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Evolutions – Chapitre 26

Evolutions - Chapitre 26



ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 26 : Qui se ressemble s’assemble.

Je me lève moi aussi, et je désigne à Alice comme elle me l’a fait la chaise longue que je viens de quitter, dans laquelle elle s’assoit sans hésiter. Ensuite, elle pose prudemment ses cuisses sur les accoudoirs en bois, et une fois qu’elle a constaté leur solidité, elle s’affale sur le siège. Dans cette position, sa vulve ainsi que son anus sont largement exposés, cependant je ne m’intéresse pas pour l’instant à ce dernier, étant donné qu’après m’être mis à mon tour à genoux devant elle, j’entreprends de lécher ses grandes lèvres.

Tandis que sa respiration devient plus profonde, mon petit bout de femme pose ses mollets sur mes épaules, et je me régale à passer ma langue sur toute la surface de la partie la plus charnue de son sexe. Ce dernier ne tarde pas à produire de la mouille, au départ en faible quantité, mais cette dernière augmente au fur et à mesure que je la butine, et je me régale en récoltant ce divin nectar.

Le souffle de ma compagne sous l’effet de la volupté que je lui procure se transforme peu à peu en halètements, alors je me dis qu’il est grand temps de passer à l’étape suivante, et de m’intéresser cette fois à ses nymphes chiffonnées. Je prends un malin plaisir à aller fouiller les moindres recoins de ces bandes de chair aux formes étranges, tellement agréables à regarder, mais également à lécher et à mordiller. Lorsque mon amante se met à geindre doucement, j’avise son clitoris qui à son habitude ne m’a pas attendu pour sortir de sa petite grotte protectrice, comme pour attirer mon attention et bénéficier lui aussi de mes caresses buccales.

Au moment où je pose ma langue dessus, j’enfonce d’un coup mon index tendu dans l’anus de mon petit bout de femme, si bien que je ne sais pas si le petit gémissement qu’elle pousse à ce moment-là est dû à l’une de mes actions plutôt qu’à l’autre. Cependant, cela n’a pas une bien grande importance, et tandis que je commence à lui branler la rondelle, je me mets à lécher son petit dard rose-vif.

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Cette fois, Alice n’a pas osé poser ses mains sur ma tête, sans doute de peur de m’arracher à nouveau des cheveux, mais elle est en train de s’agripper aux accoudoirs de la chaise longue. Ses geignements gagnent en longueur, mais pas en intensité, ce qui n’est pas vraiment une surprise pour moi étant donné que je commence à bien la connaître, et ils finissent par se transformer en véritable râle de plaisir, pour ma plus grande satisfaction.

Car le plus important est là, lorsqu’on aime vraiment une personne on éprouve un réel bonheur à la mener jusqu’à la jouissance, et la nôtre prend une importance qui est toute relative. C’est d’ailleurs ce qui ne tarde pas à arriver à mon amante, puisqu’elle se met à pousser cette fois un long gémissement libérateur, en même temps qu’elle se cambre sur son siège avant de s’affaisser à nouveau dessus.

En attendant qu’elle reprenne ses esprits, je recommence à lécher sa vulve, pour y enlever toute trace de mouille, et lorsqu’elle est revenue du septième ciel, mon petit bout de femme me dit :

Hum, mon Amour. C’était… merveilleux…

Réalisant alors que je n’ai pas pensé à mettre de la musique en bruit de fond, pour couvrir les manifestations de plaisir de ma partenaire, je réponds pas du tout inquiet, mais plutôt heureux, à l’idée que tout le quartier soit au courant que j’ai le privilège de faire jouir la plus belle femme du monde :

Oui, c’est sûrement ce qu’ont dû penser aussi nos voisins.

Elle s’exclame aussitôt tout en devenant écarlate :

Foutre !! Jamais je ne vais oser les regarder en face, si un jour je les rencontre dans la rue !

Amusé par sa réaction, je réplique :

Lorsqu’on est une cochonne, il faut l’assumer. Mais si tu veux, je te donnerai un des boîtiers actionnant les portails, comme ça la prochaine fois que tu viendras ici, tu pourras te garer directement dans la cour de la maison. Et si d’aventure tu croisais tout de même une ou plusieurs des personnes qui habitent dans le quartier, ton regard serait certainement protégé par les verres fumés de tes lunettes de soleil, dont tu ne te sépares jamais.

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À présent que nous sommes repus de jouissance, il nous faut penser à un autre genre de plaisir qui sera celui de nous remplir l’estomac. Par conséquent, je vais m’occuper du barbecue en commençant par enlever les cendres, afin de pouvoir le regarnir de bois. Lorsque le feu a pris, je me rends dans la cuisine où se trouve déjà mon petit bout de femme qui a commencé à concocter la salade composée qui va accompagner les grillades. Je lui propose alors de l’aider, mais comme elle refuse mon offre après avoir souri, j’en profite pour faire de nouvelles photos d’elle en train de préparer les crudités.

