Benji8 Christelle
Après ce WE de débauche, aussi bien dans la famille de Zita que dans celle de Clara. Les choses évoluèrent rapidement.
Après une séance de baise avec Benji, Sophie, Zita et ses copines, Paul raconta son aventure du WE, et présenta les possibilités qui s’offraient à eux, pour le fameux club.
Tout le monde trouva l’idée fabuleuse et accepta de programmer la première grande partouze le WE suivant.
Benji et Zita leur racontèrent leur aventure familiale du WE, ce qui augmentait encore les participants à cette grande partouze.
Sophie proposa de s’occuper des cartons d’invitation, tandis que Paul allait contacter son beau-frère pour lui annoncer la nouvelle afin qu’il prépare sa maison à devenir un baisodrome.
Quant à Michel, il comptait bien se servir du nouvel appétit sexuel de sa femme pour conclure de gros contrats. Le lundi, il devait recevoir des clients importants, et l’évènement du WE lui avait ouvert de nouvelles possibilités.
Il avait demandé à sa femme de s’habiller en tailleur comme à son habitude, mais avec des dessous sexy, ce que ne possédait pas encore Christelle, femme sage qu’elle était avant ce fameux WE.
Alors il lui donna sa matinée pour qu’elle fasse les boutiques et qu’elle revienne l’après-midi à l’heure du rendez-vous avec ses clients.
Christelle avait fait plusieurs magasins de lingerie, elle s’était acheté plusieurs panoplies très sexy. Elle en avait profité pour faire les boutiques et tout comme sa sur, elle avait l’intention de faire évoluer sa garde-robe entièrement, mais également son maquillage.
Quand sonnèrent les coups de midi, sa voiture débordait de sacs et de cartons en tout genre, elle rentra chez elle, elle se changea rapidement et enfila un porte-jarretelle en dentelle blanche avec des bas blancs, avec le soutien-gorge et le string assortis.
Elle se regarda dans son miroir et se trouva fabuleusement sexy, elle remit son tailleur et grignota un petit morceau avant de filer pour le bureau.
Elle arriva un peu avant les clients de son mari, Michel lui demanda de soulever sa jupe pour voir ce qu’elle portait en dessous, Christelle obéit docilement et Michel fut ravi de découvrir les dessous que portait sa femme.
Christelle rabaissa sa jupe avant que les clients n’arrivent, elle avait choisir un tailleur assez court dont la jupe arrivait tout juste à la limite de ses bas. Ce qui excitait énormément Michel et il savait déjà que ça plairait énormément à ses clients.
Ils connaissaient Christelle et savaient que c’était une femme très bourgeoise et très prude, ils allaient être très surpris de la voir si disposée à se faire baiser comme une pute.
Celle-ci accueillit les 2 clients de son mari, Robert et Bruno, à l’entrée de l’entreprise, ils furent enchantés de la revoir et la trouvèrent toujours aussi ravissante, et peut être encore plus aujourd’hui, ils lui trouvèrent quelque chose de changer, sans pour autant arriver à l’identifier.
Robert était un homme bien entretenu, la cinquantaine grisonnante, et encore bel homme, il était marié, contrairement à Bruno, son poulain, qui, lui, avait la trentaine, cheveux bruns, et un corps d’1.90m, bien entretenu par de séances de sport régulières.
Elle passa devant eux dans l’escalier qui montait aux bureaux, ils furent ravis de pouvoir mater son superbe cul, qui faisait un peu exprès de rouler du cul en montant les marches.
De leurs positions en contrebas, ils furent surpris de découvrir que Christelle portait des bas et cela les excita légèrement, ils n’avaient jamais imaginé qu’une femme aussi vertueuse puisse porter ce genre de sous-vêtement.
Ils ne quittèrent pas des yeux les superbes cuisses gainées de Christelle et furent un peu frustrés d’arriver à l’étage.
Ils la suivirent un peu émoustillés par leur récente découverte et arrivèrent enfin dans le bureau de Michel.
Il les salua et les fit s’installer dans le canapé, Christelle partit chercher des cafés et des rafraichissements, elle en profita pour ouvrir un peu plus son corsage, ce qui dévoilait tout le haut de sa poitrine à la limite de ses tétons.
Elle était excitée comme une folle, elle avait très bien senti le regard sur son cul et sur ses cuisses, et elle avait rapidement senti sa chatte s’humidifier.
Elle s’imaginait déjà se faire prendre par ces deux superbes mâles, après ce qu’elle avait vécu ce WE, elle était capable de tout.
Elle retourna dans le bureau de son mari avec les seins à moitié à l’air et un plateau de boisson dans les mains, elle allait fermer le bureau à clé, mais une idée lubrique lui fit renoncer, elle se dit que si quelqu’un la surprenait en train de se faire sauter, il pourrait se rincer l’il et peut-être bien la baiser également.
Elle avança donc vers le canapé, les hommes parlaient affaires et personne n’avait encore remarqué son décolleté très ouvert.
Ils paraissaient un peu énervés, Michel voulait négocier ses tarifs à la hausse, leur prétextant qu’il pouvait fournir des prestations qu’ils ne trouveraient pas chez ses concurrents.
Robert et Bruno, qui commençaient à être très en colère, demandèrent quelles étaient donc ces prestations, pour justifier une hausse de tarifs aussi importante.
Michel qui avait tout parfaitement planifié avec Christelle, attendit que celle-ci soit bien penchée en avant pour verser le café et ainsi offrir une vue imprenable sur ses seins, et leur dit :
— Ne nous énervons pas, prenons un café pour en discuter calmement.
Ses clients se tournèrent vers Christelle pour prendre leur café, et ils passèrent de la colère à la stupéfaction en une fraction de seconde. Ils avaient les yeux scotchés à la poitrine de Christelle, et oublièrent totalement la hausse des prix et leur café.
Celle-ci s’en amusa et une fois les cafés servis, elle s’assit sur le fauteuil en face d’eux, en gardant les cuisses légèrement écartées afin qu’ils puissent avoir une vue directe sur son string blanc.
