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Vacances, sexe et exhib. – Chapitre 5

Vacances, sexe et exhib. - Chapitre 5



Future soumise

Dans la piscine, nous jouons comme des gamines ; je suis sûre que le petit voisin est en train de nous mater. Nous en sortons avec les idées à peu près remises en place. Je passe le long de la haie : oui, il est là ; il utilise un tube en plastique pour traverser la haie et regarder à travers. Il est malin, mais moi aussi. Je sais où il place son tube je lai repéré alors de temps en temps je me mets juste devant à bonne distance pour quil voie un maximum de mon pubis, puis je me caresse et me masturbe aussi. Si je vois le tube bouger quand je me déplace un peu, cest quil est là ; alors jinsiste, certaine quil est en train de se masturber. Oui, je crois que je suis aussi un peu vicieuse et accro au sexe.

Champagne, les filles ? Donnez-moi vos affaires, je vais les rentrer.

Je sers le champagne. Tatiana reprend la parole :

On trinque et on passe aux choses sérieuses. Nous allons fixer les règles, et tu vas répondre à nos questions sans détour ; il faut que tu sois franche et directe : tu réponds sans réfléchir et tu écris.

Daccord, quand vous voulez.

Tu veux jouer le rôle de Dame Erika ?

Oui.

Des servantes ?

Oui.

Être exposée en public ?

Oui.

Fessée ?

Oui.

Fouettée ?

Oui, mais

Aspergée de sperme ?

Mouia !

Faire lamour en public ?

Oui, oui !

Bon. Pour les fessées et le fouet sil y en a cest toi qui va gérer. Par exemple, tu reçois dix claques sur le cul (jamais sur le visage). Ensuite, si on ten propose dix de plus, là cest toi qui décides si oui ou non.

Japprouve dun hochement de tête. Je ne lécoute plus ; je mimagine attachée sur la croix de Saint-André (comme dans leur histoire), fouettée par un bourreau cagoulé.

Hé ! Tu rêves ou quoi ? Pour finir, tout subir sans broncher ni te plaindre ?

Oui, oui, je ferai tout sans rien dire, mais est-ce que jaurai le droit de dire « encore » ou « plus » ?

Si tu veux. Tu nas pas de limites, alors ?

Je ne sais pas encore, mais je ne veux pas de trucs dégueulasses.

Et te faire sauter par un chien ?

Non, tu es folle ! Pas ça !

Mais non, je plaisantais.

À cette question, je sens mon ventre se tordre et mon jus couler entre mes cuisses. « Putain, Julie, ça ne va pas dans ta caboche ? Tu deviens folle ! Te faire saillir par un clebs, tu dérailles complètement, ma pauvre fille ! » Ma conscience vient de me mettre un coup de pied au cul.

Jai eu peur, je lui réponds, lair offusqué.

Bien. Maintenant tu choisis un mot de sécurité ; si tu le prononces, nous stopperons tout.

Comment ça, « tout » ? On ne fera plus rien ? Alors pas de mot !

Mais non, juste ce quon est en train de te faire.

OK. Je dirai « STOP ! Ça suffit ! »

Bien, cest ton contrat. On trinque pour le sceller.

Il vaut mieux quelle lécrive : cest mieux, elle sera plus dans sa condition desclave ; cest Pat qui la dit, souligne Élodie.

Quoi ? Cest mon Pat qui la dit ?

Ah toi, Miss Boulette, tu nen rates pas une ! vocifère Tatiana.

Vous vous êtes mis daccord ? Cest un complot !

Dis plutôt quon la encouragé à aller aussi loin que tu le désires dans ton délire de nymphomane, je dirais

Le salaud ! Maintenant il sy met, et en plus il faut que je lécrive !

Je ne sais pas quel impact cela vient davoir sur moi, mais en tout cas je suis tout émoustillée et ensuite je lai réclamé. Sans même attendre leur réponse, je fonce chercher un bloc de papier et un stylo ; je reviens sur la terrasse, pose le bloc sur la table basse, et jattends à genoux et à poil que ces dames veuillent bien me dicter leur règlement. Je dois dire que je suis en train de prendre goût à ma nouvelle condition ; je ne comprends pas ce quil se passe en moi, mais cest incroyable : depuis le coup de téléphone, jai envie de faire lamour en permanence.