Elle est à présent tout à fait sereine devant l’objectif de mon appareil, et même parfois espiègle, ce qui me montre qu’elle n’a pas été traumatisée par le fait qu’elle a probablement donné un spectacle auditif d’un genre très particulier aux gens qui vivent autour de la maison. Cela prouve qu’elle maîtrise parfaitement son évolution, ce qui me rend fier d’elle.

Néanmoins, elle rougit légèrement, lorsque je lui dis :

Si tu veux réellement alimenter un blog nudiste, il va falloir trouver d’autres idées d’activités. Parce qu’une fois que les voyeurs auront vu Alice en train de cuisiner, Alice en train de cuisiner à nouveau, et Alice toujours en train de cuisiner, ils vont finir par se lasser. Même si ton corps est magnifique.

Elle me répond, tandis qu’elle met sa composition qu’elle a terminée dans le réfrigérateur :

Si tu as des suggestions à me faire, je t’écoute.

Je vais y réfléchir, mais on pourrait commencer par Alice en train de jouer aux échecs sur la terrasse ?

Son visage s’illumine aussitôt, et elle réplique :

Tu voulais sûrement dire, Alice en train de mettre une raclée à Laurent, car c’est ce qui va se passer.

Sa réaction m’amuse énormément, même si j’ai déjà eu l’occasion de constater que ma timide compagne aime la compétition, que cette dernière soit sportive ou cérébrale. C’est probablement pour elle l’occasion de s’affirmer, sans avoir besoin d’utiliser la parole.

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J’installe rapidement l’échiquier dehors, et commence ensuite une partie acharnée, pendant laquelle je fais quelques clichés de ma compagne en train de réfléchir, tout d’abord de face, puis de profil pour que l’on voit également sa magnifique silhouette, avant cela en grande partie cachée par la table.

Cependant, cela ne la déconcentre absolument pas, et lorsque je comprends qu’elle risque de gagner la première manche, je lui dis le plus sérieusement du monde :

Pourquoi pas Alice en train de passer la serpillière à quatre pattes ?

Elle commet à ce moment-là une erreur tactique en plaçant sa reine dans une position dangereuse, mais alors qu’elle la tient toujours, ce qui signifie qu’elle n’a pas encore joué son coup, j’ajoute perfidement :

Ou encore Alice en train de pisser sur le gazon.

Elle lâche soudainement sa pièce maîtresse pour me regarder en devenant écarlate, et elle réplique :

On pourrait aussi y mettre, la Grosse Cochonne en train de se faire enculer au bord de la piscine, tant qu’on y est ?!

Étant donné que c’est à présent mon tour de jouer, je mange immédiatement sa reine avec la mienne, et j’annonce fièrement :

Échec et mat !

Comprenant qu’elle s’est fait avoir, elle s’exclame piquée au vif :

Si tricher est le seul moyen que tu as trouvé pour arriver à me battre, je préfère arrêter !!

Je me sens à présent penaud pour ne pas dire ridicule, d’avoir réussi à la mettre pour la première fois en colère, surtout à cause d’un simple jeu. C’est pourquoi je lui dis sur un ton repentant :

Je ne suis qu’un âne, et je m’excuse de m’être comporté de cette façon. On annule cette manche, et je te promets de ne plus jamais essayer de remporter une partie de façon déloyale.

Mon petit bout de femme remet en silence ses pièces en place, tandis que je fais la même chose avec les miennes, et nous commençons une nouvelle partie. Cependant, ses beaux sourcils restent froncés, ce qui me montre qu’elle est toujours fâchée après moi, et elle ne se déride qu’une fois qu’elle a remporté la victoire.

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Ensuite, comme il est l’heure de cuire la viande, je vais chercher les côtelettes et les merguez dans le réfrigérateur, et je laisse à Alice le soin de ranger l’échiquier dans le bureau. Lorsqu’elle a terminé, elle met le couvert, puis elle nous sert l’apéritif, allant même jusqu’à aller chercher une bouteille de pinot gris à la cave, ce qui me montre que je suis pardonné pour ce que je lui ai fait un peu plus tôt.

Lorsque tout est prêt, nous mangeons bien entendu sur la table de la terrasse, et si nous avons retrouvé notre sérénité, un voile de tristesse vient peu à peu la couvrir à l’idée que nous allons bientôt devoir nous séparer à nouveau. Alors afin d’éviter que nous ne nous enfoncions dans une morosité négative, j’essaie d’engager une conversation :

Tu veux que je demande à mes amis, si leur villa de Port-Leucate est disponible au mois d’août ?

Tu peux toujours te renseigner, mais je te rappelle que cela ne se fera qu’à la condition que mes filles soient toutes les deux d’accord pour y aller. Ce qui n’est pas gagné en ce qui concerne Léa.

Je vais quand même leur poser la question, en leur disant que ce n’est pas certain que nous y allions. Eux ils sont commerçants, par conséquent ils prennent toujours leurs vacances au printemps, et ils doivent y être en ce moment. De plus, je sais qu’ils ne veulent pas la louer de peur des dégradations.

