C’est un jour ordinaire. Je vaque à mes occupations habituelles, quand elle apparaît devant moi. Elle porte sa "tenue de dominatrice". Une guêpière noire près du corps, mi transparente, qui laisse entrevoir ses seins, nus en dessous, et ses tétons qui pointent déjà durement, ses jambes sont gainées de bas et ses mains sont recouvertes de ses longs gants noirs. Evidemment elle ne porte pas de culotte et j’entrevois son fruit tout lisse et si délicieusement appétissant.
De son doigt, elle me fait signe de la suivre. Je me lève et lui emboîte le pas jusqu’au salon. Là elle me déshabille, en prenant son temps, laissant petit à petit monter mon excitation. Je me retrouve nu devant elle. Elle commence à caresser mes tétons, elle sait à quel point ça me rend chienne. Elle les caresse, les frotte, les pince… puis elle y met sa bouche… elle lèche, elle suce, elle mord… Je commence à voir des étoiles. J’ai très chaud. Lentement, elle passe derrière moi. Elle joue toujours de ses mains sur mes tétons et m’embrasse fougueusement dans le cou. Je fonds littéralement.
Elle attrape une de mes mains, y attache une menotte en cuir, puis fait de même avec la deuxième. Elle me passe un bandeau sur les yeux avant de m’enfiler une cagoule en tissu entièrement fermé excepté la bouche qui a une ouverture. Je suis à sa merci, nu, les mains attachées dans le dos, aveugle et cagoulé.
Elle me mène au canapé et m’y fait m’allonger, sur le dos, la tête dans le vide. Je n’ai aucun moyen de savoir ce qui m’attend… Elle griffe mon torse sur toute la longueur. Puis un coup de cravache cinglant vient claquer l’intérieur de ma cuisse, suivi de près par un deuxième sur l’autre cuisse.
"Je vais bien jouer avec toi ma salope ! " dit-elle avant de cracher sur mon torse et d’y étaler la salive avec son doigt. Elle met une petite claque sur mes boules avant de les prendre en main et de tirer dessus, les serrer…
Je la sens s’approcher de ma tête. Je sens les effluves de son sexe, traduisant de son état d’excitation, se rapprocher de plus en plus de mon visage. Son doux abricot arrive finalement contre mes lèvres. Je ne bouge pas. Elle ne m’ y a pas autorisé. Elle colle complètement son sexe à mon visage, m’empêchant totalement de prendre une inspiration, et me lance "Suce sale pute !" ce que je fais sans demander mon reste. En apné, je sors ma langue pour déguster son sexe déjà luisant de mouille. Sentant ma langue s’agiter, elle ondule du bassin, comme pour se masturber directement dessus elle même. Elle commence à gémir… à prendre son pied… mais elle s’arrête vite et me fait me relever.
Elle me place au milieu de la pièce et je l’entends prendre quelque chose derrière moi. Elle me fait écarter les jambes puis je sens quelque chose de froid se poser sur mon anus… Du bout de son doigt elle enduit mon petit trou de lubrifiant généreusement. Ensuite, j’entends un son familier. Des vibrations. Elle présente son vibro à l’entrée de mon trou, et le pousse lentement à l’intérieur. Il n’est pas très gros ni très grand, et le plaisir procuré par les vibrations facilite son insertion en moi. Il est logé au maximum, me voilà rempli.
Elle le pousse bien au fond puis le lâche en me disant "Ne le laisse pas sortir de ton cul salope ! Sinon tu seras punie !". Je me sens excité et en même temps j’ai peur que le vibro tombe sans rien pour le tenir et les jambes écartée. Je le sens glisser lentement vers le bas et mes mains attachées ne me permettent pas de le replanter au fond de mon antre.
PAF ! Alors que le vibro tombe par terre, elle m’administre une grande gifle : "Je t’avais prévenu sale chienne !". Elle le ramasse et le remet dans mon cul d’un seul coup sans ménagement. C’est alors que j’entends toquer à la porte. Mon cur fait un bond. "Qu’est ce que c’est ? ", "Qui cela peut-il être ?" me dis-je intérieurement.
Apparemment pas surprise d’entendre quelqu’un frapper, je l’entends se diriger vers la porte. Mon cur s’accélère. Mais qu’est ce qu’elle fait. Mon esprit de brouille tant le stress monte. Le son de la porte qui s’ouvre, elle prononce un "Bonjour"… j’entends plusieurs voix masculines lui répondre. Deux, peut être trois… elle referme la porte… mon cur bat la chamade… il va sortir de ma poitrine… je suffoque… j’ai besoin d’air…
Je suis nu, les yeux bandés, cagoulé, les mains attachées dans le dos, les jambes écartées, et un vibro logé dans le cul, devant apparemment trois hommes probablement inconnu. J’en ai des vertiges. Le stress et la pression monte en flèche, mêlés tout de même à une pointe d’excitation… J’entends du mouvement. Je pense qu’ils se déshabillent. Elle passe derrière moi, glisse sa main entre mes fesses, et récupère le jouet qui continuait de vibrer à l’intérieur. Ensuite elle s’approche de mon oreille pour me susurrer " A genoux pétasse !".
Mon corps tombe plus qu’il ne s’agenouille, comme aplati par le poids du stress et de la pression. Mais aussi parce que mon corps ne m’obéit plus. Il lui obéit à elle. Elle me détache les mains, faisant redescendre un peu la pression, puis s’éloigne de moi.
"La pute est toute à vous messieurs." lance-t-elle à l’intention de ses "invités". J’ai bien compris que, "la pute", c’était moi. Pas "une" pute, ni "cette" pute. "La" pute. Comme un simple outil, un objet auquel elle prête à peine attention.
