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Un Café… et.. l'addition ! – Chapitre 1

Un Café... et.. l'addition ! - Chapitre 1



PREMIÈRE RENCONTRE …

Un Café… et.. l’addition !

Un après-midi comme souvent, Caroline est assise dans ce café.

Il a la préférence de ses habitudes, non pas quil soit plus hype que les autres mais elle y est tranquille et personne ne vient la déranger dans ses lectures.

Elle sait quà cette heure-ci, ni le personnel, en pose, ni la clientèle, rare, ne viendra perturber la quiétude de ses pensées vagabondant.

Le regard perdu dans sa lecture, elle lève pourtant les yeux au bruit de la chaise de la table dà côté. Juste dans la diagonale du fou à gauche, quasi en face delle, à quelques portées de souffle, un homme vient de sasseoir

Instantanément elle a le souffle court, la surprise sans doute  ou bien le fait que ce mâle lui impose sa présence douce et néanmoins virile. Elle le trouve beau et terriblement sexy 

Elle sent en ses entrailles un tressaillement peu familier : un désir immédiat !

Elle nose lobserver mais sent que son regard est posé sur elle, se promenant de ses jambes à ses yeux en va et viens. Elle se redresse imperceptiblement pour mettre en avant sa poitrine et, dans un geste délicat et naturel, écarte légèrement son chemisier.

Elle sait, par expérience, que son style à la fois classique et sexy, discret mais légèrement provocateur de workingirl, ne laisse pas les hommes sans émois ! Elle se fait tellement souvent draguer par des hommes qui ne lui plaisent pas que, pour une fois, elle ne va pas se gêner sur un mâle qui titille son excitation !

Faisant semblant de lire, car étant désormais incapable de fixer son attention sur son livre, elle se dit à elle-même quelle a bien fait de mettre cette jupe mi longue mais fendue laissant entrevoir ses bas sur jarretelles, ces escarpins hauts et ce chemisier ouvert. Sa silhouette est parfaitement féminine et elle le sait !

Il a commandé son café et lit son journal mais elle sent bien quil la regarde avec intensité. Elle est gênée mais cela lui procure aussi un certain sentiment narcissique.

Elle est la proie, lui le prédateur

Mais elle va le provoquer : elle se lève lentement laissant le temps à ce mâle dominant de la mater à sa guise, elle se penche légèrement en avant pour chercher dans son sac : elle espère bien lallumer

Regardant du coin de lil elle le voit quelque peu mal à laise, se déplaçant sur sa chaise, redressant son journal

« Touché ! » se dit-elle.

Elle se retourne pour aller jusquau bar en faisant bien attention à ce que sa jupe soit quelque peu remontée. Elle prend un stylo sur le bar, en se mettant sur la pointe de ses escarpins, galbant ainsi ses jambes et définissant sa croupe. Le barman nest pas à son poste, il est sur la terrasse bien occupé à draguer une minette.

Elle se retourne élégamment, croisant le regard de ce prédateur maintenant tombé dans le piègeféminin !!

« Coulé ! » constate-t-elle en voyant ses yeux pleins denvies.

Elle alla se rassoir avec le plus de félinité et de glamour possible en prenant bien soin de faire remonter sa jupe sur les jarretelles de ses bas.

Toujours sans dire un mot, elle fait mine de reprendre sa lecture en jouant avec le stylo, tantôt près de sa bouche, tantôt entre ses doigts, le tapotant légèrement. Elle joue les secrétaires sexy. Quand elle fait tomber ce dernier au sol entre les deux tables, elle sarrête lair interdit.

Lui se jette sur loccasion de montrer son savoir-vivre et se penche pour ramasser lobjet dont ses pensées perverses ont déjà détournées la toute fin utile vers bien dautres choses que lécriture !

Cest alors quil est à ses pieds, quelle avance la jambe lobligeant à la frôler, écartant de fait un peu plus sa jupe et dévoilant en clair-obscur son entrejambe. Il nen perd pas une miette et fixe lalcôve de la belle -celle-ci nayant pas de culotte- laissant à la vue de cet inconnu la vulve de son sexe déjà gonflé de désir.

Décontenancé par tant de hardiesse, il relève les yeux doucement et regarde intensément sa chatte, sa poitrine, son cou pour finir en fixant le regard malicieux de cette femme, le tout en laissant volontairement et ostensiblement glisser le stylo mais aussi ses doigts- sur la jambe de la belle.

« Tu me cherches salope ! » se dit-il intérieurement.

