Bonjour je m’appelle Elodie, j’ai 31 ans, je suis divorcée j’ai deux enfants, je suis bi et naturiste depuis toujours. J’ai aussi un frère et une sur. Nous vivons nos plaisirs sans limites, sans contraintes, sans tabous et sans pudeur. J’ai plusieurs histoires à vous raconter, véridiques et réelles. Je vais commencer par une pause déjeuner, pas plus tard qu’hier. Je travaille comme responsable d’un service administratif dans Paris. Mon frère et ma sur travaillent aussi dans le même arrondissement. Nous avons été élevés naturellement, toujours à poil, sans tabous et sans pudeur. Nous avons une famille très libérée sans gêne aucune. Hier il faisait très très chaud, j’avais juste une petite robe noire, sans dessous aucun ni string ni soutien-gorge… Je ne porte jamais de dessous depuis toujours. Comme chaque jour, j’étais chaude excitée et j’avais très envie de sexe. J’avais très chaud, je sentais mes cuisses transpirer et ma chatte se tremper. Je suis épilée intégrale comme une jeune fille. Comme c’est l’été, moins de boulot, jéchangeais des SMS xxx avec mon frère et ma sur.
Je voulais faire bander mon frère. Je lui racontais que je j’étais cuisses écartées, chatte grande ouverte, mes lèvres toutes mouillées, mes fesses rondes bien ouvertes, mes seins 90C durs, mes tétons bien droits… Je lui disais que j’avais envie de sa belle queue bien droite, rose, douce, grosse… Finalement je lui ai dit que je pouvais le rejoindre pour la pause déjeuner. Mais comme il faisait chaud, on pouvait déjeuner dans son bureau climatisé. J’avais mon idée en tête, lui aussi car il me connaît bien. Ma sur et moi sommes très salopes, nympho, exhib… Et depuis longtemps nous nous donnons du plaisir. Mon frère travaille dans un cabinet d’architecte. Comme c’est l’été et les vacances, il est tout seul dans son bureau.
Je suis arrivée, chaude, transpirante, excitée, trempée. Je suis rentrée dans son bureau au 2e étage, il a fermé à clé pour la pause déjeuner. Il faisait bon dans son bureau. Pendant qu’il fermait son bureau, j’ai descendu ma robe. Je me suis retrouvée nue devant lui dans son bureau. Les gouttes coulaient le long de mon dos. Il s’est retourné et on a pu se rouler une pelle à pleine bouche nos langues se mélangeaient avec plein de désir. Pour info mon frère a 28 ans et note sur 30. Donc je reprends. Pas de déjeuner dans cette pause mais beaucoup de sexe. Pendant qu’il membrassait, il me caressait le cul, il mécartait les fesses. Les gouttes de sueur coulaient le long de ma raie… Je lui ai enlevé sa chemise et son pantalon ; il bandait fort, je sentais ses pulsations saccéléraient son torse contre mes gros seins durs. Je lui tenais sa belle bite épilée aussi, très dure rose… Nous baisons ensemble depuis très très longtemps, je vous laisse imaginer et je pense que lorsque nous serons vieux nous continuerons à baiser comme des pervers.
Je me suis assise à son bureau, comme si j’étais sa responsable ; mes jambes sur les accoudoirs, cuisses écartées, chatte mouillée grande ouverte, mes lèvres très gonflées, mon clito prêt à vibrer. Je prenais son stylo, je l’ai sucé et mis entre mes cuisses pour quil ait le gout de ma chatte dans laprès-midi quand il le mettrait à sa bouche. Je lui ai dit de se mettre à pattes et de me lécher la chatte… Sa langue douce me léchant le clito, puis rentrant dans mon vagin, je lui tenais la tête et me frottais fort contre sa bouche… Je commençais déjà à gémir. Je lui disais " vas-y, lèche plus fort ma chatte de salope ». Il me caressait les seins en même temps, mes tétons me faisaient mal, jadore ça. On a échangé les rôles, je me suis mise à pattes, fesses bien en l’air, très ouvertes. Je l’ai sucé, j’ai pris sa bite dans ma bouche, humm j’aime son gout, je l aspirais de plus en plus vite, je me suis concentrée sur son gland le mordillant et lui prenant ensuite toute sa queue dans ma bouche.
Quel bonheur de baiser naturellement sans limites avec son frère. Je me suis assise sur son bureau cuisses écartées, trempée, il s’est mise contre moi, il tenait sa queue et approchait son gland contre mon clito, il me l’a mise un tout petit peu, j’étais chaude excitée, ouverte. Je lui ai dit " vas-y espèce de salaud, baise-moi, prends-moi ». Il est rentré, j’ai gémi de plaisir, j’étais heureuse. J’adore sa manière de me pénétrer, sa queue en moi, chaude. Il me pinçait les seins en même temps. Je contractais mes fesses et mon ventre pour sentir sa bite en moi et augmenter le plaisir. Il me traitait de tous les noms, salope, pute, chienne… Je me suis retournée, prise en levrette, il adore mon cul, pendant que sa queue était dans ma chatte il me mettait un doigt dans le cul.
Je bougeais comme une salope. Il a accéléré, j’ai senti son jus brulant en moi. Quel bonheur. Je me suis assise, cuisses écartées, je passais mon doigt sur ma chatte dégoulinante de ma mouille et de son sperme.
J’ai pris sa bite brulante dans ma bouche pour la nettoyer et avoir ce parfum de sexe dans ma bouche. On était plein de transpiration. On a bu un peu d’eau et collés l’un contre l’autre on s’est roulés des pelles très hard. Il m’a dit que j’étais une vraie pute que je ne pouvais pas m’en passer. On s’est rhabillés, je sentais ma mouille couler le long de mes cuisses. Pas de string pas de SG. Cette pause déjeuner était merveilleuse. En ouvrant la porte, je l’ai de nouveau embrassé à pleine langue, j’ai remonté ma robe pour qu’il me voir marcher fesses à l’air ;
Je me suis retournée et lui ai lancé un clin d’il.
Je suis remontée dans ma voiture. Il faisait super chaud, je passais mes doigts sur ma chatte et les mettais à ma bouche, je me sentais mieux apaisée et baisée… Mais déjà prête à recommencer. Revenue à mon bureau, je lui ai envoyé une photo de ma chatte ouverte et lui disant qu’elle en veut encore. Voilà ma pause déjeuner d’hier… Vraie sincère et véritable. J’espère que vous aurez apprécié et que vous aimerez les prochaines histoires.