Ils n’avaient pas décroché un mot depuis plusieurs secondes et tout en étant très excitée de s’exhiber devant les clients de son mari, Christelle leur dit :
— Est-ce que vous voulez toujours des détails sur les prestations, messieurs ?
Michel laissa sa femme agir, elle avait l’air de prendre son nouveau rôle de pute de l’entreprise très à cur.
Mais Robert et Bruno n’avaient pas compris l’allusion que leur faisait Christelle, ils n’arrivaient pas à imaginer la femme qu’ils pensaient si chaste devenir une si belle salope. Même quand ils la virent écarter davantage les cuisses, pour leur offrir la vue de son string et de ses bas, ils ne sortirent de leur béatitude que lorsque Christelle eut les cuisses suffisamment ouvertes pour que ses genoux touchent les accoudoirs du fauteuil, ce qui avait fait remonter sa jupe sur ses hanches, elle avait une posture des plus indécentes, et elle commença à défaire les boutons de son corsage en leur disant :
— Qu’est-ce que vous attendez, je suis à votre totale disposition, dit-elle en ouvrant les pans de son corsage pour offrir la vue de ses seins recouverts d’un fin soutien-gorge blanc en dentelle.
Robert et Bruno sortirent de leur léthargie et sans même se préoccuper de Michel, se rapprochèrent de Christelle qui était excitée comme une folle.
Ils s’agenouillèrent chacun d’un coté de Christelle et posèrent chacun une main sur un de ses seins, elle les laissa peloter ses seins en leur souriant, elle se pencha vers Bruno pour lui rouler une pelle, et Robert en profita pour dégrafer son soutien-gorge et mettre ses superbes seins à nu.
Tout en continuant de faire virevolter sa langue dans la bouche de Bruno, elle aida Robert à lui enlever son corsage suivi rapidement de son soutien-gorge, elle sentit la langue Robert venir lui lécher son téton qui pointait d’excitation.
Sans savoir à qui elle appartenait, elle sentit une main se glisser entre ses cuisses et se faufiler dans son string. Elle ouvrit davantage les cuisses, et gémit dans la bouche de Bruno en sentant des doigts venir fouiller sa chatte en feu.
Mais tandis qu’elle sentait une autre main glisser sur ses cuisses pour rejoindre la première sous son string, Robert lâcha son téton pour dire :
— Putain, quelle salope, elle a la chatte trempée.
Christelle sentit les doigts de Robert rejoindre ceux de Bruno dans sa chatte qui débordait de cyprine, elle avait maintenant 4 doigts qui coulissaient dans sa chatte et elle gémissait comme une folle dans la bouche de Bruno.
Mais Christelle voulait leurs bites, alors elle glissa ses mains sur leurs pantalons et caressa leurs queues bien raides.
Bruno n’en pouvait plus, il avait souvent fantasmé sur Christelle, mais elle lui avait toujours paru intouchable, et il n’aurait jamais pu imaginer qu’un jour, elle s’offre ainsi.
Il ouvrit sa braguette et sortit sa queue pour qu’elle puisse lui branler la bite plus efficacement.
Il crut qu’il allait jouir en sentant les doigts fins de Christelle se refermer sur sa queue bien raide.
Robert en avait fait autant et Christelle avait maintenant une bite dans chaque main et prenait un pied d’enfer avec les doigts de ses nouveaux amants au fond de sa chatte.
Bruno avait une envie folle de voir si cette bourgeoise allait accepter de lui pomper la queue, alors il se redressa, se mit debout à côté du fauteuil et approcha sa queue de la bouche ouverte de Christelle.
Elle avait suivi le mouvement de Bruno et regardait avec envie sa bite bien raide. Elle avala sans sourciller la queue qui s’offrait à elle et se mit à la pomper comme une affamée.
Bruno s’aperçut que Michel les regardait en se branlant, et lui dit en se faisant pomper la bite par Christelle :
— Quelle salope, ta femme, elle suce vraiment bien.
— Vous voyez que nous avons des prestations que vous ne trouverez pas chez nos concurrents, lui répondit Michel en se branlant.
— C’est vrai que si tu nous avais parlé de ta salope de femme, on aurait dit oui, tout de suite, lui dit Robert qui avait lâché les tétons de Christelle, pour se mettre debout de l’autre côté du fauteuil en se faisant branler la queue.
— Ah mais les nouvelles dispositions de ma femme sont encore toutes récentes, nous avons passé un WE très instructif avec sa sur et son mari, et elles se sont révélées très disposées à satisfaire les besoins primitifs des hommes, leur dit Michel, la bite à la main.
— Ah parce qu’elle a une sur, cette salope, va falloir nous la présenter si elle est aussi chaude que Christelle, lui dit Robert qui venait de se faire avaler la queue par Christelle.
Elle avalait une bite pendant qu’elle branlait l’autre, elle ressentait un désir de débauche qui la surprenait elle-même, mais depuis qu’elle avait découvert un nouvel appétit sexuel avec sa sur, elle se libérait et devenait une nouvelle femme, plus décontractée et plus audacieuse pour assouvir ses moindres fantasmes.
Elle suçait les queues de Bruno et Robert avec les cuisses grandes ouvertes et voyait que son mari se branler en regardant sa salope de femme satisfaire ses clients.
Bruno qui avait tellement fantasmé sur Christelle, la bourgeoise, voulait profiter au maximum de ses nouvelles dispositions, alors quand elle était en train de sucer la queue de Robert, il la fit se redresser pour qu’elle se mette à genou sur le fauteuil, elle suivit les directives de Bruno en gardant la queue de Robert dans sa bouche.
Elle sentit Bruno lui soulever sa jupe pour dévoiler ses superbes fesses, il lui retira son string et plaça sa bite à l’entrée de sa chatte.
En sentant la queue de Bruno contre sa chatte, elle sut qu’elle allait enfin se faire baiser par les clients de son mari, elle n’avait pas arrêté d’y penser toute la matinée, et elle avait hâte de se faire remplir la chatte par leurs bites.
