Les portes de linterdit (saison 1)
1 Retrouvailles
Jétais a bout, javais tout essayé mais rien ny faisait, le sort sacharnait sur moi. Mon mari était au chômage depuis cinq ans et il navait plus droit à aucune indemnité. Il mhorripilait, cétait un mou, un empoté, il comptait toujours sur moi pour tout. Javais tout fait, des ménages aux call-center, mais les payes étaient dérisoires et ne suffisaient pas à nourrir quatre bouches, payer le loyer, les vêtements et tout le reste. Le loyer justement, plus dun an de retard et lavis dexpulsion en recommandé que Jean navait même pas été foutu daller chercher a la poste. Jai 35 ans et ma vie na plus de sens, je nai plus despoir, plus denvie. Pourtant je possède certains atouts, je suis mince et bien proportionnée, 1 mètre 65 de courbes avantageuses comme avait dit un de mes crétins de collègue a la supérette. Mes cheveux bruns mi-longs encadrent mon visage aux charmes slave dont la pâleur met en évidence mes yeux bleus marine. Mes seins fermes sont voluptueux et mon petit cul dont je suis très fière est bien rond. Mais mes avantages sont uniquement physiques et pourtant jai toujours refusé den tirer avantage malgré de nombreuses propositions plus ou moins directes et graveleuses. Jai deux filles et je croyais aimer celui quelles considèrent comme leur père, mais qui ne lest pas. Je mappelle Florence, voici mon histoire.
Jai eu Marie a 16 ans, elle me ressemble beaucoup, gentille et serviable, brune a la peau claire elle me voit souffrir et maide en faisant tout ce quelle peut. Elle était encore un bébé quand je me suis enfuie de chez moi. Tout juste majeure avec un enfant et enceinte javais fuis la campagne pour la grande capitale. Javais rencontré Jean dans un foyer, il avait dix ans de plus que moi et avec lui jai vogué de galére en galére jusqua aujourdhui. Mais là, je suis trop fatigué pour continuer à lutter. Le désespoir et la peur de la rue me poussent irrémédiablement vers mon ultime solution, celle que jai repoussée depuis si longtemps, depuis trop longtemps ? Mes doigts effleurent en tremblant les touches du téléphone, suit la sonnerie angoissante de lincertitude, jhésite à raccrocher quand enfin jentends :
« -Allô ? »
« -Allô ? Papa, cest moi »
Un moment de silence puis quelques mots remplis démotions. «- Flo Florence cest toi? »
-Oui, cest moi papa
« -Oh mon dieu, je suis si heureux, si, tout vas bien ? Dou mappelles-tu ? »
« -Ca va papa, je, je suis a Paris, mais cest devenu difficile ici. »
« -Ah oui ? Marie est avec toi ? »
« -Oui »
« -Vous avez besoins daide ? Je peux faire quelque chose pour vous ? Mon dieu, il y a tellement longtemps que je te cherche ma chérie. »
« -Papa, je voudrais rentrer à la maison, jaimerai revenir. »
« -Mais oui, bien sur, cest mon vux le plus cher tu sais, jai tellement espéré ce moment. Je ne sais pas pourquoi tu es partie, je nai jamais compris ce qui cest passé. »
« -Je texpliquerai, on sera là bientôt, dans quelques jours. »
« -Cest merveilleux, Je viens te chercher, tu es ou ? »
« – Non ce nest pas la peine, jai deux, trois choses à régler et jarrive. »
« -Bon comme tu veux, reviens vite, je tattends. »
Expliquer que nous devions quitter Paris pour la campagne afin dy retrouver mon père fut un soulagement pour moi. Tous trois furent surpris de découvrir lexistence dun membre de ma famille, Marie accepta rapidement lidée, elle semblait heureuse de quitter notre appartement miteux et tous nos problèmes. Jean docile suivait comme toujours. Anaïs, bien que comprenant nos difficultés était très contrariée de quitter tous ses amis et les attraits de la ville pour aller senterrer a la campagne. Il est vrai quà 17 ans ma petite blonde aux yeux bleus a beaucoup doccupation, elle doit gérer tant de prétendants comme elle dit.
