Mes parents sont agriculteurs. J’habite leur ferme, mais ils leur plait que je sois une bouche à nourrir. Papa est un homme grand et fort, impressionnant de par sa carrure et sa musculature imberbe bien qu’il soit maintenant âgé de 58 ans. Il est presque chauve, bedonnant, mais son tempérament est sanguin, rustre, actif et sans manières. Sa présence ombrageuse est une autorité indiscutable à elle seule. Maman est bien plus jeune que lui. Papa l’a mise enceinte de moi, sa fille, à 19 ans. Elle en a aujourd’hui 42. Les travaux à la ferme et au grand air ne l’ont pas abimée. Plutôt admirablement bien conservée, je dirais même. Ces deux-là s’entendent très bien ensemble et se connaissent jusqu’à ne faire qu’une seule volonté à laquelle je me soumets, humblement et sans réserve, par souci de leur donner entière satisfaction. Je déteste qu’ils aient à devoir se plaindre de moi. Même si les punitions ne manquent pas.
Je m’appelle Corinne. J’ai 22 ans. Célibataire et sans enfants, vous l’avez compris. Chétive et élancée, je n’ai presque pas de poitrine. Petit cul, cheveux longs décolorés, je ressemble à une adolescente qui aurait oublié de grandir. J’ai bien eu quelques petits copains durant la période de mes études supérieures en agronomie, mais rien de sérieux. ça excitait ma mère de recevoir mes jeunes prétendants à la maison, de voir la tête des futurs cocus qui ignoraient la nature de mes relations familiales. Je suis au service, corps et âme, des vices parentaux depuis des années. Entièrement dévouée, j’obéis et je jouis comme la dernière des putains à leurs murs dépravées. C’est un choix d’existence que je ne changerais pour rien au monde. Le bonheur est auprès de ceux qui m’ont donné la vie. Je porte leur marque sur ma nuque. Un tatouage caché par ma chevelure qui représente un code barre de supermarché. A demeure, j’ai aussi un beau collier. Un alliage de cuir et de métal précis offert par mes parents le jour de mes 18 ans. Geste hautement symbolique. Plus fort que n’importe quel contrat d’appartenance.
Je me rase le pubis et je porte les tenues choisies par maman lorsqu’ils veulent passer du bon temps en privé ou chez des amis. J’ai des contraintes de ménage, de cuisine et autres menues corvées journalières en plus des tâches professionnelles qui aident bien ce couple de pervers chez qui je vis un statut d’esclave sexuel qui me va comme un gant. Je demeure toujours à disposition pour contenter leurs caprices ou assouvir leurs gros besoins. Ils ont sur moi, toute permission, même brutale et très humiliante car je jouis de ma honte. Mes parents ont choisi de me regarder comme un objet qu’il faut maltraiter. Je subis ma condition avec un plaisir qui n’a rien de forcé. J’aime être utilisée, manipulée, insultée, offensée. En public comme dans le débarras qui me sert de chambre à coucher.
Le dimanche, je réveille mes parents à 7 heures. J’ouvre les volets de leur chambre en tenue de soubrette sans culotte sous mes jupettes noires en lycra, puis je leur sers sur un plateau le petit déjeuner au lit. Papa, à poil sous les draps, tient à ce que ses grosses érections matinales soient aussitôt apaisées. Pendant qu’il sirote son café ou grignote ses croissants, je le pompe amoureusement. C’est à peine s’il fait attention à moi. Il ne me dit pas même bonjour et n’a jamais aucun geste affectueux envers moi. Il se contente parfois de glisser ses doigts entre mes fesses histoire de vérifier si je suis bien trempée.J’ai peine à emboucher plus loin que la base de son énorme gland. Ce salaud est monté comme son âne! J’adore malaxer ses couilles volumineuses quand je le suce. Il se les vide toujours sans prévenir, mais je sais quand ça monte et qu’il va bientôt cracher. J’ai pas intérêt à tacher les draps ! C’est après que les choses se compliquent car je dois également lui servir d’urinoir car Monsieur paresse en couche. Comme je ne peux tout boire, il daigne exercer une pression manuelle sur son canal urinaire afin de se soulager dans ma bouche par à-coups. ça me permet de déglutir en petites gorgées sans salir son lit.
A suivre…
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J’ai oublié de vous préciser que je dis "Monsieur" et "Madame" lorsque je m’adresse à mes parents en extérieur comme à la maison. Je m’y suis habituée avec les années au point de trouver cela tout naturel. J’ai l’anus toujours enduit de gel lubrifiant et porte, la plupart de mes soirées, un rosebud au cul. Je dois aussi dormir avec. La masturbation en solitaire est un plaisir que je ne connais pas, car la journée, je ne suis jamais seule et, la nuit, maman vérifie soigneusement le cadenas de ma ceinture de chasteté avant d’aller se coucher. Le plus terrible pour moi étant de les entendre baiser bruyamment, porte de leur chambre grande ouverte, sans pouvoir me toucher pour calmer mes furieuses envies de femelle frustrée. Ma jouissance aussi leur appartient.
