Intro :
David est musicien et a depuis 3 ans une copine qui s’appelle Mélissa, une belle femme aux cheveux châtains, fesses rebondis, seins fraîchement refait, un sourire magnifique, des yeux de biches, des lèvres pulpeuses, bref la femme parfaite à ses yeux !
Seulement voilà, David peine à satisfaire sa copine avec son pénis de 10cm, de plus, lui sont apparus des problèmes de précocités constants. Cela lui était déjà arrivé de temps en temps, mais maintenant cela lui arrivait à chaque fois. Il ne veut pas consulter un sexologue pour ne pas nuire à son image de musicien célèbre. Mélissa devait ronger son mal en patience, le faisait-elle?
1:
-C’est moi je suis rentré chéri!
David s’empressa de quitter son film porno et eu tout juste le temps d’enfiler un caleçon le pénis encore en érection!
-Qu’est-ce que tu faisais?
-Ben rien je t’attendais…
-Ah…
Mélissa posa son sac, accrocha sa veste au porte manteau, pris son paquet de clope et vint s’asseoir au côté de David dans le canapé.
-Ben tu me dis pas bonjour ?
-Ah si excuse moi !
Elle lui fit un bref baiser qui ne manqua pas de lui faire tenir son érection tant le contact même bref de ses lèvres pulpeuses l’exciter !
-Tu n’a pas oublié que ce soir mon chef a invité toute l’équipe pour le cocktail de fin d’année, chez lui, on doit venir avec nos moitié et tu n’es pas habillé, j’espère au moins que tu es lavé ?
-Ah oui j’avais oublié, tu ne peux pas aller toute seule ?
-Non, à chaque fois tu te défiles!
Elle alluma une clope visiblement énervée. David toujours en érection ne pu s’empêcher de la scruter en train de délicatement inhaler la fumée et la libérer de ses lèvres en un nuage de fumée bleutée. Il se jeta sur ses lèvres l’embrassant fougueusement, la renversant dans le canapé, elle sentait sa queue déjà tout dur contre elle!
-Qu’est-ce que tu fais, on n’a pas le temps ! Va t’habiller on doit être là-bas dans 1h !
Il se releva et lui présenta sa queue au garde à vous !
-Si tu m’autorises un câlin, je viens et reste jusqu’à la fin !
Elle tira sur sa cigarette comme pour réfléchir, vit la queue fière d’excitation, elle ne voulait pas céder, mais compte tenu qu’il lui assurait de venir, elle accepta et puis de toute façon cela ne durerait guerre longtemps !
Elle prit la queue de David de sa main libre et commença une lente masturbation !
-OH oui !
Il était déjà fou d’excitation, elle, commençait à l’être aussi du fait de voir son copain dans un tel état !
Elle embrassait la base du gland, le lécher, puis prenait désormais la bite en bouche, elle la pompait, creusant ses joues comme pour aspirer l’excitation qui pour lui monter de plus en plus !
-Attends je vais venir !
Elle retira le sexe de celui-ci en laissant trainer ses lèvres le long de la verge qui à peine libérer de l’étreinte de la bouche de Mélissa trésaillait !
David se concentrait pour ne pas éjaculer, mais il ne pu se contrôler quand elle, seulement du bout de ses doigts lui repris la bite ! Il éjacula par de nombreuses giclés une quantité importante de foutre qui atterrissait directement sur le chemisier de la belle, qui restait immobile tant elle fut surprise de la vitesse des jets !
-Bien joué ça fait le troisième chemisier que tu me tâches ce mois-ci !
-Désolé dit-il en culpabilisant je vais me préparer.
Elle regardait l’ampleur des dégâts, pris une taffe sur sa clope et se rendit compte qu’il n’avait même pas tenu le temps qu’une clope se consume de moitié !
-Effectivement ça n’a pas duré longtemps !
Elle finit sa clope et parti changer de chemisier frustrer de ne même pas avoir été pénétré !
II
-Eh ben vous en avais mis du temps !
-Ah désolé David était en répétition, mais il a pu se libérer quand même.
Tout le monde était dans le hall, femme en tailleur, homme en costume, verre de
champagne, caviar, cigare, musique jazzy… ah le monde des affaires, il faut toujours qu’ils en fassent des tonnes !
-Faîtes comme chez vous ! Dit le patron de Mélissa.
Rapidement vint vers nous le fils du « boss », la vingtaine, blond, sportif, bronzé, sourire Colgate.
-Mélissa, comment tu vas ? Mon père ne te fatigue pas trop j’espère ?
