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Paul devient Paule – Chapitre 5

Paul devient Paule - Chapitre 5



Frankie me libère de sa machine infernale, en prenant son temps pour défaire la cordelette autour de mes couilles. Malgré les éjaculations, je bande toujours un peu et ses doigts parcourant mon membre finissent par lui redonner de la vigueur.

— Petite coquine … dit-il doucement alors qu’il se saisit des pinces sur mes tétons, tu es vraiment une chaude toi !

Il presse lentement sur les pinces pour ouvrir les mâchoires qui mordent mes tétons endoloris. J’ai l’impression qu’il me les arrache. L’afflux de sang provoque cette douleur intense, qui augmente aussi mon érection.

Je me redresse, chancelante sur mes jambes, et je retrouve Marie dans le bureau de Frankie. Souriante, elle m’accueille en me prenant dans ses bras. Elle m’embrasse à pleine bouche, suçant ma langue. Frankie se colle à mon dos, plaçant sa queue entre mes fesses. Pris entre eux deux, je me laisse aller, soumise aux désirs de mes hôtes.

— Ramène-la-moi en début de soirée, dit Frankie, il y a de nouvelles arrivées cette après-midi qui seront ravies de la trouver ici !

— Pas de problème mon Frankie !

Avant de me laisser la suivre, il se frotte dans mon dos, passant son gland le long de ma raie. Je me cambre en écartant légèrement les cuisses. Une main passe sur mon ventre et glisse vers ma verge dressée pour la presser doucement alors que de l’autre malaxe mon sein tout en tirant sur le téton. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir. Ce mec sait y faire ! Je recule le bassin à la rencontre de son pieu de chaire… il peut me prendre là, tout de suite…..

— Allez, file ! Dit-il en me donnant une claque sur les fesses.

Je me retrouve devant sa porte sous les yeux rieurs de Marie :

— T’es encore excitée comme une petite cochonne ! Le regard rivé sur ma queue.

Après le déjeuner, Marie me demande de me rendre à un bungalow.

— Je voudrais que tu voies mon amie, Clara. Elle sera de bon conseil pour la suite… elle est toubib !

Elle m’aide à me préparer en me mettant du mascara, un peu de rouge à lèvres et du vernis sur les ongles. Elle me confit également des sandales à talon.

— Tu es vraiment superbe ma chérie me dit-elle avant de me laisser partir.

Je frappe à la porte du bungalow après avoir traversé une partie du camp.

— Bonjour… je suis Paule… c’est Marie qui m’envoie…..

— Salut toi me répond la femme qui vient d’ouvrir la porte.

Elle doit bien avoir près de la cinquantaine et elle a un corps de rêve. Sa poitrine volumineuse pointe fièrement devant elle, exposant des tétons bien sombres aussi gros que mes pouces. Sa taille fine met en valeur ses hanches bien proportionnées et ses fines jambes semblent interminables. Perchée sur des talons aiguilles, elle me domine d’une tête. Son regard noir comme ses cheveux longs est perçant. Elle s’écarte pour me laisser passer.

— Entre ma belle, Marie vient de m’appeler m’invite-t-elle en passant sa main dans mon dos. Allons sur la terrasse de l’autre côté !

Je marche un peu devant elle. Je sens son regard dans mon dos. Inconsciemment peut-être, je marche en roulant les hanches. Elle me rattrape en passant la porte, me serrant un peu contre elle. Je sens son pubis glabre contre ma hanche.

— Je te présente Alice, me dit-elle en désignant la jeune femme allongée sur le transat. Alice, voici Paule, l’amie de Marie…

La jeune femme métisse tourne la tête vers nous. Elle est ravissante avec son grand sourire. Elle se lève pour venir me faire une bise. Je découvre alors son corps magnifique avec sa poitrine tout aussi imposante que celle de Clara mais aussi une superbe verge circoncise aux bourses toutes lisses. Bien qu’au repos, elle est déjà d’une taille plus que respectable.

— Peux-tu nous préparer des boissons ? Lui demande Clara. Asseyons-nous me dit-elle en me désignant une banquette alors qu’elle s’installe dans le fauteuil en face de moi.

Je regarde Alice quitter la pièce, sans chercher à dissimuler mon érection naissante avant de m’assoir. Clara regarde ostensiblement ma queue maintenant dressée avec un petit sourire tout en se passant la main sous un de ses seins proéminents. Son téton bandé semble me désigner tellement il pointe.

— Marie m’a bien dit que tu étais une belle petite cochonne bien chaude !

— Excusez-moi … mais… elle est vraiment jolie…

— Elle te plaît mon Alice ? Tu as bien raison ! Tu aimerais être comme elle ? Tu aimerais avoir ses belles grosses mamelles, hein ? Ajoute-t-elle en venant s’assoir près de moi.