Les hommes se rapprochent de moi, me tirant de mes égarement de pensées. Je sens leurs bites près de mon visage et, instinctivement, je prends la première qui vient en bouche. J’attrape les deux autres de mes deux mains nouvellement libres et je commence à faire "la pute". Je suce avec avidité chaque bite alternativement sans lâcher les deux autres de mes mains. Je les entends gémir et lâcher des commentaires du type "Quelle pute !", "Sacrée bouche à pipe !", "Un vrai trou à bite !"ce qui m’excite de plus en plus. Elle les a bien choisi, leurs bites ont des proportions impressionnantes et c’est un régal. Mon corps commence à nouveau à être en feu.
L’un des hommes se retire et passe derrière moi. Il me fait relevé et vient me positionner sur le canapé, face au dossier, croupe bien présenté. Je sens quelque chose à l’entrée de mon cul. Une bite dans un préservatif. Je me cambre davantage pour lui offrir ma "petite chatte de pute" qui n’attend que ça. Il entre sans réel ménagement, comme si je n’étais qu’un trou, déclenchant une douleur cinglante dans mes entrailles… mais qui s’estompe peu à peu pour laisser place à des ondes de plaisirs. Il commence à me besogner sans vergogne pendant que les deux autres sont passés derrière le canapé pour présenter leurs bites à ma bouche. Evidemment je ne me fais pas prier pour le pomper et les branler. Me voici avec une bite dans le cul et deux pour ma bouche et mes mains… je deviens folle.
Je sais qu’elle est toujours là. Probablement assise dans son coin à se délecter du spectacle de voir sa salope ainsi culbutée de toute part. Peut être même qu’elle est en train de se toucher… ça m’excite encore plus. Je gémis et couine comme une chienne en chaleur sous les assauts à la fois dans mon cul et dans ma bouche.
Régulièrement ils intervertissent les rôles. Un autre enfile un preservatif et prend place dans mon cul tandis que celui qui était dans mon cul enlève son préservatif et vient goûter à ma bouche. Puis celui que je branlais s’éloigne et vient s’asseoir à coté de moi. On me déplace pour me placer sur lui et je mempale sur son énorme dard gonflé, face à lui. Ensuite on me pousse en avant et je peux a nouveau prendre une bite en bouche. Je suis surexcitée. Au bout de quelques secondes, le troisième homme présente lui aussi sa bite à mon cul, qui est pourtant déjà occupé. Il force un peu et parvient à y entrer aussi. Me voici donc avec deux bites dans le cul et une dans la bouche. Je suis aux anges.
Je ne sais pas depuis combien de temps dure ce manège. Je suis toujours prise en double anale avec une autre bite en bouche. Soudain, je sens la bite dans ma bouche se raidir, l’homme se met à gémir fort, puis je sens les jets de sperme m’envahir la gorge. Machinalement, j’avale, comme si cela était naturel pour moi. Après tout quoi de plus naturel pour une pute.
Les deux hommes dans mon cul se retire aussitôt et me font mettre à genoux au sol, la bouche grande ouverte. Ils se branlent juste au dessus de moi. Ils gémissent de plus en plus fort, m’insultant de plus en plus violemment, quand je sens enfin leurs jets de sperme venir, quasiment en même temps. Ils visent au mieux ma bouche mais m’en recouvre aussi le visage le plus possible. Quand les jets s’arrêtent, je leur montre comment j’avale ce qu’ils m’ont offert et je viens nettoyer les gouttes restantes sur leurs sexes avec ma bouche.
Ils me laissent comme ça, couverte de sperme, le cul béant, bouillante d’excitation, et vont se rhabiller. J’entends rapidement la porte s’ouvrir à nouveau puis des "Merci" et "Au revoir" et enfin la porte se referme.
Elle vient vers moi. Tout doucement… Elle m’ordonne de m’allonger au sol, sur le dos. Je m’exécute sans réfléchir, en bonne chienne bien dressée. Elle se place au dessus de moi, ses pieds de part et d’autre de mon corps, et descend lentement. "Ouvre grand la bouche traînée !". Elle continue de descendre et se retrouve rapidement "assise", son sexe sur ma bouche ouverte. Elle plaque bien fort son sexe sur ma bouche, mempêchant totalement de respirer à nouveau. Encore une fois je ne bouge pas, j’attends son ordre. Mais il ne vient pas. Au bout de quelques minutes, ou quelques secondes interminables peut être, je sens un premier jet de pisse projeté dans ma gorge, suivi de près par un second, puis par un flot continu de son nectar doré. "Avale" me dit-elle sans vraiment que j’ai le choix vu ma position. Elle me noie littéralement dans son nectar mais je suis au comble de l’excitation malgré l’humiliante situation.
Une fois fini de pisser, elle m’ordonne de lui nettoyer la chatte avec ma langue et, une fois fait elle me fait lever. Elle s’accroupi devant moi et commence une magnifique fellation dont elle a le secret. Avec toute l’excitation accumulée je ne tarde pas à venir, mais elle retire sa bouche avant les jets et place sa main afin de recueillir tout mon jus. Une fois mes couilles bien vide, elle plaque sa main sur mon visage cagoulé et étale mon sperme sur mon visage, avec celui des autres qui commençait déjà à sécher.
Une fois l’excitation et le stress retombé je m’écroule à genoux au sol. Ce n’est qu’après une bonne douche que j’ai pu reprendre mes esprit et lui dire à quel point j’avais adoré cette expérience et à quel point j’en voudrais encore la prochaine fois…