Trois jours plus tard, nos derniers euros ont servis à payer nos billets de train et tout ce que nous possédons contient dans cinq gros sacs de sport. A la gare, en descendant du train japerçois mon père sur le quai. Il ma vue et se précipite vers moi, menlace, me serre contre lui, une incroyable sérénité menvahit, un relâchement qui précipite des larmes sur mes joues, a mon tour je serre mon père contre moi, inconsciemment jattendais cela depuis si longtemps.
Je lui présente ma famille, je lui en ai parlé au moment de le prévenir de notre arrivée par le train. Quelques mots sont échangés puis nous partons, je rentre chez moi.
Les filles on été ébahis par la grosse Mercedes de papa, bien quelles maient beaucoup questionnées sur leur grand-père je nai pas tout révélé pour laisser une part de surprise.
Notre arrivé au manoir les stupéfient. Je leurs ai dit que papa pouvais nous accueillir sans problème mais pas dans quelles proportions. Elles sont toutes excitées, Jean est médusé et minflige son regard plein dincompréhension.
Après un petit toast de bienvenue servie par une jeune et jolie domestique dénommée Sabrina, mes filles sont déjà sous le charme de leur grand- père et de tous les avantages quil possède.
Il propose aux nouveaux venus de suivre Sabrina qui vas leurs montrer leur chambres et le reste du domaine.
Une fois quils sont partis, je reste seule avec mon père, en silence, il me fixe intensément, me contemple. Je ressens sa joie et son amour, mais aussi son trouble. Le temps des explications est venu. Il nose me questionner de peur de rompre le charme et de me voir disparaître a nouveau, cest a moi de franchir le premier pas.
« -Papa, nous devons parler, je dois texpliquer. »
« -Ce nest pas nécessaire, tu es là maintenant. »
« -Si, il le faut, jen ai besoin. »
« -Très bien, je técoute. »
« -Je, je suis partie parce que ce que nous faisions était mal, du moins cest ce que jai cru pendant longtemps. »
« -Ce nétait pas dans les normes, je le sais, mais nous étions heureux, tu étais consentante, je ne tai jamais forcée Florence. »
« -Je sais papa. Tu as raisons jétais heureuse, notre relation était si forte. Je taimais tellement et la disparition de maman nous avait tant rapprochés. Ce qui est arrivé était naturel pour moi, dailleurs cest ce que je voulais par-dessus tout.»
« -Alors pourquoi ? Pourquoi est tu partie sans rien me dire ? »
« -Aurore avait tout découvert, elle est venue me voir un soir et ma expliquée que ce que nous faisions était le pire des péchés. Que nos âmes brûleraient en enfer. »
Cette révélation ébranla mon père, alors que je le regardais, je constatais qu il avait peu changé.
Bien sur a 65 ans ses cheveux étaient maintenant gris parsemé de blanc et dégarnis au sommet de son crane. Son ventre était légèrement bedonnant et des rides marquaient son visage, mais son charme était intact. Un poids venait de sabattre sur lui et il ressenti le besoin de sasseoir.
« -Cette maudite sorcière, jaurai du renvoyer ma tante a lhospice au lieu de la garder prés de moi. Et toi pauvre malheureuse tu as crus ces boniments de religieuse frustrée ? »
« -Elle savait pour nos enfants et elle ma dit que tout le monde saurai parce quils auraient de graves problèmes mentaux et physiques. Que tout était de ma faute, que javais abusée de ta faiblesse due a la disparition de maman pour te séduire et tentraîner dans mon lit comme une vulgaire putain. »
Florence fondit en larme au souvenir de cette terrible nuit. Son père se leva et la pris dans ses bras. Aux travers de sanglots elle termina son récit.
« -Jai été effrayé, je ne voulais pas que les gens pensent du mal de toi, quils pensent que jétais une catin qui te voulait du mal. Je me suis enfuie le soir même avec Marie. »
« -Tu aurais du men parler jaurais réglé les problèmes, comme tout cela est regrettable. Mais dit moi, il y a un instant, tu as dis nos enfants, Anaïs est aussi ma fille ? »
«- Oui, jétais de nouveau enceinte de toi papa. »
« -Mon dieu Anaïs aussi est de moi et elles savent que je suis leur père ? »
« -Non, je ne leur ai jamais rien dit de nous, elles pensent que Jean est leur père. »
« -Mon dieu, quel gâchis, jespère que cette pourriture dAurore croupit en enfer maintenant. Tu sais, je nai jamais cessé de taimer et je tai cherché partout. Jai remué ciel et terre, jen ai été malade, te perdre après ta mère ça a été terrible. »
« -Pardon papa, je regrette tellement.»
