Histoires de sexe Histoires de sexe français Histoires érotiques de couples amateurs

Jeu, set et match. – Chapitre 1

Jeu, set et match. - Chapitre 1



Au moment de cette histoire, j’étais encore un ado, pas trop d’expérience au niveau sexuel, mais je n’avais jamais eu l’idée de tester quoi que ce soit avec un homme, à vrai dire, ça ne m’intéressait pas du tout. Brun, plutôt grand, j’avais un corps plutôt musclé, abdos, et bras surtout, au vu de mon sport. Depuis près d’une dizaine d’années déjà, je pratiquais le tennis, de quoi faire beaucoup de connaissances…

Et voilà que ce jour arrivait, un Samedi comme les autres, en apparence.

Vers treize heures, je reçois un message, d’un pote connu au tennis, Julien, qui me proposait un match dans l’après-midi. Toujours partant pour un peu de tennis, j’acceptais directement.

Je me rappelle encore de son arrivée sur le terrain, ce jour-là, il y avait comme quelque chose de différent dans l’air, qui le rendait presque attirant, une sorte de sentiment que je n’avais encore jamais éprouvé envers un homme, ce qui me surprit assez. Il avait environ mon âge, son corps, taillé par le sport m’impressionnait assez, derrière un haut de sport relativement moulant étaient dessinés des abdos, des pectoraux. Pour compléter sa tenue, il portait un short, assez bien taillé pour lui donner des formes idéales. Mais, à ce moment-là, je n’imaginais rien de particulier entre nous. Il était du genre à vanner assez facilement, et à parier tout et n’importe quoi pour un match. Et, cette fois-ci ne dérogea pas à la règle, puisque, avant de commencer, il s’approcha de moi :

— "Alors, on parie quoi ? Haha, dit-il

— "Hm, j’sais pas, 10 balles ?" répondis-je, un peu méfiant, il avait toujours tendance à parier des choses bizarres.

— "Putain, t’es pas original mec. Allez, celui qui perd, il fait le tour des terrains à poil."

— "Quoi ? Mais t’es taré sérieux.."

— "Ok ok, c’pas grave, t’as juste pas de couilles.."

C’était la phrase à ne pas dire, autant j’ai toujours été timide, autant on pouvait me piquer à vif assez facilement, et c’était ce qu’il venait de faire. D’un geste, je lui tapais dans la main, signe du pari accepté. A peine accepté, le visage de Julien s’illumina presque, comme si ce pari le boostait encore plus. Mais, je ne me rendais pas encore compte que le fait de me voir nu l’intéressait plus qu’autre chose.

Il cherchait à gagner, c’était clair, je ne l’avais jamais vu jouer aussi violemment. Tellement bien qu’il prit le premier set en moins d’une demi-heure. Frustré par la défaite qui s’annonçait, je m’énervais de plus en plus, tandis que lui, de l’autre côté du terrain, semblait de plus en plus satisfait. Finalement, l’issue du match fut rapide, puisque il enchaîna le second set à la même vitesse. J’avais donc perdu, et en plus j’avais pris une belle branlée.

— "P’tain. T’as tout mis dans ce match ou quoi ?", demandai-je, un peu énervé.

— "Allez, arrête de parler, j’crois que t’as un pari mon gars.", répondit-il, en riant.

Non sans rechigner, j’enlevai mon short, et mon t-shirt, le jetant sur le banc, à côté de mon sac de tennis. Par contre, pas question qu’un mec puisse voir un peu plus mon intimité. Mais, j’enlevais quand même mon caleçon, masquant mon pénis avec mon short tout juste enlevé. Il faisait froid, mais le match m’avait assez chauffé pour que ma nudité ne me refroidisse pas. D’un signe il me dit de faire un tour de terrain, je m’exécutais, j’assumais toujours mes paris. Alors que je courrais, pour que ça ne dure pas trop, je vis Julien me fixer, est-ce qu’il me matait là ? Un peu énervé, mais surtout curieux, je m’approchais de lui, masquant toujours ma bite.

— "Tu fais quoi là ?"

— "Rien, je te regarde courir, c’est tout.", dit-il, sans la confiance habituelle.

Je ne sais toujours pas ce qui me passa par la tête, mais je savais qu’il venait de me mater bien correctement, alors je m’approchais de lui, et laissa tomber mon short devant lui, le laissant observer mon chibre, de proportion correcte malgré qu’il ne soit pas encore durci. Comme déstabilisé par la situation, il ne bougea pas d’abord, puis s’approcha de moi doucement, avant d’empoigner mon sexe dans sa main. Une sensation forte et nouvelle s’empara de moi. Comme s’il en était habitué, il fit des mouvements précis et souples le long de ma verge, la faisant durcir en quelques instants. Bandée, elle mesurait environ 17 centimètres. Alors que quelques minutes auparavant je n’imaginais rien avec lui, j’espérais maintenant que ce moment ne s’arrête pas, et qu’il aille encore plus loin… Remarquant mon intérêt pour la situation, il continua, d’une main d’expert, tout en me caressant doucement le reste du corps. Il semblait si confiant dans ses gestes, était-il bi, gay ?

Après tout, même moi je ne savais plus trop où situer ma sexualité.. Et, dans un élan d’envie, je glissais une main directement dans le short de Julien, encore un peu transpirant du match qui venait de finir. Hésitant mais voulant faire bien, je passais ma main tout le long de son sexe et ses testicules, encore cachés sous ses vêtements. Au toucher, je sentais que ses attributs semblaient plus petits que moi, au moins au repos. Mais, à peine j’avais commencé mes caresses que l’engin de Julien s’anima et devint dur et puissant. C’était à peine si son short pouvait encore le contenir tellement son érection était violente. Je lâchais un léger rire auquel Julien répondit par un magnifique sourire, avant de se déshabiller complètement. Voir son corps ainsi dénudé ne faisait qu’augmenter mon excitation. Nous continuions à nous branler mutuellement pendant quelques minutes, comme deux simples potes hétéros pourraient le faire, mais, nos yeux trahissaient une envie encore plus puissante.