Élodie me dicte le règlement. Comme une gamine, je mapplique pour bien écrire :

« Je soussignée Julie, déclare accepter ma condition desclave. Je devrai subir ou exécuter tout ce quon me fera ou dira de faire sans rechigner ; je le fais par amour de mon chéri et par vice : je suis une nymphomane. Je fixerai moi-même mes limites à la souffrance, si souffrance il y a. À la fin de cette épreuve, je recevrai une récompense plus ou moins importante en fonction de mon attitude et de ma docilité à effectuer ce qui me sera demandé.

Julie, le… »

Je signe avec enthousiasme ce document qui, une fois de plus, me met dans un état dexcitation incroyable. Mon chéri avait raison : pour mexciter, il ny a pas mieux. Nous trinquons à cette période de jeux dont la durée nest pas encore définie mais sannonce mémorable. En plus, une récompense ! Je voudrais bien savoir ce que cest ; je trépigne mais nose demander par peur de représailles ; et puis jadore les surprises. Après tout, je ne risque rien dessayer, alors je me lance :

Je peux savoir ce quest la récompense ?

Et en plus, elle veut tout savoir, cette petite salope ; vous entendez ça ? Est-ce que je peux savoir, et gnagnagna !

Tu veux savoir ? Tiens, je vais être sympa, je te donne un indice : sucer ton homme ; une fellation large et profonde. Tu le fais dès quil arrive, et devant nous quon te voie bien.

Le bruit de la voiture de Pat se fait entendre.

Allez, les filles, on se détend ! Souriez ; vous êtes belles comme des curs. Je vais servir un pastis à Pat.

Je fonce dans la salle, sers le pastis, attrape mon homme au passage et lentraîne vers la terrasse où il découvre un magnifique spectacle.

Oh, putain, quelle surprise ! Waouh ! Ah oui Euh eh bien, les filles

Surpris, nest-ce pas ?

Dites-moi, ce sera comme ça tous les jours ? Les filles, vous êtes magnifiques ! Oh, coquin de sort ! Si je my attendais Trois nanas à poil, cest pas beau, ça ?

Mon chéri, jai une surprise pour toi. Je peux ?

Je dégrafe son pantalon et le déshabille. Je constate leffet de ce spectacle sur son anatomie. Comme prévu, je lui fais une fellation digne de la circonstance. Je me rappelle le « large et profonde » de tout à lheure. OK. Avec ça, je suis vachement avancée ! « Large et profonde » ? Mouais, je nai rien compris. Il faut le sucer ? Je suce. Jaime son sexe dans ma bouche. Je lèche son gland avec délicatesse et gourmandise comme si je mangeais une glace ; jadore les glaces. Moi, dressée sur mes jambes, courbée en deux pour sucer Pat, jai le cul en lair.

Je suis toujours occupée à pomper ; je rentre son vit de plus en plus loin dans ma gorge au risque de me donner envie de vomir. Tout à coup je sens deux mains se poser sur mes hanches et un truc glisser en moi. Mes lèvres sécartent et lengin glisse en moi doucement ; plus il avance, plus je le sens gros. Je commence à respirer de plus en plus fort ; mon vagin me pique. Le truc force dun coup sec et pénètre encore. Sous limpulsion, tout mon corps avance, et la bite de Pat pénètre le fond de la gorge ; je manque de métouffer. Je râle, je bave Je viens de comprendre la signification de « profonde ».

Mon vagin vient lui aussi de comprendre ladjectif « large » : les filles sont en train de mécarteler. Je nai encore jamais accouché, mais cest terrible comme sensation : jai limpression de mouvrir en deux. Je sens monter en moi un puissant orgasme mais jarrive à le maîtriser, et maintenant cest dans mon anus que quelque chose pénètre ! Pareil : je suis écartelée, jai mal au cul, au vagin, la bouche pleine et la gorge défoncée par la bite de Pat qui gonfle. Il se tend ; je suis sûre quil ne va pas tarder à éjaculer. Les filles font des mouvements de va-et-vient en enfonçant de plus en plus profondément en moi leurs trucs (je soupçonne que ce sont des godes). Elles vont de plus en plus loin et de plus en plus vite, et maintenant il y a dénormes vibrations en moi. Pat éjacule dans ma gorge ; mon vagin et mon anus se contractent avec force, bloquant le mouvement des godes. Je râle tout ce que je peux, me dégage de Pat, mes mains sur ses hanches et je crie, secouée par cet orgasme qui nen finit pas ; il est dune puissance extrême. Les mouvements de va-et-vient reprennent vite, très vite. Je maccroche à Pat car un autre orgasme arrive, aussi puissant que le premier. Il me fait me tordre dans tous les sens, cest terrible, terriblement bon ! Je remercie cette histoire de cette Dame Erika, ce plaisir fou que me procure mon statut desclave ou de jouet, cest comme ils veulent. Pour le moment, cest moi la Dame.

