Suite :
La vue de ce magnifique cul ainsi écarté est alors une des plus belles choses que je navais jamais vu ! Je profite un peu mon plaisir puis décide dy retourner. Toujours dans cette position, je mintroduis dans son anus et la lime franchement. Je me retourne et vois dans mon dos une chose que je navais pas remarqué encore : le miroir du placard de la chambre. Celui-ci me permet davoir une magnifique vue sur la scène, comme si je matais un porno. Dans le miroir on peut voir mon cul poilu et tendu (aucun intérêt.) mes couilles qui pendent et ma bite qui rentre entre de belles fesses, elles-mêmes écartées par deux mains aux ongles délicatement vernis. Juste en dessus, je vois une belle chatte bien ouverte et trempée dont les lèvres remuent légèrement à chacun de mes coups de boutoir. Sans confusion possible, je vois également une longue trainée de mouille qui coule le long dune de ses cuisses et des goutes qui pendent et parfois tombent de son clitoris, gonflé de plaisir. A notre droite, je vois le corps endormi du mari de la femme que jencule en ce moment.
En mateur professionnel et amateur de porno, je reste longtemps fixé sur cette scène et prends mon temps pour faire durer cette sodomie le plus possible. Puis je décide de changer de position. Je fais lever Caroline et la place debout, contre le mur de la chambre à 50 cm de la tête de lit et accessoirement de la tête de son mari. Je lembrasse puis la retourne et lui fait tendre le cul, jambes serrées. Je me renfonce dun coup dans son fion et reprends mes vas-et-viens délicieux.
Rapidement, je sens lorgasme monter mais ne veux pas encore jouir. Je gagne donc du temps et me permettant quelques perversités. Ainsi, je me retire et approche les fesses et lanus grand ouvert de Caroline à quelques centimètres du visage du mari.
— Cuve bien ton vin, poivrot, lui dis-je en chuchotant. Pendant ce temps, je moccupe de ta femme Cest une sacrée salope, tu sais Elle suce divinement bien et baise comme une déesse. Et regarde-moi ce trou du cul elle était vierge de ce trou il y a encore 10 minutes et elle na jamais voulu te laisser la prendre par là Et bien moi, je lui défonce le fion à ta femme !
Puis je lui remet ma bite dans le fion et la défonce violemment durant un bref instant avant de me retirer à nouveau pour déballer les pires horreurs quon peut dire à un homme à propos de sa femme. Je répète ce schéma un certains nombres de fois et gagne ainsi de précieuses minutes denculage en contrôlant ma jouissance si proche. Mais Caroline finit par me demander :
— Fabien sil te plaît Je commence à avoir très mal et jai vraiment peur quil se réveille Tu peux finir ?
— Pas de soucis viens là.
Je me retire et la fait sagenouiller. Je me masturbe au-dessus delle avec la ferme intention de jouir sur son beau visage.
— Cet après-midi, tu mas dit quune faciale aurait taché ta robe et gâcher ton maquillage Plus aucun problème maintenant, nest-ce pas ?
— Non, plus aucun Viens sur moi, mets-moi en partout sale pervers !
Ces mots déclenchent immédiatement le premier jet de sperme qui sabat sur son front et ses cheveux. Ce nest pas aussi abandonnant que tout à lheure mais lexcitation fait que les jets sont tout de même puissants. Le reste de mon foutre lui arrive sur une joue et sur les lèvres te le bout du nez. Rechignant à sucer une bite qui vient de sortir de son trou du cul, elle se contente dun petit coup de langue sur mon gland pour la dernière goute.
Alors quelle se relève et va vers la salle de bain pour se nettoyer, je me rhabille et contemple encore un peu son corps alors quelle essuie le sperme de son visage.
Nous avons passé ensuite le reste de la soirée dans la voiture à discuter de vos vies, à nous embrasser et à nous dire que nous souhaitions absolument nous revoir. Effectivement, nous nous sommes revus mais, clairement, il ny avait pas la même passion que durant cette nuit fabuleuse. Puis un jour, Caroline mannonça que son mari avait totalement arrêté lalcool, que ce nétait plus le même homme et quelle souhaitait donner une nouvelle chance à son couple. Ce que je pouvais tout à fait comprendre, dautant quelle navait aucun avenir sérieux avec un jeune comme moi.
Cette expérience ma apporté plusieurs choses : dune part de lexpérience niveau sexe, ce qui me manquait cruellement jusqualors. Dautre part, cela a achevé de me rendre accro au voyeurisme car cela ma prouvé que, non seulement on pouvait se faire plaisir en regardant mais que ça pouvait aussi déboucher sur quelque chose de plus concret.
A partir de ce jour je me suis convaincu quen matant ou touchant une inconnue, celle-ci pouvait se prêter au jeu et en redemander. Caroline devait être une exception car il a fallu attendre des mois avant que ce genre de miracle se produise à nouveau. Entre temps. Rien !
