Histoires de sexe fétiche Histoires de tromper Histoires érotiques

Petite vengeance salée – Chapitre 1

Petite vengeance salée - Chapitre 1



Jeune ingénieur en système d?information dans un grand groupe international, mes journées et mes soirées sont souvent surchargées. Pour une fois j?avais réussi à m?échapper vers 18 heures. Je pensais passer une bonne soirée en compagnie de ma jeune épouse ; Hélène, 26 ans une grande brune pulpeuse, travaille dans une institution publique et a donc pas mal de temps ?libre?.

    Ce soir là je rentre donc du bureau et je trouve ma femme coiffée, maquillée et sexy en pleine préparation culinaire dans notre cuisine. Je la dévisage de la tête aux pieds et je la trouve vraiment très désirable dans sa robe noire, ses jambes gainées de dim-up couleur chaire, sa taille serrée par la ceinture de son tablier et sa poitrine lourde qui tend le haut de sa robe des deux cotés du tablier. Elle est visiblement très occupée à faire de la pâtisserie et ne m?a pas entendu arrivé. Elle sursaute au moment où je lui saisis les fesses à pleines mains.

    – Hé ! tu es fou de me faire peur comme ça !

    Rassurée elle m?embrasse tendrement en prenant soin de ne pas me salir avec ses mains pleines de farine.

    – c?est gentil de nous faire un gâteau pour ce soir lui dis-je

    – Ne me dis pas que tu as oublié que ce soir je reçois mes copines et que tu devais sortir de ton côté !

— Mince ! j?ai complètement oublié ça. Est ce que je pourrais vous tenir compagnie et me régaler avec vous et ce beau gâteau ?

    – D?abord ce n?est pas un gâteau c?est une tarte et non tu ne peux pas rester ! c?est notre soirée entre filles et aucune présence masculine ne sera tolérée !

    – Bon bon ! je vais me doucher et repartir.

    Rassurée, elle se remit à sa préparation sans plus me prêter attention. Contrarié par ce changement de programme et réfléchissant à ce que j?allais faire de ma soirée je l?observais travailler sa pâte à tarte. Son corps s?agitait sous ses efforts faisant trembler ses fesses et sa poitrine. Cette vision, son parfum et quelques jours d?abstinence réveillèrent en moi un soudain désir et un début d?érection réveilla mon entrejambe. Je me rapprochai d?elle et profitant de son inattention je lui saisis les seins en me collant dans son dos. Une nouvelle fois elle sursauta :

    – arrête donc ! me dit-elle après s?être retournée. Tu ne vois pas que je travaille et en plus je suis déjà en retard.

    Elle essaya de se débattre et de se libérer mais je la tenais fermement, lui malaxant les seins et frottant mon érection naissante tout contre ses fesses.

    – Mais arrête ! Grommela t?elle gênée par ses mains sales en se tortillant pour essayer de m?échapper. Ce n?est ni le moment ni l?endroit me dit-elle

    – Depuis quand y?a t?il une heure et un lieu précis pour ça. J?ai envie de toi là, maintenant dans la cuisine. Tu es très en beauté et tu sens dans quel état tu me mets !

    Ce faisant je pressais un peu plus fort contre son bassin. Coincée entre mon sexe, maintenant à l?étroit dans mon boxer, et la table de cuisine je sentis sa résistance baissée. Le compliment avait fait son effet mais elle était encore hésitante.

    – Tu ne peux pas me laisser sortir comme ça ! Sinon méfiance tu ne sais pas ce que je suis capable de faire ce soir sans toi ! ajoutais-je pour finir de la convaincre

    – Moi aussi j?ai envie me dit-elle mais je n?ai pas le temps ! Mes copines seront là dans une heure et demi et il me reste plusieurs choses à faire.

    Je relâchais ses seins et avant qu?elle ne reprenne ses esprits je m?écartais d?elle, saisit le bas de sa robe, le remontant jusqu?en haut de ses épaules et plaquait une main sur ses fesses et une main sur son pubis avant de la re-coincer contre la table.

    – tu as le diable au corps ce soir ! tu ne vas pas me laisser travailler, non ?

