Le jour transparaissait à peine au travers des volets que je me réveillais avec un poids sur moi. Pierre était sur mon dos, je sentais sa queue entre mes fesses, il se branlait entre mes globes, bien calé. Je le laissais faire un moment avant de me manifester et de finir d’émerger.
— Tu te réveilles ma chérie? Tu joues à la belle au bois dormant? Je t’ai travaillé la chatte avec 3 doigts pendant 5 minutes et tu ne bougeais pas, et ça fait aussi 5 minutes que je me branle entre tes fesses…
— mmmh hein?
— Restes comme ça, ne bouges pas.
Je l’ai senti se relever un peu, m’écarter les fesses et son gland me pénétrer l’anneau, sans que je sente une douleur, puis progresser et m’investir le cul lentement jusqu’à sentir ses couilles contre mon cul. Ses pieds se sont insérés entre mes jambes pour me les écarter afin qu’il trouve une position adéquat et confortable. Il bougeait à peine, remuant doucement du bassin, sa queue toujours profondément fiché entre mes reins.
J’adorais ce réveil tout en sexe et en même temps empreint de douceur. Sa queue me renvoyait dans un monde de plaisir, lentement mais surement. Il commençait à onduler, puis à faire aller et venir sa queue dans mon fondement, ce qui finissais de me réveiller. Je me rendis compte que je commençais à pousser des soupirs et de légers halètements de plaisirs. J’aimais être pris ainsi, allongé, à moitié endormi, le corps de Pierre sur moi et sa queue en moi. Sur un retour, je le sentis s’arrêter. Je m’attendais à le sentir s’enfoncer en moi, mais rien, juste son gland à peine dans mon anneau. Il se passait ce qui me semblait plusieurs minutes avant que je vienne moi-même presque inconsciemment venir pousser mon cul sur sa queue.
— T’aimes vraiment la bite, ma salope. Tu viens encore de chercher ma queue, alors que t’es à peine réveillée.
— mmmmhh ouii
— alors vas-y, encule toi encore, allez salope!
Il se retirait, me forçant à remonter mon cul, à venir moi même faire mes allers et venues sur sa queue qui me réveillait totalement. Je me suis rendu compte à un moment que j’étais le cul totalement levé, en train de me limer moi-même sur son mandrin, gémissante de plaisir, jusqu’à ce qu’il m’attrape par les les jarretelles et me donne de grands coups de queues qui me firent gueuler de bonheur jusqu’à sentir son jus chaud me tapisser les entrailles, et m’écrouler sur le lit, lui sur moi, sa queue toujours dans mon cul. J’aimais sentir son poids sur moi, ses baisers dans mon cou, ses mots crus à mon oreille, pendant qu’il bougeait encore un peu, quelque temps avant de déculer. je me rendormis le cul plein…
Beaucoup plus tard, je me réveillais avec l’odeur du café frais, et des caresses sur ma tête
— Réveille toi Laetitia, le petit déjeuner est prêt…
Je prenais mon déjeuner en discutant avec Pierre, puis je prenais une douche bienfaitrice. Je l’ai vaguement entendu entrer dans la salle de bain, mais j’en étais sur en voyant le paquet sur les serviettes, une rose dessus. Après m’être séché, j’ouvris le paquet en y découvrant un body string trés échancré, et une paire de bas de la même couleur (blanc). Ainsi qu’une robe crème en harmonie avec les dessous, assez courte, mais pas trop afin de ne pas dévoiler les bas.
En arrivant, dans le salon, Pierre me siffla de plaisir et de satisfaction. Je tournais sur moi afin de me montrer et me retrouvais dans ses bras, pour un long baiser et ses mains encore une fois sur mon petit cul. Il me relâcha pour me proposer un truc.
— J’ai réservé une table dans un restaurant de fruit de mer. Tu gardes ses habits, et on y va…
— Ha non, certainement pas!!
— Mais si, personne n’y verra rien
— Non! Je passe pour une femme peut être avec toi, mais non!
(A partir d’ici, j’invente. En fait, nous ne sommes pas allés au restaurant, mais j’avais envie d’inventer un peu. En vrai, le reste du week-end fut fait de baise, de suces et de plaisir)
Sortis de chez Pierre, il me prend la main, croisant ses doigts avec les miens
— tu as même des doigts de femmes, super fin… ils te manquent juste du rouge. j’aurais du y penser.
Ce mec est dingue. Il devrait se faire des nanas. Mais au fond de moi, j’aime son compliment. Les talons ne sont pas faciles pour marcher et je me surprends à onduler de la croupe, certains regards se rivent sur moi, rougissante.
— ton cul et ton corps plaisent aux mecs ma chérie. je suis fier de t’avoir à mon bras.
Ben tiens… et au bout de ta queue aussi… non, ne pas penser à ça. Heureusement, nous ne marchons pas longtemps jusqu’à un restaurant de fruits de mer. Le serveur nous ouvre, nous saluant et me faisant un très large sourire, nous accompagnant à une table pour 2, un peu isolée, mais à peine. Le restaurant est déjà pas mal remplie, reste quelques tables vides. En face de nous, un couple de sexagénraire, dont madame houspille son mari avec presque gourmandise. je suis assise quasiment en face de lui.