Il sent en même temps sa queue de plus en plus à létroit dans son pantalon

Il est accroupi là, devant le sexe de cette inconnue, les yeux plongés dans les siens, la main caressant les courbes de ses jambes galbées de nylon, avec ce stylo phallique.

Elle ne put empêcher à un frisson de la faire se redresser, gonflant ses seins, faisant basculer son bassin en un coup de rein évocateur. Elle dut lutter pour ne pas fermer les cuisses, sa bouche sentrouvrant de plaisir.

Il se redressa lentement en un léger mouvement davancement vers elle, laissant courir ostensiblement le stylo vers le haut et lintérieur de la cuisse de la femme, relevant en même temps la jupe et allant jusquà la peau laissée nue par le bas de la belle.

Le mâle quittait maintenant les yeux de sa proie pour sa bouche entrouverte puis son cou et sa gorge. Il voyait son souffle se faire de plus en plus saccadé. Son regard plongeant maintenant dans le décolleté ouvert soffrant à lui. Ce regard se faisait de plus en plus lubrique.

Elle ne put sempêcher de fixer la ceinture du pantalon de costume à hauteur de ses yeux et la copieuse bosse formée par sa queue en manque despace ;

« Hmm » se dit-elle, en avalant sa salive sentant sa gorge sèche.

Le stylo continuait son chemin vers sa chatte déjà trempée

— Un aut café msieur dame !, demanda le barman dune voix forte en rentrant dans létablissement.

— Heuuuoui ! répondirent-ils de concert.

Pour la première fois ils entendaient la voix de lun et de lautre.

Lhomme se rassit le stylo toujours dans la main.

Après avoir servi les deux nouveaux cafés le serveur repartit à la drague en grommelant : « mais quest-ce que jai foutu de mon stylo ? Javais un stylo sur le bar ! »

Cette réflexion les fit sourire et accentua leur complicité. Lhomme prit alors le stylo et le posa sur la table juste au bord. Évidemment celui-ci roula et tomba à nouveau au sol. Cette fois cest elle qui saccroupit entre les deux tables, prenant soin de relever sa jupe en descendant doucement. Dans le même temps, elle fit sauter un bouton de son chemisier afin daccentuer son décolleté et ainsi révéler quelque peu son soutien-gorge. Il tendit la jambe et la passa sous le pont des jambes de la belle. Celle-ci en profita pour lui caresser le mollet et la cuisse en ramassant le stylo. Il releva la pointe de son pied qui flirtait maintenant avec la chatte de celle quil considérait comme une belle salope en chaleur.

Elle se frotta délicatement sur la pointe de sa chaussure de manière à ce que celle-ci pénètre la fente de ses lèvres trempées. Il lui matait les seins dun air lubrique et elle remonta doucement en se frottant à sa jambe. Sa main était maintenant en train de lui palper les couilles et la queue au travers de son costume. Il bandait déjà bien raide et elle lui massa fortement le gland avec la paume de sa main en finissant de se redresser devant lui. Elle se mordillait les lèvres pur montrer son désir avant de réajuster sa robe comme si de rien nétait. Il en profita pour passer sa main entre ses cuisses et glissa le bout de ses doigts entre ses lèvres gonflées : elle était trempée !!

Il en fut ravi. Il retira sa main furtivement, comme pour la libérer de son emprise. Soumise elle avait le droit de se rasoir. Il lécha légèrement ses doigts, pris sa tasse à café et sassit devant elle à la même table, lui dos à la porte, elle face à celle-ci.

Ils étaient maintenant face à face, lui, les avant-bras sur la table, posés comme un prédateur en arrêt, fixant sa proie, jambes légèrement écartées, ancrées au sol, le buste en avant prêt à fondre sur elle.

Elle justement, légèrement en arrière, comme bloquée par le dossier du fauteuil, jouant avec sa cuillère, remuant lentement son café avant de la plonger langoureusement dans sa bouche, la suçant et la léchant délicatement avec un air quelque peu dépravé. Avec sa jambe et son escarpin elle caresse doucement lintérieur du tibia de lhomme puis lintérieur de sa cuisse joueuse comme une chatte. Elle tend sa jambe et commence à toucher et masser son entre-jambe. Elle sent sa queue se raidir. Elle le regarde avec un air espiègle de coquine faisant une bêtise, sourire aux lèvres et cuillère au coin de la bouche.

« Petite salope, attends un peu que je te baise tu vas voir !! » se dit-il.