    – Je ne t?empêche pas de travailler. Je vais juste m?occuper un peu toi ! mais je t?en prie continue ta pâtisserie

    Ma main droite continuait son oeuvre et malgré ses protestations mes doigts avaient réussi à se frayer un passage dans l?élastique de sa culotte. Mon majeur glissa rapidement le long de ces lèvres pour atteindre son puit d?amour où une certaine humidité régnait déjà.

    – C?est bon non ? allez laisse toi faire et penche toi bien en avant !

    Joignant le geste à la parole j?appuyais de ma main gauche sur ses épaules pour l?obliger à se pencher sur la table et avec mon pied je l?obligeais à écarter largement les jambes. Mon majeur droit n?eut alors aucun mal à pénétrer son sexe lui arrachant un petit râle.

    – débrouille toi me dit-elle ! mais fais vite et sans me salir.

    – Ne t?inquiète pas je fais à ma manière. Tu peux continuer ta cuisine si tu y arrives.

    Vaincue mais ne voulant pas donner l?impression de se laisser aller elle fit mine d?éplucher les pommes de sa tarte. Penchée en avant, la robe relevée avec un doigt dans la chatte et occupée à peler ses fruits, la situation semblait irréel. Relâchant ma pression je m?agenouillais derrière elle, la tête à hauteur de son postérieur. Ecartant d?une main sa petite culotte blanche j?approchais ma bouche de sa vulve et commençait à la lécher. Son sexe déjà bien humide devint vite inondé et je sentis bien que sa cuisine ne l?intéressait plus beaucoup aux bruits qu ?elle produisait. Après quelques minutes comme cela, je me relevais, ouvris ma braguette, me dépêchait de libérer ma bite au meilleur de sa forme maintenant. Pantalon et boxer autour des chevilles j?approchais mon engin de sa fente et d?une poussée m?introduisit en elle lui arrachant un long feulement. Une fois que mes testicules vinrent buter sur ses fesses, je la saisis aux hanches avant de commencer un puissant mouvement de va et vient. La pâtisserie était oubliée et Hélène se consacrait entièrement à son plaisir. Ecartant les pans du haut de sa robe ainsi que les bonnets de son soutien gorge je mis à l?air sa poitrine généreuse. Appuyant cette fois franchement sur son dos, ses mamelles vinrent frotter sur la table et furent vite recouvertes de farine décuplant son plaisir et mon excitation. Sensible à la pointe des seins, ma femme hurlait son plaisir sous mes caresses et ma pénétration en règle. Après quelques minutes de ce traitement elle fut soudain prise de soubresauts. Je sentis le vagin de ma femme se contracter autour de ma tige. Elle jouissait tranquillement sous mes coups de butoir. Profitant de son orgasme, je sortis mon sexe de sa vulve et le présentait à l?orée de son anus. Avant qu?elle réalise ce qui lui arrive, j?étais enfoncé jusqu?à la garde entre ses fesses. Ma femme n?est pas une folle de la sodomie mais pour mon plaisir et en pleine action elle me laisse parfois utiliser ? l?entrée de service ?. Surprise et énervée elle me lança:

    – salaud ! je ne t?ai pas donné la permission.

    – Je sais ! mais ton petit cul est bien trop tentant pour y résister.

    Je repris ma pénétration lui arrachant plusieurs gémissements. Enserré dans son étroit conduit et excité comme pas deux, je fis quelques aller retour avant de me planter au plus profond de ses fesses et de lui envoyer ma semence dans le fondement. Apres trois ou quatre grosses giclées je m?écroulais sur son dos.

    – Tu as vu dans quel état tu m?as mis ! me dit elle après que je me sois retiré.

    Elle faisait effectivement moins propre et fraîche qu?à mon arrivée.

    Je m?éclipsais discrètement dans la salle de bain pour y prendre ma douche. Une heure plus tard je ressortais lavé, rasé, parfumé et habillé. Je fus surpris de voir qu?elle n?avait pas eu le temps de se rajuster. Les seins pointaient toujours nus de chaque coté du tablier et sa coupe de cheveux faisait un peu hirsute. Par contre la tarte était prête, tout juste sorti du four elle refroidissait sur le coin de la table et embaumait la pièce.