Elle se cambra d’avantage, offrant ainsi sa chatte à Bruno, qui s’enfonça en elle d’une seule poussée, elle poussa un long râle de plaisir, étouffé par la bite de Robert qu’elle avait en bouche. Mais le plaisir de sentir deux queues en elle l’enivrait, elle se mit à enfoncer de plus en plus la queue de Robert dans sa bouche.
A chaque fois que Bruno enfonçait sa bite au fond de sa chatte, elle avalait un peu plus la bite de Robert, elle avait vu sa sur faire des gorges profondes à Michel et Paul pendant leur WE de débauche, et avoir deux queues rien que pour elle, lui donnait envie d’essayer.
Quand elle sentit le gland de Robert lui effleurer la luette, elle hésita à enfoncer encore plus loin sa queue, elle craignait d’avoir des haut-le-cur
Mais le rythme de la queue de Bruno dans sa chatte lui procurait un plaisir inouï, ses fesses claquaient à chaque coup de bite, elle ne résista pas longtemps à l’envie d’avaler entièrement la bite de Robert, quand son gland lui percuta de nouveau la luette, elle continua à poussa ses lèvres le long de sa queue, elle se retrouva avec le gland dans la gorge et le nez dans les poils pubiens de Robert
Elle éprouva un sentiment étrange à ce moment précis, elle sentait deux queues entièrement enfoncées en elle, et cela lui procurait un bien-être extraordinaire, elle sentit monter en elle un orgasme très puissant.
Son vagin se contracta autour de la bite de Bruno et Robert qui n’arrivait pas à croire que Christelle lui avait avalé entièrement la queue, lui avait bloqué la tête pour qu’elle garde sa bite au fond de sa gorge et lui dit :
— Putain, ce que tu suces bien salope, tu m’as avalé toute la queue, tu es vraiment une sacrée salope, tu vas avaler tout mon sperme, sale pute.
Elle sentit la queue de Robert gonflée dans sa bouche, au même moment celle de Bruno gonflait dans sa chatte, son orgasme montait en elle rapidement, et ce fut une explosion de plaisir quand elle sentit des giclées de sperme lui remplir le vagin et l’sophage simultanément.
Elle ne pouvait faire autrement que d’avaler tout ce que Robert lui envoyait dans la gorge, elle trouva le gout du sperme très agréable, elle déglutit plusieurs fois avant que Robert ne retire sa queue de sa gorge, pour finir de se vider les couilles dans sa bouche, elle lécha tout ce qu’elle put, sa chatte débordait du sperme de Bruno.
Elle était sur un petit nuage, en totale extase, quand ses amants retirèrent leurs queues de son corps, elle s’écroula sur le fauteuil, complètement anéantie par tant d’ivresse.
Bruno admirait la chatte de Christelle d’où s’écoulait son sperme et prit la parole en premier :
— Putain, si j’avais su quelle salope, elle était, je l’aurais baisé depuis longtemps.
— Tu te serais fait sévèrement rembarrer, lui dit Michel qui avait joui, également, en voyant sa femme se faire remplir de sperme par ses clients
— Pourtant, elle aime la queue, lui dit Robert.
— Oui, mais c’est tout récent, sa sur jumelle était aussi très chaste avant, elle a découvert, je ne sais comment, un nouvel appétit pour le sexe, et apparemment Christelle qui a un lien particulier avec sa sur, a ressenti le plaisir que prenait sa sur jumelle, et tout le WE, elle a baisé avec le mari de sa sur, pendant que je baisais sa sur, leur raconta Michel.
— On a hâte de rencontrer la frangine, dit Robert.
— Eh bien, justement, Paul, le mari de Clara, la sur de Christelle, connait d’autres salopes en manque de queue, et il avait l’intention d’organiser une partouze, et j’attendais de vous rencontrer pour vous y inviter, leur dit Michel.
— Génial, ce sera avec plaisir, répondirent en chur Bruno et Robert.
— Et donc plus d’objection pour les hausses de tarifs ? leur demanda Michel.
Ils soupirèrent de mécontentement, mais ils venaient de se vider les couilles en prenant un plaisir formidable, et ils signèrent le nouveau contrat de Michel.
Ils se donnèrent rendez-vous pour le WE prochain pour la grande partouze.
Michel était particulièrement satisfait d’avoir pu profiter des charmes de sa femme pour faire signer ce contrat juteux à ses clients, il aida Christelle à s’allonger sur le canapé, pour qu’elle se remette de ses émotions.
Il la regarda d’un il nouveau, il ne reconnaissait plus sa femme, elle avait le sperme de Robert au coin des lèvres et celui de Bruno qui s’écoulait doucement de sa chatte.
Il se rappela qu’elle avait arrêté la pilule ce WE, il se demanda comment il réagirait si elle tombait enceinte de ses clients.
Mais il fut sorti de sa réflexion par un texto de Paul qui lui annonçait que tout le monde était OK de son côté pour une grande partouze ce WE.
Il sourit, il allait pourvoir de nouveau baiser Clara ou peut-être d’autres chattes en chaleur, mais surtout, tout comme Paul, il adorait voir sa femme se faire prendre par d’autres hommes, il prenait presque plus de plaisir à la regarder jouir, qu’à baiser avec une autre femme.
Il n’avait plus de rendez-vous importants pour la semaine et les nouvelles compétences de Christelle ne furent pas mises à contribution pour l’entreprise familiale.
Clara, qui apprit que la fameuse partouze devait avoir lieu le prochain WE, tenait absolument à présenter Benji à sa sur.
Elle donna rendez-vous à sa sur à l’entrée du lycée le mercredi midi afin de lui présenter son jeune amant qui l’avait débauchée et avait fait d’elle, une nouvelle femme.
Christelle, après sa séance de baise intensive avec les clients de son mari, fut plus tranquille le restant de la semaine, mais après avoir passé le mardi à se reposer et à faire les magasins pour s’acheter quelques tenues dignes d’une salope en chaleur, elle sentait déjà sa chatte avoir envie de gouter à une nouvelle bite.