Elle fit tomber son escarpin pour pouvoir mieux profiter et mieux branler son sexe. Elle le sent gros et dur. Elle sent sa chatte couler de désir avec une folle envie de se faire fourrer bien profond.

Lui, caresse maintenant lintérieur de la cuisse de sa main droite, montant et descendant le long de son galbe. Sa main et ses doigts tendus natteignent pas la chatte en feu de sa proie. Appréhendant son geste elle savance sur sa chaise lui offrant alors toutes possibilités. Il lui enfonce de suite deux doigts dans la chatte mais il est encore un peu court, ceux-ci ne rentrant que de quelques centimètres. Elle saisit alors son avant-bras et le tira vers elle dun mouvement brusque. Elle fut immédiatement pénétrée jusquà la garde » par les deux doigts du mâle qui écarquillait les yeux de surprise et de plaisir. Elle poussa un soupir, mordillant la cuillère et fermant les yeux pour mieux savourer linstant. Elle mouillait comme une chienne et il en était raide dexcitation. Elle ressortit les doigts du mâle après deux ou trois vas et viens rapides et violents, le dernier étant le plus profond accentué par un mouvement de bassin encore plus prononcé de la belle.

Il en était estomaqué !

Elle reposa son pied à terre en soupirant avant de le regarder au fond des yeux dun regard de braise.

Il bandait comme un dingue et avait envie de sortir sa queue là, dans cet endroit publique, pour lui baiser la bouche. Il ny tenait plus !

Avec son autre main, il essayait tant bien que mal de trouver une place à sa bite dans son pantalon. Sa main, celle qui était toujours sous la table, suintait de mouillure et il prit bien soin de ne pas lessuyer.

Elle se pencha sur le côté de la table pour remettre son escarpin, offrant à nouveau à lhomme en rut la vision de son opulente poitrine. Il nhésita pas à lui coller fermement ses doigts luisants dans la bouche.

— Goute-toi salope ! Tu as bon gout et tu me fais bander comme un cheval !

Elle lécha ses doigts goulument comme si cétait sa queue. Il en profita, sortant ses doigts de cette bouche pour lui peloter les seins, à pleine mains sans ménagement, alors quelle était assise courbée devant lui, comme soumise. Elle releva sa crinière blonde en redressant les yeux vers lui dans un « hmm ! » évocateur puis se leva, se remettant debout sur ses talons hauts. Elle était superbement sensuelle et chaude.

— Vous partez ? dit-il dun air légèrement paniqué.

— Non je vais me rafraichir, dit-elle, et vous ?

— Certainement pas ! assena-t-il sur un ton ferme et vindicatif.

Toujours debout entre les deux tables le corsage ouvert, lui assis les jambes écartés se caressant le membre, il la regarde ;

Elle fait le tour de la table, passe derrière lui en caressant ses épaules et sa nuque dun geste léger puis se dirige vers le fond de la salle. Il roule la tête comme un lion satisfait des agissements de sa lionne et la regarde séloigner, chaloupant les hanches avec élégance.

« Je te boufferais bien le cul salope » se dit-il en se massant plus vigoureusement la queue.

Elle disparait par la porte des toilettes, sans un regard pour lui.

Dans les toilettes, elle sarrête devant le lavabo, se regardant dans le miroir : « mais quest ce qui marrive ? Je suis une vraie chienne aujourdhui ! Je ne pensais pas pouvoir faire cela à un type que je ne connais même pas ! Je suis dingue ?! » Mais elle ne peut sempêcher de se trouver sexy et attirante dans la glace et, une fois leffroi passé, lexcitation remonte comme une vague incontrôlable qui la submerge.

Elle sort une lingette de son sac pour se nettoyer un peu la chatte car elle a mouillé comme une folle et sa vulve est dilatée et gonflée ; elle remonte sa jupe pour se mater dans la glace. Elle ne résiste pas longtemps et senfonce activement et sans retenue plusieurs doigts dans la chatte. Elle coule Elle ne cherche pas à se faire jouir, cela la calme un instant. Elle prend ensuite sa lingette et sessuie bien proprement. « Hmm, ça fait du bien quand-même ! » Cest alors que la porte derrière elle souvre à la volée.

Cest lui ! Il est venu à elle ! Elle nosait pas trop lespérer, par peur sans doute

La situation est critique, même si le bar est quasi vide !!!

Elle le regarde dans la glace.

Elle sent des contractions dans son vagin.

