Amis depuis leur plus tendre enfance, et en pension dans des lycées différents, Jean et Éric sont inséparables lorsqu’ils se retrouvent pour les vacances. Eric est un gars plutôt costaud, un peu bourru. Avec son mètre quatre-vingt et ses quatre-vingts kilos, il domine largement son ami Jean et son petit mètre soixante-dix et ses cinquante kilos.
— J’en ai des nouveaux ! glisse Eric dans l’oreille de Jean
— Ils sont bien ? dit Jean alors qui sent déjà les prémices d’une belle érection.
Il ne peut s’empêcher de se passer la main sur son entrejambe, sous le regard lubrique de son ami.
— Je les ai récupérés hier soir…
— Et tu t’es déjà bien branlé en les matant !
— Oh oui ! En pensant à ta belle queue !
— Ils sont bien ?
— Je pensais à ton petit cul aussi ! ajoute Eric en passant sa main rapidement sur le bas du dos de son ami.
Ils sont assis dans un coin tranquille du square et peu de monde se promène en ce début d’après-midi. Ils ont toujours été très discrets même s’ils aiment tous les deux se faire des petites gâteries dans des lieux plus ou moins ’publics’’.
— Ton oncle va finir par se rendre compte de quelque chose.
— T’inquiète pas ! ajoute Eric en empoignant le sexe de son ami au travers de son pantalon tout en surveillant les alentours. Tu bandes fort dis-moi… t’es en manque… dit-il en malaxant le paquet de Jean qui a ouvert les cuisses.
— Tu vas me faire gicler dans mon froc ! lâche Jean avant de gémir.
Eric glisse un doigt entre les boutons de la braguette.
— Evidemment tu n’as pas mis de slip …
— Tu sais bien que j’en mets jamais !
— Et au bahut, tu fais comment … t’en mets pas non plus ? Tu te branles dans les chiottes, ou sous la douche quand t’es excité ?
— Je t’ai déjà dit comment le pion m’avait gaulé…
— Ah oui… alors, tu le vois toujours ?
— Ben oui, il s’arrange pour être dans mon dortoir
— Mais les autres le savent alors !
— Mais non, il vient me chercher quand tout le monde dort. Et puis tu sais, je le suce vite fait dans les chiottes et je retourne me coucher.
Tout en écoutant son ami, Eric a tiré sur les boutons de la braguette qui s’est ouverte, laissant pointer la queue tendue de Jean. Il la prend en main en la pressant doucement pour bien apprécier sa fermeté. Il passe le pouce sur le gland turgescent, avantage d’un sexe circoncis. Jean frémit de plaisir sous ses caresses. Il sait qu’il va glisser ses doigts sur ses bourses toutes lisses pour atteindre son périnée, zone hautement sensible chez lui et que son ami connaît bien.
— Si tu continues, je vais gicler dans l’herbe !
— Tu as intérêt à te retenir…
— Sinon quoi ? répond Jean avec un petit sourire, tu vas me punir peut-être !
— Allé, rhabille-toi ! Jai des choses à te montrer ! dit Eric en retirant sa main non sans caresser une dernière fois la tige de chaire dressée de son ami.
Jean se reboutonne rapidement et les deux garçons se dirigent vers chez Eric.
A peine la porte de la chambre fermée, Jean laisse glisser son pantalon à ses pieds et retire son tee-shirt. Nu comme un ver, il s’affale sur le lit d’Eric qui fouille dans son armoire pour sortir les dernières revues pornos qu’il vient ’d’emprunter’’ à son oncle. Jean est déjà en train de se masturber tout en se pinçant les tétons. Eric le laisse faire tout en se déshabillant à son tour avant de lui demander d’arrêter. Lui aussi bande comme un fou et il est particulièrement bien monté. Il s’approche du lit et attrape la main de Jean qui s’affaire sur sa queue.
— C’est moi qui vais te faire jouir ! je ne veux pas que tu te touches !
— Arrête, je suis trop excité
— Ce sera encore mieux !
Mais Jean est déjà en train de prendre sa queue avec son autre main, délaissant ses tétons. Eric attrape ses deux poignets et sans grandes peines, lui met les mains dans le dos. Il saisit la ceinture de son peignoir et lui attache les mains. Jean se frotte sur son ami, faisant rouler sa grosse queue entre leur ventre. Il aime sentir toute sa force et se laisse bien volontiers dominer par cette masse de muscle. Eric le couche sur le dos et se place à califourchon sur son torse, plaçant ainsi sa belle bite bien dure devant sa bouche. Il avance doucement le bassin jusqu’à frôler les lèvres déjà entre-ouvertes de Jean. Un petit coup de reins et il est déjà à moitié dans sa bouche. Il tend le bras derrière lui pour saisir la queue de Jean qui suinte maintenant de plaisir. Celui-ci a ouvert largement les cuisses, ouvrant ainsi la voie vers ses fesses et sa rondelle. Eric aime avoir son ami à sa merci. Il sait qu’il peut en faire tout ce dont il a envie. Et aujourd’hui, il veut le rendre encore un peu plus soumis que d’habitude.
