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La passion brûlante d'un frère et une soeur – Chapitre 1

La passion brûlante d'un frère et une soeur - Chapitre 1



Je pense que linceste est plus présent dans notre société quon peut le penser. Cest juste que, bien souvent, lamour intra familiale, de quelle que sorte soit-il, est tué dans luf. La fleur de la passion est écrasée avant de pouvoir éclore dans toute sa splendeur. Et pourtant, parfois, la fleur survit et malgré toutes les difficultés, elle éclot quand même. Cest le cas de mon histoire, celle que jai vécu avec ma sur. Jaimerais que vous preniez le temps de la lire et peut-être que je serais assez doué avec les mots pour vous faire comprendre quune relation passionnelle avec une personne du même sang que le nôtre nest pas aussi tabou, aussi abjecte que la société voudrait nous le faire croire. Merci.

Il faut peut-être que je me présente, je mappelle Pierre. Au moment de mon récit, javais 21 ans et jétais drôlement paumé dans la vie. Plus jeune, jétais lun de ces ados en colère sans trop vraiment savoir pourquoi. Javais fait pas mal de conneries et elles métaient retombées dessus. Je devais me tenir à carreau sinon cétait la prison avait dit le juge. Mettons une chose au clair, je nai jamais été un mauvais garçon, cest juste que jétais perdu dans la jungle de cette société individualiste et puis, mes parents nont jamais vraiment fait attention à moi, du moins ils ont arrêté quand jai abandonné mes études. A partir de là, ils nont plus eu dyeux que pour Laura, ma sur.

A la base, la relation que javais avec ma sur était parfaitement banale. Une relation frère-sur comme nimporte laquelle avec son lot de disputes et de joies. Ma sur avait 18 ans à lépoque et elle sortait avec ce gars, Daniel, un vrai connard, il y avait quelque chose dans son attitude que je ne supportais pas. Il marrivait souvent de regarder Laura dun autre il que celui dun frère. Tous ceux qui ont une jolie sur me comprendront : au départ, on ne la voit que comme une sur et un beau jour, dans une certaine situation, pouf ! la femme en elle nous apparaît. Personnellement, cétait quand elle avait 16 ans. Ayant lesprit rebelle, commun chez beaucoup dadolescent, elle aimait porter des vêtements qui attirent les regards, des jeans serrés, des shorts moulants, des décolletés malgré sa moindre poitrine à lépoque (cela mavait toujours fait rire), etc. Un matin, alors que nous déjeunions avant de partir à lécole, Laura est descendue dans un mini short en jean, elle a fait tomber quelque chose, elle sest penchée pour le ramasser et cest à ce moment-là, en découvrant ses formes, que jai vu la femme et non la sur. Depuis lors, il marrivait de zieuter ma sur de temps en temps, sans vraiment fantasmer sur elle.

Mais notre relation a basculé quand, un soir, Laura est rentrée dune soirée et a filé directement dans sa chambre. Sa façon de marcher mavait paru bizarre, elle avait tout fait pour éviter nos parents. En fait, je la croyais saoule alors pour la taquiner, jai décidé daller lui rendre visite dans sa chambre. Mais lorsque jai toqué à sa porte, elle ma dit de men aller et jai entendu dans sa voix un sanglot qui ma donné un frisson. Je suis alors rentré, sans permission.

— Quest-ce que tu veux ? ma dit ma sur en pleurant, assise sur son lit, cachant son visage.

— Tu vas bien ?

— Très bien ! Ça se voit pas ?

Je me suis alors assis à côté delle et jai soulevé son visage.

— Que sest-il passé ?

— Cest fini avec Daniel

— Oh

— Oui, « oh » Je lai surpris en train dembrasser une autre fille.

Je restais muet, elle continua :

— En plus, quand je lui ai dit que cétait terminé entre nous, il ma avoué que cétait pas la première fois quil me trompait dès quil le pouvait et depuis le début !

La pauvre navait même pas fini sa phrase quelle était en train de pleurer. Je lai prise dans mes bras, comme tout bon frère se doit de le faire.

— Cest pour le mieux alors, dis-je.

— Mais pourquoi jattire tous les connards de la Terre? se plaigna-t-elle.

— Mais non, tu

— Si ! Soit on me trompe, soit on me frappe (elle avait eu une relation difficile avec un garçon qui aimait lui faire mal, heureusement on la appris très vite) dans le meilleur des cas, on me baise et on donne plus de nouvelles !

— Dis pas ça, jaime pas te voir dans cet état

— Je suis quune conne, cest tout.

— Au contraire Tes géniale comme nana.

Elle leva les yeux au ciel, javais compris que cétait une réponse un peu bateau et quelle entendrait le même de la part de ses copines quand elle leur annoncera la nouvelle. Jai alors de nouveau soulevé sa tête pour quelle me regarde dans les yeux :

— Hé, je sais quon se dispute souvent toi et moi et quon a pas lhabitude de se dire ce genre de chose mais je suis sincère là : tes une fille géniale. Tes douée, intelligente, regarde tes déjà plus loin que moi dans les études et puis quest-ce que tes belle, tu ten rends pas compte, je pense.

On se regardait dans les yeux, je pense que cela lavait un peu réconforté mais elle en voulait plus :

— Alors explique-moi pourquoi jattire que des cons ?

— Souvent ce sont ces cons là qui ont assez de confiance en eux pour approcher une fille comme toi, malheureusement.

Elle me sourit, passa une main sur sa joue pour nettoyer les larmes qui avaient coulées et passa son autre main sur mon épaule.

— Merci, cest gentil. Même si ça fait bizarre venant de toi, dit-elle en riant.

— Javoue, on est pas habitué à ce genre de chose.

— Pourquoi je ne peux pas tout simplement rencontrer un mec dans ton genre ?

— Mais tu mas déjà rencontré, dis-je en souriant.

— Ouais Cest là quon voit que la nature est mal faite, tes mon frère alors quil y aurait pu avoir plus entre nous.

Réalisant ses paroles, la pièce était devenue bien silencieuse, voir même étrange.

— Et cest moi qui disait des choses bizarres hein ? lancai-je pour casser cette tension.

Ma sur rit, renifla et sécha ses larmes.

— Cest vrai Désolée

— Je ferais mieux dy aller.

— Oui, avait-elle dit en même temps.

Nous nous sommes alors retournés lun vers lautre et nous nous étions avancés tous les deux en même temps pour faire la bise à lautre, ce qui a eu pour effet que nous étions face à face, prêts à nous embrasser. Nous nous sommes regardés vite fait dans les yeux, il y avait une certaine envie mais pas au point de franchir le cap. Nous avons ri, plutôt dun rire nerveux, elle ma embrassé sur la joue et jai quitté la pièce. Quand je suis retourné dans ma chambre, je me suis laissé tomber sur le lit, jai mis mes bras derrière ma tête, le regard vers le plafond et jai repensé à ce quil venait de se passer avec un sourire aux lèvres et une sensation très bizarre dans la poitrine. Jétais aussi en colère : ma sur ne mérite pas de souffrir autant. Mais je sais qui le mérite.

Jaurais aimé aller trouver Daniel, lui dire ma façon de penser et lenvoyer à lhôpital. Mais sil portait plainte, jétais foutu. Alors je nai rien osé faire.

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