Il lui fit la bise en caressant sa hanche, avant de discrètement touché ces fesses rebondis !
-François ! Eh bien non savat, la preuve en est, je suis venue ! Répliqua-t-elle de son plus beau sourire.
-Tu es magnifique ! Comme à l’accoutumé d’ailleurs !
-Oh merci ! Mais toi aussi, quel bel homme dit-elle en riant !
Je croyait rêvé, les deux me zappaient carrément, même pas un regard, il l’a faisait rire pour un rien, j’avais l’impression qu’il la draguait, il m’énervait.
-Je vais passer un coup de téléphone dis-je pour échapper aux exploits de voyages qu’il rabâchait depuis le début.
Je me baladais dans la maison et arriva dans une chambre, cela ressemblait à une chambre d’amis, soudain j’entendis des bruits de talons approchés, ainsi qu’une voie d’homme, je me précipitais dans le dressing !
Mon sang ne fit qu’un tour quand je vis Mélissa accompagné de François !
-Je croyais qu’il viendrait pas !
-Mais c’est à cause de ton père ça, il voulait absolument qu’il soit là, mais c’est pas grave mon chou, j’arrive quand même à trouver du temps pour toi non ?
Je tremblais d’énervement, mon coeur palpitait, je savais ce qui allait arrivé et j’étais tétanisé tandis qu’elle se rapprochait de lui l’oeil coquin, puis elle approchait ses lèvres des siennes, tout doucement, avant de l’embrasser amoureusement, de mon point de vue je pouvais voir les langues tournoyaient, alors que François prenait à pleines mains les fesses de Mélissa ! Il l’a animalement collé à lui tels un danseur de tango !
-Humm, gros coquin !
Elle descendait le long de son corps pour défaire la ceinture de François, je me surprenais à aimer cela, je sentais dans mon bas ventre une telle excitation !
Le pantalon de celui-ci au chevilles, je pouvais d’ors et déjà voir l’énorme queue que tentait d’emprisonner son slip. En vain sa bite bien que coinçait par l’élastique sortait du slip, du moins le gland qu’elle commençait par embrasser tout aussi délicatement quelle le faisait avec les lèvres de François !
Je me sentais tirailler entre la colère et l’excitation qui montait en moi par des spasmes érectiles qui ne manquait pas de me faire bander !
-Elle m’a manqué celle là !
Je n’avais rien vu, aucun signe de leur relation jusque là, je découvrais tout ce soir !
Je n’avais qu’une envie maintenant c’était étrange mais javais envie de me branler, mais le bruit de ma ceinture risquait de les déranger, je me contentais de serrer ma queue à travers mon pantalon. Elle donnait des coups de langue sur le gland, embrasser la verge à travers le slip en regardant fixement François qui jubilait.
Elle libéra enfin la queue du slip pour la prendre en main et démarrait la masturbation. Je n’avais jamais vu une queue aussi impressionnante, elle faisait facilement le double de la mienne, je me sentais humilié et malgré tout j’aimais cela !
Elle accélérait la masturbation tandis qu’elle approchait sa bouche qui engloutissait une partie, ce qu’elle pouvait je suppose, du membre impressionnant de son amant. Il laissa échapper un gémissement, alors que je sentais mon boxer me collait dû au liquide pré-éjaculatoire qui s’échapper de mon sexe en total érection, une érection qui me faisait mal autant physiquement que psychologiquement !
Elle le pompait divinement bien, aspirant la queue jusqu’au fond de sa gorge !
-Montre-moi tes seins, je vais venir !
Je sentais moi aussi l’éjaculation venir par pulsations éjaculatoires, je me concentrais pour ne pas éjacule, mais la vue de Mélissa qui déboutonnait le haut de son chemisier bite en bouche fut plus forte et je sentais mon pénis se contractait par saccades pour cracher plus fort, le sperme sur moi, j’urinais du sperme !
-Haha !
Il éjacula lui aussi de longues traînés. Mélissa eut juste le temps de se retirer, alors que je voyais de longs jets atterrir sur la poitrine ainsi que sur le chemisier de ma belle qui n’eut pas le temps d’écarter et de déboutonner suffisamment celui-ci pour qu’il ne soit touché. Mélissa nettoyait maintenant la queue de François en la prenant en bouche une dernière fois tandis que je constatais l’ampleur de mes dégâts en touchant mon caleçon littéralement trempé, il me collait à la peau !
