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J'offre ma femme à notre fils – Chapitre 4

J'offre ma femme à notre fils - Chapitre 4



La nuit de ma femme n’est pas la plus calme, une nervosité intense agite son corps, elle ne cesse de changer de position, elle transpire.

J’allume la lampe, la regarde un petit moment.

Je pose ma main sur une de ses épaules et la secoue doucement, ma femme soupire, puis ouvre les yeux.

Ca ne va pas ma chérie, tu es très agitée ?

Ouf, tu sais, je ne peux m’empêcher de penser à ce que notre fils m’a proposé, faire l’amour avec d’autres, je crois que j’ai répondu un peu trop vite sûrement sous l’excitation du moment, et ça me travaille énormément, je ne suis pas encore prête pour franchir le pas !

Ah ! Tu renonces ?

Il me faut plus de confiance en moi, tu comprends mon chéri !

Oui, bien sûr !

Soudain, on frappe à la porte de la chambre, c’est Ryan, vêtu uniquement d’un short de nuit.

Comme chaque soir, il vient nous embrasser pour nous souhaiter une bonne nuit.

Ouh la la ! Vous en faites une tête, il y a quelque chose qui ne va pas ?

Non, rien de grave; ta maman ne se sent pas prête pour ce que tu lui as proposé !

Bon, tant pis, dommage, maman, tu sais pas ce que tu perds, mais c’est toi qui décides !

Il s’approche du lit et tire sur les couvertures; ses yeux brillent, il ne voit que sa maman; il pose sa main sur sa cuisse, et la fait remonter sous ma nuisette; il s’attarde sur le ventre plat, le caresse longuement (la nuit, elle ne porte qu’une nuisette, rien d’autre).

Comme tu es belle maman chérie !

Sa main glisse lentement entre les cuisses maternelles, instinctivement, ma femme écarte les jambes.

Je me sens de trop, je sors du lit et m’assieds sur un fauteuil en osier (style Emmanuelle)

Je m’installe confortablement pour ne rien perdre du spectacle qui s’annonce excitant.

Ma femme commence à soupirer fortement, les doigts experts de son fils frottent doucement sa perle d’amour.

Elle penche la tête sur le côté, me regarde puis ferme les yeux.

Le bouton enfle entre les doigts agiles de son fils.

Ryan observe avec attention les réactions de sa maman, cela l’excite de la voir haleter de plaisir.

Il saisit délicatement le bouton devenu énorme, sa maman pousse un grognement lorsqu’il lui appuie dessus.

Il branle de plus en plus vite le clito sensible, ma femme ouvre la bouche, aucun son n’en sort.

Elle agite son bassin.

Ma queue se raidit dans mon slip, je pose ma main dessus et la caresse doucement.

Ma femme se cambre, et envoie une puissante giclée de cyprine, son corps tremble sous les spasmes violents de la jouissance.

Ryan remonte la nuisette jusque sur les seins de sa maman, il les contemple un bon moment.

Il ne peut s’empêcher de la complimenter sur la beauté de son corps.

Il est vrai que le corps de ma femme a des formes magnifiques.

Ryan pose sa bouche sur un mamelon et l’aspire fortement.

Ma femme sursaute sous l’aspiration.

Doucement mon chéri, oh, tu vas me faire mourir de plaisir !

Il tète avidement le téton qui augmente de volume à chaque succion; enfin il passe à l’autre et ne le ménage pas, il le mordille, le titille avec sa langue puis le gobe.

Sa maman geint de bonheur, son cur bat la chamade.

Les bouts surexcités se dressent au centre des aréoles brunes, elle halète comme une bête en rut, son souffle devient court.

Mon chéri mon chéri, prends maman vite, c’est trop bon !

Ryan délaisse les seins gonflés, et plaque sa bouche sur la vulve dégoulinante de sa maman, il aspire le jus qui s’en échappe; elle grogne en soufflant, sa respiration s’accélère;

Elle hurle:

Je vais jouir mon chéri oui oui !

Elle se raidit, et gicle dans la bouche de son fils qui avale le flot de cyprine goulûment.

Moi, je me masturbe énergiquement, je presse mon gland pour ne pas jouir trop rapidement, j’ai mal à la queue tellement elle est gorgée de sang.

Ryan aspire le bouton d’amour qui est devenu gros comme une noisette, sa maman agite sa croupe, elle appuie sur la tête de son fils pour l’empêcher de se retirer.

Elle gémit comme un animal blessé, elle jouit à nouveau.

Ryan extirpe de son short son engin colossal, il le pose sur les lèvres charnues de sa maman.

Elle saisit d’une main le manche noueux, sa langue fait plusieurs fois le tour du cèpe, titille le frein, puis elle gobe goulûment le gland violacé.

Elle branle l’engin tout en le suçant comme une experte.

Oh maman, ce que tu es bonne, je peux plus me retenir, ça vient !

Ryan se bloque, et envoie sa semence épaisse dans la gorge de sa maman, elle l’avale à satiété avec des hums de délectation.

Avec sa langue, elle nettoie le mat gluant jusqu’à la dernière goutte.

Comme j’aime ton sperme suave, mon chéri, donne-men encore, remplit bien ta maman de ta semence mon chéri !

Ryan place sa queue encore raide contre la chatte trempée de sa maman, un léger coup de reins suffit pour s’enfoncer jusqu’aux couilles dans l’antre brûlant.

Oui mon chéri, baise fortement maman, oui oui fais-moi mal !

Ryan s’accroche aux hanches de sa maman et la pilonne comme un sauvage, la queue luisante entre et ressort à vive allure du temple en feu.

La maman passe ses jambes autour de la taille de son fils et le serre bien, puis retire son étreinte.

Elle ondule du bassin, elle veut bien sentir en elle le pieu de son fils.

Mon Dieu, comme tu es puissant, mon chéri, tu me remplis à fond !

Vas-y, vas-y, défonce ta maman, fais la gueuler comme une chienne mon chéri !

Ryan redouble ses assauts, ses coups de boutoir violents font délirer sa maman.

Oui oui, comme ça, encore plus fort si tu peux, mon chéri oui ouiiiiiiiii !

Oh, comme je t’aime mon chéri !

Elle plante ses dents dans l’épaule de Ryan en jouissant.

Il serre les dents, et décharge dans le cratère en irruption son sperme épais.

Moi, j’ai déjà joui deux fois, ma main s’active férocement sur ma queue.

Ryan s’allonge sur le dos.

Maman, viens t’empaler sur ma queue, papa a droit à sa part aussi !

Elle sourit en me regardant.

Elle saisit la bite large et épaisse, et la dirige contre sa vulve dégoulinante de sperme et de cyprine mêlée.

Elle descend et s’empale jusqu’aux couilles en poussant un AH ! de bonheur.

Je monte sur le lit, et frotte ma bite veineuse gorgée de sang contre l’anneau ridé.

Je donne un violent coup de reins, et m’enfonce dans la gaine étroite sans l’avoir préparée.

Ma femme sursaute :

Oui oui, tous les deux défoncez-moi, remplissez-moi de votre semence, je suis votre chose !

Le bites s’activent férocement en elle, les assauts sont terribles, les couilles frappent les orifices gourmands.

Ma femme, à chaque enfoncement de ma queue en elle, donne un coup de cul pour que je l’empale bien à fond, ses râles sont terribles.

Oui oui, plus fort oh oh aaaah !

Je sens à travers la fine paroi qui sépare les deux orifices la queue de mon fils qui coulisse contre la mienne; c’est une sensation merveilleuse, ma bite grossit davantage.

Le ramonage en alternance agit comme deux pistons, ils dilatent les gaines de chair pour le plus grand plaisir de ma femme.

Elle pousse des grognements rauques, le pilonnage est sévère, les coups de reins violents.

Elle s’arc-boute, se bloque et hurle en jouissant, sa cyprine gicle sur les couilles de Ryan qui s’accroche aux hanches de sa maman.

C’est à tour de rôle que nous jouissons dans les orifices insatiables.

Enfin, je me retire du fondement, Ryan reste encore planté dans le corps de sa maman qui reste blottie contre lui.

Leurs lèvres se joignent pour un baiser interminable, j’en profite pour caresser les courbes parfaites de mon épouse.

Mes doigts s’attardent sur l’orifice que je viens de quitter, ils s’enfoncent un à un dans la caverne et la fouille profondément.

Mon fils joint ses doigts aux miens, ils tournent dans la gaine distendue.

Ma femme délaisse les lèvres de Ryan et murmure :

Mon Dieu comme c’est bon ! Je veux mourir de jouissance, mes chéris !

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