Alors quand sa sur l’appela pour lui faire cette proposition totalement indécente, elle sentit sa chatte frétiller d’impatience. Elle avait hâte de pouvoir gouter à cette bite dont lui avait tant parlé sa sur.
Le mercredi, elle prit son temps pour bien choisir sa tenue, et puis elle se dit qu’elle plaisait aux hommes quand elle s’habillait en tailleur, donc elle prit son tailleur le plus court, et par contre elle choisit des sous-vêtements dignes d’une salope. Elle prit son nouveau porte-jarretelle qu’elle avait acheté la veille, ainsi que le string et soutien-gorge assorti.
Quand elle finit d’enfiler ses sous-vêtements, elle se regarda dans le miroir, et fut satisfaite de ce qu’elle voyait, son soutien-gorge lui gonflait bien les seins, et lui ferait un superbe décolleté, et pour son string, il lui couvrait tout juste la fente de sa chatte, qu’elle avait totalement épilée la veille sous les conseils de sa sur.
Le porte-jarretelle et ses talons hauts noirs la rendaient fabuleusement sexy. Elle était superbe et elle ne put se retenir de se caresser doucement la chatte et les seins avant de s’apercevoir qu’il était bientôt l’heure de rejoindre sa sur, elle enfila son tailleur rapidement, mais ne mit rien sous sa veste, et ne boutonna qu’un seul bouton au niveau de son nombril, ce qui lui faisait un décolleté très plongeant.
L’ouverture de sa veste laissait apercevoir une partie de son soutien-gorge, les pans de sa veste cachant tout juste ses tétons et laissait voir son tatouage qu’elle avait sur son sein droit.
Elle se regarda rapidement dans le miroir avant de partir et se trouva sexy à souhait. Elle prit sa voiture et fonça jusqu’au lycée de la ville, où sa sur lui avait donné rendez-vous.
Clara, quant à elle, avait opté pour une tenue encore plus sexy, elle voulait être prise pour une pute. Elle arriva donc au lycée avec une mini-jupe qui lui couvrait tout juste la moitié des fesses, tous ceux qui la suivait pouvaient apercevoir son string rose, et pour le haut, elle portait un soutien-gorge rose transparent assorti au string, simplement recouvert d’un top genre maille de filet très ouvert. Tout cela avec des talons aiguilles roses.
Elle voulait faire pute, et elle faisait pute. Elle était à peine sortie de sa voiture, qu’elle se faisait siffler dans la rue. Tous les hommes se retournaient sur son passage, et elle éprouvait une certaine jouissance de sentir leur regard sur ses fesses à moitié nues.
Elle retrouva Christelle qui l’attendait un peu à l’écart de l’entrée du lycée, sa tenue faisait également tourner les têtes.
Mais une fois les deux surs réunies, les hommes qui les avaient suivis du regard, s’interrogeaient de la présence de deux femmes si peu vêtues aux abords du lycée, ils purent remarquer qu’elles étaient jumelles, et furent très surpris de les voir se rouler une pelle.
Elles entendirent la sonnerie de la sortie retentirent, Clara entraina sa sur vers l’entrée.
Christelle la suivit, et fut un peu émoustillée de sentir les yeux des ados sur ses seins, mais la plupart bavaient sur la tenue de Clara.
Elles attendirent impatientes, Benji, elles aperçurent Marcus et Lucas, qui trainaient toujours ensemble. Ils approchèrent aussitôt d’elles, ils furent surpris de trouver deux jumelles, et Marcus demanda :
— Alors comme ça, tu as une sur jumelle ?
— Oui, et ma sur Christelle est très coquine aussi, leur dit Clara
Ils se mirent de chaque côté de Clara et lui pelotèrent les seins et les fesses, elle les laissa faire, Marcus lui dit :
— Alors tu viens prendre ton coup de queue ?
— Non, j’attends Benji, je vais lui présenter ma sur, elle a envie de gouter à sa grosse bite.
Ils regardèrent Christelle avec un nouvel intérêt, Marcus laissa Clara entre les mains de Lucas, et s’approcha de Christelle, il lui empoigna les fesses et tout en glissant une main dans la veste pour lui peloter les seins, il lui dit :
— Alors tu veux gouter à une grosse queue ?
— Oui, répondit Christelle un peu troublée de se faire peloter le cul et les seins par un inconnu en public, mais elle laissa Marcus prendre possession de ses seins, et glisser ses doigts dans son soutien-gorge pour lui titiller les tétons qui étaient déjà durs d’excitation.
— Vous êtes vraiment de belles salopes, toi et ta sur, tu vas voir, Benji a une bite énorme, tu vas la sentir passer, et c’est un accroc de la sodo, j’espère que ton petit cul est prêt à recevoir sa grosse queue, lui dit Marcus en lui pelotant fermement les fesses.
Christelle avait vu sa sur se faire prendre le cul par Michel pendant le WE, mais elle n’avait jamais pratiqué cette pénétration, mais en voyant sa sur jouir comme une folle, elle s’attendait à y prendre également énormément de plaisir.
Clara dit à Marcus :
— Elle est encore vierge du cul, Benji va lui dépuceler l’anus.
— Eh bien ma salope, tu as choisi un sacré morceau pour te faire déflorer le cul, tu vas t’en rappeler longtemps de ta première sodo, dit Lucas à Christelle, en enfonçant un doigt dans le cul de Clara.
Mais Benji approchait avec Zita, il vit Clara avec Marcus et Lucas, il ne reconnaissait pas l’autre fille, mais dès qu’il fut assez proche, il devina que c’était la sur jumelle de Clara.
Clara présenta Benji à sa sur, tout en laissant Lucas lui fouiller le cul en public. Christelle regarda Benji avec un intérêt nouveau, il se dégageait quelque chose d’étrange de Benji, elle sentait sa chatte mouillée abondamment, elle ne se préoccupait plus de la main de Marcus qui avait fini par ouvrir sa veste et faire sortir son sein. Elle se laissait peloter en public comme sa sur, et regardait approcher Benji.