-Je m’occupe de toi plus tard, tu sais bien qu’il me faudra une nuit entière pour faire tout ce que je veux.
Il remonta son pantalon, releva Mélissa lui ressuya le sperme qui recouvrait sa poitrine avec un mouchoir et reboutonna son chemisier. Il l’embrassa délicatement et s’en alla rejoindre les invités. Mélissa prit la direction des toilettes pour se remaquiller. Je sorti de ma cachette quand les lieux fut sécurisé pour les rejoindre.
III
Au milieu des invités je vis Mélissa venir vers moi et je distinguais des tâches, des gouttes de sperme, on ne peut plus voyante sur le col du chemisier en satin rouge !
-Désolé j’ai dû aller voir un dossier avec François, j’ai pas été trop longue ?
-Non Savat !
Je l’embrassais pour goûter au gloss sur ses lèvres qui 5 minutes auparavant suçait divinement bien la queue de François.
François vint vers nous :
-Cigare ?
-Non, merci !
-Mélissa ?
-Ah je veux bien !
Elle prit le Cohiba en bouche pendant que François portait la flamme du zipo vers le bout du cigare. Je remarqua alors que la manche de ma belle était-elle aussi tâché d’une traîné de foutre qui dégoulinait le long de son avant bras !
Elle ne s’en souciait pas, l’avait-elle remarqué ?
Je constatais aussi qu’elle ne portait pas de soutien gorge, elle pointait sous son chemisier, elle était excitée, autant que moi ?
Elle alluma le cigare en pressant du bout de ses lèvres le Cohiba tout en regardant François de son regard le plus sexe !
Je ne pouvais m’empêcher de la regarder, de regarder ses lèvres pressées le cigare, les traces de gloss sur le bout du Cohiba, les gouttes de sperme sur son chemisier, ces joues qui se creusaient lors de l’inhalation comme lorsqu’elle pompait la queue de François, ses lèvres qui laissaient échapper de gros, de lourds nuages de fumée qui venaient flotter dans l’air, la voir exhalait la fumée vers le visage de François et lui sourire, je la voulais, je voulais la baiser, tout de suite !
-C’est un barreau de chaise venue de Cuba
-C’est vrai qu’il a bon gout lui répondit Mélissa
-Venant d’une amatrice de GROSSE cigare me précisa François en riant ! Je me suis alors tourné vers Mélissa , elle riait aussi !
Je prit un air étonnée, je voyais qu’il se foutait de moi.
-Ben oui tu sais très bien que je suis amatrice de cigare, tu m’as déjà vu en fumer quand même.
Je la vis lever les yeux au ciel puis regardée François et lui sourire.
Son patron nous rejoignat :
-Savat tous se passe bien ?
-Oui merci Richard lui répliqua telle tout enjoué, j’esquissais un sourire quand soudain je le vis bloquer sur le chemisier de Mélissa, il dut remarquer la traînée de foutre sur sa manche lorsqu’elle amena le cigare entre ses lèvres. Elle exhala la fumée vers lui
-Il y a quelque chose qui va pas Richard ?
Il lui sourit, lui attrapa le col de son chemisier tâché comme pour mieux voir l’ampleur des attaques.
-C’est juste que je vous trouve magnifique ce soir, vous en avez de la chance, je lui souris
-Oh merci Richard, vous êtes très en forme vous aussi !Affirma-t-elle sourire aux lèvres.
Je me pencha alors vers elle pour lui chuchoter dans l’oreille :
-J’ai envie d’un câlin tout de suite, j’ai envie de toi, on va s’éclipser ?
-Oh non, on a essayé tout à l’heure t’as été encore trop rapide, vas-y tout seul si tu sais pas te contrôler ! Tous cela à haute voix !
Richard et François riaient en coeur, je ne savais plus ou me mettre, savaient-ils pour mes éjaculations précoces, avaient-ils deviné ?
Je prétextais devoir téléphoner pour sauver la mise et éviter toutes moqueries. Je me suis alors dirigé vers les toilettes pour soulager mon envie pressante de me masturber, je me suis retourné pour vérifier ce qu’elle faisait avant. Elle fumait son cigare, François était comme absent de la discussion, Richard était penché vers Mélissa, il lui parlait dans l’oreille, elle acquiesçait tout sourire, il l’a ensuite prise par la main et ils se sont échappés en toute discrétion à l’étage, je les suivais morts de curiosité !
