1 année est passée.
J’étais devenu un objet sexuel et je ne compte plus les bites que j’ai eu dans le cul ou les femmes dominatrices qui me dressaient. Je devais toujours être nu et servir à tout le monde. Ma maîtresse m’avait aménage un endroit dans la haras ou je dormais depuis bientôt un an.
Tout les matins, je devais préparer le petit déjeuner et ouvrir la bouche pour que ma femme puisse uriner. Ensuite j’allais au haras attendre. Cela faisait un an que cette situation durait. Depuis un an, je n’avais plus vu ni mes deux filles, ni mon fils. Ils ne méritaient plus, me disait ma maîtresse.
Mais, aujourd’hui, ma vie prit un autre tournant. En bon esclave, j’obéissais humblement sans dire mot. Je subissais mais je crois que j’aimais. En ce matin, alors que j’’étais recroquevillé, ma maitresse rentra avec un garçon et une fille. Jeunes, je dirais 18.20 ans. Le garçon brun était mince et la fille brune était petite. Ce qui m’a frappé, c’est que tous deux avait un collier autour du cou mais habille comme le sont les étudiants dans des collèges britanniques (Pantalon court pour le garçon, veste et cravate sur une chemise blanche avec des chaussettes noires sur des chaussures noires et la fille jupe plissée, veste bleu sur un chemiser blanc, des socquettes noires et des chaussures noires) Arrivés devant moi, ils se mirent à genoux. Maîtresse prit la parole
— Esclave, je te présente William 19 ans et Mary.18 ans Tous deux sont ici parce qu’ils ont commis l’irréparable. Ils ont eus des rapports sexuels. Ce sont ses parents qui m’ont avertis après qu’ils aient surpris Mary à 4 pattes se faisait enculer par William. D’ailleurs, ils vont te montrer esclave.
D’un geste de maîtresse, William baissa son pantalon et Mary sa jupe.
— Esclave,, va sucer William pour le faire bander
— Oui maîtresse
C’est la première que je suçais un garçon si jeune et je pris mon plaisir. Tout en le suçant, reprenant mon cote dominateur, je lui doigtais son petit cul et la salope avait l’air d’apprécier. Quand à sa sur elle se caressait le chatte en voyant son frère se faire doigter. Le jeune me jouit dans la bouche et ne me retenant plus, j’allais baiser sa sur qui entre temps s’était mise toute nue. Elle s’était mise sur le dos et je n’ai eut aucune difficulté à la pénétrer. Maîtresse ne disait rien. Elle semblait même apprécier le spectacle. Puis, elle pris la parole
— Esclave, tu m’as bien servis depuis un ans et je vais te récompenser. Si tu restes mon esclave, tu es autorisé à utiliser les deux putes comme tu veux. Mais, seul impératif, le garçon devra devenir une salope destinée aux hommes et la fille un garage à bites. C’est à toi esclave que revient leur éducation. C’est la volonté de leurs parents. Si dans un an, ils sont ce que je veux qu’il soit, tu ne seras plus esclave.
Maîtresse s’en alla me laissant avec les deux.
Une nouvelle année s’ouvrait donc à moi…