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Un 15 Août sous la canicule – Chapitre 1

Un 15 Août sous la canicule - Chapitre 1



Cette année, le 15 août tombait un jeudi et c’était une libération pour Manon. Elle avait commencé un nouveau travail en juin et n’avait pas droit à des vacances avant septembre – au moins. La canicule s’était emparée de Paris, rendant l’atmosphère moite et lourde. Pas un brin d’air ne venait soulager la pauvre Manon dans son coquet studio du 9ème arrondissement, au cur de South Pigalle pour les puristes. Elle adorait ce quartier. Ancien quartier d’artistes, au pied de Montmartre avec le Sacré-Cur qui veille sur les touristes flânant devant la multitude de sex-shops… Ce contraste la ravissait.

Mais ce qui l’enchantait encore plus, c’était la perspective du long week-end qui s’étendait devant elle. Son patron, dans son immense mansuétude, avait accepté de la libérer pour ce pont et elle comptait bien en profiter en filant dans la maison familiale du sud de la France, au cur de la Camargue.

Manon était finalement arrivée en gare de Lyon, après avoir affronté l’étuve qu’était devenu le métro. La chaleur n’arrangeait pas les élancements qui s’emparaient de sa tête – souvenir de l’afterwork d’hier qui s’était un prolongé tard… Cela n’était pas dans ses habitudes. Manon est une jeune femme sage de 25 ans, à l’allure BCBG. Assez grande, elle avoisine 1m75 voire plus lorsqu’elle porte ses espadrilles à talons hauts, lacées sur la cheville comme c’est le cas actuellement.

A son grand désespoir, elle ne collait pas aux canons de beauté en vigueur, à savoir la minceur éthérée. Tout en courbes appétissantes, son corps à la peau de crème avait un rebondi hypnotisant pour n’importe quel homme, mais elle ne s’en rendait pas compte. Pas encore…

Sa tenue, composée d’un débardeur noir en lin rentré dans une jupe arrivant aux genoux, et boutonnée sur le devant, mettait en valeur sa cambrure de rêve débouchant sur des fesses rondes à souhait. Manon avait laissé libre sa poitrine insolente et fière dont les seins rempliraient chacun à merveille les paumes d’une main d’homme.

Arpentant le quai de la gare à la recherche de sa voiture, elle ne se rendait pas compte des regards qui la suivaient. Légèrement déhanchée sous le poids de son sac qu’elle portait sur une épaule, elle avançait vite, aussi vite que lui permettaient ses 8 centimètres de talons. L’agent de la SCF rêvassait devant une telle apparition. Il aurait suffi que lanse de son sac glisse un peu plus pour entraîner la bretelle de son débardeur et libère sa poitrine du fin tissu… Finalement, Manon atteint sa voiture et décochant un coup d’il mutin au bel agent brun aux yeux verts, entre dans le train. Sa place est à l’étage, tout au fond de la voiture. Heureuse de pouvoir s’installer, elle secoue ses cheveux bouclés légèrement blondis, lui arrivant au creux du dos et prend sa place, dans un carré famille.

Il était moins une ! Les portes se ferment, le train s’ébranle. La voiture de Manon est vide – ce qui est rare, mais s’explique par l’horaire assez tardif du train.

Notre voyageuse s’installe, met en place ses écouteurs avec de la musique classique à bas volume et profitant de la place libre à côté d’elle, s’allonge carrément sur les deux fauteuils. Elle sombre rapidement dans un sommeil réparateur. Décidément, elle n’aurait pas dû enchaîner tout ces mojitos la veille !

L’agent de la SNCF qui l’avait repéré sur le quai avait gardé un il sur elle. Un air aussi mutin ne peut être que prometteur ! Dans son tour de vérification, il a pu constater que la voiture de Manon était vide et que celle-ci s’était confortablement installée. Le physique affolant de la voyageuse mêlée à son attitude un brin hautaine, un brin allumeuse, lui avait retourné le cerveau. Son instinct de chasseur s’était déclenché. Etait-ce la poitrine voluptueuse de Manon ou alors son postérieur rebondi ? Il ne savait pas quoi et n’en n’avait cure. Il la voulait. Et peu de choses résistaient à Elias, la petite trentaine. Ses yeux verts tranchent merveilleusement avec sa peau mate et ses cheveux bruns lui venant de ses origines iraniennes. La bouche gourmande, il entretenait soigneusement une barbe de 3 jours négligée – au grand dam de ses supérieurs hiérarchiques.

Il était également censé dissimuler les tatouages qu’il arborait sur les bras, mais résistant à toute forme d’autorité, il se contentait de porter des chemises à manches longues qu’il retroussait dès que possible.

Elias pénètre dans la voiture où Manon dort d’un sommeil agité.

