Nous avions déménagé dans la région de Liège parce que mon père travaillait dans une aciérie et que les trajets devenaient un peu difficiles, dautant quil travaillait la nuit et devait prendre le train tous les soirs.
Comme à lépoque je terminais mes humanités, jétais resté en internat dans mon collège et je rentrai donc chaque samedi à la maison.
Nous habitions un appartement de trois pièces en enfilades, soit un salon et salle à manger assez spacieux, une grande cuisine et une chambre, terminée par le WC. Ce détail était un peu ennuyeux lorsque mes parents recevaient de la visite, mais à lépoque, on ne sen inquiétait pas trop.
Mon père travaillait de nuit et se rendait au travail vers dix heures du soir pour rentrer le lendemain vers neuf heures. Il était contremaître et faisait souvent des heures supplémentaires.
Le samedi soir, je prenais un bain dans une bassine en zinc remplie deau chauffée à la cuisinière. En effet nous navions pas de salle de bain comme beaucoup de gens à lépoque. Cela se passait toujours dans la cuisine au regard de mes parents malgré mes dix huit ans, je ne métais jamais posé la question dune quelconque intimité vis-à-vis deux. Par contre, bien entendu, eux ne se lavaient pas devant moi.
Après cette séance dablution, jenfilais mon pyjama et nous passions à table.
Lorsque mon père quittait la maison, nous avions lhabitude de lire un peu et ensuite de nous coucher. Quand nous étions seuls la nuit, ma mère nouvrait pas le canapé-lit, quil aurait fallu ensuite habiller de drap et de couverture. Il était plus simple de dormir dans la seule chambre à coucher. Cela navait jamais posé le moindre problème, jétais en pyjama et maman en robe de nuit.
Or une nuit de mai, particulièrement agréable et douce, jétais sur le côté, dos tourné à ma mère et discrètement, je commençai à me masturber. Je ne me souciais absolument pas delle la croyant endormie, jusquau moment où je lentends dire :
« mais qu’est-ce que tu fabriques ?
Elle se retourne met sa main sur mon bras et, horreur, descend vers la mienne, que je retire aussitôt de mon sexe en érection. Malheureusement, cela a pour effet que sa propre main se pose sur ma queue tendue. Je suis mort de honte et je mattends à des explications, mais rien ne se passe. Au contraire, maman commence à me caresser, y compris mes testicules, je me détends instantanément. Elle me demande ensuite de me mettre sur le dos et denlever mon pantalon de pyjama, je crois rêver, mais non, cest bien elle qui me parle et continue à explorer mon intimité.
Elle me questionne sur ma sexualité. Je lui explique quavec ma copine, on se touche et on se caresse, mais jamais de pénétration, il faut dire quà cette époque, les médecins ne prescrivaient pas volontiers la pilule à des jeunes filles célibataires et quil nexistait pas non plus de distributeur de préservatifs. Par contre, je lui avoue que je me masturbais très souvent, et elle me rassure en disant que cétait très normal à mon âge.
Elle continue à me caresser et me confie quelle espérait bien minitier à lacte damour et à me dépuceler, ce soir cette discrète branlette était finalement bien à propos
À présent, elle me masturbe très doucement, je gémis de plaisir et je me cambre, elle devine que, vu mes dix-huit ans, je ne resterai pas longtemps sans jouir.
Elle arrête de me masturber, caresse mes couilles et se penche vers moi. Elle embrasse mes seins, descend vers mon ventre et prend mon sexe en bouche, je nen reviens pas, car aucune de mes copines naime ça, enfin, jusquà présent. Maman commence à me sucer de plus en plus profondément jusquà avaler presque tout mon sexe. Je frémis, et je la préviens que je vais jouir, elle ne mécoute pas et continue sa fellation de plus belle, en saidant cette fois de sa main pour me faire venir plus vite. Évidemment après quelques minutes de ce traitement, jéjacule longuement dans sa bouche, elle reçoit tout et continue même à me lécher ensuite. Finalement, elle se dégage et mexplique quelle voulait être la première à goûter le sperme de son fils. Elle me signale en riant quil est vraiment meilleur que celui de mon père.
