bonjour,
voici un chapitre de mes nombreuses aventures sexuelles,
il y a quelques années en arrière je travaillais chez thiriet les surgelés.
Le principe était assez simple nous téléphonions chez les particuliers ( souvent ce sont des femmes) pour prendre leurs commandes
et nous livrons 48h plus tard .
Ce jours là j’avais terminé mes appels il était 19h et je passais donc dans les box de mes collègues pour voir si ils avaient du retard dans leurs appels et si je pouvais les aider à ne pas finir trop tard.
Pascal un collègue me dit qu’il avait du mal à terminer ses appels sur aix.
Me voilà donc parti pour une série d’appels, j’appelle Mme M ( son nom doit rester secret) après avoir pris sa commande la discussion commençait à dégénéré trouvant ma voix trop sensuelle elle m’allumait ouvertement.
Après 20 minutes je décidai de couper court me disant que professionnellement ça craignait pour moi si quelqu’un venait à apprendre ce qu’il venait de se passer.
je m’apprêtais à composer le numéro suivant sur la liste quand ma ligne interne sonna, c’était pascal il était tout excité parce que la cliente Mme M était au bout du fil en gémissant au téléphone et demandait à me parler, il croyait qu’elle pleurait.
Je pris la communication et elle ne pleurait pas , elle se caressait et se fut torride cette femme au bout du fil était en transe, elle se masturbait en fantasmant sur ma voix.
J’étais nouveau dans l’entreprise et j’avais déjà eu vent d’histoires chaudes entre vendeurs et clients, mais là ça m’arrivait à moi et c’était chaud bouillant.
j’entendais clairement des bruits de sucions suivi de gémissements elle s’introduisait goulûment son gode ou un autre objet dans la chatte.
Elle me demandait de lui dire des choses cochonnes et de la traiter de salope ma voix suffisait à faire monter son désir.
Mon excitation était à son comble le pantalon de mon costard ne pouvait plus retenir ma queue qui gonflée à bloc m’écrasait les boules, je trouvais ça bon et douloureux en même temps.
je sentais un liquide me couler sur les testicules, ce n’était pas encore du sperme mais mon petit lait.
Les râles et les cris de Mme M devenaient difficiles à écouter tellement je devenais fou et je voulais posséder cette femme inconnue qui me faisait bander comme un goret.
Elle décrivait ses positions et tout en s’introduisant son gode, puis dans un ultime gémissement elle venait de jouir.
Elle raccrocha et j’étais tellement stupéfait de ce que qui venait de se produire que je filai aux toilettes me soulager en me branlant.
Je décidais de finir ma journée et de rentrer chez moi, sur la route un sms sonna et je lis un message de pascal " j’ai donner ton numéro à Mme M elle a beaucoup insisté"
A ce moment précis je n’imaginais pas encore que la nuit n’était pas fini…