Si j’ose réclamer le besoin de les rejoindre, je suis aussitôt punie sévèrement. Je suis attachée à une lourde barre de contention en fer suspendue sur mes épaules meurtries qui m’entrave les poignets. Les yeux bandés, à genoux, je reçois une fessée carabinée à la cravache administrée le plus souvent par mon père pendant que maman se caresse, cuisses bien écartées, un sourire sadique en coin, en regardant son mari me brutaliser et me rabaisser. J’ai mal et je leur supplie de bien vouloir pardonner mes écarts de conduite. On me fait répéter que je suis une "grosse saloperie", la "putain de ma mère", une "garce salace", etc… J’articule à voix haute, je crie presque ces mots blessants entre deux sanglots étouffés. La douleur me fait passer l’envie de faire l’amour avec eux. Parfois, avant de me ramener à quatre pattes et tenue en laisse vers mon lit, ma mère vient coller sa chatte béante et poisseuse sur ma figure pour se faire embrasser, fouiller, lécher la vulve jusqu’à l’orgasme où elle prend un pied dingue en déchargeant sa mouille abondamment dans ma bouche de "bonne suçeuse".
Tous les soirs, avant que ne soit fixée ma ceinture pour la nuit et quand le temps le permet, papa me sort en laisse dans le carré de gazon qui borde l’entrée. Il me traine à quatre patte sur l’herbe, à poil ou simplement vêtue d’un bustier sexy, et je dois uriner, accroupie, jambes ouvertes, devant lui comme une chienne. Je le laisse me doigter pendant que je pisse. Il me donne souvent ces derniers à sucer. Les premiers temps, cela l’excitait tellement qu’il éprouvait aussitôt l’impérieuse nécessité de se dégrafer le pantalon pour m’enfourner sa queue épaisse en bouche. Je suffoquais durant quelques minutes avant de recevoir sa purée dans la gorge qui m’étranglait. Il y allait fort et toujours sans égards ni souci pour ma petite personne. C’était vraiment ce que je préférais: n’être plus qu’un trou buccal à défoncer. La mâchoire douloureuse, la face souillée, on regagnait la maison où maman, devinant le pied que son homme venait de prendre, me giflait, me tirait par les cheveux pour m’obliger à ramper à ses pieds. J’ai toujours été l’exutoire favori de ces deux êtres dépravés.
A suivre…
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Je n’avais, et c’est toujours le cas, droit qu’à une séance de masturbation par semaine. Le samedi soir, dans le salon, assise sur une chaise, face à eux. Malgré mon degré d’excitation, je mouillais mal car c’était difficile de me concentrer sous leurs regards attentifs, mais culpabilisants ou moqueurs, leurs remarques terriblement vexantes. Si j’étais inhibée, trop longue à me faire jouir, j’entendais des paroles du genre: "T’es vraiment bonne à rien, ma petite" ou encore: "Bon, alors?! ça vient? On ne va pas y passer la nuit". Les premières fois, je n’y suis pas arrivée. Impatientés, mes parents m’ont envoyée au dodo. C’était ceinture ! Alors, avec le temps, j’ai fini par parvenir à faire abstraction de leurs sarcasmes pour ne plus penser qu’à mon plaisir égoïste. Cette délivrance m’est salutaire car, hormis cette permission octroyée, je ne peux espérer prendre mon plaisir qu’avec nos invités ou en d’autres trop rares occasions. Je ne vais pas sur le net car la tentation est trop grande et cette privation serait alors insupportable à vivre.
Je ne suis prise que par les amants que papa choisit pour moi. En règle général, je ne suis jamais déçue. Ce sont de vieux pervers très membrés comme lui ou des Blacks vigoureux qui aiment baiser en groupe à l’hôtel. Je suis alors livrée à eux, sauvagement partouzée durant plusieurs heures, parfois même toute une nuit quand papa, qui prend des photos et mène la danse à coups de cravache, est particulièrement en forme. Il aime se tripoter en les observant faire très brutalement. Je réalise alors les pires excentricités sexuelles que papa désire me voir endurer à la limite du viol collectif. Pipes à la chaîne, éjaculations faciales multiples durant d’interminables et douloureuses sodomies. Baisée par les trois orifices en même temps, j’ai quelques fois du mal à reprendre mon souffle après une dizaine d’orgasmes éreintants. Je suis en nage, la chatte dilatée et souffrante, le cul défoncé et ruisselant de foutre, d’urine. Je me sens salie à souhait. J’ai des indigestions passagères de sperme âcre. Je me sens à la fois remplie et vidée totalement. J’ai quitté mon corps ou mon esprit. Je ne saurais dire sur ce point.
Dans la nuit ou au petit matin, les jours où je suis offerte, papa me ramène en voiture à moitié endormie. J’ai gardé sur moi les odeurs animales, à peine vêtue, les cheveux en bataille, tout gras et collés, des traces de foutre séché partout sur le corps. ça a continué à suinter entre mes jambes et ma culotte est entièrement souillée lorsque que je rentre vannée. Mais avant de passer à la douche et d’aller me reposer, il me faut en passer par l’examen corporel maternel. C’est minutieux et perversement fait. Ma mère n’hésitant jamais à y mettre les doigts ou la langue, toujours très excitée. Ordinairement, elle me pose des questions sur ma quantité de jus avalée, les choses les plus salaces et humiliants endurées, combien d’orgasmes et si j’ai aimé ma soirée.
Mon trou anal béant et gluant fait sa joie. Il atteste à lui seul de l’acharnement viril subi. Et, bien que très fatiguée, il me faut mettre fin à ses très fortes tensions du moment par de longues succion de sa chatte en feu. Elle jouit de me savoir à ce point déshonorée. "Espèce de truie! Espèce de sale truie!", hurle-t-elle, avant d’exploser. Papa ronfle déjà sur le canapé ou tout habillé sur son lit, lorsque je peux enfin regagner mon lit alors que maman s’empresse de rentrer les photos numériques dans l’ordinateur pour pouvoir les regarder, en solitaire et à son aise. Elle adore se goder en rêvant sur ce que sa propre fille a fait.
A suivre…
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