Nous restons ainsi un bon moment, à parler de tout et de rien. Ma mère est très contente de mavoir fait découvrir ce plaisir que les hommes, en général, aiment tant. Ensuite elle me souhaite une bonne nuit et javoue que jai du mal à mendormir ce soir-là ! Je reste complètement nu, tandis que maman a gardé sa robe de nuit.
Au petit matin, je sens une main qui me caresse doucement, maman soccupe à nouveau de mon sexe et je suis en parfait état dérection. Ce qui a changé, cest quelle est maintenant complètement nue à côté de moi, jen frémis dexcitation. Je sens la rondeur de ses seins, ses cuisses longues et fermes, et je devine, sur mon flanc le duvet de sa chatte.
Elle me susurre à loreille quil est grand temps de se réveiller, car elle a une énorme envie de me faire lamour.
Je me penche vers elle et naturellement, je lembrasse à pleine bouche, elle se laisse faire et nous continuons à nous embrasser avec fougue plusieurs longues minutes. Pendant ce temps, je cherche à découvrir son corps de femme, je caresse ses seins, ses jambes fines et je remonte doucement vers son intimité. Je connais le corps des femmes grâce à ma copine et je sais comment trouver et caresser le clitoris. Ma mère écarte les jambes et me guide vers lendroit le plus stratégique pour elle. Je lentends haleter et gémir doucement. Je continue mes caresses de plus en plus précises et, brusquement, je la sens se cabrer et se tordre de plaisir. Elle me confie quelle vient davoir un orgasme fabuleux, je suis un peu déçu, car je pensais la pénétrer, mais elle me rassure en disant quelle est capable davoir plusieurs orgasmes et que, au contraire, mes caresses ont bien mouillé sa chatte, ce qui est vrai. Nous récupérons quelques minutes, ensuite, elle me regarde droit dans les yeux et me dit dune voix rauque que je ne lui connaissais pas :
vient mon amour, prends-moi maintenant
Je me mets sur elle, ses jambes sont écartées et elle prend mon sexe pour le guider dans son intimité, je la pénètre doucement et facilement. Pour moi, cest un bonheur absolu, pour la première fois je sens la douceur du vagin dune femme et, surtout cest ma mère qui se trouve sous moi, cest ma mère que je pénètre avec douceur et amour. Je commence des vas et vient prudent, car je ne voudrais pas venir trop vite, ce serait tellement décevant pour nous deux. Maman calme mes ardeurs, elle me guide dans mon plaisir, marrête quand elle me sent trop excité et me ramène en elle dès que je suis plus calme. Cette intromission dure longtemps, et, à un certain moment, je ny tiens plus et je la supplie de me laisser venir en elle.
On souffle un peu et ensuite, elle me propose de changer de position, elle me met sur le dos, se met à califourchon sur moi et guide ma queue dans sa chatte brulante. Elle mexplique que ce sera elle qui dominera ainsi les opérations. Instinctivement je commence à lui caresser les seins, et elle se penche vers moi pour me faciliter la tâche.
Elle commence à onduler, met ses mains sur ma poitrine, gémit et je la sens frémir sous mes caresses. De mon côté, jai envie de menfoncer encore plus dans son intimité, elle me chevauche et finalement, dans un râle commun, elle jouit pendant que je lui délivre toute ma semence. Elle a la figure bouleversée, je ressens son plaisir au plus profond de moi. Elle membrasse, me caresse le visage et me dit dans un souffle :
merci mon chéri de mavoir donné tant de plaisir et de mavoir aussi offert ton pucelage. Aucune femme ne peut être plus heureuse que moi en un moment pareil
Elle reste encore enfoncée en moi quelques minutes pour bien profiter de mon sperme et sentir ma queue se dégonfler petit à petit.