Il lui sourit, elle baisse les yeux

Elle est penchée sur le lavabo, prends la pose, jambes serrées, se penche un peu plus en se calant sur le meuble, redresse la tête et se cambre en le défiant du regard, toujours dos à lui.

En même temps, du bout des doigts elle pince chaque côté de sa jupe et la remonte jusquà mi fesses, dévoilant ainsi le haut de ses cuisses et la moitié de sa croupe.

Il se fixe, prends le temps de la mater, commençant par les escarpins, les jambes galbées de bas, les jarretelles, le haut des cuisses et enfinces deux belles fesses rondes et avenantes.

« Ça te plait de me mater mon salaud ! Tu as envie de me baiser ! » pense-t-elle enivrée par ce pouvoir.

Il sent la perversion monter ne lui. Il sapproche, pose une main fermement sur la partie dénudée de sa fesse gauche en la remontant et lécartant légèrement. Il apprécie ses fesses lourdes et fermes.

Elle sattend à ce quil fasse de même avec lautre main. Elle rêve de le sentir lui lécher lanus et la chatte. Elle écarte un peu les jambes pour lui laisser la place mais au lieu de cela il ferme sa main mimant un pistolet et lempale fermement avec le canon ainsi formé par ses deux doigts la fouillant violemment en lui faisant remonter la croupe. Il glisse un troisième doigt. Elle gémit et coule le long de la main de celui qui lui mord et lui lèche maintenant le cou, comme un vampire sur sa victime. Quatrième doigt, sa chatte est maintenant bien écartée. Elle se dilate de plus en plus.

— Taimes ça salope ! Tai bien ouverte et toute trempée ! Je vais te montrer ce que cest de mallumer, petite chienne ! lui dit-il à loreille. Dis-moi que tu aimes ça ! conclut-il les dents serrées en enfonçant ses phalanges jusquà la garde, bien à fond.

Bloquée par son pouce, il la remonte puissamment comme sil la portait par la chatte, ce qui la fait se cambrer encore davantage.

— Oh oui jaime ça ! dit-elle dans un râle contenu mais haletant.

Il la ramona encore plus fort, frottant son poing G, lui écartant les parois du vagin par la largeur de sa main, à tel point quelle déverse soudain sa cyprine en en plusieurs flots saccadés

— Ah ouiencore ! lui dit-elle.

— Tu vas voir, petite chienne ! répliqua-t-il en lui tirant les cheveux en arrière avec la main qui lui maintenant la fesse.

Elle se cambre toujours dos à lui. Il la maintient de ses quatre doigts dans la chatte, la fait reculer du lavabo, la dirige comme une marionnette pour la faire entrer dans les toilettes juste à côté. Ses escarpins font des petites traces sur le sol trempé de son jus de jouissance.

Il la pousse dans les toilettes, relâche sa crinière puis referme la porte à clé. Elle bascule vers lavant et pose ses mains sur le carrelage froid du mur. Il lui fouille toujours la chatte brutalement

— Écarte tes fesses avec tes mains et cambre-toi mieux que ça !!

— Je veux votre queueeee ! lui répond-elle

— Pas pour linstant. Tinquiètes pas je nen ai pas fini avec toi !

Elle sexécute et écarte ses fesses, ce qui laisse découvrir son anus.

Elle se cambre et pousse de petits va et viens pour se faire bien baiser par les doigts de son envahisseur. Il la fait pivoter face au WC pour avoir plus de place. Elle écarte les jambes, lui saccroupit pour lui bouffer les fesses puis lui lèche lanus goulument en la pénétrant légèrement du bout de sa langue. Il sent son anus se dilater.

— Oh oui ! Bouffez-moi le cul ! Jaime ça !! sort elle de sa bouche souriant e de plaisir et de satisfaction.

— Tu as le cul bien moelleux, tes vraiment une salope !! lui dit-il entre deux coup de langue, sa salive coulant jusquà sa main qui continue de fouiller la belle ;

Il ressort ses doigts et la pénètre à nouveau dune seule poussée, lente mais implacable, mais cette fois son pouce accompagne les autres doigts !! Elle sent que cest énorme

Il accentue cette pression en mettant deux doigts dans son cul dans une même poussée collective. Elle est prise totalement, le souffle court et saccadé, les yeux fermés, elle gémit de plaisir. Il sapproche alors de son oreille :

— Je ne te fisterais pas aujourdhui ma belle, tu naurais pas le temps de redescendre et je veux que tu sentes bien ma bite te labourer ! Si je te défonce trop la chatte je naurai pas de plaisir à sentir ma queue tempaler !!