Il prend la peine de mettre un panneau prévenant que la climatisation est en panne dans cette voiture afin de se garantir une certaine tranquillité, puis s’installe dans la carrée voisine de celle de Manon afin de l’admirer à loisir. Manon s’agite dans son sommeil et se retrouve couchée sur le ventre, les jambes repliées sur le côté. Sa jupe a glissé, révélant la rondeur de ses fesses mise en valeur par la dentelle blanche de son tango. Cette vision affole les sens d’Elias qui sent qu’il ne pourra résister à cette peau crémeuse et satinée, ces courbes affriolantes. Il peut apercevoir la poitrine de Manon, écrasée sous elle, qui ne demande qu’à s’échapper de l’emprise du débardeur.

Après plusieurs minutes à l’admirer, il tend la main afin de caresser du bout des doigts les jambes. La peau est encore plus douce qu’il ne l’espérait. Et il ne touche que ses mollets pour le moment !

Sa main s’enhardit. Après tout, il vaut mieux ne pas perdre de temps, n’importe qui peut venir. Il fait glisser sa main tout le long des jambes, remonte jusqu’à toucher la dentelle du sous-vêtement. Il caresse avec douceur le mont de Vénus au travers de la dentelle. Dentelle si fine qu’il perçoit les boucles de la toison dorée de Manon. Il respire ses doigts, sent cette odeur typique qu’il adore- à la fois marine et musquée, la promesse d’un nectar de premier choix. Manon soupire et s’agite et se met à plat ventre. Dans le mouvement, sa jupe remonte. Elle a décidément un sommeil lourd ! La conjonction de la gueule de bois, la chaleur et la fatigue accumulée sans doute… Ou peut être a-t-elle perçu la présence de l’agent et préfère simuler un sommeil ?

Elias a maintenant une vue parfaite sur les fesses de Manon. Ses mains vont d’elle même sur les deux globes à la peau claire. Il les caresse doucement puis – percevant un soupir appuyé de Manon, il comprend que son sommeil est feint – il prend à pleines mains, en appréciant la fermeté de ce cul. Manon se cambre, mais garde les yeux fermés. La situation l’excite terriblement. Son éducation stricte lui dicte de se défendre, mais ses fantasmes de plus en plus prégnants dans sa vie, ordonnent à sa raison de la boucler pour une fois et de savourer la myriade de sensations que ce beau brun lui procure.

Elias a tout à fait saisi que la voyageuse est consentante… à son corps défendant. Et de toute façon, il ne raisonne plus. Il pose un genou sur la banquette sur laquelle Manon est étendue afin de pouvoir coller sa bouche dans le cou de la jeune femme. Sa langue vient titiller la peau si sensible sous l’oreille, déclenchant des frissons révélateurs tandis que ses mains glissent vers l’avant du tanga. Ses doigts s’amusent un instant à l’orée de l’élastique du tanga puis glissent dessous et rencontrent une toison finement bouclée et… plutôt humide ! Il caresse légèrement les lèvres de Manon qui se cambre de plus en plus. Elias, tout en laissant un doigt fureter dans l’humidité de plus en plus prégnante de Manon vient embrasser les globes fessiers jusqu’à carrément les mordre. Manon gémit fortement. La vague foudroyante de son désir vient d’envoyer valser sa raison. Elle se retourne et d’un même mouvement, ôte son tanga.

Elias, qui s’était figé lors du mouvement de Manon, redoutant un refus tardif, ne peut retenir un sourire diabolique lorsqu’il voit que notre voyageuse est devenue franchement consentante. Ce sourire électrise Manon – jusqu’à la pointe de ses seins qui s’érigent aussi durs que des pointes de crayons. Cette soudaine dureté n’échappe pas à Elias. Et comment pourrait-il l’ignorer alors que cela fait si bien écho à la dureté de sa verge, de plus en plus à l’étroit dans son pantalon d’uniforme ? Il lui enlève son débardeur et sa jupe et peut enfin admirer la poitrine arrogante dont il prend possession à pleines mains.

Manon s’était attaquée à la fermeture de son pantalon qu’elle fait glisser le long de jambes du contrôleur, suivi du caleçon afin de libérer ce sexe qui n’attendait que ça. D’une longueur honorable, c’est surtout sa largeur qui affole et électrise encore plus Manon. Au bout du gland bien dessiné perle une goutte claire qu’elle vient cueillir d’un coup de langue. Elle embrasse le gland d’une multitude de baisers qu’elle fait alterner de coups de langue. Elias glisse ses mains derrière la nuque – Manon comprend le message et prend dans sa bouche la totalité de la verge. Elle la savoure, fait tournoyer sa langue tout autour, caresse les testicules de ses mains. Elias soupire, accélère le mouvement de la bouche de la jeune femme grâce à ses mains. Elle se laisse faire, mouillant toujours plus à l’idée d’être utilisée, d’être « sa chose ». Alors qu’elle pensait qu’il allait jouir dans sa bouche, il interrompt sa fellation.

