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Voisinage viril – Chapitre 1

Voisinage viril - Chapitre 1



*** Partie 1 ***

Marine. Tel est mon nom. Jai 24 ans, et habite un petit appartement en région parisienne. Je vis seule, mais jai un copain légèrement plus âgé que jaime beaucoup. Physiquement, je suis très belle et attirante : un superbe fessier que les hommes dévorent des yeux, une poitrine soutenue, les cheveux bruns et doux et de magnifiques yeux verts. Jai une vie amoureuse et sexuelle très agréable, que je vis bien, mais un évènement allait bientôt me bouleverser.

Un samedi, en après-midi, mon copain mappela pour malheureusement annuler notre dîner-soirée en amoureux chez moi, parce quil travaillait finalement plus tard que prévu. Je métais déjà presque préparée à cette soirée, et cela me déçut. Mais ce nétait pas de sa faute. Javais rien prévu en conséquence et risquais de mennuyer. Je me promis alors de regarder quelques films. Mais au bout de quelques minutes du premier, ma frustration de cette soirée ratée fut trop grande. Je retirais le dvd du lecteur, pour en glisser un autre à la place.

Sur lécran de télévision, un autre film commença alors. On me voyait, nue, en train de masturber une bite de belle taille, celle de mon copain. Je mouillais de voir cette vidéo que mon copain et moi avions tourné il y a quelques semaines. Après cela, je magenouillais devant ce sexe et commençais à le sucer. Cette vidéo mexcitant assez, jentrepris de me déshabiller puis me caresser doucement, assise sur mon canapé, les yeux braqués sur le film. Mon copain tenait la caméra, donc on voyait le haut de mon crâne bouger sous mes mouvements de fellation. Par la suite, il avait posé la caméra sur un petit trépied et nous avions commencé nos ébats.

Je pris donc tout mon temps pour ce moment intime et seul, puisque ma soirée était de toute façon ratée. La vidéo était vraiment pas mal, malgré la caméra bon marché. Nous avions bien pris le soin dilluminer la pièce pour voir la scène entièrement.

Mais au bout de dix minutes, on frappa à la porte, ce qui eut pour effet de me faire sursauter comme jamais. Le cur encore sous le choc, jattrapai un peignoir dans ma salle de bain et allai ouvrir.

Trois adolescents me firent face, sur le seuil de la porte. Je les connaissais de vue, mais ne me souvenais plus de leurs noms. Ils habitaient tous ici, mais à des étages différents du mien. Je ne les aimais pas beaucoup. Ils avaient entre 16 et 17 ans, et étaient en proie aux hormones. Leurs réflexions quand je passais devant eux ou quand je les croisais nétaient pas très intelligentes ou très élégantes Je me sentis soudainement très gênée dêtre devant eux avec seulement un peignoir pour habit

Dailleurs, eux même avaient les yeux rivés sur mon corps, mes seins repoussant le peignoir pour former des bosses et des formes très attirantes. Pour mettre fin à ce délire, je leur demandai :

— Que voulez-vous ?

— Euh

— On voudrait

— Du sucre, Marine !

— Du sucre ? dis-je en fronçant les sourcils.

Chacun de ces ados avait un voisin, qui devait forcément en avoir un peu Jétais certaine quils nétaient venus que dans lespoir de pouvoir me voir éventuellement en petite tenue et me mater ostensiblement. Ce qui était le cas, malheureusement pour moi.

— Vous navez plus de sucre ? Tous les trois en même temps ?

— Euh

Leur excuse ne tenait plus, mais le plus âgé étant plus malin, eut un sourire narquois et me poussa en sexclamant.

— Ca ne prendra que deux minutes, un peu de sucre !

— Hé, tu ne rentres pas comme ça chez moi !

Mais trop tard, ces idiots entrèrent tandis que je protestai bruyamment. Mais le bruit du film et des ébats amoureux avec mon copain attira bien évidemment leur attention, et ils allèrent dans le salon plutôt que dans la cuisine.

— Oh putain ! sexclama lun deux.

Je courus les rejoindre et me mis devant la télé pour les empêcher de voir. Cétait la scène où mon copain avait commencé à sen prendre à mon trou du cul. Et il ny avait aucun doute de lidentité de la personne se faisant enculée ainsi On reconnaissait ma chevelure brune aisément, et surtout ma chambre.

— Putain, regardez, cest elle en train de se faire prendre par son mec !

— Enorme !

— Tes une belle salope, Marine !

— Ta gueule, petit con ! répondis-je.

Ils rigolaient et ricanaient comme des débiles.

— Tas lair daimer ça en plus !

— Et vu comment tu nous accueilles, tas peut-être envie de nous, non ?

— Ouais !

Quelle bande de crétins pré-pubères !

— Barrez-vous, maintenant ! leur criai-je.

— Ma belle, on sen ira quand tu nous auras montré que tu ne veuilles pas quon parle de cette vidéo, expliqua le plus âgé.

— Pardon ? Quest-ce que ça veut dire ?

— Ben, disons que si tu nous suces tous les trois, on pourra se taire et on nira pas crier aux voisins que tes une grosse salope qui aime être filmée !

— Va te faire foutre, connard ! Dégage de ma maison ! hurlai-je.

— Cest quoi ce bordel, ici ? grogna une grosse voix.

Nous tournâmes tous la tête vers lentrée, où un géant de deux mètres de haut se tenait. Cétait Boris, mon voisin. Un colosse de muscles, blonds aux yeux clairs, la trentaine environ. Cétait mon seul voisin à cet étage, et cétait un brave gars.

— Boris, commençai-je, ces abrutis membêtent, jai besoin de ton aide !

Il savança menaçant, vers les trois ados.

— Bon, alors lequel je frappe en premier ?

— Euh, du calme, msieur !

— Ouais, cest pour déconner ! disent les plus jeunes.

Le plus âgé ne savoua pas vaincu.

— Cest une pute, Marine ! Regarde le film ! dit-il en montrant la télé.

— Vous allez vous barrer, bande de merdeux, ou je vous explose vos tronches ! hurla le colosse blond.

Les trois ados filèrent sans demander leur reste en faisant claquer la porte, comprenant que le géant ne céderait pas. Je me sentis soulager, tandis que Boris posait ses yeux sur la seule autre source de boucan : le film de cul à la télé. On me voyait distinctement me faire sodomiser par mon copain, et jen hurlais de joie.

— Woah ! fit le grand gaillard.

— Merci, Boris, sans toi, ils ne mauraient pas lâché.

Je rougissais et ne savais pas où me mettre avec cette vidéo qui tournait, Boris la regardant bouche bée. Il ne répondit pas à mes remerciements. Et puis soudainement, il sembla reprendre ses esprits.

Il se jeta alors sur moi en rugissant. Je poussai un cri de surprise, paniquée. Il marracha mon peignoir avec une facilité déconcertante en hurlant :

— Je savais que tu étais une pute ! Depuis le temps que je veux te sauter, salope !

Je fus nue en une fraction de seconde, mon corps entier visible à ses yeux bleus clairs. Encore sous le choc, mon premier réflexe fut dessayer de cacher mon intimité et mes seins. Mais il attrapa mes bras et les écarta. Il siffla, appréciant la vue.

— Putain, les nichons !

— Boris, arrête, lâche-moi !

— Tes trop bonne, Marine !

— Boris, va-t-en, sil te plaît !

— Je men irais quand je taurais bien baisée, petite pute !

Il me jeta sur le canapé, et je tombai tête la première dans les coussins. Jentendis un bruit de ceinture et de pantalon quon enlève tandis que je me redressais lentement, abasourdie. Mais il mattrapa par les hanches et sinstalla derrière moi, à genoux. Je sentis une grosse masse effleurer ma chatte rasé. Il poussa, et me pénétra de son chibre.

Cétait un sexe gigantesque, il me fit presque mal en rentrant. Mon copain était déjà plutôt bien membré, mais lui, cétait un autre niveau. Je sanglotai en lui priant de ne pas faire ça, mais il ne mécouta pas. Il commença directement ses mouvements.

Il lui fallut peu de temps pour atteindre une cadence impressionnante. Il me bourrinait violemment, éclatant mon vagin avec son chibre hors-norme. Jétais coincée entre lui et le canapé, écrasée même, pleurnichant doucement pendant quil me baisait comme une vulgaire salope. Ses grosses mains étaient posées sur mes hanches, et elles étaient solides : je navais aucune chance de méchapper. Je ne voulais pas ça, cétait un viol, en vérité. Mais Boris sen fichait bien. Il lâchait quelques commentaires, de temps à autre :

— Putain, tes trop bonne, Marine !

— Taimes bien te faire tringler par une grosse bite, hein ?

— Salope, jte baise !

Et il ne cessait de le faire. Il était sauvage, violent, ses gros coups de bite me défonçant comme on ne me lavait jamais fait. Et à ma grande surprise, je ne ressentais plus de douleur. Avant que les trois ados puis le colosse blond ne pénètrent chez moi, jétais en situation dexcitation, à ma caresser doucement en regardant le film. Lénorme bite de Boris commençait petit à petit à me faire du bien. Ma mouille revint, et je sentis la chaleur de mon corps monter lentement. Je ne sanglotais plus, et mes petits gémissements de douleur et de panique se transformèrent en gémissements de plaisir. Tandis que mon agresseur continuait inlassablement à me démonter le vagin de son outil incroyablement gros. Dailleurs, Boris sapercevait de mon changement de comportement, puisque je lui paraissais moins farouche.

— Mais taimes vraiment ça, espèce de grosse pute ! Tu vas voir, je vais te donner encore plus de plaisir, sale garce !

Il redoubla deffort au fond de mon intimité. Il caressa également mes seins écrasés contre le canapé. Ses mains entamèrent de longues caresses et longs tripotages sur tout mon corps, mexcitant encore plus. Mon plaisir montait, et jen étais effrayée et satisfaite à la fois. Cétait le rôle de mon copain de mapporter amour et plaisir, pas à ce salaud de violeur ! Mais mon excitation de la journée et ma frustration sexuelle due à labsence de soirée étaient en train de me vaincre intérieurement. Et je finis par pousser mon premier cri de plaisir.

— Haha ! ricana Boris. Je vais te faire grimper au plafond, petite chienne !

Il accéléra encore sa cadence, ce que je naurais pas cru possible. Il me fit jouir pour de bon, cette fois, et jeus mon tout premier orgasme avec un autre homme que mon copain. Ce dernier me sortit de la tête, et jen oubliai tout, sauf lénorme chibre qui me défonçait et le plaisir qui en découlait. Je criai ma joie de me faire baiser aussi bien, malgré le viol. Cétait sauvage, viril, violent, et trop bon ! Jadorais le sexe hard !

Il me baisa ainsi durant de très longues minutes, mes cris se mêlant à ceux que je poussais dans la vidéo, qui tournait encore. Je lui pressai même de me baiser plus fort, jétais vraiment métamorphosée, je ne me reconnaissais plus ! Je devenais une vraie petite chienne en manque bien satisfaite !

Mais tout a une fin. Il se retira après un autre orgasme de ma part. Il tira violemment sur mes cheveux, ce qui me fit lâcher un cri de douleur. Il me jeta sur le sol, au milieu de mon salon. Je pus enfin voir son chibre : une espèce de monstre hyper long et hyper épais ! Je ne saurais dire la taille de cette chose incroyable, mais il dépassait clairement les 25cm de longueur et 10 dépaisseur ! Mais il ne me laissa pas le temps dadmirer un tel gourdin, puisquil prit la parole.

— Mets-toi à quatre pattes, sale pute, ou je te démonte la gueule, indiqua-t-il fermement et calmement.

Il tira à nouveau sur mes cheveux pour me faire comprendre, alors jobéis, ne voulant pas encore avoir mal.

— Cambre ton cul, pétasse !

Une nouvelle fois, jobéis, à contrecur devant sa violence. Il sinstalla debout derrière moi, ses genoux puissants entourant mes hanches et me bloquant sous ses jambes. Il se baissa légèrement en attrapant mes seins, les broyant méchamment. Je sentis son gland frotter contre ma chate, puis mon anus, et là, il simmobilisa. Je magitai en lui criant :

— Non, pas ça !

— Dans ta vidéo, ça na pas lair de te déranger, la sodomie.

— Mais tu es trop gros, arrête !

— Avec un cul comme le tien, ton anus est ton orifice principal !

Il tira sur mes cheveux, me faisant lever mon crâne. Je pus voir le plafond et son visage également.

— Je vais te péter le cul, que tu le veuilles ou non, salope !

Il me pénétra dun seul coup et sans aucun avertissement ni douceur. Jhurlais ma douleur, un long cri séchappant de ma gorge. Sa grosse bite sengouffra puissamment et rapidement dans mon rectum. Il ne sarrêta que lorsquil parvint à entrer son chibre entier au sein de mon cul. Moi, jétais au bord de la paralysie. Jétais en pleine agonie, la douleur étant trop élevée. Non seulement son mandrin était très long, mais en plus, il était très épais et écartelait violemment ma rondelle, pas du tout habituée à cette taille !

Mais le pire allait arriver. En bon salaud, il nattendit pas que je mhabitue à son sexe dans mon cul. Il entreprit de faire de grands et amples mouvements du bassin pour me sodomiser, qui me firent crier de douleur. La souffrance était énorme, devant ce chibre incroyable. Elle fut tellement importante que je crus mourir. Je me mis à magiter, me débattre, même. Je ne voulais pas me faire enculer aussi violemment.

Cela ne plus guère à Boris. Il tira davantage sur mes cheveux, et me claqua sauvagement les fesses de son autre grosse main. Il ragea :

— Arrête de te débattre, sale pute, ou je te jure que je vais vraiment te faire mal !

— Pitié ! couinai-je, endolorie.

— Laisse-toi aller, détends-toi, et ça passera mieux.

Il continua ensuite à me sodomiser sans douceur. Mais jessayai de faire ce quil me disait. Je fis de mon mieux pour détendre mes muscles et mon rectum. La douleur ne diminua que légèrement, mais cétait déjà plus supportable, malgré la souffrance importante. Quand le géant blond comprit que je cesserai mes agitations, il lâcha mes cheveux, et je pus souffler un peu et baisser ma tête, mes yeux face à la vidéo. Je pouvais my voir sucer la bite de mon copain, après quil eut éjaculé en moi. Boris pouvait aussi voir la vidéo et cela lexcita encore plus. Il accéléra, me démontant le cul comme un fou furieux. Jhurlais de douleur, de frayeur et de plaisir, tout ça à la fois… De douleur, parce quil me faisait horriblement mal ; de frayeur, parce que ce type était effrayant et me dominait avec une facilité et une sauvagerie inquiétante ; de plaisir, parce que jadorais me faire prendre par le cul par mon copain, même si ce nétait pas lui cette fois-ci.

Les mains de mon voisin parcouraient maintenant tout mon corps. Il me tripotait la chatte, me pinçait les tétons, ou caressait mes cuisses et mes seins. Il se faisait plaisir, ce chacal Mais ses caresses avaient un effet bénéfique : celui de me calmer face à la dureté de lépreuve. Et même daugmenter très légèrement mon excitation.

Il me maîtrisait à la perfection. Il était géant, un tas de muscle, une armoire à glace, me dominant facilement, moi, Marine, toute petite et fine femme. Il me limait le cul avec force et puissance, jouissant de mon colon serré et idéal pour son énorme chibre. Son gland éclatait les parois de mes intestins, me faisait couiner de douleur. Ma rondelle était déjà morte depuis un moment. Cela faisait déjà de longues minutes quil menculait comme on encule une actrice porno. Ma vidéo porno sétait arrêtée depuis un moment déjà. Boris était plus endurant, plus violent que mon copain, qui maimait avant tout et préférait être simplement idéal et séduisant pour moi. Le géant, lui, préférait simplement me rappeler que je nétais quune fille bonne à se faire démonter, même si je nen avais pas envie. Il voulait juste se faire plaisir, sans penser au mien. Néanmoins, il y était quand même parvenu, notamment en pénétrant mon vagin.

Si sa cadence et sa puissance étaient les mêmes que lorsquil mavait prise contre le canapé, les mots étaient encore plus crus et plus salaces :

— Espèce de chienne en manque, tu nattendais que ça quune grosse bite te défonce le cul comme ça !

— Ben alors, ton copain te suffit pas ? Tas besoin de plus de baises ? Je suis là pour toi, bébé !

— Il ny a que les salopes qui se font enculées ! Ten es une bien belle, Marine !

Je ne répondais pas, trop occupée à éviter davoir mal, et surtout pour quil ne réplique pas. Je ne voulais pas de nouveau quil me fasse mal. Alors je faisais de mon mieux pour être docile. Et obéissante. Je me disais que plus je serais docile avec lui, plus il serait doux et moins violent. Mais même pas, au final. Il magressait tout aussi fort. Me trouant le cul comme jamais, agrandissant ma rondelle, me faisant sentir humiliée et chienne comme jamais. Javais même moins mal avec le temps : jétais presque sûre quil était en train de me déchirer la rondelle et quelle était anesthésiée devant tant de burinage anal.

Sa domination atteignit un point de non-retour sur la fin, lorsquil redoubla de puissance, de force et de rapidité dans ses coups de boutoir. Je criais de douleur en permanence, maintenant, même si jéprouvais un semblant de plaisir tout de même. Cette sodomie me faisait mal, mais mexcitait quand même. Malheureusement, elle ne me stimulait pas assez au point de me jouir par le cul. Son chibre me limait le cul avec une telle facilité quil ne faisait aucun doute quil mavait vraiment élargi la rondelle !

Soudainement, il simmobilisa au fond de mon rectum. Il poussa un puissant râle de jouissance, et des vagues de foutre vinrent tapisser mes intestins. Je ne jouis pas, mais eus un plaisir inavouable à recevoir cette vague de liquide chaud au fond de mon cul. Il se vidait énormément, il éjaculait davantage que mon petit ami. Il me remplissait le cul de son sperme bien collant.

Il finit par se retirer de moi, une minute après, quand il fut vidé. Il me lâcha, et je mécroulai sur le sol, complètement épuisée et détruite face à cette sodomie intense. Il ricana en me traitant de grosse pute adorant la sodomie. Je lentendis se rhabiller brièvement, tandis que je me redressai lentement pour masseoir sur le sol. Du sperme encore chaud coulait lentement de mon anus, pour aller former une petite mare sur le sol de mon salon. Je regardais mon violeur : il souriait.

— Au revoir, salope !

Il ouvrit la porte de mon appartement, et sortit, me laissant seule, nue et endolorie sur le sol de mon salon.

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