Cest fini ; mon supplice est terminé. Je dois leur raconter pendant le repas tout ce que jai ressenti, et je ne peux manger que dune main car je dois me caresser pour garder mon excitation en éveil permanent, mont-ils dit, et ça marche : plus je raconte, plus je me caresse, et plus je suis excitée !

Après le repas, je dois débarrasser la table, faire le café et apporter les digestifs pendant quils discutent. Durant tout ce temps je dois les sucer, les lécher et les pomper à tour de rôle. Cette situation est jouissive au plus haut point ; moi qui voulais vivre des expériences inédites, pour le coup, cest réussi !

En guise de bonne nuit, Pat et moi faisons lamour encore une fois, mais avec douceur et tendresse ; cest bon, je suis aux anges.

Je me réveille. Oh, la vache ! Il est tard : 9 h 30. Pat est déjà levé. Je me lève, et direction la cuisine. Comme prévu, je nai rien mis. Les filles sont attablées et déjeunent tout en discutant avec Pat. Je fais une entrée théâtrale.

Bonjour ! Comment allez-vous ce matin ? Bien dormi ?

Tatiana se retourne et me détaille de la tête aux pieds.

Vous avez vu cette pouffiasse ? Elle se balade à poil, et « Coucou, comment ça va ? » Tu te crois où ? Tu as oublié les bonnes manières. Approche un peu pour voir ! sénerve Tatiana.

Oops ! Je crois que je viens de faire une connerie. Je baisse la tête et mapproche. Elle me saisit par le bras et la nuque, et me force à me courber sur la table. Pim-pam-poum ! Et re-pim, et re-pam.

« Oh, putain Celle-là, tu ne la pas volée à fanfaronner ! » sexclame mon inconscient. Maintenant jai chaud aux fesses.

Tu as compris, petite salope ? Tu en veux dautres ?

Euh… non merci. Je ne le ferai plus, Tatiana.

Jhésite ; je demanderais bien du rab, mais cest peut-être un peu tôt.

Elle tient à la main un plug, crache dessus et me lenfile direct dans les fesses.

Maintenant tu peux tasseoir et déjeuner.

Je massois sur le banc (dans la cuisine, on a mis un banc de chaque côté de la table, un peu comme dans un ferme). Les fesses bouillantes et le plug commencent à me faire monter en température. Javale mon petit déjeuner en vitesse.

Tu vas te débrouiller pour tinstaller dans la position où tu étais tout à lheure. Toutes les heures, tu programmes ton téléphone ; tu fais comme tu veux, mais je veux te voir à heure fixe dans la position, les jambes bien écartées, le cul bien ouvert. OK ?

Oui, Tatiana ; je serai prête, tout ce que vous voudrez.

Eh ben, dis donc Quelle autorité ! Ça lui va bien, cet air de maîtresse. Je programme mon téléphone : alarme toutes les heures pendant je ne sais pas. Je mets 12 heures.

Cest fait, Tatiana,

Bien. Le reste du temps, quand tu ne seras pas sur la table, tu viendras nous sucer la chatte et tu feras des fellations à Pat, sans oublier de te masturber aussi. Nous, on soccupera de ton cul sur la table. Allez, commence par moi. À genoux, petite salope !

Je commence par Tatiana ; ce sont les ordres. Je la lèche, la suce, et jarrive même à introduire ma langue dans son vagin. Elle ondule, gémit, couine. « Putain, ma salope, je vais te faire jouir ! On va voir qui est la plus salope des deux ! » je me dis en moi-même. Je me régale intérieurement. Je continue, méthodique. Je lui enfile un doigt, lui mordille le bouton, la branle, la suce, et je me branle aussi.

Ohhh Ouiii ! Je jouiiis !

Jai gagné ; je suis ravie. « Toi, ma vieille, si moi je vais men prendre plein le cul toutes les heures, toi tu jouir toutes les heures aussi ! » Ma conscience et moi jubilons. À la suivante, je me dirige vers Élodie. Nous nous engageons dans une joute visuelle ; cette blonde aux yeux vert amande me fait craquer, mais elle ne peut résister à la blonde aux yeux bleus que je suis. Encore un message interne : « Toi aussi tu vas y passer ! »

[ à suivre ]

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