Benji laissa Zita, et s’approcha de Christelle, il glissa une main entre ses cuisses en lui disant :
— Alors tu es aussi salope que ta sur ?
Il fit remonter le tailleur de Christelle, pour amener sa main sur son string, il lui caressa la chatte, il glissa un doigt sous le string, et lui enfonça un doigt dans sa chatte trempée.
Christelle était maintenant à moitié nue devant le lycée, en train de se faire peloter les seins et la chatte en public, sa sur n’était pas mieux avec le doigt de Lucas dans le cul.
Heureusement pour elles, la bande de copines de Zita, que Benji avait toutes dépucelées, les entourait et les cachait des regards indiscrets.
Christelle ouvrit un peu plus les cuisses et laissa Benji fouiller sa chatte trempée, elle ne se préoccupa à aucun moment qu’elle pouvait être vu dans cette posture indécente. Elle ne résista pas à un désir incontrôlable d’aller rouler une pelle à Benji, elle passa ses bras autour du cou de Benji et lui dit avant d’enfoncer sa langue dans sa bouche :
— Vas-y, fouille-moi la chatte, fais ce que tu veux de moi.
Christelle n’arrivait à comprendre ce qu’il lui arrivait, mais son tailleur finit de remonter sur ses fesses, elle sentit la main de Marcus glisser dans la raie de son cul, et venir lui titiller l’anus.
Mais elle s’abandonnait à ses pulsions, sa langue tourbillonnait dans la bouche de Benji, elle laissa Marcus lui enfoncer un doigt dans le cul, elle avait maintenant un doigt dans chacun de ses orifices, et elle y prenait un plaisir incroyable.
Marcus dit à Benji :
— Je crois qu’elle est prête pour que tu lui dépucèles le cul, Benji.
Benji se recula et demanda à Christelle :
— Tu es encore vierge du cul ?
— Ouiiii, répondit Christelle dans un râle de plaisir
— Tu veux que ce soit moi qui te dépucèle le cul ?
— Ouii, j’ai envie de ta bite dans mon cul de salope.
Christelle n’avait pas encore vu la taille de la queue de Benji, mais les doigts qui lui fouillaient la chatte et le cul, lui procuraient tellement de plaisir, qu’elle se sentait prête à tout.
Benji lui dit :
— Ok, allons chez Clara, je vais m’occuper de ton cul.
Il retira son doigt de sa chatte, et Marcus en fit autant avec son cul, et il demanda :
— On peut venir pour s’occuper de Clara ?
— Ok, mais pas touche à la frangine, je m’en occupe personnellement.
Benji dit au revoir à Zita et ses copines, Christelle revint à la réalité et remit un peu d’ordre dans sa tenue avant d’être vue quasiment à poil en pleine rue.
Marcus et Lucas partirent avec Clara en direction de sa voiture avec une main sur chacune de ses fesses, tandis que Benji accompagna Christelle. Il avait un petit faible pour les femmes en tailleur et il avait hâte de pouvoir baiser cette superbe salope, il avançait à côté d’elle avec une main sur son cul, comme-ci elle lui appartenait déjà.
Christelle ressentait une étrange attirance envers Benji, elle n’arrivait pas à se l’expliquer, mais elle comprenait parfaitement que sa sur ait laissé tomber ses tabous pour se faire baiser par cet ado.
Elle se sentait prête à satisfaire ses moindres désirs, elle le laissa peloter son cul tout le long du chemin qui menait à sa voiture. Étrangement, elle voulait être sa chose, son jouet, il n’avait qu’à demander et elle obéirait, c’était plus fort qu’elle, un désir de soumission incontrôlable.
Dans sa voiture, Paul sortit du lycée au moment où sa femme et sa belle-sur partaient, en bonne compagnie, pour leurs voitures, il les vit s’installer et décida de les suivre, pour savoir où elles comptaient se faire baiser.
Il reconnut rapidement la route qui menait à sa maison, et décida de les suivre discrètement, même s’il savait très bien ce qu’elles allaient subir, il avait envie de jouer les voyeurs discrets.
Dans leurs voitures, Clara et Christelle se faisaient fouiller la chatte par leurs jeunes amants, elles avaient énormément de mal à conduire, et leurs sièges étaient couverts de cyprine quand elles arrivèrent chez Clara.
Christelle se gara à côté de sa sur et tandis que Benji continuait à lui fouiller la chatte avec ses doigts, elle regarda dans la voiture de sa sur, qui était pratiquement à poil, en train de se faire peloter les seins et bouffer la chatte par les ados qui l’accompagnaient.
Leurs regards se croisèrent et sans qu’elles aient besoin de se parler, elles surent qu’elles devaient sortir pour pouvoir se faire baiser plus efficacement dans la maison.
Alors presque simultanément, elles dirent à leurs amants :
— Allons à l’intérieur, on pourra baiser plus confortablement.
Benji et les autres laissèrent les surs jumelles sortirent de leur voiture et les accompagnèrent jusqu’à la porte de la maison, aucune des deux n’avait pensé à remettre de l’ordre dans leur tenue, et elles marchaient toutes les deux dans l’allée, à moitié nue.
Clara avait les seins et les fesses à l’air et Christelle avait la jupe remontée jusqu’aux hanches ce qui dévoilait son superbe petit string et son porte-jarretelle.
Le claquement de leurs talons hauts dans l’allée attira l’attention d’un voisin qui rentrait chez lui, il fut complètement abasourdi de voir sa voisine et sa sur quasiment à poil, entourées de trois jeunes qui les pelotaient sans vergogne.
Gilles, un voisin, la cinquantaine, un peu bedonnant, ne put empêcher sa bite de gonfler dans son pantalon, devant ce spectacle particulièrement alléchant, et au lieu de rentrer chez lui, il décida de faire le tour de sa maison, d’aller jouer les voyeurs dans son jardin qui donnait sur la terrasse et sur le salon de cette salope de voisine.