    – J?espère que vous m?en garderez un morceau

    – N?y compte pas trop ! Tu connais mes amies, elles ne partiront pas avant de l?avoir fini.

    – Bon bah si c?est comme ça je vais aller manger à l?auberge de l?étang, déguster leur fameux croquant au chocolat ton petit pêché mignon. Et peut être même que j?irais avec une de mes ex pour finir la soirée en beauté !

    – Tu n?es vraiment qu?un salaud. Je te laisse abuser de moi et voilà comment tu me remercies. Tu n?as pas honte ?

    – Pourquoi aurais-je honte ? Moi aussi cette tarte me fait envie et tu ne m?en proposes pas !

    – Non tu n?en auras pas

    – Alors que me proposes tu en échange ?

    – Je ne sais pas moi ! un mars !

    – Très drôle ! bon alors salut à demain !

    – Non attends que veux tu encore pour ne pas me faire ça ?

    – Et bien je vais sagement au cinéma si tu me permets de me venger de ta bande de copines et de leur appétit !

    – Comment ça ?

    – A genoux je vais t?expliquer !

    Joignant le geste à la parole, je baissais ma braguette et sorti mon sexe qui reprenait de la vigueur pendant qu?elle s?agenouillait.

    – Allez approche et viens t?occuper de moi !

    – Je ne vois le rapport avec ta vengeance

    – Ne t?occupes pas et suces ! lui dis-je en attirant sa tête vers mon sexe.

    Elle entrouvrit les lèvres et commença à lécher mon gland. Cela dura un peu et elle ne semblait pas décider à me faire une vraie fellation.

    – Si tu ne te dépêches pas tes copines vont nous trouver comme ça dans la cuisine. Ca va faire désordre ! Tant pis pour toi moi j?ai tout mon temps.

    Décidée elle fit pénétrer mon sexe dans sa bouche, enroulant sa langue autour de ma tige et sa main saisit mes bourses. Lui saisissant le haut des cheveux et lui bloquant la tête, je commençais à onduler le bassin, me servant de sa bouche comme de son sexe. La coquine glissa une main entre mes fesses et de son index vint agacer mon anus tout en me regardant droit dans les yeux. Au chaud dans la douceur de sa bouche je prenais mon pied à la regarder faire. Le plaisir montait dans ma tige et avant de me laisser aller je l?obligeais à se relever.

    – Passe dans mon dos et masturbes moi s?il te plaît !

    – Quoi ? Je ne comprends rien à ce que tu veux aujourd?hui !

    – Tu vas comprendre. Tu vas bien me branler et me vider les couilles sur ta tarte. Ce soir ta tarte va être sucrée-salée !

    – Tu ne peux pas faire ça ! Tu es fou ! Elles vont s?en apercevoir !

    – Je m?en fous ! Allez branle !

    Plaquée dans mon dos elle saisit mon sexe dans sa main droite et commença une rapide masturbation. Je me rapprochais tranquillement de la table en l?entraînant avec moi. Puis je l?encourageais :

    – Allez vas-y ! Fais moi jouir !

    Elle accéléra encore son mouvement et prit même un malin plaisir à se frotter contre mes fesses.

    – Oh oui ! ne t?arrêtes pas

    Mon plaisir était total et mon jus se répandit vite sur la surface de la tarte. Elle continua à m?astiquer jusqu?à ce que je me sois complètement vidé. Sa tarte était zébrée de 3 grandes traînées blanches qui ne tardèrent pas à s?écouler dans la garniture.

    – Allez file maintenant ! il faut que je me prépare.

    – Bonne soirée chérie

    Apres m?être rhabillé je l?embrassais tendrement puis m?éclipsait.

    4 heures plus tard de retour à la maison je retrouvais Hélène en train de se délasser dans un bain bien chaud. Quand elle me vit elle eut un grand sourire et après que je l?ai embrassé elle me confia dans un grand rire que ses copines s?étaient régalées et lui avaient demandé la recette de sa tarte !! Elle ne leur avait évidemment pas avoué ma petite participation à la recette .

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire