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Banquière perverse – Chapitre 28

Banquière perverse - Chapitre 28



Rappel du chapitre précédent :

Selon les critères de Jelila, nous avons fini par lui trouver « son homme idéal ! ». Gladice n’avait pas pu résister à l’envie d’essayer le phallus black et gigantesque de notre hôte. Elle me demanda, en preuve d’amour, que je me fasse enculer par le monstre. Sans hésiter un instant, je l’ai fait au début par amour, et ensuite par plaisir. Même si la douleur de mon anus défoncé fut violente, mon plaisir approcha de l’extase. Je n’ai jamais pris un tel pied quand ma belle vicieuse me mit sa main dans mon trou du cul béant. Elle prit un malin plaisir à agiter ses doigts dans mon boyau jusqu’à provoquer chez moi un orgasme anal.

Pour rappel, nous avons, depuis longtemps, pris l’habitude de nous nettoyer systématiquement le cul, quand il le faut, grâce aux WC japonais que Madame à fait installer dans toute la maison.

Quant à Gladice, nous l’avions remplie copieusement par tous les trous jusqu’à l’emmener vers un sublime orgasme. Mais le SMS de Jelila, que reçu ma Chérie, mit fin à notre soirée. Elle avait décidé de rentrer plus tôt et nous devions la récupérer le lendemain matin à 9 heures, à Roissy avec Heubi.

ooOoo

C’est l’été et malgré l’heure matinale, il fait déjà chaud. Après une courte nuit, nous nous préparons à nous rendre à l’aéroport. La tenue de Gladice change de la minijupe habituelle, car elle a revêtu une minirobe bariolée de roses ; elle ne porte, bien évidemment rien dessous. Quant à moi, j’ai opté pour un bermuda et un tee-shirt noir de grandes marque avec sur la poitrine une arabesque en forme de cercles concentriques blancs en relief. Heubi nous demande s’il est possible de passer là où il cohabite avec un pote à lui, afin de récupérer quelques vêtements. Il nous avoue être dans une situation matérielle compliquée, et se réjouit d’avance si Madame voulait bien de lui.

Vacances obligent, le parking de l’aéroport est déjà bien rempli. Après avoir tourné dans le parking, je trouve enfin une place pour stationner la Mercedes de Jelila. Nous nous précipitons vers la porte A, mais il n’y a personne ; après vérification, son avion est annoncé comme arrivé. Je saisis mon téléphone :

[SMS, Jelila, Moi]

> Jelila ! Es-tu arrivée ?

< Oui, je suis à lextérieur ; à larrêt minute.

> Ne bouge pas j’arrive ! Gladice et Heubi te rejoignent.

< OK, je vous attends  !

Gladice, Jelila est à l’arrêt minute ! Toi et Heubi vous allez la rejoindre le temps que j’aille chercher la voiture et je vous récupère.

Ça marche ! dit-elle en entrainant notre ami.

Je cours récupérer la voiture et me rends directement au point de ralliement prévu. Grâce à la stature de Heubi et aux signaux de sémaphore d’heubi, il m’est très facile de les retrouver. Arrivé à leur hauteur je constate que l’ambiance est bonne et que Jelila semble ravie de la rencontre avec Heubi.

Après avoir chargé les bagages et rapporter le Caddie-, nous nous installons dans la voiture. Comme à son habitude, Jelila s’installe à l’arrière droit, Heubi à ses côtés ; Gladice et moi à l’avant.

En route chauffeur ! m’ordonne Jelila.

Je démarre et ma chérie questionne notre nouvelle arrivée.

Jelila ! Comment va ta fille ?

Elle va, elle va, elle était rongée par les remords ; mais ta lettre lui a fait le plus grand bien. Je suis ravie que les choses s’arrangent. À ce propos, elle m’a remis une lettre pour toi ; rappelle-moi de te la donner.

Bon, je suis contente pour elle, il faut tirer définitivement un trait sur cette histoire ; mais que dit-elle dans sa lettre ?

Je ne sais pas, elle n’a pas voulu que je la lise Bien ! Racontez-moi ce qu’il s’est passé, durant mon absence, et où en êtes-vous avec votre « pièce de théâtre » ; j’ai hâte de voir ça !

Elle est presque prête

Ah ! Et que manque-t-il ?

Eh bienhésite Gladice.

Vous avez la trouille, n’est-ce pas ?

Un peu, oui

Bien nous en parlerons tout à l’heure

Dans le rétroviseur, je la vois prendre son téléphone, puis j’entends les Bips d’envoi suivis de peu par une bonne douzaine de Bip. Gladice et moi, nous nous jetons un regard interrogatif, que fait-il ? Pour moi, il est clair qu’elle vient de contacter plein de gens

Parfait ! Demain c’est la générale de votre pièce ! Je viens de contacter des amis qui seront là demain soir, vous devez être prêts pour le spectacle. Mais ce soir je veux que vous me fassiez plaisir.

Mais Jelila, nous ne sommes peut-être pas encore tout à fait prêts ! conteste Gladice.

Taratata ! Tout à l’heure, tu m’as dit que ce n’était plus qu’une question de décors, alors n’essaie pas de te dérober. Je veux voir ça !

Bon d’accord, nous allons appeler Sophie.

Très bien, mais en attendant, je suis en manque et à la vue des photos je veux me faire prendre par Heubi et aussi toi Issam. Allez, faites-moi plaisir, j’ai envie de plein de choses bizarres !

OK Madame retrouve ces instincts sauvages !

Tu as tout compris, Issam. Ce soir, je veux me faire baiser ; comme une truie, tu le sais ça !

Parfait, Heubi ! Ce soir on pète le cul de la banquière !

Pour moi, pas de problème, elle me plaît bien ; la Patronne ! J’aime les femmes salopes et accros du sexe. Si tu es aussi bonne que ceux-là, on va s’éclater ma belle !

J’aime qu’on me parle aussi.

Dans le rétro je vois que Heubi s’est emparé des nibards de Jelila et les malaxe avec vigueur. Ça m’excite, Gladice s’en aperçoit et saute sur l’occasion pour passer sa main par une jambe de mon short (celle la plus proche d’elle). Elle me malaxe les couilles, et me décalotte le gland. Le frottement de mon prépuce contre le tissu me fait bander terriblement, et si elle avait l’idée de me sucer ; hélas non !

Les pneus de la voiture crissent déjà sur le gravillon de la cour de la maison, nous sommes arrivés ; Jelila retrouve sa demeure. Elle s’extrait de la voiture et entraîne Heubi qui malgré sa corpulence à presque du mal à suivre ; Madame qui nous interpelle :

Je vous laisse d’charger mes bagages, j’ai une urgence !

Nul besoin de s’interroger sur le genre d’urgence dont il s’agit, car nous l’entendons déjà hurler de plaisir.

Son absence fut brève, car la voici déjà de retour :

Il est parfait, merci à vous deux pour le choix ! Et pour votre pièce de théâtre, vous en êtes où ? J’ai hâte de voir ça.

Nous sommes prêts, il ne nous reste que les décors à trouver.

Cela ne va pas être bien compliqué, nous n’aurons pas besoin d’un (Roger Hart) pour les réaliser, ni d’un (Donald Cardwell) pour les costumes. J’ai prévenu quelques amis et ce soir c’est « la Générale » !

Puisque Madame insiste, Issam ! On appelle Sophie et on prépare tout ! me dit Gladice.

Moi et Heubi, partons faire des courses pour régaler nos invités.

J’envoie un texto à Sophie, reprend Gladice.

[SMS, Sophie, Gladice]

> Coucou, ma belle ; ce soir on joue la « Générale de notre pièce » à guichets fermés. Ramène tes fesses, et vite !

< Cool ! J’arrive !

Ma Chérie et moi nous nous occupons de transformer le grand salon en salle de spectacle, Madame a donné des indications précises sur la disposition des tables et fauteuils. Oui, ce soir il n’y a plus de Jelila. C’est Madame qui invite, et c’est Madame qui régale ; alors dans ces cas-là, nous devons l’appeler Madame.

Les ordres sont précis. Le fond de la pièce fera office de scène, avec l’accès à un petit boudoir qui nous servira de loge. La double porte-fenêtre assurera un éclairage parfait, et des lampes halogènes sur pied, en fer forcé noir, viendront en complément au cas où la nuit tombe avant la fin du spectacle. La lourde table rectangulaire Louis XIV aux pieds tournés, renforcés par un X à leur base et récupérée dans la salle à manger servira de bureau. Nous ajoutons un grand canapé convertible pour les scènes de cul. Mon ordinateur à la pomme luminescente, reliée en Wifi à la chaîne hi-fi assurera le fond musical et, il affichera un diaporama de photos de nus féminins ; le petit détail qui donnera un avant-goût sur le sujet de la pièce. Pour rester dans le style de la table, nous récupérons deux chaises et un fauteuil médaillon en bois patiné et tissus capitonnés beige. La bibliothèque de style identique ajout une touche intellectuelle aux décors. Après réflexion, nous ajoutons quatre psychés récupérées dans les chambres afin d’ajouter à la scène un petit côté voyeur. Pour les vingt spectateurs dont quatre couples, nous réquisitionnons tous les canapés et fauteuils disponibles dans la maison, et les disposons en arc de cercle autour de la scène.

