À chaque Noël je repense à laventure qui mest arrivée il y a quelque année. Je venais tout juste davoir 18 ans (je suis née le 24 décembre) et mes parents très croyant mon appelée Marie.
Le matin de mon anniversaire, je reçois une carte dun homme qui avait juste signé Père Noël:
Bonjour Marie, Je te regarde grandir depuis des années et je crois que tu es la femme quil me faut. Je sais que cest un peu précipité après tout tu ne me connais pas, mais je vais me présenter à toi ce midi. Même si tu crois ne pas me connaître, moi je te connais et je taime déjà. A tout à lheure
Père Noël
Qui cela pouvait-il bien être? Un des soupirants que mes parents me présentaient pour que je choisisse un fiancé? Un copain décole? Un garçon rencontré à léglise où mes parents me traînaient chaque dimanche?
Mes parents étaient partis faire du bénévolat auprès des sans-abri jusqu’à tard le soir, je serai donc seule pour recevoir mon mystérieux soupirant. Sans savoir pourquoi je décidais de mhabiller sexy pour le recevoir, je ressorti ma jupe duniforme scolaire que je raccourci pour quau lieu de marriver sous le genoux elle sarrête à mi-cuisse, mon petit veston attaché par un seul bouton, et la veille je métais achetée en cachette des souliers talon aiguille, des bas, un porte-jarretelles, un string et un soutien-gorge à demi balconnet. Je ne mis aucune blouse sous le veston de façon à ce quon voit très bien mon soutien-gorge et mon magnifique 85D. Je nen revenais pas de mon audace lorsque je me regardais dans le miroir, jappliquais ensuite un rouge à lèvre carmin, je laisse mes cheveux roux tomber en cascade au milieu de mon dos et je souligne dun simple trait de crayon noir mes yeux vert. Me voilà prête pour mon rendez-vous.
On sonne à la porte, je suis nerveuse, mais il est trop tard pour reculer, je vais donc ouvrir. Devant moi un homme qui semble tout droit sorti de mes fantasmes, grand, basané, cheveux noir, yeux du même vert que les miens. Je reste quelques secondes sans voix.
— Bon bonjour entrez
— Merci
— Est-ce est-ce que cest vous Père Noël ?
— Oui, cest moi, tu es magnifique
— Vous vous aussi
Je me trouvais idiote de bégayer, alors je pris une grande respiration pour tenter de me calmer.
— Asseyez-vous
— Merci
Il sassoit sur le divan et dune petite tape, il minvite à masseoir à côté de lui. Je pris place et il prit mes mains entre les siennes.
— Il y a si longtemps que jattend de pouvoir faire ta connaissance
— Qui êtes vous?
— Comme je te lai écrit je suis le Père Noël
— Allons donc, le Père Noël est vieux, barbu, gros et surtout il nexiste pas
— Je prend lapparence que je veux pour madapter à chaque pays comme je tobserve depuis des années jai choisi lapparence qui revient le plus souvent dans tes rêves. Et pour ce qui est du fait que je nexiste pas, ne te souviens tu pas que depuis 2 ans tu reçois un cadeau anonyme chaque année livré directement dans ta chambre?
— Oui comment le savez-vous ?
— Cest moi qui te les livrais.
— Daccord si vous êtes le Père Noël que voulez-vous de moi?
— Je veux que tu devienne Mère Noël
— Comment? Vous nêtes pas déjà marié?
— La dernière Mère Noël est décédée il y a 3 ans
— Elle nest pas immortelle comme vous?
— Oui seulement si elle réussit les tests, mais elle les a échoués et je lai épousé parce que je croyais quelle pourrait repasser les tests pour me rejoindre dans léternité, mais elle na pas voulu.
— Et pourquoi moi?
— Parce que tu es belle, tu aimes les animaux, tu aimes le froid et surtout tu tappelles Marie et tu es née un 24 décembre.
— Avant de vous dire oui je veux quelque chose.
— Quoi?
— Baisez-moi!!!
— Daccord.