Durant la période de célibat qui suivi ma « séparation » avec Caroline, jai développé ma technique pour mater les filles. Toutes les occasions étaient bonnes Jétais particulièrement actif à la Fac, au printemps, où les filles souvent peu farouches mettaient régulièrement des tenues disons. légères. Sur les marches des amphis je captais régulièrement les culottes des copines de promo assises négligemment. En cours je prenais toujours un place qui surplombait qui jolie nana avec un décolleté plongeant ou à côté dune avec une minijupe. Même si je ne voyais pas son entrejambe, la voir croiser et décroiser ses jambes et révéler une bonne partie de ses cuisses était très excitant. Si je me retrouvais dans les bancs inférieurs, je prétextais discuter avec des potes derrière moi pour me retourner et mater les cuisses des filles dans mon champs de vision. Le plus souvent, il faut avouer, je voyais des genoux disgracieux et des jambes solidement serrées. Mais parfois, le hasard voulait quune croise les jambes à ce moment et me montre sa culotte.
Une seule fois durant cette année à la fac jai vu une fille qui ma allumé durant un cours. Mayant sans doute grillé à force de me retourner, elle sest amusée avec moi et écartait les jambes à chaque fois que je tournais la tête pour faire semblant de chercher quelquun du regard. Cétait à chaque fois bref et furtif mais sa petite culotte rose ma ravi durant une heure. Puis, juste avant la fin de la séance, elle est partie avec un autre groupe délève et je ne lai plus revue (des promos à 120 étudiants dont certains ne faisaient que quelques modules).
Un autre endroit où je pouvais me faire plaisir, cétait dans les chambres universitaires. Dans ces logements liés au campus mais gérés comme des mini appartements, on croisait régulièrement des filles en tenue décontractée ou même en carrément en sous vêtement quand elles sortaient des douches. Car si les douches nétaient évidemment pas mixtes, les couloirs, eux, létaient, si bien quen tombant au bon moment, vous pouviez marcher derrière une nana en shorty et top ultra moulant ou même seulement vêtue dune serviette. Et dans ce contexte de jeunes adultes perpétuellement en drague, nombreuses étaient les filles à allumer les mecs avec des pyjamas sexy, des serviettes de bain courtes ou même des flash seins nus au détour dun couloir. Jai vu un nombre impressionnant de boobs durant cette première année de Fac ! Par contre, il était un peu déroutant de croiser une fille en cours qui vous regarde à peine alors que la veille, elle sest amusée à ouvrir sa serviette devant vous, juste avant de rentrer dans sa chambre et de vous planter là
Mais le mieux que lon puisse faire en termes de voyeurisme quand on est dans une ville étudiante, ce sont les transports en communs, lété. Rien ai plus excitant quun bus de ville rempli détudiantes courtes vêtues quand il fait 30 degrés avec une atmosphère électrique.
Durant les mois de mai et juin de cette année, la vagues de chaleur étaient assez pénibles mais avaient lavantage de raccourcir les jupes et les débardeurs et faire parfois disparaitre les soutifs Je passais mon temps libre dans les bus de la ville pour aller dun point A à un point B sans but aucun, en sélectionnant évidemment les lignes fréquentées par les étudiantes, notamment celles qui desservaient les fac de psycho, socio ou bio, là où les filles étaient largement majoritaires.
Durant les premières semaines, je me contentais de massoir et de mater les fesses et les cuisses à ma hauteur. Les tétons qui pointaient sous des débardeurs trempés par la sueur étaient également très agréables à contempler. Mais lexcitation que cela me procurait était proportionnelle à la frustration de ne pouvoir en voir plus. De ne pouvoir toucher quoi que ce soit
Après quelques recherches sur internet, jai finalement fait lacquisition dune mini caméra USB, de qualité moyenne, qui, une fois dissimulée dans ma main, me permettait de filmer sous les jupes des filles. Un nouveau monde souvrait à moi car enfin, je pouvais voir les culottes, les strings et parfois les sexes des filles qui me faisaient bander dans le bus ou même à la fac, à la faveur dune montée descalier.
Ainsi, pendant des jours, je me mettais debout dans les bus bondés, me teniais à une barre dune main et filmais sous les jupes de lautre. Cest au cours dun de ces « tournages » que jai touché pour la première fois les fesses dune inconnues et ai franchi un nouveau cap dans mon addiction. Je filmais en effet le cul dune fille quand une violente secousse du bus ma déséquilibré et ma fait toucher de la main les fesses de la fille. Mais comme la secousse avait surpris tout le monde, la fille na pas réagi et a fait comme si de rien nétait.
A partir de ce jour, en plus de mater et de filmer, je profitais de chaque secousse, même minime, pour effleurer une cuisse ou une fesse. Puis, selon la situation et la réaction de la fille, je retentais ma chance en palpant plus franchement ses fesses. Dans la grande majorité des cas, au bout dune ou deux fois les filles se retournaient et exprimaient leur agacement. Jarrêtais là. Parfois je laissais ma main sur une fesse dune fille plus « compréhensive » mais elle me chassait de la main et jarrêtais de limportuner.
Mais un jour, une fille, LA fille, ne retira pas ma main. Cest ainsi, dans un bus en plein été, quune expérience terriblement excitante mest arrivée et sur laquelle je vais mattarder un peu.