Dans ce texte qui va suivre, voici un résumé de mes plus belles vacances, qui m’ont prouvé que les familles recomposées pouvaient offrir de biens magnifiques moments dans une vie. Cette histoire s’est déroulée alors que j’étais dans ma dix-huitième année, jeune lycéen, il y a maintenant quelques années. Je venais de fêter ma majorité, seulement quelques jours auparavant.
Depuis quatre ans, ma mère qui avait divorcé de mon père avait refait sa vie avec Olivier, un collègue à elle. Nous vivions désormais ensemble sous le même toit, avec sa fille Elsa. Elle était plus âgée que moi. Cette année, elle allait entamer sa deuxième rentrée à la faculté. Elle a 19 ans bien entamés. A contrario de son père, Elsa était blonde comme le soleil, à la peau très claire. C’était une très jolie fille, au sourire ravageur, aux yeux pétillants, et aux jolies formes, malgré son corps assez svelte. Elle le tenait de sa mère parait-il. Les premières années de notre vie commune dans cette nouvelle famille furent difficiles. Le temps de trouver chacun sa place, et qu’une confiance réciproque s’installe.
Mais à présent nous nous entendions très bien, et elle était réellement devenue comme ma demi-soeur pour moi. La relation était facilitée aussi, je dois l’avouer, par le fait qu’Elsa était moins souvent à la maison, faisant ses études dans la grande ville d’à côté.
Pour ces vacances d’été, nos parents avaient décidé de partir quelques jours tous les quatre dans un gîte, dans le sud de la France. Elle comme moi attendions ces vacances avec plaisir. Le gîte était petit, et il fut entendu que nos parents auraient la chambre du bas, pendant que Elsa et moi, logerions dans l’autre chambre, située à l’étage. Nous avions cet étage rien que pour nous. En plus de la pièce où nous allions dormir, l’endroit était composé d’une salle de bain et de toilettes.
Nous dormirions ensemble dans le même lit. Jusque là, pas de problème. Nous l’avions déjà fait par le passé. Plusieurs fois je m’étais endormi dans son lit, pendant le visionnage d’un film tardif. Nos parents étaient contents, ils disaient que ça montrait qu’on était à présent une vraie famille, et que nous étions comme frère et sur.
Mais avant de poursuivre cette histoire, il me faut parler de moi. Je me nomme donc Nicolas, et jeune lycéen, je suis un garçon très timide, mais très gentil. Je suis assez mince, pour une taille d’un mètre 80. Ma timidité me joue des tours, et je suis presque incapable de parler à une fille. Surtout si c’est pour la draguer. J’ai déjà embrassé deux filles sur la bouche dans ma courte vie, mais ça s’arrête là. Aucune découverte charnelle. Je dois avouer que j’ai un sexe très petit, et ce pan de mon corps ne m’aide pas à prendre confiance en moi pour certaines situations. J’ai peur du regard de l’autre.
A l’issu de cette première journée de vacances en famille, Elsa et moi montâmes à l’étage pour prendre possession de notre chambre. Je pris en premier ma douche, et regagnai le lit, pour bouquiner un peu. Où nous étions, les températures flambaient. Je profitais d’un verre de soda pour me rafraîchir. J’étais donc uniquement vêtu d’un short en guise de pyjama, sans rien en dessous. Rester torse nu devant Elsa, ne me posais guère de problèmes, nous étions assez intimes depuis le temps.
Après de longues minutes à se nettoyer et prendre soin d’elle, Elsa sortit de la douche dans la pièce à côté, et pénétra dans la chambre. A ma grande surprise, elle portait autour de la taille seulement une robe de chambre et sa serviette autour de la tête, pour finir de sécher ses cheveux d’or. Je ne dis rien, et me forçais à ne pas la reluquer. Je ne savais ce qu’elle portait sous sa robe de chambre. Mais vu la chaleur, je me doutais bien qu’elle n’allait pas rester comme ça éternellement.
