Ou comment le jardinier est devenu le « défricheur ». 8
Récit de Madame CLERC. Suite :
Je me prénomme virginie mais me fais appeler « Madame Clerc ».
Je vais diriger un institut assez particulier et suis en train de sélectionner mes collaborateurs.
En ce moment, je contrôle les « capacités » de mon futur « Maître » pour les cours d’éducations sexuelles.
-Oh mon Dieu, oui, lààààààààà, continuuueee, ooouuuiii !
Mon clitoris réagit à chaque coup de sa langue, et ses doigts ne sont pas en reste et jouent avec mes trous. Sa bouche fait ventouse sur ma chatte, léchouille, aspire, se régale de mon suc qui coule à flot, il se délecte de la senteur iodée, si envoûtante, qui s’échappe de ma matrice. Sa langue est comme douée d’une vie propre, elle tournicote, agace mes muqueuses, titille mon clito, me distillant toutes sortes de sensations.
J’ai posé mes mains dans ses cheveux et resserre mes cuisses sur sa tête, je caresse ses fesses si douces, si charnues de mes pieds Ce jardinier me rend folle à butiner ma fleur!!! Je sais que je suis devenue l’esclave de ses caresses
Je ne peux retenir les soupirs qui ponctuent chacune de ses actions.
Il s’enhardit, son autre main s’est égarée et un de ses doigts s’aventure vers mon anus, le titille et essaie de s’y frayer un chemin. Il m’a mis un doigt dans le cul !!!
Comme je ne bronche pas, exaltée par son emprise, il enfonce son majeur en entier dans le rectum.
J’ai maintenant 2 doigts dans la chatte et un dans le cul qui me fouillent divinement bien et une langue qui me rend folle en me dévorant le clito. Mon bouton d’amour est devenu hyper sensible et je ne supporte qu’avec difficulté ses léchouilles Je crie, je gémis sous la jouissance qui me tétanise et tiens des propos qui doivent me faire prendre pour une folle.
J’espère que la Mère Supérieure ne les entend pas.
— Arrête mon amour, arrête, je n’en peux plus de telles caresses, tu vas me faire mourir ! Nooonnn N’arrête-pas, c’est trop bon ! Continuuueee
Je jouis de nouveau, sous cette triple offensive, enserrant son doigt le plus possible dans mon fondement.
Il a découvert l’endroit de ma chatte qui me fait le plus réagir et y revient sans cesse, toujours accompagné de grands coups de langues sur mon clitoris tellement dur. Maintenant il a changé d’objectif et sa bouche remonte entre mes fesses, il s’attarde avec sa langue sur mon anus je n’en peux plus, ma chatte dégouline de cyprine.
Enfin Il vient de stopper ce supplice si délicieux et sa bouche vient se coller sur mes lèvres.
Ses lèvres brillent de ma liqueur et je respire l’odeur de mon sexe, nos deux langues se mélangent. Je sens sur mon ventre son pénis toujours aussi dur, aussi imposant.
-Mets-toi à genoux !
Je lui obéis, ma tête entre mes avant-bras et me cambre pour lui offrir mon postérieur. Il reprend sa séance de léchouilles, tout y passe : La raie des fesses et les deux trous.
Il approche sa grosse férule et me pénètre de nouveau, il est toujours aussi dur mais s’enfonce gentiment entre mes fesses.
Dans cette position, je ressens encore mieux la sensation de grosseur de cette verge exceptionnelle, Il commence ses va et vient de plus en plus amples me remplissant à fond pour mon plus grand bonheur.
Ses mains explorent mon corps de femme. Ma grotte est inondée. Les parois très serrées sur son sceptre qui coulisse en moi me donnent que du bonheur.
Je sens ses couilles, deux beaux fruits murs cogner sur ma chatte.
Quand il interrompt ses coups de reins, c’est moi qui projette mon postérieur au devant de sa bite pour aussitôt l’absorber. Mais je veux retrouver la sensation de tout à l’heure :
— Mets-moi, un doigt dans le cul !
S’il est un peu choqué par mon langage cru, ça ne l’empêche pas de m’obéir.
La sensation est exquise, je serre mon sphincter sur son doigt.
Pour lui c’en est trop, Je sens sa bite se cabrer dans mon intimité, elle tressaute et ne va pas tarder à lâcher des salves de joie.
Il est à la limite de la transe mais je garde mon calme car je ne veux pas qu’il m’engrosse.
J’éjecte son canon de ma fente et coince sa lance entre mes fesses attendant son arrosage. Et comme il y a peu dans le bureau de la Mère Supérieure, le miracle a de nouveau lieu.
Il est vraiment spécial ce godelureau, un jet s’envole de son sexe et zèbre mon corps des cheveux au bas du dos d’une longue trainée blanchâtre. Je ne suis pas rassasiée et l’exhorte :
— J’en veux encore !
Quelques secondes se passent avant que ses bourses ne délivrent une deuxième bordée de lave blanche et à chacune des giclées suivantes, le temps d’attente s’allonge entre elles.
Nous restons quelques instants collés sans bouger mais il décolle mes fesses de ses mains puissantes et je sens sa queue me pénétrer le cul sans coup-férir. C’est une sensation magnifique qui me donne un plaisir indescriptible.
Il complète mon enculage en glissant ses doigts entre nos corps et les enfonce dans mon vagin ils sont doués d’une vie propre et passent de mon clitoris à mon orifice qu’ils sondent le plus loin qu’ils peuvent épousant parfois son pénis qu’une mince paroi les sépare
Je suis pénétrée de toutes parts, je le sens partout en moi.
Il va et vient pendant un temps infini entre mes fesses! Je ne suis plus qu’un jouet entre ses mains, sa bite qu’il enfonce de plus en plus violement disparaît en entier entre mes fesses.
Je n’en peux plus de plaisir, je hurle sous ses coups de boutoir et je jouis, je jouis comme jamais ça ne m’étais arrivée profondément, une houle me submerge en longues secousses pendant un temps infini je râle comme si c’étais mes derniers instants
Je sens qu’il se vide dans mon cul éjaculant encore une quantité impressionnante de foutre chaud dans mes entrailles.
Il me faut un long moment avant que je ne reprenne mes esprits, j’ai le cul en chou-fleur qui se referme doucement laissant échapper sa semence.
-Et bien, Monsieur le jardinier, vous faîtes honneur à votre réputation ! Je vais être franche, Tu es vraiment « l’étalon idéal » pour ma classe mais je serai toujours celle qui aura le privilège de tes « saillies ». Tu m’a fais jouir comme ça ne m’étais jamais arrivé, baise-moi, baise-moi autant de fois que tu le voudras !
-Pour les filles avec un tel plantoir, ton surnom sera « le DEFRICHEUR » et elles devront t’appeler « MAITRE ».
Et je me suis précipitée sur son manche pour lui faire retrouver toute sa splendeur.
Avec ma science et mon expérience des hommes, j’ai réussis à le faire m’honorer encore deux fois avant qu’il ne me demande grâce.
LE JARDINIER.
Et c’est ainsi que depuis quelques années, j’ai à ma disposition un troupeau de jeunes filles innocentes que je transforme en filles dévergondées. Sans oublier les bonnes-surs, les enseignantes et surtout leur directrice, Madame CLERC..