Il pousse la jeune femme pour qu’elle s’allonge, lui replie les jambes sur la poitrine. Sa chatte lui est toute ouverte, offerte et dégoulinante. Il se repaît de cette vision: les jambes joliment modelées qui écrasent la poitrine généreuse alors qu’il titille du bout de son sexe le clitoris de Manon. Alors qu’elle gémit et se tend de plus en plus vers lui, il la pénètre d’un seul mouvement, venant taper au fond de son sexe. Couvrant de sa main la bouche de Manon afin d’étouffer ses gémissements, il ressort de son fourreau brûlant afin d’y replonger encore plus violemment. La jeune femme se cambre alors qu’il la besogne allègrement. Il attrape ses seins, les empoigne à pleines mains, titille les bouts toujours aussi durs. Continuant de la pénétrer sauvagement, il pince et tord les tétons. La jeune femme jouit en se tordant sous lui, affolée de sensations nouvelles. Elias n’étant pas fait de bois, il résiste encore à la jouissance. Il a d’autres choses en tête pour ce joli morceau…

Il relève de la banquette et la pousse, poitrine écrasée contre la tablette. L’esprit encore embrumé par sa jouissance, Manon se laisse faire presque comme une poupée de chiffon. N’ayant plus trop confiance en ses jambes pour la porter, elle s’accroche de chaque côté de la tablette.

Elias se penche vers cette croupe offerte, au sillon dessiné. Il va déguster le nectar résultant de sa jouissance, savoure la saveur unique, doucement épicée. Il remonte avec sa langue agile vers le trou étoile de la jeune femme qui se cambre. Il continue ses va-et-vient avec sa langue durant quelques minutes, la rendant tantôt dure tantôt douce et légère. Ses mains rejoignent sa langue dans son labeur. L’une titille son clitoris tandis que l’autre vient pénétrer cette chatte qui en redemande visiblement. Bien imprégné du jus de la jouissance, Elias appuie son index contre le petit trou – inviolé jusqu’alors- de Manon. Elle se cambre, essaye d’échapper au jeune homme, mais il la tient d’une main ferme et son doigt pénètre doucement l’étroit conduit. Il continue de l’autre main de caresser son clitoris si bien que Manon se détend entre ses mains. Après plusieurs minutes de ce traitement, la croupe de la jeune femme ondule contre Elias.

Le contrôleur fait glisser sa queue dans le sillon de la jeune femme. Il l’imprègne de sa mouille alors qu’elle se cambre toujours plus, espérant qu’il la reprenne. Lorsque Elias positionne son gland contre son trou étoilé, Manon s’agite, mais les mains implacables du contrôleur l’attrapent fermement par les hanches.

Il force doucement l’entrée, Manon gémit mais il ne transige pas et continue la pénétration. Elle se cambre, gémit de douleur. UUne des mains d’Elias quitte sa hanche pour venir caresser son clitoris qui réagit immédiatement en s’érigeant sous ses doigts. Il pénètre sa chatte de ses doigts alors qu’il avait stoppé la pénétration de son cul. Elle continue de gémir mais ses gémissements ont changé de nature. Le plaisir reprend le dessus. Il agace son clitoris jusqu’à ce que les hanches de la jeune femme ondulent contre son bas-ventre. D’un seul mouvement, il pénètre sa chatte de deux doigts et enfonce son sexe jusqu’à avoir le bas-ventre collé aux fesses de la jeune femme. Elle crie alors qu’il bouge doucement ses doigts dans son antre, il parvient à toucher son sexe au travers de la fine paroi. Il lui laisse quelques instants pour s’habituer puis commence à la labourer. Il y va franchement, entrant et sortant son sexe entièrement par moments. Le conduit est étroit, brûlant.

Il la secoue en tous sens. Son pubis claque contre les fesses de Manon. La jeune femme est cambrée jusqu’à un point impossible. Sentant venir la jouissance, il s’accroche à ses seins et lui assène des coups de reins jusqu’à venir exploser au fond de son ventre qui tressaute. Il s’écrase sur elle. Ils se laissent divaguer durant un instant, perdus dans leurs sensations. Il finit par se retirer, lui donne une petite tape sur les fesses alors que son sperme s’écoule sur ses cuisses. Il se rhabille sans trop traîner – le devoir l’attend !

Il embrasse la bouche de la jeune femme, la gratifie d’un clin d’il et quitte la voiture. Manon se laisse tomber sur la banquette. Aïe, pas sur les fesses ! La zone est trop sensible. Elle se met donc sur le côté, le temps de chercher un mouchoir dans son sac et de faire un brin de toilette. Elle se rhabille dans un état second. Elle se rend compte qu’il ne reste plus que trente minutes avant l’arrivée en gare de Nîmes. Jamais voyage en train ne sera passé aussi vite ! Et quel début de week-end prometteur…

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