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One Shot Story – Chapitre 1

One Shot Story - Chapitre 1



Je m’appelle Jean-Marc, j’ai trente-cinq ans et je suis animateur radio. Régulièrement, je parcours les rues de mon département à la recherche des alternatives possibles à la politique actuelle, mais aussi pour des rendez-vous sportifs, et associatifs. Aujourd’hui, un organisme m’a invité afin d’assister à un meeting, car je dois aussi représenter ma radio afin de parler de la liberté de la presse à travers le monde.

J’ai rendez-vous du côté d’Angoulême. Le sujet prioritaire concerne l’économie sociale, locale, et internationale, puis par la suite, il y aura plusieurs ateliers. L’un est consacré justement à l’économie, un autre sur la liberté des femmes dans le monde, puis un dernier concernant donc la liberté des médias à travers la planète.

Il est maintenant midi, j’arrive dans un complexe sportif assez vaste, il faut le reconnaître. On peut d’ailleurs y pratiquer plusieurs sports puisqu’il y a une salle réservée au handball, au basket, au badminton, et au karaté. Un peu plus loin, il y a une salle spécifique pour la danse, et au milieu de tout ça, il y a une grande cour permettant aux gens de se rassembler.

Je m’y rends donc avec mon sac plastique contenant un sandwich, ma bouteille de soda et un flan. Je salue les gens qui sont autour de la table. Je les connais pour la plupart puisque je les croise assez régulièrement au cours de l’année puis nous discutons de tout et de rien. Les propositions de ce parti politique sont souvent les mêmes donc c’est un peu rébarbatif, mais je m’y suis fait. J’aurais même tendance à dire que j’adhère un peu à leur idéologie.

Il est maintenant midi et demi, tout le monde est à table quand soudain un couple arrive un peu essoufflé. Ils se sont visiblement retrouvés dans les bouchons, d’où ce léger retard. Lui est plutôt grand, blond, il doit avoir la cinquantaine, tandis que sa femme est plutôt élégante, elle porte une robe noire qui lui arrive au-dessus du genou, son visage est un peu fermé, visiblement ce n’est pas trop son truc d’être dans un meeting de ce style.

Le couple s’assoit à côté de moi, nous discutons brièvement, j’apprends qu’ils viennent d’arriver depuis un mois dans la région, lui est visiblement expert en économie, il s’appelle Thierry, et elle est une femme au foyer Jeanne. J’apprends qu’elle est la mère d’un garçon de dix-huit ans, et qu’il est intéressé par les métiers de la radio. Je lui explique gentiment, que ce dernier peut venir lorsqu’il aura du temps afin de se familiariser avec l’ambiance d’un studio. Elle me remercie, prend avec attention des notes sur un bout de papier, puis nous terminons cette discussion.

Il est maintenant quatorze heure, le débat sur l’économie est en train de se mettre en place, les adhérents mettent les chaises en rond afin que tout le monde puisse participer, puis nous nous asseyons. L’essayiste économique qui est présent part dans un monologue d’une demi-heure. Sans vous mentir, j’en baille d’ennui et visiblement Jeanne est du même avis que moi. Nous échangeons quelques fois des sourires de politesse, elle plie et déplie ses jambes lorsque je la regarde un peu avec insistance. J’avoue que j’ai eu un petit faible pour cette dernière lorsque je l’ai vu arriver tout à l’heure, mais j’ai un peu de mal à croire en la réciprocité de ses sentiments.

Son mari étant un homme charmant, et très intelligent. Pour preuve, lorsque le débat s’est ouvert au public, il a mis à mal plusieurs fois l’intervenant.

Il est maintenant seize heure, c’est l’heure de la pause syndicale, les gens discutent entre eux, et cette belle brune vient me voir à nouveau, me demande si le spectacle qui m’a été offert était satisfaisant.

Je ne peux que lui dire oui, même si de là où je me trouvais lors du débat, j’étais un peu loin, donc du coup, je ne voyais que de l’ombre en dessous de cette robe.

En gros, je suis en train de me faire allumer par cette femme, j’apprends par la même occasion qu’elle a quarante-sept ans, qu’elle n’aime pas trop cette journée, car elle s’ennuie fermement. Je lui demande maladroitement si elle a pour habitude de suivre son mari partout sur tous les meetings, et elle me répond que oui, car ce dernier aime bien mettre son savoir économique en avant.

C’est un homme qui est fier de lui, me dit-elle en faisant une mine déconfite. Le responsable du meeting nous appelle, nous devons rejoindre les ateliers, et bien entendu Jeanne vient dans le mien, celui qui concerne la liberté de la presse dans le monde. Au bout d’une heure trente, je termine mon exposé, puis nous sommes invités à boire un apéritif local.

Rien de bien extraordinaire me diriez-vous puisqu’il s’agit simplement d’un pineau des Charente fabriqué par un artisan local. Son époux revient vers nous, il a un regard un peu noir lorsqu’il voit la complicité que j’ai avec sa femme, mais sincèrement, je n’y suis pas pour grand-chose.

Je suis quelqu’un d’assez joyeux et d’ouvert à la discussion. Mais n’empêche qu’il insiste un peu, donc pour le coup, je m’écarte un peu, puis vais prendre mon plateau repas. Je m’installe à table avec un très vieux militant qui a un vécu exceptionnel. Je l’écoute avec attention, puis je relève un peu la tête, Jeanne semble me chercher du regard, le trouve et vient s’asseoir à table.

Elle s’excuse pour le comportement de Thierry. Je lui dis que je comprends tout à fait cette réaction, car elle est une femme plutôt jolie. Elle semble gêner, elle doit même rougir, mais dans le noir cela se voit très peu, mais sa voix vacillante me fait penser que j’ai raison.

Je lui demande où se trouve son mari, elle me répond qu’il est parti de nouveau avec l’essayiste économique afin de débattre de nouveau. Il est maintenant vingt heure, les habitués du comptoir boivent des bières tout en refaisant le monde, une pièce de théâtre va avoir lieu dans une poignée de minutes dans une salle réservée à cette effet et puis il y a nous.

Jeanne intervient d’une façon un peu surprenante, et me propose de faire une balade autour du complexe. Je n’y vois aucun inconvénient, même si au fond de moi mes sentiments, mais aussi mes pulsions n’en pensent pas moins. Nous marchons pendant une dizaine de minutes, nous sommes assez loin du meeting, elle me prend par la main, puis nous nous asseyons sur un banc caché par un buisson.

Elle ne me lâche toujours pas, je l’interroge sur son comportement, puis sans en dire plus, elle approche sa bouche de la mienne. Nous nous embrassons et nous nous faisons plusieurs câlins.

Une phrase m’électrifie totalement, elle me demande si je connais un endroit discret afin d’aller un peu plus loin, je le dis ici avec ses mots. Je lui réponds qu’à cette heure-là, les salles de sport sont généralement fermées, mais que l’on peut toujours essayer.

Nous nous dirigeons vers le coin handball, mais les portes sont fermées, côté basket aussi, puis miracle, la salle de danse est ouverte. Nous avançons doucement, car nous sommes dans le noir complet, je cherche le coin vestiaire avec la lampe torche de mon téléphone portable et je le trouve.

Ce coin est assez pratique, puisqu’il n’y a pas de fenêtres donnant sur l’extérieur, je m’autorise alors à allumer la lumière de la pièce en question, nous prenons soin de fermer la porte puis nos bouches reprennent contact. Cette fois-ci, nos langues jouent entre elles.

Cette femme me fait monter dans les tours, je suis un peu serré dans mon pantalon, je n’ai pas une verge incroyable, car elle fait dix-huit centimètres, mais c’est tout de même gênant. Jeanne voyant ceci, se met à genou devant moi, défait ma ceinture, ma fermeture éclair puis baisse mon vêtement.

Mon caleçon ne tarde pas à suivre le même chemin, j’en profite alors pour enlever ma chemise. Je suis à présent nu face à elle. Avec sa main, elle saisit mon sexe, me masturbe dans un premier temps d’une façon plutôt agréable. Elle me caresse même les testicules, puis soudain sa bouche s’ouvre.

Elle y fait entrer ma verge à l’intérieur afin de m’offrir une fellation d’une douceur extrême. Elle joue avec mon gland, puis je la saisis par les aisselles afin de la relever. Je montre à présent mon côté séducteur sensuel. J’embrasse son cou avec tendresse, son parfum est plutôt envoutant, ça rajoute une dose de sensualité supplémentaire.

Puis, je caresse le haut de son dos ou de sa poitrine avec douceur. J’essaye de me montrer un peu plus viril, puisqu’à travers le tissu de sa robe noire, j’ai saisi sa poitrine avec mes mains. Je la malaxe, la fais un peu remonté, puis commence à faire glisser les bretelles de sa tenue.

Elle m’aide légèrement, elle est à présent en soutien-gorge face à moi, ce dernier ne reste pas très longtemps sur elle. Sa poitrine se dévoile à présent sous mes yeux, elle est encore bien en place, ses seins ont une belle forme, et ses tétons sont fièrement dressés d’excitation.

Je ne peux m’empêcher de les embrasser, de les mordiller, de les sucer puis je pousse gentiment Jeanne en direction d’un banc qu’il y a au centre de la pièce. Elle s’assoit, et moi, je me mets à genou. Je reprends quelques instants mes préliminaires au niveau de sa poitrine, puis je glisse malicieusement une main en dessous de sa robe. Elle sursaute légèrement, puis je pars à la recherche de son puits d’amour. J’écarte son sous-vêtement, puis glisse deux doigts dans cette fente humide. Sa tête part un peu en arrière, cette première pénétration semble lui créer une sorte de soulagement si je m’en réfère au soupir qu’elle vient de faire.

Je continue mon manège quelques instants, puis je soulève ses jambes. Je lui enlève son string noir, puis plonge tête la première en direction de ses lèvres pleines d’envie. Je lèche abondamment son petit bouton, dirige ma langue vers sa vulve, je n’y rentre que deux centimètres, mais je sens qu’elle est déjà dans une situation explosive.

Je ne me trompe pas puisqu’au bout de cinq minutes son bassin se contracte et son vagin expulse plusieurs jets de cyprine sur ma bouche. Elle saisit ma tête entre ses deux mains, tout en lâchant, un, « c’est trop bon ». Je me relève un peu, puis au moment de passer à l’étape suivante, je m’aperçois que je n’ai pas de préservatifs, n’ayant pas pour habitude d’avoir des plans culs, je n’y pense jamais.

Je lui en fais part, elle n’y voit aucun inconvénient, elle me dit même qu’avec l’excitation qu’il y a, en elle ça serait dommage de ne pas éteindre l’incendie. Je prends cette réponse, pour une affirmation, donc du coup, je me re concentre un peu, puis je me positionne face à elle.

Le sexe droit comme un i, je me frotte quelques secondes contre sa vulve humide, puis d’un coup de bassin, je m’enfonce en elle.

Je commence à faire des mouvements à la fois lents et rapides, l’intérieur de son vagin est d’une douceur incroyable. Mais nous ne sommes pas ici pour faire dans le sentiment, ou l’émotion donc du coup, je deviens beaucoup plus bestial.

Je saisis à présent ses jambes que je positionne sur mes épaules, je la pénètre encore plus en profondeur, il me semble même que je lui touche le fond, mais je n’en suis pas sûr. Ses fesses claquent contre mes cuisses, puis nous changeons de position.

Je suis à présent assis sur le banc, elle vient s’empaler sur moi, elle monte et descend comme une furie. J’étais très loin d’imaginer ce côté audacieux lors de notre première discussion. Toujours est-il que je prends un pied d’enfer. A chaque fois qu’elle monte, je lui lèche les seins, elle semble apprécier ce traitement de faveur. Au bout de quelques minutes, son vagin se contracte au niveau de ma verge, et je sens un liquide chaud couler contre la tige.

Elle vient d’expulser une dose incroyable de cyprine, dans le même temps, elle a poussé un grognement de plaisir assez incroyable. Elle reprend ses esprits, puis nous nous mettons sur le sol. Je la positionne sur le côté, puis commence à la prendre en cuillère. Ses fesses claquent contre le bas de mon ventre, et puis je cherche forcément à la pénétrer en profondeur. Je veux l’emmener vers un plaisir intense, et puis je ne veux pas qu’elle m’oublie comme ça, me dis-je inconsciemment.

A présent, je l’ai mise à plat ventre sur le banc, et la prend sauvagement. Elle grogne de nouveau de plaisir, mais le banc n’est pas très pratique pour effectuer cette position donc nous nous mettons sur le sol. Je me déchaîne comme un forcené dans cette position. Ses fesses claquent de nouveau outrageusement contre le bas de mon ventre.

Dans un élan de lucidité, je lui demande si elle souhaite que je jouisse sur ses fesses ou à l’intérieur de son vagin. Sa réponse m’électrifie et me fait jouir dans le même temps, car elle m’a répondu clairement qu’elle voulait mon jus au fond de ses entrailles. Je suis donc maintenant au fond d’elle en train d’y déverser mon sperme. Tandis qu’elle-même a joui une fois de plus.

Nous nous relevons difficilement, nous nous câlinons, elle me dit qu’elle a aimé, je lui réponds la même chose, nous nous rafraichissons autour d’un lavabo, puis nous retournons en direction du meeting.

Pendant le chemin, elle me dit que cette aventure devait être la seule et la dernière entre nous, je lui réponds qu’il n’y a aucun souci pour ça. Il est maintenant vingt et une heure trente. La pièce de théâtre est terminée, mais heureusement qu’il y a un concert acoustique.

Ça nous permet d’arriver sur place en mode discrétion totale. Thierry est encore une fois en train de débattre avec l’économiste essayiste. Jeanne le rejoint, avec une mine à moitié joyeuse, et triste à la fois. De mon côté, je vais me boire une petite bière au comptoir puis je prends la décision de partir aux alentours de vingt-trois heures.

Avec Jeanne, nous nous sommes revus en tout bien tout honneur quelques fois, lorsque son fils voulait apprendre les métiers de la radio, mais nous n’avons jamais eu une nouvelle relation sexuelle.

J’en garde toutefois, un souvenir intense.

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