«T’es vraiment pas une fille pour rien Elsa. Tu dois payer une fortune en eau dans ta cité U», remarquais-je, pour la taquiner.
J’étais à genoux sur le lit, face à elle, mon livre dans la main.
Elle répondit à travers un rire «Ne commence pas, sinon tu vas avoir des ennuies». A la suite de ses mots, machinalement, elle pris le fond de mon verre de soda qui traînait et me le jeta sur le torse. Le soda commençait à couler jusqu’à l’élastique de mon short. Je pris illico un mouchoir à côté de moi, et essuyais mon bide. Je descendis d’un bête réflexe mon short pour éviter qu’il ne pègue, et essuyais rapidement les quelques gouttes qui arrivaient à la base de mon sexe.
« Ahhhhh Nicolas, je vois tout», entendis-je dans un éclat de rire. C’est alors que je prenais compte de la situation. Pendant quelques secondes, j’étais là, assis sur les genoux sur le lit, à deux mètres d’Elsa, le short baissé jusqu’à mi-cuisses, à m’essuyer le pubis. Et Elsa avait donc vu sur mon petit sexe poilu. Je rougissais.
«Il est tout petit, c’est si trognon», rigolait-elle, sans once de méchanceté dans le ton ou les mots. A travers cette phrase je sentais une grande dose d’affection de sa part. Je relevais mon regard vers elle, et lui répondis : «Non mais oh ! En plus t’en profite pour me mater. C’est de ta faute en plus ! »
C’était la première fois, qu’une fille découvrait mon sexe. Mais avec Elsa, ça ne me gênait pas. Au contraire, je crois que cette légère exhibition, m’avait plu. J’avais tant confiance en elle depuis maintenant plusieurs années.
«Allez c’est bon Nico, c’est pas grave. Elle finira bien par grandir ! ». Ces yeux pétillaient plus qu’à l’accoutumé. Et là, d’un regard de défi, elle m’imposa de retirer mon short pour la nuit.
«Je crois que j’ai pris plaisir à voir ta zigounette, et ça m’embêterais de ne plus la voir pendant les vacances. Tu ne souhaites pas que ta demi-soeur ne passe de mauvaises vacances non ? Puis il faudra être nu chaque nuits. Dis toi que c’est pour des raisons médicales. Je veux vérifier que ta bite grossisse. C’est une question de santé! »
Je la regardais ébahi. Je lui répondais : «Non mais ça va pas ? C’est quoi cette blague ?»
Elle s’empressa de répondre : «Si tu le fais pas, je dis à ta mère que tu as un tout petit sexe, et que tu te poses plein de questions, et que tu voudrais consulter un médecin».
Elle avait un sourire en coin. Il fallait toujours qu’elle extrapole et mente, quand elle désirait gagner le bénéfice d’une situation.
Sans avoir vraiment le choix, je retirais alors mon short. Elle s’approcha du lit, et retira sa serviette et sa robe de chambre. J’étais stupéfait devant tant de beauté. Elle ne portait qu’un tanga de dentelles bleu nuit. Je découvrais deux seins magnifiques et nus. Ils étaient en poire. Un beau 85 C, avec de larges auréoles, bien roses. Ses seins ballottaient au rythme de ses mouvements pour s’allonger.
«Quoi ? C’est la première fois que tu vois les seins d’une fille d’aussi près ? » me posa-t-elle en guise de question. J’étais happé par sa poitrine. Je répondis oui, d’un signe de tête.
Et là sans comprendre ce qui arrivait, elle me fis une multitude de chatouilles. «Tu es encore si jeune pour ton âge mon petit Nico», s’exclamait-elle.
Je rigolais à tue-tête, elle savait que j’étais très chatouilleux. Parfois je sentais les bouts de ses seins contre mon torse, et ses mains qui glissèrent plus d’une fois sur mon petit sexe. A force de me débattre, j’entendis «ouille» de sa part, et me retrouvais sur le ventre, elle à califourchon sur moi.