Je me penche vers lui et du bout de la langue je lèche sa lèvre inférieure, il sempare ensuite voracement de ma bouche et nos deux langues se mêlent dans une danse sensuelle. Il déboutonne fébrilement le bouton de mon veston et sort un de mes seins quil pince délicatement entre ses doigts et par la suite ses dents. Je me cambre pour mieux lui offrir ma poitrine, il passe dun seins à lautre, je le tire par les cheveux pour reprendre le ballet de nos langues. Je glisse mes mains sous son chandail, pour pouvoir caresser son ventre et je remonte vers ses mamelons. Nos bouches se séparent pour pouvoir lui retiré son chandail. Je caresse à mon tour ses mamelons pour les rendre aussi dur que les miens. Sa main passe ensuite sous ma jupe et caresse ma chatte, déjà humide dexcitation, par dessus ma culotte. Ma main se tend vers la bosse qui déforme maintenant son pantalon, cest énorme. Dans un même mouvement nous nous levons pour finir de nous déshabiller mutuellement. Lorsque je vois son énorme queue je tombe à genoux et je la caresse tout dabord avec mes mains puis avec ma bouche.
Jai de la difficulté à ouvrir ma bouche assez grande pour accueillir son gland, mais avec beaucoup de salive, je finis par lengloutir. Ces deux mains de chaque côté de ma tête me guide et il semble vouloir senfoncer toujours plus loin au fond de ma gorge. Prise de haut-le-cur jessaie de me retirer, mais il me maintient en place et continut sa progression.
— Lorsque je te le dirais avale ta salive, parce que je tavertis je ne sort pas de ton gosier tant que tu ne mas pas prise jusquau fond.
— Mmmmrphhh
— Allez déglutie.
Jai obéie.
— Encore.
— Encore.
Je sentis enfin sont ventre frotter sur mon nez. Il se retira pour me laisser reprendre mon souffle.
— Allez on recommence.
Et sans me laisser le choix, il ré enfonce son braquemart dun coup sec.
— Allez avale.
— Encore.
— Encore.
— Bien salope, je vais te montrer ce que je fais à une bouche comme la tienne.
Me tenant bien la tête, il commença à baiser violemment ma gorge comme si cétait une chatte. Jeus bientôt limpression que sa queue enflait encore au fond de ma bouche. Il se retira pour ne laisser que son gland entre mes lèvres il éjacula une immense quantité de foutre. Refusant de me libérer je dus me résoudre à avaler pour ne pas mourir noyée.
— Excuse-moi, dit-il, ça fait plus de 3 ans que je baise des putes et jai perdu lhabitude de respecter les femmes.
— Qui vous demande de me respecter, lui répondis-je en me léchant les lèvres.
— Comment?
— Vous dites que vous mavez observé, mais si vous maviez observé plus souvent vous sauriez que je suis une adepte non-encore participante du BDSM.
— Pour vrai?
— Oui et, pour fêter mes 18 ans, je voulais partir à la recherche dun Maître à qui me soumettre
— Hum, intéressant et que recherches-tu chez un Maître?
— Un Maître qui ne sera satisfait que lorsquil aura trouvé mes limites.
— Et comment sauras-tu que tu as trouvé le bon Maître pour toi?
— Je nai pas à le choisir, cest lui qui me choisira.
— Alors je te choisis.
— Merci Maître, lui dis-je en embrassant sa divine turgescence.
Il me caressa la tête comme à une brave chienne. Il me prit par le coude pour me mettre sur mes pied et il mentraîna dans ma chambre. Nous nous sommes assis lui sur mon lit et moi par terre à ces genoux.
— Je tai dit que je tavais choisi et que pour devenir immortelle tu devais passez des tests.
— Oui.
— Il y a 3 tests.
— Oui, lesquels?
— Je ne peux pas te le dire, mais tu dois choisir volontairement de passer ces tests.
— Jaccepte.
— Avant toutes choses tu dois savoir que si tu pars avec moi tu ne pourras jamais revoir tes parents, ni revenir en arrière. Tu ne pourras jamais me quitter parce que le secret de mon lieu de résidence doit le rester, secret.
— Jaccepte de toute façon mes parents nauraient jamais accepté mes penchants de soumission.
— Daccord suis-moi.
Jai laissé une lettre dadieu à mes parents, nous avons franchi la porte et au lieu de nous retrouver dehors nous nous sommes retrouver devant chez lui.
A suivre