarta, me laissant la place.
J’embrassais tendrement mon mari.
Sophie, mon amour, ton cadeau d’anniversaire a été extraordinaire. Jamais je n’ai eu une telle surprise.
Et tu n’es pas au bout de ta surprise mon amour.
C’est le moment que je choisis pour le détacher et lui retirer son bandeau. Après quelques clignements d’yeux pour se réhabituer à la lumière, il découvrit Maelis.
Mais c’est quoi ce bordel !!! C’est qui cette femme ?
Mon chéri, je te présente Maelis. C’est une amie que j’ai contactée pour réaliser notre fantasme : toi coucher avec deux femmes et moi te voir faire l’amour avec une autre que moi.
Mais tu aurais dû me consulter avant de le faire.
Tu n’as pas pris de plaisir mon chéri.
Si, mais je suis surpris que tu aies fait cela seule dans ton coin.
Mais c’est ta surprise pour ton anniversaire…
Ça pour une surprise c’est une surprise.
Marc se leva visiblement en colère et déstabilisé. Et maintenant, on fait quoi.
C’est à ce moment que tout a basculé. Maelis prit la parole.
Bonsoir, Marc, j’ai beaucoup apprécié te faire l’amour. Ta queue est magique. J’ai eu beaucoup de plaisir. Cependant, je comprends que tu puisses être blessé et te sentir humilié par l’attitude de Sophie. Si tu souhaites te venger d’elle, je veux bien t’aider.
Je n’en revenais pas ce discours.
Mais que dis tu Maelis, il n’a jamais été question de cela. Le but était d’assouvir notre fantasme commun.
Tais-toi Sophie, m’ordonna Marc. Je suis d’accord avec ton invitée. Tu mérites d’être punie pour ce que tu viens de me faire.
Mais je n’ai rien fait d’autre que t’offrir un cadeau pour te donner du plaisir.
Et moi, je vais te remercier pour ce superbe cadeau.
Marc se leva, vint vers moi et m’embrassa avec passion. Il me prit dans ses bras et m’allongea sur le lit. Avant que je ne puisse réagir, il m’attache les bras et les jambes au lit.
Je me retrouvais dans la même position que lui précédemment.
Il demanda à Maelis :
Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir lui faire pour lui faire passer l’envie de recommencer ?
Marc, j’ai dans mon sac quelques objets qui ne demandent qu’à être utilisés.
Avant cela, si tu es d’accord, j’aimerais bien te baiser à nouveau.
Je m’écriais :
Non Marc, ce n’est pas le deal.
Mais je fais ce que je veux si Maelis est d’accord.
Je suis toute à toi Marc. Quand on a une bite comme cela, on en profite un maximum.
Non Marc, tu n’as pas le droit de me faire cela.
Tu ne t’es pas gêné pour me prendre comme sexe-toys pour ta copine. J’ai eu les sensations, maintenant, je veux aussi la vue.
Marc s’approcha de Maelis, la prit par la taille et lui roula un patin d’enfer.
Je n’avais eu droit à sa langue que sur ma queue. Elle me plaît aussi dans la bouche. Elle embrasse aussi bien qu’elle suce.
Je voyais leurs langues s’emmêler. J’étais furieuse, mais attachée au lit, je ne pouvais que regarder.
Non Marc, ne fais pas cela, je t’en prie.
Je voyais sa bite se redresser. Il était excité par la situation qui m’échappait complètement.
Je vis Maelis se mettre à genoux et recommencer à sucer la bite de Marc.
Non, s’il te plaît Marc, mon amour, je t’en conjure, ne fais pas cela.
Tais-toi et regarde comme je vais baiser cette magnifique rousse.
Il la fit relever, lui demanda de lui remettre le cockring, la fit s’installer à quatre pattes à côté de moi et la pénétra directement. Je voyais sa chatte trempée de mouille recevoir sans problème la queue turgescente de mon mari. Il sortait complètement son pic de ce vagin dont s’écoulait son jus de femelle.
J’étais à la fois atterrée par l’attitude de mon mari et à la fois très excitée devant le spectacle du sexe de Marc qui pilonnait l’abricot de Maelis. A chaque retour, Marc faisait sortir sa bite complètement de la moule et je voyais le gland énorme retourner au fond à l’aller suivant.
Je pleurais autant d’humiliation que d’envie de me masturber pour jouir alors que je ne le pouvais pas, attachée au lit.
Marc avait mis le pouce dans l’anus de Maelis, ce qui avait provoqué un petit cri chez cette dernière.
Il limait cette chienne qui n’arrêtait plus de couiner sous les coups de boutoir de mon homme.
J’entendais et voyais le pubis de Marc claquer contre les fesses de la rousse.
Oh oui, plus fort Marc, vas-y, défonce-moi. Déboîte la chatte de ta chienne. Tu es un amant extraordinaire comme j’en ai peu connu. Quelle conne ta femme de te prêter à d’autres.
Je subissais cette humiliation sans pouvoir dire quoi que ce soit.
Après une bonne heure de ce manège et 3 orgasmes de Maelis, Marc se retira, enleva son cockring et vint éjaculer sur mon ventre. La rousse s’approcha et vint lécher et avaler la totalité de son sperme. Je n’arrêtais pas de pleurer. Marc me dit :
Pour ta punition, tu resteras attachée comme cela jusqu’à demain matin. Maelis et moi nous allons prendre une douche et nous dormirons dans la chambre d’amis.
Je les entendis prendre la douche et se coucher dans la pièce à côté de cette chambre.
Je les entendis baiser et rebaiser une bonne partie de la nuit. Maelis couinait et gémissait sans cesse.
Moi, je pleurais toute la nuit, attachée, humiliée et dévastée par la situation qui m’avait complètement échappée……
Au petit matin, j’entendis Maelis s’en aller. Je parvins enfin à m’endormir…..
Je me réveillais en milieu de matinée ce dimanche. Marc m’avait détachée et était lové contre mon dos. Je sentais son gros sexe contre mes fesses. Je me retournais et il m’embrassa tendrement sur le front, les yeux ; le nez et enfin sur les lèvres. Ma bouche s’ouvrit et il y glissa sa langue à la recherche de la mienne. Le baiser devint plus intense. Je sentis son sexe gonfler contre mon ventre. Il prit la parole et me dit :
Ma chérie, je t’aime si fort. Tu m’as offert un surprenant, mais délicieux anniversaire. Je dois t’avouer que j’ai autant bandé et joui par la baise avec Maelis que de te savoir attachée au lit sans rien pouvoir entreprendre. Mais il faut que tu saches que lorsqu’on joue, parfois on gagne, parfois on perd…
Moi aussi je t’aime mon amour, mais j’ai beaucoup souffert de te voir prendre du plaisir avec une autre même si j’ai ressenti une immense excitée.
Pendant cette nuit, j’ai longuement discuté avec Maelis de ton rôle dans cette aventure. Elle aimerait continuer cette relation, mais en t’incluant dans nos ébats.
!!!!!…… !!!!!!
Je restais sans réaction. J’avais l’impression qu’un tsunami était en train de m’emporter.
Tu ne dis rien ? Qu’en penses-tu ?
Je me mis à pleurer et lui dis :
Je suis terrorisée à l’idée de te perdre. Je ne sais pas si je me relèverais si tu venais à me quitter.
Mais je n’ai jamais envisagé de te quitter, je t’aime trop pour cela. Avec Maelis, ce n’est que de la baise, pas de l’amour.
Mais comment envisager cette histoire ?
Je n’en sais rien. Pour le moment, ce n’était qu’un bref échange d’idées avec notre invitée. Il faudrait se revoir rapidement tous les trois pour mettre en place le cadre de notre relation.
Tu n’as pas peur que cela détruise notre mariage ?
Non pas du tout, au contraire, je pense que cela pourrait le renforcer. Mais il faut que tu sois d’accord, et cela sans hésitation et sans restriction pour que cela fonctionne. Si tel n’était pas le cas, nous cesserions toute relation avec la belle rousse.
En disant cette dernière phrase, je ressentis en moi un grand vide et une peur subite.
J’avais à la fois des craintes pour notre couple et j’étais cependant très excitée à l’idée d’être incluse dans ces jeux sexuels.
J’avais vraiment envie de réaliser une suite à mon fantasme : faire l’amour avec mon mari en présence d’une autre femme. Je demandais cependant à Marc de prendre le temps de la réflexion et lui promis une réponse pour ce dimanche soir.
En réalité, ma décision était prise… Je sentais mon sexe couler à l’idée de revoir la superbe rousse.
Marc me serra contre lui et je sentis sa queue durcir contre mon ventre.
Viens Sophie, tu mérites que je m’occupe de ma petite femme chérie.
Oh oui, baise-moi fort mon amour.
Nous avons longuement et tendrement fait l’amour et j’ai joui plusieurs fois avant que Marc n’éjacule au fond de ma chatte…
Après une douche bien méritée et un bon repas, l’après-midi fut très calme. Je sentais une grande tension entre nous. Marc attendait ma réponse avec appréhension, mais il ne la précipitait pas, me laissant vraiment le temps de réfléchir.
Le soir venu, je lui donnais le résultat de ma réflexion, qui je l’espérais n’allait pas briser notre mariage…