Elle est grande, cette maison ?

Assez, elle a la même superficie que la mienne avec les garages en moins, mais le terrain est plus petit. Elle possède également quatre chambres, dont deux sont équipées de lits d’une place pour des enfants. Par conséquent, on peut y dormir jusqu’à 10, en comptant le canapé qui se déplie. Et bien entendu, il y a tout le confort moderne, la télévision, des machines pour laver le linge et la vaisselle, ainsi que tout le reste.

Ils doivent faire de bonnes affaires avec leur négoce pour posséder une telle résidence secondaire si près de la mer.

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Cette remarque me fait sourire, et je réponds :

Tu sais, il y a plusieurs facteurs à prendre en considération pour déterminer le prix d’une habitation. Le premier étant bien évidemment la valeur du terrain. Ensuite il y a ce qu’ont coûté les matériaux et la main d’uvre, mais si tu connais les bonnes personnes et que tu as un frère maçon, ils sont grandement diminués. De plus, le fait que la maison soit construite dans un endroit où le port des vêtements est interdit implique qu’il n’y a pas de valeur ajoutée une fois qu’elle est terminée. Par conséquent, si tu veux investir dans ce genre de résidence, c’est beaucoup plus abordable que dans une zone similaire, mais dans laquelle tu dois t’habiller avant de sortir de chez toi.

Alice sourit à son tour avant de répliquer sans rougir :

Avant d’envisager de faire un tel investissement, je vais attendre de voir comment ça se passe réellement. Car je t’avoue que j’ai un peu de mal à visualiser la chose. Mais dis-moi, est-ce qu’il y a des gens qui vivent comme ça toute l’année, où l’endroit est fermé en hiver ?

Il y a quelques retraités qui restent là en permanence, et aussi deux ou trois familles dont les parents travaillent dans la ville de Leucate. Mais comme je n’y suis allé qu’une fois et en plein été, je suppose que hors saison, l’endroit doit être très tranquille, pour ne pas dire désertique.

Mais alors comment ils font ? Ils se gèlent les miches parce qu’ils n’ont pas le droit de s’habiller ?

Cette fois, j’éclate de rire, avant de répondre :

Je n’en sais rien. J’imagine qu’ils font comme nous, et qu’ils s’habillent quand ils ont froid. Car je t’avoue que je trouve cette intolérance vis-à-vis des textiles quelque peu sectaires. Mais je pense qu’elle doit surtout être pratiquée par ceux qui sont obligés de porter des vêtements le reste de l’année, et ne peuvent les quitter que lorsqu’ils sont en vacances. Et vouloir empêcher les autres d’en mettre ressemble alors à une petite vengeance mesquine de leur part. Parce que selon moi, avoir la possibilité de vivre nu même dans la rue, c’est-à-dire sans aucune contrainte, devrait être une ode à la liberté et non à l’intransigeance. Et je suis convaincu que ceux qui ont la chance de pouvoir vivre de cette manière tout le temps doivent être beaucoup plus libéraux que les autres. Mais bien entendu, ce ne sont que des suppositions vu que je ne suis pas capable de lire dans les pensées des gens.

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Étant donné que tout en discutant, nous avons terminé notre repas, nous débarrassons la table, et alors que nous buvons ensuite le café, c’est cette fois Alice qui engage une nouvelle conversation. Elle me demande, en rougissant légèrement :

J’ai cru comprendre qu’il se passait quelque chose entre Dorine et Henry ?

Je lui réponds par une autre question pour la taquiner :

Tu es jalouse ?

Cependant, elle ne se laisse pas prendre à mon jeu, puisqu’elle réplique :

Et duquel des deux je devrais l’être ? Et toi, tu as vécu la chose de quelle manière ?

Je plaisantais, et pour tout te dire au départ c’était mon idée. J’ai demandé à mon amie de faire bénéficier de sa science sexuelle à mon fils, dans le but qu’il acquiert de l’expérience. Mais ce que je n’avais pas prévu, c’est qu’il tomberait amoureux d’elle. Heureusement, elle a su lui faire comprendre qu’entretenir une relation avec une compagne qui utilise son corps pour donner du plaisir à d’autres personnes, même si c’est de manière occasionnelle et professionnelle, n’était pas une très bonne idée. Il a boudé pendant un petit moment, puis ils ont recommencé à se voir en tant que simples amis.

Mon petit bout de femme me regarde alors d’une manière que je trouve très tendre, puis elle me fait :

Pour quelqu’un qui se donne des airs d’ours mal léché, tu es en réalité très prévenant pour ceux que tu aimes. Parce que j’imagine que peu de pères doivent avoir de telles attentions pour leurs enfants.

D’autres jugeraient que je ne suis qu’un pervers qui a planifié la dépravation de son propre fils, mais je suis content que tu voies les choses de cette façon, ma Chérie.

Que veux-tu, qui se ressemble s’assemble mon Amour.

À suivre…

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