Paul n’avait pas remarqué Gilles leur vieux voisin, mais il fit à peu près comme lui et fit le tour de sa maison pour pourvoir mater sa femme et sa belle-sur à travers la baie vitrée du salon.
Clara ouvrit difficilement la porte de la maison, Lucas et Marcus lui fouillait la chatte et le cul, en même temps, elle avait énormément de mal à enfoncer la clé dans la serrure.
Marcus l’aida et ils purent s’engouffrer à l’intérieur, la porte d’entrée à peine refermée, Lucas et Marcus retirèrent le peu de vêtements que portait Clara. Et elle se mit ensuite à genou pour leur sortir leur queue et les sucer l’une après l’autre.
Benji et Christelle avaient avancé un peu plus dans le salon, et tandis que Benji retirait la veste de Christelle, dévoilant sa superbe poitrine recouverte par un ravissant soutien-gorge, qu’il dégrafa juste après.
Christelle le laissait la dévêtir, elle sentait sa chatte complètement trempée, elle voyait sa sur pomper les queues des 2 ados, et elle avait très envie d’en faire autant avec celle de Benji, mais elle patientait, elle avait maintenant les seins à l’air, et s’attendait à sentir des jeunes mains lui pétrirent ses seins durs d’excitation, mais Benji s’attaqua à sa jupe et fit glisser la fermeture éclair pour lui retirer.
Elle se retrouva en string et porte-jarretelle, embelli par ses talons hauts, au milieu du salon, elle sentit son string glisser le long de ses jambes, elle souleva les pieds pour finir de retirer ce bout de tissu devenu gênant, elle sentit Benji la pousser contre la baie vitrée, elle posa les mains dessus, et entendit Benji baisser son short.
Elle jeta un il derrière elle pour voir l’engin dont lui avait tant parlé sa sur, et elle fut agréablement surprise de voir que sa sur n’avait pas menti, il avait réellement une bite hors norme, elle n’en avait pas vu beaucoup, dans sa jeunesse très chaste, mais ce gourdin que s’apprêtait à lui enfiler Benji était vraiment impressionnant.
Elle le sentit poser son énorme gland à l’entrée de sa chatte, elle sentit ses lèvres vaginales s’ouvrir sous la pression qu’exerçait Benji en poussant son énorme bite à l’intérieur de son vagin en feu.
Quand le gland s’enfonça dans son ventre, elle sentit sa chatte s’ouvrir comme jamais, elle crut qu’elle allait se déchirer en deux, mais elle ne ressentait aucune douleur, un sentiment de plénitude montait en elle.
Puis cette énorme queue s’enfonça doucement au fond de sa chatte, elle en avait le souffle coupé, jamais elle ne s’était sentie aussi bien remplie, elle avait les yeux écarquillés de ressentir une telle extase.
Quand les poils pubiens de Benji touchèrent les fesses de Christelle, elle eut un orgasme, elle sentait sa chatte remplie comme jamais, elle sentait cette énorme queue lui envahir la chatte, et elle jouit comme une petite pucelle qui venait de se faire déflorer.
Benji avait senti que Christelle venait d’avoir un orgasme, il la laissa savourer son plaisir, et lui dit :
— Alors tu aimes te faire bien remplir la chatte, petite salope ?
Christelle avait fermé les yeux pour se délecter de cette jouissance inouïe, elle était nue, contre la baie vitrée, avec une énorme bite qui lui remplissait la chatte jusqu’à pousser sur son utérus, elle était sur un petit nuage, submergée de plaisir.
Elle répondit dans un râle :
— Oui, c’est trop bon ta grosse queue au fond de ma chatte.
Benji commença à faire ressortir sa queue de la chatte de Christelle, qui sentit comme un vide en elle, elle se cambra pour essayer de garder au maximum cette grosse bite au fond d’elle, elle plaqua son visage contre la vitre, tout en se cambrant, elle dit à son jeune amant :
— Remets-la-moi, baise-moi
— T’inquiète, ma belle salope, tu vas t’en rappeler longtemps de ma queue.
Benji commença les va-et-vient dans la chatte de Christelle, qui se mit aussitôt à gémir de plaisir, elle était tellement cambrée, qu’elle offrait sa chatte à Benji comme la dernière des trainées, mais elle s’en moquait totalement, elle prenait tellement de plaisir qu’elle ne se préoccupait aucunement de ce qui l’entourait.
Paul et Gilles qui étaient bien cachés eurent tout le loisir de voir cette superbe blonde se faire baiser sauvagement contre la vitre. Ils ne purent s’empêcher de sortir leurs queues pour se branler devant ce spectacle particulièrement excitant.
Les coups de queue que recevaient Christelle, la poussèrent davantage contre la vitre, et ses seins finirent par se coller à la vitre, elle bavait contre la vitre, elle criait de plaisir à chaque coup de bite, elle était en totale extase.
Clara et ses 2 amants les avaient rejoints et ils regardaient Christelle jouir intensément sous les coups de queue de Benji, Marcus et Lucas s’étaient mis à poil et se faisaient branler par Clara.
En regardant sa sur se faire sauvagement baiser par l’énorme bite de Benji, Clara avait très envie de se faire baiser également, elle dit aux garçons qu’elle branlait :
— Venez les garçons, on va continuer dehors, j’ai envie de me faire baiser en plein air.
Elle ouvrit la baie vitrée, laissant sa sur continuer à crier de plaisir sous les coups de queue violents de Benji, et alla s’installer dans le salon de jardin, suivi de près par Lucas et Marcus.
Tous les 3 à poil, s’installèrent sur le canapé de jardin pour baiser en plein air, aucun des trois ne fit attention à Gilles et Paul qui s’étaient un peu cachés pour ne pas se faire repérer.
D’ailleurs en essayant de rester à l’abri des regards, Gilles faillit tomber de son échelle, il faut dire qu’avec une main sur la queue, ce n’était pas facile de garder l’équilibre. Le léger bruit qu’il émit lors de sa perte d’équilibre fut uniquement perçu par Paul, qui leva la tête et découvrit leur voisin en pleine branlette.