Il est bientôt huit heures du matin, nous nous levons pour faire un brin de toilette à laide du lavabo dans la chambre. Ensuite nous nous retrouvons pour le petit déjeuner. Mon père apparait vers neuf heures en nous demandant si nous avons passé une bonne soirée, maman lui dit que nous avons surtout passé une bonne nuit.
Il nous répond que le sommeil cest important et du reste, après un petit repas, il va également aller dormir quelques heures.
La semaine suivante, je devais aller au cinéma avec ma copine, Michèle. Nous avions convenu quelle viendrait me chercher vers six heures du soir. Comme chaque samedi jutilise la cuvette en zinc pour prendre un bain. Je suis de nouveau nu devant ma mère, mais mon sentiment est aujourdhui bien différent. On sonne chez nous, ce doit être déjà Michèle, elle est une bonne heure plus tôt que prévu. Ma mère tire rapidement la tenture qui sépare la cuisine du salon, en effet les deux pièces sont contiguës. Ma copine vient de monter en compagnie de son beau-frère qui sest gentiment proposé de nous conduire en voiture au centre-ville. Maman les installe au salon, leur propose une boisson et ensuite revient vers moi. Je me lave déjà lorsquelle sapproche et commence à me caresser tout en continuant la conversation avec nos invités. Je suis fou dexcitation et je me laisse masturber, je glisse ma main sous la robe de ma mère et je constate quelle na pas mis de culotte, cétait donc prémédité à mon avis. Je la caresse comme je sais le faire depuis longtemps avec Michèle, et je la sens qui frémit sous mes attouchements.
À ce moment le beau frère de ma copine sexcuse et nous demande sil peut se rendre aux toilettes, on ne peut évidemment pas lui refuser cela ! Je me saisis dun essuie – éponge pour cacher ma nudité, notre invité rentre alors dans la pièce, et me regarde bizarrement avec un petit sourire. Il se dirige vers la chambre et cest à ce moment que je comprends son regard, ma serviette ne cachait en rien une superbe érection rouge de confusion je me retourne vers la fenêtre en attendant quil revienne.Il nous remercie et rejoint sa belle sur.
Maman revient vers moi, elle navait pas vu la scène de lérection. Elle recommence la conversation avec Michèle, lui parle de ses études et de quelques autres banalités. Pendant ce temps, elle avait déboutonné assez haut sa robe portefeuille. Elle commence à messuyer, se rapproche et met une jambe sur le bord de la chaise en me guidant vers sa chatte. Je mabaisse un peu pour la pénétrer correctement et je commence un va-et-vient silencieux vu les circonstances. Maman sarrête de parler et me dit tout bas de venir vite, car mon amie se poserait certainement des questions sur la durée du bain, déjà quelle ne trouve pas normal quà dix-huit ans, je me lave encore devant ma mère. Pour maider, ma mère me caresse les couilles, cela mexcite au plus haut point, je la pénètre de plus en plus fort et, rapidement, je linonde de mon sperme. Je la vois sentir ma chaude liqueur, elle ferme les yeux et jouit également très vite. Nous nous détachons, je prends un gant de toilette pour me laver le sexe et je le lui tends ensuite.
Cette séance de copulation incestueuse naura finalement duré que quelques minutesmais des minutes dune chaleur intense, je navais jamais joui aussi fort, dailleurs ma mère narrête pas de tamponner sa chatte doù dégouline une quantité incroyable de foutre.
Je mhabille ensuite et comme nous sommes à présent présentables, jouvre le rideau et jembrasse ma copine, qui me roule une belle pelle. Décidément ce soir je suis gâté.
Nous partons ensuite pour le ciné où, comme dhabitude je pelote Michèle durant tout le film. Cétait vraiment une bonne journée pour maman, Michèle et moi !