Nous venons de terminer et à peine de prendre un rafraîchissement que Heubi, Sophie et Madame tous chargés comme des mulets entrent dans la cuisine ; puis nous sommes vivement invités à donner un coup de main pour terminer le déchargement de la voiture. Pendant ce temps Madame inspecte le grand salon et revient nous féliciter sur la disposition.

Vous avez bien travaillé, cette disposition est parfaite ! J’aurais bien aimé avoir un aperçu de ce que vous nous réservez.

Pas question, rétorque Gladice, vous attendrez tout à l’heure.

Bon et un petit indice, c’est possible ?

Va pour l’indice ! Alors voilà : Issam et moi sommes les parents de cette petite effrontée de Sophie qui a quinze ans (dans la pièce) et est au lycée ; sauf qu’elle travaille mal et passe plus de temps à se faire sauter par ces copains de classe qu’à bosser ses cours. Aujourd’hui, elle doit faire signer son carnet qui est bien évidemment mauvais. Voilà Madame, cela vous convient-il ?

Et après

Vous le verrez bien

J’espère qu’elle va prendre une bonne fessée

Ça ?

Bon, je vois que je n’en obtiendrais pas plus alors au boulot, nous allons préparer les amuse-bouches, il faut mettre les champagnes au frais ; ce soir c’est champagne pour tout le monde. Heubi fera le service, nous avons trouvé une tenue qui lui va à merveille. Pressons-nous car les invités arrivent dans une heure.

Je suppose que Jelila avait annoncé la couleur du spectacle car à peine une heure vient de s’écouler qu’on sonne au portail.

Allez tous vous changer, Heubi ! Va t’habiller et vous disparaissez, je vais accueillir nos invités

Gladice, Sophie et moi nous réfugions dans notre loge improvisée et nous nous préparons.

Sophie, tu es vraiment mignonne aussi déguisée ; tu fais vraiment gamine

Ne remercie pas la peine d’en rajouter, je me suis encore fait emmerder par un flic qui voulait me contrôler parce que j’avais dans un sac en papier une bouteille de champagne pour Anne ; c’est son anniversaire aujourd’hui.

J’espère que Jelila l’a invité ? dit Gladice.

J’sais pas, mais en attendant, moi, j’ai la trouille de faire ça divan tout le monde.

Ne le fais pas, nous allons nous débrouiller.

Tu es folle, ma pauvre Gladice ; j’ai trop envie de

On frappe, la porte s’ouvre ; Madame apparaît.

Oh que tu es mignonne avec tes couettes ! Vous êtes prêts ? Je frappe les trois coups et j’annonce C’est quoi le nom de la pièce ?

Merde ! On n’y a pas pensé. Euh, tu n’as qu’à dire « Le carnet de notes ».

Parfait, je suppose qu’il s’agit de ce dont nous avions parlé ? dit Jelila en sortant et en laissant la porte entrebâillée.

Tout en continuant à se préparer, Sophie nous confie.

Vous n’avez pas la trouille, vous ; moi je crois que je vais tomber dans les pommes !

Ne soit pas inquiète, ne t’occupe pas des gens ; tout ce qui compte c’est que tu prennes ton pied ! reprend Gladice.

C’est vrai, et surtout réaliser un de mes fantasmes : me faire baiser en public. Issam ! il faut que tu me fasse gueuler de plaisir.

OK ! Et si tu n’as pas assez avec moi, tu n’auras qu’à aller chercher Heubi, il saute sur tout ce qui bouge ! je poursuit.

Alors ça c’est bien vrais, figure toi qu’il à même enculé mon chéri !

Nonc’est vrai ?

Oui, et mon chéri à même beaucoup apprécié, pas vrai mon amour ?

Je l’avoue, j’ai aimé, je réponds un peu gêné.

Et encore, tu ne sais pas tout !

Quoi encore, allezracontez-moi ; vous êtes en train de m’exciterAllez !

Chéri, on lui dit ?

Au point où j’en suis, je n’ai plus honte de rien et pour tout te dire ; cette charmante blonde m’a foutu sa main dans le trou du cul.

Non ! Alors ça c’est cool ! Oh, la vache, vous me faite mouiller comme une folle ; il faudra qu’on le fasse ton truc !

Mon truc comme tu dis, cela s’appelle un fist anal ! Petite ignorante.

Je sais, je ne fous rien à l’école et je vais me prendre une sacrée fessée dans

Le prochain épisode

[À suivre]

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