A ces mots il retira ses doigts des différents orifices de sa proie. Elle saffala en se retrouva assise sur le trône de sa perversion, le souffle court, bouche mi ouverte elle voudrait reprendre ses esprits mais lhomme en a profité pour sortir son membre une belle grosse queue bien dure de 18 centimètres.

— Maintenant tu vas me sucer !

Et il lui enfonce sa bite dans la bouche sans autre forme de procès et sans ménagement lui baise la bouche farouchement. Il lui a ouvert son chemisier dune main experte et lui pelote les seins fermement en même temps.

— Hmm ! Tu as des seins fabuleux ! lui dit-elle.

Elle se sent un peu humiliée par la situation mais cela lui procure un sentiment dexcitation intense. Elle reprend doucement le contrôle et lui baisse son pantalon et son boxer en même temps. Elle remonte ses mains et lui caresse les couilles puis lui agrippe les fesses et laisse courir le bout de ses doigts dans la raie de son cul lui titillant lanus en le pénétrant légèrement.

— Tu sais y faire salope ! Jaime baiser une bouche bien baveuse !

Il continue en la baisant à lui caresser la poitrine et le cou, lui tirant parfois les cheveux. Il la domine, imprime sa volonté mais il faut quelle reprenne son souffle. Alors elle attrape sa queue, la désincarcère de sa bouche, regarde ce membre plein de salive puis le branle ardemment tout en lui tétant et lui aspirant le gland, turgescent. Elle le regarde maintenant dans les yeux, la queue de cet inconnu est bonne et bien dure mais elle veut la faire grossir encore plus !

Elle la tient fermement à sa base pour lui faire un garrot de sa main et sactive pour la faire entrer en entier dans sa bouche. Elle sent quil est aux anges quand ses mains puissantes dhomme se crispent durement sur ses seins. Elle voudrait lui faire une gorge profonde mais sait que ce nest pas aisé surtout avec un inconnu. Elle sent aussi que sa chatte coule encore et toujours car le couvercle de la cuvette est glissant.

« Mon dieu, je suis vraiment une grosse chienne » se dit-elle furtivement.

— Je nen peux plus ! Il faut que je te baise ! lui dit-il ;

Il sort de sa bouche son sexe devenu énorme par la fellation experte de la belle, son gland est gros et dur. Il na quune envie : la pénétrer bien à fond pour quelle la sente bien passer et que sa queue lui écarte les orifices telle une torpille dans locéan.

Il la lève et la retourne son sans avoir au préalable léché et sucé ses seins. Il veut lembrasser et lui enfoncer sa langue dans la bouche mais elle refuse en tournant la tête ;

— Cest ça, hein ?! Tes une belle salopetu suces un inconnu mais tembrasse pas ?! Petite chatte en chaleur tu vas la sentir passer ma queue !!

A ces mots il la retourne, elle lâche la queue quelle tenait durement pour quil ne débande pas dun centimètre et se rattrape de ses mains posées sur les rebords de la chasse deau.

Il la cambre en lui appuyant fermement sur le dos, écarte les lèvres de son sexe en un ou deux va et viens de son gland et le pénètre durement et profondément en une seule poussée ravageuse en lui disant :

-Tiens ! Prends ça dans ta chatte !

La puissance de la pénétration la fait avancer vers le mur elle saffaisseelle veut montrer quelle sait encaisserelle saide de ses bras et repousse sa croupe pour ne pas céder.

Il la bourre de plus belle et violemment ! Elle est en extase et lâche dimperceptibles « ouiouioui !! allez-y défoncez-moi !! »

— Quest-ce que tu dis petite salope ? interroge-t-il. Tu aimes te faire défoncer ?

— Oui jaime ça, cest trop bon !!

— Tu en veux encore ? Alors dis-le ! Dis-le que tu es une salope et que tu veux que je te baise !!

— Oui ! Je suis une salope et je veux que vous me baisiez encore

Ces mots excitent davantage le mâle dominant qui lui enfonce la chatte à grands coups de reins. Ses couilles frappent le clitoris de la belle, elle n(en peux plus de plaisir, elle descend ses mains sur le rebord de la cuvette tellement il la martèle par cette levrette sauvage jusquau fond du vagin.

Elle repose ses coudes, la figure à quelques centimètres de lendroit où elle avait coulé quelques minutes auparavant. Il sen aperçut et lui ordonne :

— Lèche et vois comme tu as bien mouillé !

Sans savoir pourquoi ni comment elle lèche sa propre mouillure tout en ressentant le plaisir des coups de boutoir de linconnu contre sa croupe.

« Il me bourre bien ce salaud » se dit-elle, la jour contre la cuvette.

Lhomme nen a pas fini avec elle, il ressort sa queue, la réinsère dune longue poussée virile et brutale puis recommence. Elle est tellement ouverte, la croupe levée, cambrée au maximum.

Il a les mains sur ses hanches et ses fesses et il imprime son bon vouloir. Elle est offerte et il en profite bien !!

Il senfonce jusquà la garde à chaque coup de queue et pousse bien à fond pour lui remplir le vagin. Il descend maintenant ses deux mains à lintérieur du haut de la raie de ses fesses, lui crache dans la fente par un long trait de salive, pose ses deux pouces contre son anus et en même temps quil lui enfonce à nouveau bien au fond sa grosse queue, il lui pénètre le cul de ses pouces.

— Hmm ! gémit-elle en retenant un cri de plaisir.

Il la ramone encore à grands coups de chibre, lui enfonçant ses pouces dans le cul de plus, en plus profond, lui écartant lanus ; elle est dilatée de partout et totalement offerte. Cette déchéance vicieuse excite ce mâle qui la domine de tout son pouvoir viril mais elle aussi, qui se sent comme un objet de désir et de plaisir. Il ressort sa queue une nouvelle fois entièrement de son vagin détrempé et écartelé par cette séance de pilonnage puissant. Elle sattend à la recevoir encore en une violente poussée et se redresse en se cambrant pour offrir son antre vaginal mais cest le moment quil choisit de retirer ses pouces de son cul. Il place alors son gros gland turgescent et trempé de mouillure de chatte contre son anuscommence, à pousser doucement.

« vas-y encule-moi salaud ! » se dit-elle en secret.

Son gland commence à la pénétrer, rentre à lintérieur sur quelques centimètres puis ressort ;

— Ton cul est trop bon, petite salope, jen peux plus je vais jouir !!

Alors elle se retourne comme une panthère sur une branche, lui attrape vigoureusement la queue et le branle devant sa bouche en le regardant droit dans les yeux

— Allez-y ! Déchargez dans ma bouche de salope ! Je veux votre foutre au fond de ma gorge !

Ces mots crus et pervers finissent dachever le prédateur Elle sent quil va veniril râle et se crispeelle ouvre bien la bouche et dans un spasme violent il décharge une première giclée en plein dans a bouche puis une seconde Il lui attrape les cheveux par réflexese crispe encore et sa queue senfonce dans la bouche chaude et avide de la belle.

Il déverse encore et encore ses flots de sperme chaud au fond de la bouche de sa salope du jour qui se délecte et sévertue à lui vider totalement les couilles ; il jouit encore et son gland deviens insoutenable-ment sensible. Il veut se retirer mais elle le garde en bouche, lui attrape les fesses et le plaque contre son visage. Sa queue rentre alors profondément jusquau fond et entre légèrement dans sa gorge. Elle lavale en entier et il jouit de nouveau, directement dans sa gorge. Cest seulement à ce moment-là quelle le libère et avale son foutre tiède et onctueux jusquà la dernière goutte.

Il nen peut plus, près de sévanouir, le cur battant comme après un marathon, il sappuie contre le mur pour ne pas tomber. Elle, assise sur la cuvette des WC, sourit de façon espiègle le doigt dans la lèvre, avant de fondre à nouveau sur son jouet à pleine bouche pour bien le nettoyer. Cela lui redonne plusieurs spasmes accompagnés de petits rires sarcastiques. Elle lâche enfin prise, se recoiffe un peu, réajuste ses vêtements et son soutien-gorge toujours assise. Il se penche vers elle, pose sa main sur sa joue et lui dit :

— Tu ne membrasseras pas davantage maintenant belle salope ! Mais en attendant file-moi ton 06 que je puisse te baiser souvent.

— Non en effet, je nembrasse pas les inconnus ! lui répond-elle.

Elle lui donna son numéro.

Ils sortirent tous deux en décalé pour se retrouver dans la salle. Chacun paya ses cafés et ils partirent chacun de leur côté comme si rien ne sétait passé

Il tenta de la joindre quelques jours plus tard maiselle lui avait donné un faux numéro !!!

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