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Je l'ai voulu – Chapitre 1

Je l'ai voulu - Chapitre 1



Moi l’auteur, je suis un homme de 62 ans qui pratique le BDSM depuis l’âge de 25 ans. J’ai donc rencontré pas mal de soumises et certaines ont accepté de me raconter leur histoire, surtout comment elles en sont arrivées là. L’histoire qui suit, les scènes sont réelles simplement je les ai arrangés à ma sauce. Par facilité d’écriture, je fais parler la soumise.

Je m’appelle Charlotte, mariée à Sébastien, j’avais 24 ans quand tout a commencé. Mariée, pas d’enfant, je travaillais comme comptable dans une grande entreprise. Seb, mon mari, très joli garçon s’est rapidement montré mauvais mari. Il ne pensait qu’à lui et avait beaucoup d’ambitions professionnelles. Il en avait d’ailleurs arrêté son sport favori le rugby.

Les seules jouissances que j’avais c’est moi qui me les procurais. Son travail le prenant beaucoup, il était absent du mardi au vendredi soir. Quand il rentrait, il me faisait l’amour sans passion juste pour l’hygiène.

Toujours est-il, lors de mes jouissances solitaires, je fantasmais souvent que je me donnais à des hommes de couleur.

J’allais à mon travail et j’en revenais toujours à pied, quel que soit le temps, pour moi ça me faisait du bien.

J’avais repéré une petite rue en passant et il y avait un bar un peu glauque fréquenté que par des rebeus. J’ai commencé à fantasmer là-dessus, jusqu’au jour où un jeudi en rentrant du boulot, je n’ai pu résister de m’avancer pour voir cet établissement de plus près. J’avais un peu peur quand même, mais cette peur se transformait en excitation. Sans réfléchir, je suis rentrée dans ce bar, un peu craignos quand même. Il y avait le patron qui était un black et quatre clients jeunes avec des corps d’athlète tout comme le chef d’établissement.

Je m’installe à une table, le patron vient me voir, très poli, je remarque que c’est vraiment un très beau gosse, je commande une bière. Je faisais comme si je les ignorais en regardant mon téléphone, mais je remarquais bien qu’ils m’observaient discrètement et parlaient de moi. Cette situation, d’avoir osé entrer seule dans ce lieu, ces beaux gosses comme dans mes fantasmes ne me laissaient pas de marbre, je sentais de la chaleur dans mon bas-ventre et surtout, mon string était trempé. J’avais vraiment envie de m’en faire un. Mais comment faire ? Ma bière étant presque finie, je me lève et je cherche les toilettes, pas de panneau, indiquant le lieu. Je demande au patron, il me répond

— C’est à l’étage, dis Momo, montre-lui, la belle dame a une envie.

Je vois donc le dénommé Momo un des beaux gars me dire « suivez-moi. »

Je me retrouve dans un escalier étroit et sombre, à l’étage Momo ouvre une porte, allume la lumière de cette pièce et me montre sur le côté une autre porte en me disant que c’est ici. Je rentre donc, j’ai la chatte en feu. Je fais ce que j’avais à faire et en sortant je constate que mon guide m’attend. Sans dire un mot, il vient vers moi, m’attrape par la queue-de-cheval et me colle au mur. Il me retourne sèchement et me roule une pelle d’enfer, je ne proteste pas, je pense que dans l’état où je suis, mon sexe est prêt à l’accueillir sans préliminaire. Sa langue pénètre profondément dans ma bouche, je ne proteste toujours pas. Mon fantasme est en train de se réaliser, je ne proteste pas quand il m’enlève mon chemisier et mon soutien-gorge.

Il n’a pas dit un mot, je n’ai pas protesté et je suis à moitié nue devant un inconnu rebeu. Toujours avec sa langue dans ma bouche, il s’attaque à mon pantalon, je suis heureuse, je n’ai même pas peur, car ma tête ne commande plus, c’est la 1re fois que je suis aussi excité. Machinalement, je l’aide même en me déchaussant mon pantalon posé, il le saisit et le jette au fond de la pièce, mon string est arraché carrément, je suis comme une folle, je veux qu’il me prenne violemment là maintenant. Il prend pour la première fois la parole en me touchant le sexe

— Tu es une salope ?

Je ne lui réponds pas, mais j’écarte un peu plus les jambes pour lui faciliter le travail, il me demande :

— Tu veux du sexe ?

Je le regarde dans les yeux et lui dis un fort « oui ».

A ce moment il m’attrape sèchement les cheveux par ma queue-de-cheval: tu en veux vraiment ? Je lui fais oui avec les yeux. D’un seul coup, il me traîne par les cheveux dans les escaliers en me disant tu vas en avoir. Je me retrouve nue dans le bar, toujours les mêmes clients qui n’en ratent pas une. Momo lance, elle veut se faire baiser, alors contentons-la, montrons-lui que les rebeus sont des vrais mâles. Le patron ferme le bar et tire les rideaux, ils se sont tous déshabillés, j’ai constaté qu’ils avaient de beaux sexes déjà tendus. Momo m’a rassuré en me disant d’en profiter et de ne pas m’inquiéter qu’ils étaient clean. J’ai eu des sexes dans tous les trous, pour mon anus n’étant pas habituée à la sodomie le premier a été délicat, mais ensuite mon cul a pris cher. Je n’ai pas compté les jouissances que j’ai pu avoir, pour la 1re fois j’ai avalé du sperme et j’ai été sodomisée.

Quand ils m’ont libérée, si on peut dire ainsi, car je n’ai jamais été prisonnière, avant de partir Momo m’a dit à jeudi prochain. Je lui ai dit que je ne savais pas, il m’a dit tu n’as pas le choix, il m’a montré mon téléphone pour me le rendre en me disant j’ai ton numéro. Je suis rentrée chez moi exténuée après une bonne douche, je me suis mise au lit sans manger et repenser à ce que j’avais pu oser faire. J’étais partagée entre remords et plaisir. Mon téléphone a sonné, j’ai pensé que c’était Seb mon mari, mais non, un numéro que je ne connaissais pas. Je n’ai pas répondu, un message est arrivé, c’était Momo, il m’invitait à répondre. Second appel, j’ai répondu, je lui ai dit de ne plus m’appeler comme ça n’importe quand que j’étais mariée. Momo m’a simplement dit qu’il avait décidé de me dresser et demandé quand mon mari serait absent la semaine prochaine. J’ai hésité à lui mentir, mais finalement je lui ai dit qu’il était absent du mardi au vendredi.

Momo m’a dit que mardi à 18h00 il me rappellerait pour me donner les consignes.

J’ai passé un mauvais WE, car j’ai cogité et surtout mon mari ne m’a pas aidé, car entre ses parents, le rugby et les copains, je ne l’ai presque pas vu. Mais avec tous les bons moments que j’ai passés ce jeudi soir et le mauvais WE avec Seb, machinalement je savais que je replongerais avec Momo. Suis en train de devenir une salope ?

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