Mélissa toujours avec son cigare, rentra dans une pièce, un bureau. Richard qui 2 pas derrière elle, la suivait, lui mater sans aucune discrétion son cul qui dansait au rythme de ses pas, quelle démarche féline ! érotique ! bandante ! Mélissa était bandante !
Je m’empressais de leur emboiter le pas, mais trouva porte close. Je me suis alors dirigé vers la porte à côté qui menait à un dressing rejoignant le bureau, la chance ! Je nai jamais aimé autant en architecte qua ce moment !
Il mit de la musique :
-Alors, comme ça vous avez un dossier qui va changer ma carrière ?
-En effet, je vous offre une promotion si vous réussissez votre mission, vous êtes prêtes à tout ?
-Bien sûr, n’importe quel sacrifice ! Elle riait.
Il s’approchait d’elle, tournait autour d’elle, scrutait les moindre recoins de son corps, elle, a l’air mal à l’aise, prend une bouffée de son Cohiba comme pour se donner bonne contenance. J’attendais dans mon coin et prit la précaution cette fois de déboutonner mon pantalon, j’avais la queue à la verticale, déjà ! Alors qu’il ne s’était encore rien passer !
-Pouvez-vous m’attraper la pochette sur le bureau ?
-Bien sûr !
Elle essaya de la prendre, soudain il arriva derrière elle, se colla contre elle, qui désormais était bloquée contre le bureau, grâce à son ventre imposant elle ne pouvait se sortir de cette position, elle gesticulait, ce qui plaisait à Richard qui avait sa queue qui se faisait plus ou moins caressée par les fesses de ma copine.
-Richard s’il vous plait, arrêtez votre petit jeu ce n’est pas marrant disait-elle désabusée
-Tu ne vois pas ou je veux en venir salope, tu sens pas, là, entre ton gros cul !
-Ah la c’est marrant ! Elle ondulait ces fesses pour mieux exciter son patron.
Je commençais alors une lente masturbation, exciter à la vue de Mélissa chauffant son patron 2 fois plus vieux qu’elle !
Il lui reniflait les cheveux, embrassait son cou, ces joues, puis la « libéra » pour la retourner et la plaçait dos sur le bureau, il se jeta sur ses lèvres, ils s’embrassaient comme deux bêtes sauvages, c’était bestial !
-Déboutonne ton chemisier je vois voir tes nibards ! Punaise, jen rêvais !
Elle s’exécuta, prenant son cigare encore allumer en bouche pour déboutonner son chemisier de ses deux mains, lui, enlever les pantalons et je découvrais son énorme queue qui, dur comme de l’acier pointait vers le plafond, la mienne en faisait de même !
Elle posa son cigare dans le cendrier comme pour signifier qu’elle était prête pour les choses sérieuses.
Il lui malaxait un sein d’une main, lui caressait la chatte de l’autre et embrassait l’autre sein
-OH ! Richard je veux que vous me baisiez !
Il ne patienta pas et pénétra de coups de reins violents Mélissa qui gémissait de plus en plus fort, la musique camouflait que peu ses cris de plaisirs intense !
Ses seins dansaient, sautaient à chaque coup de reins qui la faisaient gémir, elle enroulait ses jambes autour de lui, s’agrippait au rebords du bureau pour prendre appui et que sa pénétration soit encore plus violente !
Je ne pouvais m’empêcher autant qu’elle de gémir, ceux-ci était camoufler par la musique, ses gémissements, les grognements de Richard et le bureau qui lui aussi subissait leur baise sauvage !
Il l’a retourna alors, elle s’accoudait désormais au bureau s’offrant littéralement à lui !
Il reprit ses coups de boutoirs incessants qui la faisait gémir encore plus fort, il lui attrapait l’épaule pour qu’elle s’empale plus violemment sur sa queue. J’accélérais ma masturbation sentant l’éjaculation arriver, pendant que Mélissa s’emportait dans une jouissance, un orgasme aussi violent que l’acte qui la provoquait, elle gémissait s’agrippant au bureau, faisant tomber de celui-ci feuille, stylo, clavier d’ordinateur ! J’éjaculais des jets qui éclaboussaient les vêtements du dressing, maintenant maculer de mon sperme que je n’ai pu contrôler !
Il sortit sa queue, elle, s’affalait alors sur le bureau, il en profita alors pour éjaculer sur le dos de SA salope, tâchant, souillant son chemisier définitivement en allant jusqu’à se ressuyer la queue sur la douce soie du chemisier, il laissait en quelque sorte son empreinte, il avait marquer son territoire. Elle ne remarqua rien dans l’état de béatitude qu’elle était !