— "Hm, Nico (mon prénom), j’ai envie de te la sucer..", dit-il d’un ton hésitant.

Et ce fut lui qui fit le premier pas, en me poussant doucement d’une main jusqu’au banc, où, sans rechigner je m’asseyais directement. Alors, il s’agenouilla, posant ses deux mains le long de mes cuisses, puis, il approcha sa bouche de mon gland avec hésitation d’abord, puis il entama de me lécher la verge dans toute sa longueur, caressant mes boules. Puis, avec difficulté (c’était visiblement la première fois qu’il faisait ça), il goba mon sexe, et le suça doucement d’abord, puis avec plus de conviction, essayant d’accompagner l’acte avec sa main. On aurait dit qu’il essayait de faire comme dans les films que j’avais l’habitude de regarder, et, pour une première fois, il me donnait énormément de plaisir. Mais, je n’avais pas envie que cela finisse déjà, j’avais envie d’essayer d’aller encore plus loin…

— "Julien.. J’ai envie de plus, j’ai pas envie que ça finisse."

Mais, il accéléra le mouvement, et au bout de quelques minutes, je ne pus m’empêcher de laisser plusieurs giclées de sperme envahir sa bouche, qu’il tenta d’avaler comme il put. Je compris après cela qu’il avait envie que je le satisfasse de la même façon.. Je n’avais même pas pensé à cette possibilité, moi qui me croyait hétéro quelques minutes auparavant. Cependant, je ne dis pas un mot et mefforçai d’accepter. Tandis que j’étais encore assis sur le banc, il approcha donc son sexe de mon visage, il devait mesurer environ 15 centimètres. J’essayais de l’imiter, de lui procurer du plaisir, en prenant son sexe dans ma bouche. Au vu des râles de plaisir qu’il émettait, je semblais y arriver. Quelques minutes plus tard, sentant mon sexe se durcir une nouvelle fois, je passais une main le long de ses fesses, approchant de sa raie plusieurs fois. Ce à quoi il eut une réponse directe, s’écartant.

— "Non, pas ça Nico, ça je peux pas, je veux pas."

— "Laisse moi faire…"

Je glissais alors doucement un doigt le long de sa raie, avançant un peu plus vers son anus. Il se débattit doucement quelques secondes, mais lorsque mon doigt pénétra un peu plus son anus, il ne bougea plus, comme si la sensation qui le parcourait lui procurait un vrai plaisir. Sûr de moi, je continuais, tout en essayant de le sucer convenablement. Alors que je passais à deux doigts, j’entendis sa respiration s’intensifier, mais je n’avais pas envie qu’il jouisse maintenant, de peur que mon érection ne serve à rien.. Je me relevais donc, lâchant son sexe et son anus, et l’embrassait fougueusement, histoire de le mettre en confiance.

— "J’ai vraiment envie de ton cul.."

Et sans qu’il ne se débattit cette fois, je me déplaçais derrière lui, lui demandant de se pencher. Dans cette position, ma queue fut plus dure que jamais, ses fesses étaient magnifiques, bombées, et imberbes. Son anus se présentait à moi, et je n’avais qu’une envie, le pénétrer. Je posais ma queue le long de sa rondelle, sans le pénétrer d’abord, mais juste me frotter contre lui d’abord. Puis, je commença à pousser doucement, n’osant pas trop, de peur de lui faire mal. Mais, étonnamment, je le sentis se reculer comme pour accélérer l’entrée de ma queue dans sa rondelle. Tout d’abord, je n’entrais pas entièrement, mais seulement 1/3, mais je faisais quelques va et vient pour essayer d’aller de plus en plus loin. Je voyais son visage se crisper légèrement, mais surtout sa respiration s’intensifier, avec de légers gémissements. Puis, j’entrais encore plus profondément en lui, jusqu’à finalement réussir à la rentrer totalement. Sa crispation initiale se transforma petit à petit en réel plaisir. J’accélérais alors mes va et vient, mais mon peu d’expérience faisait que je savais que je ne durerais pas longtemps. Jagrippais sa hanche d’une main, et je branlais doucement sa bite de l’autre. Au bout d’un moment, le rythme fut tel que j’entendais clairement mes testicules claquer contre ses fesses, ce qui me faisait arriver à un pic d’excitation. Je le sentais aussi au bout de son excitation, et dans un coup de hanche final, je déversais un flot de sperme, encore plus fort que le précédent, dans son intérieur. Au moment exact où ma semence l’emplissait, je sentais sa bite se contracter puis relâcher une giclée sur le banc.

Alors, je sortais de son corps, et il se relevait au même instant, nous étions encore plus en sueur que pendant le match. Un large sourire apparut sur son visage, et il ne se retint pas pour m’embrasser un instant. Mais, nous étions encore en plein dans le gymnase et nous ne nous en rendions pas compte, jusqu’à que la poignée de la porte tourna, et commença à s’ouvrir..

-> Voilà voilà, c’est la première histoire que j’écris, j’espère qu’il vous plaira, n’hésitez pas à le commenter, ça me ferait plaisir :). Et, faites savoir si vous voulez la suite surtout, par commentaire, ou en le notant ;).

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire