— Alors c’est bon, tu lui as tout raconté ?
— Non, je lui ai pas encore parlé du chenil complet, mais elle sait déjà que je me suis faite prendre pendant que j’étais enceinte
— Et bien, bon courage… Je vais préparer le repas de ce soir, allez chercher Rex et revenez vite !
Alexandra venait de revenir dans le salon, elle portait un leggins gris et un t shirt long qui lui cachait les fesses. Sa mère et elle prirent la route de chez elles immédiatement après l’arrivé de la rouquine.
— Regarde, le chien est là mais visiblement il n’y a personne d’autre
— Tu es sûre ? Viens on va se cacher derrière la haie, on attend un peu et si il se passe vraiment rien, on retourne à la maison.
Karine et Johanna réussirent à se glisser entre la haie et le mur délimitant le jardin, les portillon étant rarement fermés à clé dans ce village, elles avaient trouvés le coin idéal pour voir sans êtres vues. Rex avait senti la présence des deux femelle sur son territoire, mais son expérience avec la jeune maman durant la nuit lui avait suffit pour le moment.
— Putain je me fais chier… Tu me laisses te caresser la chatte ?
— Quoi ?! Ici ?
— Fais pas ta timide, demain tu va partir alors autant me laisser profiter un peu de toi.
— Et si Rex vient nous déranger ? Pire, si il se coince dans l’un de nos trous et que la propriétaire revient à ce moment-là ?
— Ne t’inquiètes pas, on s’est bien vidée du jus de Filou, on risque rien !
— Mais…
Johanna posa son doigt sur la bouche de Karine et colla ses seins sur ceux de sa complice. L’espace restreint entre le mur et la haie obligeait les deux femmes à se serrer mais la belle blonde avait déjà placé sa main sous la jupe de la jeune maman.
— Oh ! Mais on dirait que je ne suis plus la seule à pas mettre de sous-vêtements !
— Si, j’ai remis mon string fendu en fait, je trouve que c’est un bon compromis
— Ce même string que tu portais quand ton chien t’a enculé la première fois ?
A cette pensée, Karine sentit son sexe s’humidifier, ce que Johanna remarqua immédiatement. Afin de profiter de sa partenaire, elle la masturba rapidement avant de porter ses doigt à sa bouche, puis elle l’embrassa fougueusement. La jeune maman sentait le goût de son propre plaisir sur la langue de la métisse, ce qui eut pour effet de l’exciter encore plus. Ainsi cachées derrière une haie, les deux jeune femme profitaient d’un rapport intime à labri des regards. Seule leurs respirations pouvait trahir leur présence mais le calme environnant laissa bientôt place à deux voix distinctes.
— Tous en même temps ?
— Bien sûr que non ! Elle est allée dans les cages les unes après les autres pour savoir quelle race était le plus apte à s’accoupler.
— Alors c’est comme ça que tu l’as rencontrée ?
— Oui, Stacy est vraiment doué pour ça, elle a un don pour savoir à quel moment un chien est prêt pour une pénétration… Rex ! Viens mon beau !
— Donc, tu as perdu ta virginité avec un husky que tu as laissé te prendre par la suite au moins trois fois par semaines, après tu as fait la connaissance de mon père avec qui tu es tombée enceinte, pendant ta grossesse tu as laissé un dalmatien te prendre à plusieurs reprises et maintenant c’est un berger allemand qui te procure du plaisir ?!
— Qui me procurait du plaisir, depuis que ton père l’a confié aux deux filles, il ne cherche qu’à me prendre par derrière. Je l’ai laissé faire la première fois parce que je ne m’y attendait pas.
— Mais tu as eu ta vengeance non ? Grâce à mes effluves qui poussent un chien à passer un nud et à gicler, tu as pu les voir toutes les deux se faire presque violer par Sultan et Rex ?
— Oui ma chérie, mais ce soir elles n’ont aucune idée de ce qui les attends ! On a préparé une surprise avec Stacy et je peux te garantir qu’elle s’en souviendront toute leurs vies !
Karine et Johanna étaient restées figée durant la présence de la mère et sa fille. Le doigt de la métisse était resté immobile dans les entrailles de la jeune maman dont elle sentait les contractions vaginales refléter ses réactions.
A suivre…