-Merci, Mélissa !
Elle le regarda par-dessus son épaule et lui sourit
Il se rhabilla pour rejoindre ces hôtes tandis qu’elle se remettait de ses émotions en enfilant lentement son pantalon. Toujours cacher je la voyais reboutonner son chemisier, elle failli découvrir les « empreintes » de Richard quand elle toucha presque les longues traînées de foutre en remettant son chemisier dans son pantalon. Son chemisier lui collait à la peau dû à la sueur.
Elle prit son string qu’elle n’avait pas remis pour le suspendre à la lampe du bureau. Elle marquait son territtoire. Je me dépêchai de rejoindre le hall et les invités pour ainsi découvrir les regards choqués, ecxitaient, moqueur de ses collègues !
IV
Arrivé dans le hall, je découvris Mélissa qui descendait les escaliers sur d’elle comme à son habitude, la démarche féline. Les invités découvraient alors le dos de son chemisier souiller de foutre qu’elle n’avait pas remarqué, ses collègues féminins la dévisageaient, se moquaient alors que les hommes louchaient, bavaient à l’idée de se faire leur collègue qui apparaissait clairement comme une proie facile, ils fantasmaient déjà auparavant, qu’en serait-il maintenant ?
Elle m’embrassa délicatement et fut tout de suite interpellée par 3 de ses collègues masculins qui lui parlaient de choses et d’autres. J’en profitais ainsi pour me mettre derrière elle et ainsi regarder de plus près le sperme qui dégoulinait le long de son dos. Je me plaçais alors contre ces fesses pour qu’elle, j’espère sente ma queue qui commençait à durcir, se décollant petit a petit de mon boxer rempli de jus séché !
Durant le reste de la soirée, plusieurs hommes sont venus discuter avec nous, souvent seul, les hommes accompagnés de leurs femmes regardaient du coin de l’oeil ma belle analysant faits et gestes. Mélissa avait l’air totalement à l’aise avec cette attention particulière de tous ces hommes. J’avais toujours ma queue en érection contre ses fesses rebondis qui bougeaient au moindre de ses mouvements pour le plus grand plaisir de mon sexe, ne tenant plus, je ne pouvais m’empêcher de lui faire des bisous dans le coup, des légers baisers, de lui renifler ses cheveux, de lui prendre les hanches, malheureusement cela freinaient bon nombre d’idée de ses collègues jusqu’à ce que François vint leur griller la politesse !
-Je vous l’empreinte pour finir un dossier
-Encore ?
-Et oui on ne chôme pas ici !
Mélissa suivi François dans le même bureau ou Richard lavait emmenée, j’avais repéré les lieux tout à l’heure et n’eut aucun mal à me faufiler dans le dressing pour la découvrir déjà à la sucette, elle s’appliquait à embrasser le gland, à le léchouiller, à le prendre en bouche laissant traîné ses lèvres pulpeuses le long de la verge, lui malaxant délicatement les couilles quand soudain il s’énerva, je le vis la relever violemment la tenant par le col de son chemisier, il l’a regarda fixement quand il lui déboutonna son chemisier laissant libre ses nichons qui pointaient d’excitation, ses magnifiques tétons le remercié. Il l’embrassa goulument, lui enleva son pantalon et la prit violemment sur le canapé dans différentes positions, missionnaires, levrette qui me faisait face, je pouvais donc voir Mélissa grimaçait, gémir, suffoquer d’excitation. Enchaînant les coups de bite violents faisant jouir Mélissa, François s’épuisait, elle le remarqua et l’allongea histoire de s’empaler sur lui, elle le sautait !
Durant ce rapport elle eut autant d’orgasme que moi c’est-à-dire 3 !
Quand il sentit qu’il venait il s’est sortie d’elle afin de lui spermé la face !
Elle reçut de gros jets puissants sur son visage de salope, elle essuya même la queue de François en le regardant fixement et lui souriant comme pour signifier qu’elle fut satisfaite de ce rapport !
Je me dépêchais de rentrer suite à cela l’attendant dans notre lit, impatient de la voir arriver !
Quand elle rentra je la vis se diriger directement vers la chambre prétextant être fatiguée, je montais dans la chambre et la vis au lit, elle avait retiré son chemisier. Par curiosité je récupérais celui-ci dans la bassine de linge sale pour y découvrir les tâches de sperme maintenant séchées que je ne manquai pas de ravivé en me masturbant avec le tissu satiné du chemisier, me remémorant cette magnifique soirée !