Il m’a rappelé. J’ai attendu cet appel, remplie de honte.
-Tu vas recevoir un colis. Une tenue. Tu la mettras puis un taxi viendra te chercher.
Le colis est arrivé. Des talons vernis aux talons immenses, des bas, un harnais de cuir, un collier de chienne, une laisse, un imper et un foulard. Je passe le harnais. Des sangles de cuirs enserrent mes seins. en dessous un serre-taille que je serre au maximum. De ce serre taille deux sangles descendent vers mon sexe, passe sur mes aines et remonte le long de mes fesses. Je serre encore au maximum pour que mon sexe gonfle et que mes fesses s’écartent. J’enfile les bas. En prenant les talons dans la boîte, je découvre un étuis en métal. A l’intérieur, un plug. Je le glisse dans mon anus. je me regarde dans la glace en mettant le collier et en fixant la laisse. Je suis obscène. Mes seins sont tendues entre les sangles, mon anus est ouvert et mon sexe ruisselle déjà. L’interphone sonne. Mon taxi.
Nous quittons Paris par l’A1. Peu avant Senlis, nous quittons l’autoroute. Nous voila sur une route de campagne, en forêt. Enfin mon point d’arrivée, une demeure bourgeoise dans un parc.
-Voilà ma petite dame
Je descends. Mon Maître est là, à la porte, en haut du perron. Je monte. Il m’enlève le foulard, prend la laisse et me conduit dans la maison. Dans le salon je découvre une grande pièce, trois hommes et deux femmes. Ils me regardent tous.
-Voici notre chienne? demande l’un d’eux.
Mon maître ne répond rien. Il se contente de m’enlever mon imper.
-Une bien jolie chienne. Mets toi à quatre pattes! M’ordonne une des femmes.
je m’exécute. Mon maître me mène au milieu du salon. Je découvre alors deux autres invités: deux dobermans couchés sur le tapis du salon. Me voir à quatre pattes les fait se lever. Ils viennent vers moi, ils me sentent.
-Suce!
La femme veut me voir sucer les chiens. Je tends ma bouche, touche délicatement une des verges. Elle pousse ma tête
-J’ai dit suce!
Me voici suçant la queue du premier chien alors que l’autre lèche ma chatte. La femme saisi la pointe de mon sein et le presse entre ses doigt
-Oui, suce le bien, mieux que ça.
Me voila avec cette queue qui gonfle entre mes lèvres et le goût âcre de la bête dans ma bouche. La langue de l’autre chien me mène à l’orgasme. je jouis subitement, par secousse.
-Qui t’a donné le droit de jouir, Chienne?
Oui, j’ai joui sans en avoir le droit, sans pouvoir me retenir.
-Nous avons là une jolie chienne très mal éduquée. Nous allons changer cela.
Deux des hommes me soulèvent et m’entraîne vers les caves. Les chiens, les femmes, toute la troupe nous suivent.
La cave est voûtée, nantie de tous les instruments nécessaire pour un donjon. Me voilà suspendue par les bras, bras et cuisses écartés par des barres. Une des femmes insistes pour que mon harnais me soit ôté. On lui donne satisfaction. Puis elle rend un long fouet
-Nous allons faire ton éducation petite chienne.
-Oui Madame
Elle commence alors à me fouetter. Les hommes s’assoient dans des fauteuils et se branlent. L’autre femme suce l’un d’eux. Mon Maître prend lui aussi un fouet et alors que la femme meurtrie mon dos, il s’attache à zébrer mes seins et mon sexe. Les hommes assis dans leur fauteuil comptent les coups avec délectation. Parfois l’un d’eux se lève et vient prendre la place d’un des fouetteurs. Nous en sommes a plus de cent coups, mon corps est en feu. La femme vient alors fouiller mon sexe et constate mon état d’excitation total.
-Cette chienne mouille sous le fouet! Passons à autre chose.
Elle fixe alors des pinces à mes lèvres et à mes tétons. Elle les relie par de grosses chaînes lourdes qui étirent mon sexe et mes seins. Enfin, elle accroche de pinces aux chaînes. C’est par là que le courant passera!
J’hurle, je supplie. Mon Maître s’approche de moi et me murmure à l’oreille
-Veux-tu arrêter?
Je le regarde avec défi
-Non, je suis la pire putain que tu connaîtra de toute ta vie.
Il s’écarte de moi et d’un signe lance le supplice. L’un des hommes tourne une manette et les décharges électriques viennent parcourir mes seins et mon sexe, régulière, brutale. Mon Maître reprends un fouet et donne un rythme régulier à son fouet sur mon dos. Je ne sais plus ce qui est le plus douloureux ou le plus jouissif.
La femme décide d’accentuer la douleur en fixant des poids aux chaînes. 500 g s’ajoute à la traction des chaîne. 500g pour ma lèvre et mon téton droit, 500g pour la gauche. Elle continue. Elle s’arrête à 2kg.
L’un des hommes n’en peut plus. Il veut me prendre
-Maintenant, il me faut son cul!
Mon Maître le laisse venir derrière moi. L’homme ôte mon plug sans ménagement et pénètre mon anus. Les décharges électriques combinées à cette pénétration me font jouir en rafale. Je bave de plaisir. L’homme gicle dans mon cul.
-Cette chienne jouit encore sans autorisation!
-Aux chiens, aux chiens!
Ils sont fous de plaisir. Je sais que je les mène là où ils n’iront jamais plus. Avec aucune autre femme. Lorsqu’ils me détachent, je sais que je suis maîtresse de ce jeux pervers. Ils peuvent alors enduire mon anus, garnir mon sexe d’un gode gonflable. Je sais, quand les chiens me prennent tour à tour dans l’anus, alors que le gode empli de plus en plus mon sexe, ils peuvent me mater sans y croire. Oui, je suis l’extrême putain, l’extrême plaisir. Et je jouis par mon cul empli, par ma chatte défoncée. Je suis l’ultra-putain, maîtresse de ce jeu, pièce centrale où ces patins voyeurs ne sont rien. Je suis tout car je suis le plaisir sans limite, sans tabou. Je suis plaisir. Je me vois dans le miroir, à quatre patte, les chaines encore attachées à mes seins et mon sexe, les griffes du chien contre ma peau, sa queue gonflée, immense, au plus profond de mon cul. Je suis au-delà des tabous et du monde, je suis animale et jouissance pure.