« -Mais pourquoi nes tu pas revenue avant, pourquoi seulement maintenant ? »
« -Javais honte. Quand jai compris quAurore mavait menti et manipulé pour méloigner de toi il était trop tard, presque deux années étaient passées. Je me suis sentie si idiote, je nai pas osé te contacter, javais peur que tu me rejettes. Alors jai poursuivit ma vie comme jai pu, mais le temps ne ta jamais effacé bien au contraire papa. Jétais si malheureuse sans toi, perdue, alors jai espéré que tu puisses me pardonner après tout ce temps. »
« – Je nai rien à te pardonner ma chérie. Nen parlons plus. Je suis si heureux de te retrouver enfin. Je vais prendre soins de toi maintenant. »
« -Merci, tu sais, depuis que je suis arrivée je me sens rassurée, en sécurité, je nai plus peur. »
« -Cest très bien, je vais taider pour tout, je vais vous trouver une maison, tu choisiras les meubles je payerai tout, je vais »
«- Papa, je jaimerai rester ici avec toi. »
«- Oh, oui, mais bien sur, comme tu veux, la maison est bien assez grande »
« – Tu sais javais peur que tu te sois trouvé une nouvelle femme et que tu ne veuille plus de moi. »
« -Une nouvelle femme ? Il y en a eu, mais aucune ne ma donner envie de rester. Je pensais toujours à toi. Et même si il y en avait eut une, je taurais accueilli de la même façon. »
« -Merci papa, mais alors pourquoi tu ne voulais pas que jhabite avec toi ? Cest parce que je ne suis plus assez jolie ?»
« -Quoi, Mais pas du tout, je te trouve toujours aussi belle, aussi attirante et en fait cest pour ça. Tu comprends tu as ta famille alors si tu reste si prés de moi, je ne sais pas si je pourrai résister à enfin tu comprends. »
« -Vraiment, tu me trouve toujours aussi belle ? Je sais bien que je nai plus dix-huit ans. »
« -Tu es encore plus belle quavant. Quand je tai vu à la gare tu as sublimé le souvenir que javais de toi. Ladolescente est devenue une magnifique jeune femme et mon envie de toi nen a que plus grandi. Je taime et je ne voudrais pas tout gâcher à nouveau, cest pour ça que je tai proposé de vivre ailleurs »
« -Je taime aussi papa alors ne tinquiète pas, si je suis revenue cest également pour ça. Mon amour et mon désir de toi ne se sont jamais éteint. »
« -Tu veux dire que tu as envie de tout recommencer ? »
« -Oui. »
« -Vraiment ? Alors je peux te lavouer, jespérai que cétait aussi pour ça que tu avais repris contact, cette incertitude me tourmentai depuis ton premier appel. Et puis tu as un mari alors jai cru que »
« -Lui il ne compte pas, il nest rien. »
Face a face, papa rivait son regard au mien, son cur battait a tout rompre, sa main droite glissa de mon épaule jusquau bouton de mon pantalon quil défit, il descendit la braguette et remonta jusqua lélastique de ma culotte. Testait-il ma sincérité par une approche si directe ? En tous cas laspect viril de cette manuvre mélectrisa. Mon souffle devint plus profond. Nos yeux étaient toujours fixés lun à lautre, il introduisit ses doigts entre le tissu et ma peau soyeuse. Il atteint rapidement mes premiers poils pubiens, ma douce toison glissait entre ses phalanges.
Je suis sure quil la devina bien entretenue, probablement à son intention.
Son majeur atteignit ma fente, je tressaillis, déjà humide de désir, prête à moffrir. Sur mon visage, mes yeux bleus étaient mi clos, mes lèvres entrouvertes laissaient échapper ma respiration qui saccélérait. Son doigt sappuya contre mon clitoris et le stimula par un suave frottement. Jétais maintenant trempée et son index neut aucune difficulté à se frayer un chemin entre mes lèvres, pour sintroduire dans mon vagin. Papa était un expert pour procurer du plaisir aux femmes et il en usait avec délectation.
«- Oh papa cest bon, continu, jattendais ça depuis si longtemps. »
Guy goûtait cet instant avec jubilation, moi sa fille lui était revenue pour se donner de nouveau à lui. Il bandait durement, son sexe compressé dans son pantalon lui procurait presque de la souffrance. Mais son esprit était au comble de la satisfaction, sa pulsion incestueuse sexauçait et il la célébra en collant ses lèvres aux miennes. Jaccueillis son baiser avec passion, nos langues se rencontrèrent et se mêlèrent. Elles tournoyaient dans nos bouches, mélangeant nos salives, on sembrassa avec fougue. Il continuait à me masturber avec dextérité et je fus bientôt proche de la jouissance. De part son expérience, il sen rendit compte et retira ses doigts de lantre poisseuse de ma chatte, ce que je réprouvais par un petit cri. Il porta son index gluant de cyprine a mes lèvres et me les en barbouilla. Je sortis sensuellement ma langue, léchais mes lèvres puis les doigts de mon père, dégustant ma propre mouille. Quand jeu tout bien léché papa mordonna :
« -Maintenant délivre mon sexe. »
Je portais mes mains à sa braguette et extirpais le phallus de mon père. Les mains tremblantes démotion je caressais son pénis, avec révérence je pris le gland au creux de sa paume et ly fit coulisser avec affection.
«- Oui cest bien, continu, mon amour. »
Après quelques instants de cette cajolerie intime ou dautres baisers passionnés furent échangés, papa abaissa mon pantalon et ma culotte, et les retira. Il se releva, me porta a son bureau ou mes jolies fesses rondes se reposèrent. Il était là entre mes cuisses, son regard posé sur ma chatte qui comme il lavait deviné était une perfection, un mince triangle noir, et une peau bien lisse autour. Il bandait encore plus fort, son gland frôlait ma moule luisante denvie.
«- Prend là et met là en toi »
Fiévreuse, je mexécutais aussitôt. Son regard exprimait lémoi de cet instant. Doucement je le fis pénétrer en moi. Par petite touche, il entrait puis se retirait, progressant un peux plus profondément a chaque fois. Nous faisions durer cette première pénétration pour en apprécier toute limportance, tout le plaisir quelle nous procurait. Son pénis coulissait en moi, me remplissait, me prenait. Nos chairs sunissaient de nouveau, ce contact sexuel nous enivraient, nous ressentions pleinement la sensation de nos sexes s’assemblant dans linceste. Quand il fut absolument en moi, quand il senti ses testicules buter contre mes fesses, il sarrêta pour apprécier ce moment. Ma chatte trempée de désir, la chatte de sa fille recouvrait de sa chair et de son jus brûlant sa bite tendue et dilatée. Alors il me baisa. Sauvagement, brutalement, il me besogna. Ces coups de hanches étaient de plus en plus rapides, il émettait des grognements qui se mêlaient à mes halètements. Sans tarder sa jouissance saccomplit, il éjacula abondamment, remplissant ma chatte de tout son foutre, de sa semence, de son sperme. Alors quil continuait à se vider en moi, je jouis à mon tour, je magrippais au cou de papa, prise de spasmes incontrôlables. Une telle jouissance physique aussi bien que cérébrale me fit pleurer. Il membrassa encore, puis il se retira, un mélange liquide de nos sécrétions sécoula le long de ma cuisse. Comme auparavant, il en recueillit pour me les porter aux lèvres et je les labsorbais avec sensualité.
Alors que je remontais ma culotte contenant toutes nos effluves, il me demanda :
« -Florence tu ne partiras plus jamais ? »
« -Non papa, plus jamais. Je suis à toi pour toujours maintenant. »
« -Tu mobéira, tu feras tout ce que je te demande ? »
« -Oui, je ferais tout ce que tu veux, absolument tout. »
« -Pourquoi ferais tu cela ? »
« – Cest ce que doit faire une fille obéissante et une femme respectueuse. »
« -Bien, dis moi, tu aime ton mari ? »
« -Non, je ne lai jamais aimé. »
« -Tu ne verras donc pas dinconvénient, a ce que lon sen débarrasse ? »
«- Absolument pas, ce sera même un soulagement. »
« -Parfait, maintenant allons les retrouver. »