Il avait trouvé un vieux voyeur, et apparemment le spectacle lui plaisait beaucoup, mais Paul s’avoua que Christelle en train de se faire sauvagement baiser contre la vitre était particulièrement bandante.
Il s’approcha discrètement de Gilles et lui dit :
— Le spectacle vous plait ?
Gilles faillit une nouvelle fois, tomber de son échelle, et en voyant son voisin la bite à l’air, tout comme lui, lui répondit :
— J’avoue que le spectacle est plutôt agréable, mais ça ne vous dérange pas que votre femme baise avec d’autres ?
— Non, j’adore la regarder prendre du plaisir avec d’autres hommes, ça peut paraitre étrange, mais elle est vraiment magnifique quand elle jouit.
— J’avoue, vous avez vraiment une femme splendide, dit Gilles qui regardait maintenant Clara s’installer dehors avec ses deux jeunes amants.
— Venez de ce côté, dès qu’elles auront bien joui on les rejoindra et on les baisera à notre tour.
— Vous êtes sûr ? dit Gilles, en passant déjà par-dessus le muret.
Il se laissa tomber discrètement de l’autre côté et continua de mater à côté de Paul, ils avaient tous les deux, la queue à l’air, s’en était presque comique.
Sur la terrasse, Clara n’avait pas perdu de temps, elle voulait des queues en elle, et elle allait en avoir, elle fit assoir Marcus sur le canapé d’extérieur, et l’enjamba pour empaler sa chatte sur sa grosse queue de black, elle cambra ensuite ses reins pour ouvrir ses fesses avec ses mains et sans que Lucas ait besoin d’explication, il lui enfonça sa queue plus modeste au fond de son cul.
Ils se mirent à la baiser des deux côtés, ce qui la fit crier de plaisir, elle ne se préoccupa pas le moins du monde qu’un voisin puisse l’entendre jouir comme une folle, tout ce qui comptait pour elle, c’était ces deux queues qui lui ramonaient ses orifices en chaleur.
Gilles, en voyant la femme de Paul se faire prendre en sandwich, lui dit :
— Eh bien, elle aime ça, votre femme, moi qui la croyais un peu sainte nitouche
— Oui, c’est assez récent, mais depuis qu’elle s’est fait sauter par celui qui baise sa sur contre la vitre, son appétit sexuel s’est beaucoup développé.
Gilles qui n’en pouvait plus d’attendre lui dit :
— Vous pensez qu’elle accepterait de me sucer la queue pendant qu’elle se fait baiser ?
— Oh, oui, approchons-nous d’eux, vous verrez qu’elle ne refuse jamais une bonne bite.
Paul et Gilles sortirent des buissons, la queue à l’air, et s’approchèrent du trio sur le canapé de jardin.
Christelle, de son côté, était plaquée contre la vitre, ses seins étaient écrasés contre la baie vitrée, et elle criait toujours plus fort de plaisir. Les coups de queue de Benji qu’elle recevait au fond de sa chatte lui procuraient une jouissance extrême.
Elle sentit un nouvel orgasme monter rapidement en elle, et sur un coup de queue plus puissant que les autres, elle s’agrippa aux bords de la vitre et hurla :
— OOHHHH, OUUUIII, DEFONCE MOIIII, JE JOUIIISSS
Ses jambes avaient du mal à la maintenir debout, elle s’affala contre la vitre, et Benji dut la maintenir pour ne pas qu’elle s’écroule sur le sol.
Il lui dit en la maintenant par les seins :
— Attends ma belle salope, je n’en ai pas fini avec toi.
Christelle reprenait lentement son souffle, elle était épuisée de son dernier orgasme, elle se maintenait debout grâce à la vitre, et laissait Benji jouer avec ses seins, elle avait toujours sa grosse bite plantée au fond de la chatte, et cela lui procurait une sensation de bonheur intense.
Mais Benji avait d’autres plans pour cette superbe salope, il retira sa queue de la chatte de Christelle, tout en continuant de lui pétrir ses superbes seins.
En sentant la queue de Benji sortir de sa chatte ravagée, elle sentit comme un grand vide en elle, il fallait qu’elle sente encore cette fabuleuse bite en elle, et elle dit à Benji :
— Remets-la-moi, elle me fait tellement jouir, remets-la-moi dans la chatte.
— Je vais te la remettre, ma belle, mais pas dans ta chatte cette fois, c’est ton cul qui va avoir droit d’y gouter.
Christelle, avait vu sa sur se faire enculer par son mari, pendant leur WE de débauche, par contre elle-même n’’avait jamais pratiqué la sodomie, mais elle avait vu sa sur jouir énormément avec une bite dans le cul. Alors elle se dit qu’elle y prendrait surement également beaucoup de plaisir, et elle dit à Benji :
— D’accord, mais dépêche-toi, ta bite me manque déjà.
— Tu es vraiment comme ta sur, une belle salope sous ton apparence de bourgeoise.
Il emmena Christelle à l’extérieur, elle tenait à peine debout, elle était aussi nue que sa sur, et ne fut pas le moins du monde troublée de voir approcher Paul avec un autre homme. Tout ce qui comptait pour elle, c’était de recevoir la bite de Benji au fond de son cul.
Paul approcha avec Gilles près du trio que formait Clara, Marcus et Lucas, sa femme criait toujours autant du plaisir qu’elle prenait avec les deux bites qui lui ravageait la chatte et le cul, quand elle vit Paul approcher avec le voisin, il n’eut pas besoin de lui demander quoi que ce soit, elle tendit la main pour attraper la bite bien raide de Gilles, et la tira vers elle.
Gilles ne put faire autrement que de s’approcher de cette superbe salope, et lui donna sa queue à sucer. Clara se déchaina sur la vieille bite de Gilles, tandis que les ados se déchainaient dans ses orifices.