— Mademoiselle, Monsieur? un apéritif pour débuter?
— Oui… 2 coupes de champagnes, et 2 plateaux bien pleins, avec une bouteille de blanc, plutôt sec et frais.
— tout est noté. Monsieur à de la chance, Mademoiselle est ravissante.
— ohh oui. Et son cul un bonheur
le serveur partit en rougissant et je lui décollais un coup de pied dans le mollet
-aie! ça va pas!!!
— si, mais t’es pas obligé de m’afficher comme ça.
— Tu l’aurais vu mater ton valseur ma puce, je suis sur que tu mouillerais déjà… d’ailleurs, écarte les cuisses un peu.
— quoi…? non!!
— mais si, fais le… un peu, juste ce qu’il faut, et jette un coup d’oeil au vieux. allez! fais le!
j’obéis, ouvrant légèrement le compas de mes jambes, la robe remontant un peu… je jette un coup d’oeil au vieux qui a les yeux rivés sur mon entrejambe. c’est à ce moment qu’un serveur nous apporte nos apéritifs. Je le déguste pendant que Pierre me fait l’éloge de ma beauté… il me prend vraiment pour une femme…et le pire ce que je n’y suis pas insensible. Je remarque que le vieux n’arrête pas de me mater, et dès que j’écarte les jambes je le vois rougir. Le fait de m’ouvrir ainsi me fait encore plus sentir le body string qui me colle à la raie et à l’anus. L’ancien avale une huître de travers en voyant ça, tousse un coup, et retrouve la discussion de sa femme. ça m’excite un peu et je descend mes fesses au ras de la chaise, remontant mes jambes. il peut tout voir s’il tourne un peu la tête, ce qu’il ne manque pas de faire. Il rougit encore un coup et sourit.
Le vin me fait appeler au wc… je me lève, demande au serveur qui me mate avec un sourire et m’indique l’endroit. J’hésite un instant entre homme et femme et me dirige vers celui des femmes. J’ouvre la porte et je pousse un soupir de soulagement, personne… je fais mon affaire et en ressortant, je croise la femme du vieux qui me rend un regard furieux. En arrivant à ma table, ma surprise fut complète en voyant l’ancien assis à ma table, se levant quand je m’approche, me prenant la main et la baisa
— Mademoiselle Laetitia, je suis enchanté de faire votre rencontre
je tentais de prendre un timbre assez féminin pour lui répondre.
— Je suis ravie aussi Monsieur…?
— Appelez moi Antoine. Je suis assez vieux pour être votre grand-père. Mais je vous en prie, reprenez votre place
Il tendait la main vers ma chaise et alors que je m’infiltrais entre lui et la table, il en profita pour me flatter le cul
— Je serais ravie de vous rencontrez de nouveau ma chère
— Moi de même Monsieur… je crois que votre femme sort des commodités.
Ma réponse le fit fuir plus rapidement qu’un pet nauséabond.
Finalement, le reste du repas se passa sans encombre, juste un serveur un peu collant que Pierre aimait à discuter. Je refusais un désert, ce qui le fit rire
— tu fais attention à ta taille ma chérie? pourtant, 2-3 kilos de plus t’irais encore très bien.
Finalement, il paya le restaurant, et nous sortîmes, passant dans plusieurs rues assez étroite ou il en profitait pour me peloter le cul, même appuyer un doigt sur ma raie et mon anneau. Il s’arrêta même contre un porche pour me galucher et me peloter, relevant ma robe et presque me doigter, et comme une conne, je me mis à soupirer de plaisir. Il me chuchota dans l’oreille que j’étais vraiment une salope à queue. je l’embrassais de plus belle en lui disant que je voulais la sienne. Il me prit la main et me fit presque courir sur mes talons jusqu’à chez lui, non sans un ou deux sifflements approbateur. Dans l’ascenseur, il m’embrassa à pleine bouche, me relevant la robe jusqu’à la taille pour me peloter et m’écarter les miches. Arrivés chez lui, il me jeta presque sur le lit, m’écartant le body pour me bouffer le cul
— mais tu mouilles du cul ma salope…?
je ne le pensais pas, mais toutes ses caresses et ses mots m’avait terriblement excitée
— aaahhh enfile moi, prends moi le cul
il le fit sans hésiter, en deux coups rapides, il était jusqu’à la garde et me pistonnait le cul… il s’arrêta juste le temps de prendre une télécommande et je me vis en train de me faire labourer le fion par Pierre, me voyant pousser des gémissements de femelle en chaleur, ce qui me fit partir encore plus loin… j’avais même droit à des gros plans sur sa queue planté dans mon cul, couinant de me faire limer encore plus. Ce qui me fit partir dans la jouissance jusqu’à sentir le sperme de Pierre me remplir et me tapisser le cul.
Le reste du week-end se passa comme ça, mi vêtue en femme et lui me prenant ou moi le suçant régulièrement. Il m’offrit les robes et les dessous avec un autre ensemble (string, pj, bas, sg, le tout noir à bordure rouge en dentelle)