Elle me tourne vers elle en me prenant les épaules puis passe ses mains sur ma poitrine. Elle attrape mes tétons, les étire un peu. Elle prend mes ’seins’’, les presse, les tire un peu.

— Pas mal du tout… lève-toi !

Debout devant elle, la queue dressée vers son visage, je la regarde m’ausculter. Elle m’empoigne les hanches, puis les fesses. Elle me palpe les cuisses.

— Il y a bien du potentiel ! Me lance-t-elle en me regardant avec un grand sourire avant de s’avancer pour prendre ma queue en bouche.

Experte en la matière, elle engloutit toute ma verge d’un coup, posant son menton contre mes bourses. Alice, revenue avec un plateau de rafraîchissement qu’elle pose sur la table, vient contre moi et m’embrasse à pleine bouche. Je saisis sa belle pine bien dure en la laissant investir ma bouche. Clara lâche ma queue pour se relever et joindre sa langue aux nôtres.

— Buvons à notre rencontre dit-elle en se tournant pour servir les boissons.

A peine les premières gorgées prises qu’Alice revient contre moi. Je caresse sa poitrine.

— Ce doit être si bon d’avoir tout ça !

— Les sensations sont extra, dit Alice tout en me branlant doucement. Tu sais, si tu veux vraiment, Clara pourra te le faire.

— En attendant tu peux essayer ça me dit Clara en me tendant deux prothèses magnifiques. Cela te donnera déjà une bonne idée.

Quelques minutes plus tard, après avoir bien préparé ma peau déjà bien lisse, les deux seins en silicone sont collés à ma poitrine. Allongée sur le transat, j’attends un moment que la colle adhère parfaitement. Puis Clara m’invite à me redresser, puis à me lever. Ma nouvelle poitrine est divinement lourde. Je me tiens plus cambrée, comme pour soutenir ce nouveau poids. Alice m’aide à enfiler un soutien-gorge.

— Cela te fait quand même un bonnet E… il faut soutenir tout ça !

Le soutien-gorge est à demi bonnet, laissant ainsi voir le téton au-dessus de la dentelle. Alice est derrière moi et je sens sa queue entre mes fesses. Je frissonne de plaisir. Elle me caresse les fesses. Je me penche sur la table devant moi, ouvrant les jambes, m’offrant à elle. Elle passe sa langue autour de ma rosette avant de forcer un peu le passage. En poussant un peu, je m’ouvre à sa caresse humide. Elle laisse échapper un ’hummm’’ de satisfaction en réussissant à y glisser sa langue. Elle se redresse, prend ma taille à pleines mains et guide simplement son gland turgescent vers ma rondelle en se déhanchant un peu. Je sens la pression sur mon anus. Je me cambre encore un peu, me dresse sur la pointe des pieds en écartant les talons. Je suis prête à l’accueillir sous le regard lubrique de Clara qui se caresse déjà dans son fauteuil. La poussée est lente, mais ferme. Je m’ouvre facilement. Le gland est gros. Mes chaires s’étirent. Ma rondelle est distendue. La corolle passe enfin, entraînant derrière elle la colonne de chaire dure comme du bois.

Je suis transpercée par ce pieu, empalée sur cette queue qui m’ouvre en deux. Elle se recule un court instant avant de replonger dans mes entrailles. Cette fois-ci, elle ne s’arrête qu’en plaquant son ventre contre mes fesses, ses couilles contre les miennes. La bouche grande ouverte, je savoure cet instant de plénitude, complètement possédée, remplie, lorsque le feu commence à grandir au fond de mon ventre. Elle se recule alors, toujours doucement, pour faire presque ressortir sa queue. Elle la regarde sans doute glisser hors de ma rondelle distendue jusqu’à ce que la corolle repousse mes chaires intimes, comme les lèvres d’une chatte. Elle pousse alors à nouveau, réinvestissant mes fesses jusqu’à la garde. Je lâche un râle de plaisir tout en me saisissant de mes seins alors que ses coups de reins commencent à s’accélérer. Son ventre claque maintenant sur mes fesses, mon anus avalant facilement sa colonne de chaire. Le passage sur ma prostate augmente encore mon plaisir, faisant gonfler encore plus ma queue déjà bien dure qui se balance en cadence sous mon ventre.

Je me sens encore plus chienne que lors de mes précédentes baises, plus femelle avec cette poitrine. Je me contracte sur sa bite, pour mieux sentir encore le frottement sur mes chairs. Alice se raidit, accélère encore un peu. Elle souffle dans mon cou, plaquant ses grosses mamelles dans mon dos. Dans un long gémissement, elle lâche sa semence, me fécondant tout en se plaquant contre mes fesses. En la sentant se répandre en moi, j’explose à mon tour, giclant sur la table devant moi trois ou quatre longs jets de sperme. Elle me garde dans ses bras un instant jusqu’à ce que je la sente glisser de mes fesses. Je me retourne et l’embrasse avant de m’agenouiller pour finir de la nettoyer.

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