Paul bandait comme un fou à regarder sa salope de femme, se faire prendre par 3 queues en même temps.
Mais il vit Christelle, qui semblait épuisée, il sut que Benji s’apprêtait à l’enculer quand il le vit la mettre à genou sur un des fauteuils et commencer à lui bouffer l’anus, comme il l’avait vu faire avec sa femme, il lui préparait le cul pour pouvoir l’enculer plus facilement.
Tout comme sa femme, devenue une accroc de la sodomie, Christelle réagissait favorablement à la préparation que lui prodiguait Benji, devenu, lui aussi, un expert du dépucelage d’anus.
Paul eut une idée vicieuse en regardant Benji bouffer et doigter le cul de Christelle, il prit son téléphone et photographia le cul de Christelle en plein préparatif, il envoya la photo à Michel, et lui écrit en commentaire :
Ta salope de femme ne sera bientôt plus vierge du cul
Je me demandais où elle était, cette salope, lui répondit Michel
Le jeune Benji ne va pas tarder à lui déflorer le cul, j’espère pouvoir y gouter après ça.
J’arrive, je vais m’occuper de ta salope de femme, écrit Michel
Paul photographia Clara prise par tous les trous et envoya la photo à Michel, et lui écrit :
Je ne sais pas où tu vas mettre ta queue, elle est pleine de partout.
Quelles salopes, ces surs jumelles, il leur en faut toujours plus, j’arrive, lui écrit Michel.
Paul vit que Benji avait terminé sa préparation et s’était mis debout derrière Christelle, il se déplaça pour pouvoir filmer la première sodomie de sa belle-sur.
Il fit un gros plan sur l’énorme bite de Benji qui s’apprêtait à perforer l’anus de Christelle.
Celle-ci avait été bien préparée par Benji, elle avait d’abord trouvé cela étrange de sentir sa langue contre son cul, mais quand il avait commencé à enfoncer son doigt entre ses fesses, elle s’était vite abandonnée, et les doigts suivants de Benji s’enfoncèrent dans ses intestins sans aucune résistance.
Quand elle avait senti le plaisir qu’elle prenait avec 3 doigts de Benji dans son cul, elle avait presque hâte qu’il lui enfonce sa grosse queue dans le cul.
Elle sentait maintenant Benji debout derrière elle, le gland contre son anus, elle avait suivi ses consignes et se tenait les fesses bien ouvertes avec ses mains, elle était prête pour sa première sodomie, et étonnamment elle en avait très envie.
Elle sentit Benji pousser sa grosse bite dans son cul, et tout comme quand il s’était enfoncé dans sa chatte, elle eut la sensation de se faire déchirer en deux, mais cette fois, la douleur était présente. Heureusement pour elle, il lui avait bien préparé le cul, et elle était suffisamment lubrifiée du cul pour que la douleur soit atténuée.
Elle fit tout de même une belle grimace quand elle sentit le gland de Benji lui ouvrir le cul en deux, quand elle sentit son rectum se refermer sur le gland, elle fut presque soulagée, d’après ce que Benji lui avait dit, le plus dur était fait.
Mais à cet instant, elle était encore partagée entre la douleur que lui infligeait l’énorme gland de Benji dans son cul et le plaisir de se faire remplir cet orifice encore vierge.
Mais quand elle sentit Benji enfoncer davantage son énorme queue au fond de ses intestins, la douleur disparut doucement laissant place à une incroyable ivresse de plaisir.
Elle sentait son anus écartelé par un engin aux proportions faramineuses, et malgré les tourments que cela lui procurait, elle sentait un plaisir sourd et sauvage monté en elle, et plus la bite de Benji s’enfonçait dans ses intestins, plus elle débordait de bonheur.
Quand les poils pubiens de Benji touchèrent ses fesses, elle sut qu’elle serait, comme sa sur, une accroc de la sodomie, la douleur avait totalement disparu, et le pur plaisir de se sentir possédée par cet orifice interdit la submergea, elle s’entendit dire à Benji :
— Vas-y, maintenant, défonce-moi le cul.
Jamais elle n’aurait imaginé demander cela à un homme et encore moins à un ado, mais elle venait de demander à ce jeune, de lui défoncer le cul et quand elle sentit cette énorme queue commencer à coulisser dans son cul, elle fut prise de démence, elle se mit à hurler à Benji :
— OUIII, ENCORREEEE, DEFONCE MOI LE CUULL, OUIIII, CONTINUE, PLUS FORTT
Benji accéléra rapidement les enculades, et lui cria :
— Tu aimes ça te faire enculer, sale pute, ton cocu de mari ne te la jamais mise dans le cul, et maintenant tu en redemandes, salope.
— OUIIIII, C’EST TROOOPPP BOONNN, ENCUULLEE MOIII, DEFONCEE MOIII LE CUUULLL
Benji accélérait toujours, et Christelle fut rapidement submergée par des orgasmes à répétition, mais elle hurlait toujours à Benji de lui défoncer le cul, elle était totalement possédée.
Paul filmait toujours, mais il bandait de plus en plus, il sentit qu’il allait bientôt jouir devant ce spectacle d’une dépravation sans nom, et comme Christelle gueulait toujours de plaisir, il lui enfonça sa queue prête à jouir au fond de la bouche.
Mais elle était tellement folle de plaisir, qu’elle attrapa les fesses de Paul, pour qu’il enfonce entièrement sa queue au fond de sa bouche, elle sentit le gland s’enfoncer dans sa gorge, et il n’en fallut pas plus à Paul pour jouir, et envoyer de longues giclées de sperme dans la gorge de sa belle-sur, qu’elle avala sans rechigner.
Benji relâcha toute résistance, et jouit à son tour au fond du cul de Christelle. Et celle-ci, en sentant pour la première fois de sa vie, du sperme lui envahir simultanément les intestins et la gorge, fut prise de convulsions orgasmiques, elle jouissait comme jamais elle n’avait jouit à ce jour.
Quand les giclées de sperme se tarirent au fond de son cul et dans sa