Elle était face à mes fesses nues.
— «Fais attention Nico, tu m’as griffé un sein ! C’est fragile et douloureux ces choses là. Tu mérites une petite fessée pour la peine».
Et là, elle commença à me frapper les fesses, doucement, puis les malaxa, caressa. Elle complimentait le galbe et la musculature de mon fessier sans s’arrêter. De mon côté, je prenais beaucoup de plaisir. Mon sexe était tendu, caché entre mon corps et les draps. Elle me demanda de me retourner, et qu’il me fallait à mon tour m’occuper d’elle, après l’avoir blessé.
«Je mérite un bisou magique non ? Allez lèche et embrasse où tu m’as griffé !» Elle remarqua que mon petit sexe était raide comme un mort, mais ne dit rien. Ma bouche rentra en contact avec son sein gauche si merveilleux. Je léchais pour commencer sa légère blessure, puis y déposais un bisou. Alors que je m’apprêtais à jouer avec son téton, elle m’arrêta. «Non mais c’est bon, c’était juste un bisou magique ! Je suis pas à l’article de la mort non plus ! Allez au lit…»
Nous éteignîmes la lumière, et nous couchâmes ensemble dans le même lit, moi nu,et elle portant seulement son tanga.
Rapidement dans la nuit, je la sentis se rapprocher de moi. Elle colla sa main sur mon petit sexe tout en se lovant contre mon corps. Nous nous endormîmes comme cela.
Le lendemain, le réveil fut extraordinaire. Alors que le soleil commençait à tenter d’éblouir la chambre à travers les volets fermés, je sentis une drôle de sensation au niveau de ma bite. Une sensation humide et chaude. Elsa était en train de me sucer. Elle senti que je me réveillais. Elle arrêta alors son travail charnel, et son visage trouva le mien, sa bouche rentra en contact avec mes lèvres, et nos langues se découvrirent.
«Bon réveil Nico.. ! Ces vacances vont être très belles». Et en disant ces mots, elle fit glisser son tanga, et je sentis alors ses mains prendre possession de mon sexe, jusqu’à sa chatte. Elle s’empala alors sur moi. Et me fit l’amour. Elle me rassurait de mots doux, d’encouragements et de baisers, pendant que mes mains caressaient ses seins, ses fesses, ses hanches, ses jambes. Elle avait compris dès le début que j’étais puceau, et voulait m’offrir ce si beau moment. Elle était si belle. Après quelques dizaines de secondes trop courtes, mon corps lâcha prise, et j’éjaculais dans son corps. De son côté, un cri s’échappa de sa bouche.
C’est alors, que la lumière s’alluma. Ma mère et son père étaient là, sur le seuil de la porte, pendant qu’Elsa était encore sur moi.
«Oh pardon, on ne voulait pas vous déranger… On pensait que vous dormiez encore, on voulait seulement vous réveiller pour aller visiter…» prononça ma mère, d’un ton robotique, exprimant une gène incommensurable.
Nos deux corps nus étaient à la vue de nos parents. Nous étions très bêtes. Je ne sais pas ce qui me gênait le plus. Qu’ils nous voient en plein coït, ou que ma mère découvre que j’avais un petit sexe. Elsa se leva, impassible, passa devant eux, et regagna la salle de bain tout en faisant un baiser sur la joue d’Olivier. En réponse, son père lui déposa une petite claque sur son joli fessier nu. Nos parents refermèrent la porte derrière eux, et ne parlèrent plus de ce qu’ils avaient vu, durant toutes les vacances.
De notre côté, Elsa et moi, continuâmes à s’amuser dans notre chambre (et bien plus…), une fois la nuit tombée. Elle m’offrit même son anus, mais je vous réserve cette histoire, pour un autre épisode.