Il a déjà prévu de quoi l’attacher et le bâillonner, mais aussi de quoi le faire un peu souffrir. Les revues qu’il a ramenées de chez son oncle montrent cette fois-ci des hommes attachés pendant que d’autres hommes les tourmentent.
Jean suce particulièrement bien et Eric ne tarde pas à sentir la sève monter. Il se recule et redresse Jean. Il l’embrasse goulûment à pleine bouche, lui caresse la poitrine.
— Tu as des tétines de jeunes filles… comment tu fais ?
— C’est à force de tirer dessus sans doute
— Bon, je te montre les revues mais je ne veux pas que tu te caresses… ou alors tu restes attaché
— C’est bon, je me caresse pas…
Assis côte à côte sur le lit, adossé au mur, ils tournent les pages de la revue. Jean regarde les photos avec les yeux brillants, fixés sur tous ces sexes dressés. Eric le regarde plus que les photos. Plus les photos avancent dans le scénario où deux jeunes mecs vont se retrouver ligotés, immobilisés dans des postures avilissantes, plus Jean semble hypnotisé, et excité. Il en frissonne, faisant se dresser encore plus sa queue tendue mais aussi ses tétons. Eric en attrape un entre ses doigts et le pince doucement. Jean inspire tout en gonflant son torse comme pour mieux s’offrir aux caresses de son ami, mais sans lâcher la revue des yeux. Sur la photo, le sexe et les couilles d’un des jeunes esclaves sont entourés d’un lien très serré, faisant ressortir les veines sur la queue et rendant la peau des couilles toute lisse et tendue. Le lien est tendu avec un poids et un gode dilate la rondelle. Eric se lève et fouille dans un sac de sport où il a rangé des cordelettes.
— Jean, viens ici !
Celui-ci lève les yeux, et regarde la cordelette dans les mains d’Éric.
— Ça a l’air de te plaire ! Non ?
— Je … oui !
Il se lève et laisse la revue ouverte sur la dernière photo : le jeune esclave est sodomisé alors qu’il suce une autre queue tout en étant ligoté sur un chevalet, les couilles étirées par des poids ainsi que ses tétons.
Une bonne heure plus tard, Eric est assis sur son lit et regarde Jean qui est en train de retrouver ses esprits. Après l’avoir attaché les bras en croix en utilisant les crochets installés dans les poutres de son plafond, il lui a écarté les cuisses en attachant chaque cheville à un meuble. Il a ligoté les couilles et la queue, placé des pinces à linge sur les tétons, puis l’a bâillonné en lui mettant une culotte de sa sur dans la bouche. Il a fait tourner les pinces, les a tirées jusqu’à ce que Jean gémisse fort, les yeux agrandis par la douleur et l’excitation. Plusieurs fois, il l’a emmené au bord de l’éjaculation, faisant suinter le gland turgescent de liquide transparent au début, puis de plus en plus opaque, témoignant la montée de la semence. Les couilles prêtes à exploser sont devenues hyper sensibles aux caresses, surtout lorsque c’est un ongle qui passe de la verge au périnée. Il a minutieusement dilaté sa rondelle en introduisant un, puis deux, puis trois doigts avant d’y placer sa bite.
La rondelle palpitante l’a avalée doucement. D’un seul coup, il a progressé dans le ventre de son ami en le tenant fermement par les hanches. Encouragé par un long feulement de son ami, il s’est enfoncé jusqu’à la garde, plaquant son pubis sur ses fesses. Quels plaisirs de sentir sa queue enserrée, glissant parfaitement dans ce cul accueillant ! Pendu par les poignets, Jean profite pleinement de cette situation, complètement à la merci de son ami. La douleur sur ses tétons irradie dans tout son corps, accompagnée par la pression sur sa queue. Plusieurs fois il a cru exploser sous les caresses habiles d’Eric qui le branlait et suçait comme il sait si bien le faire. Plusieurs fois il a voulu crier toute sa frustration quand il l’a laissé au bord de la jouissance. Quand les doigts ont glissé en lui, il aurait voulu crier encore son plaisir. Mais lorsque la grosse queue d’Eric s’est glissée en lui, écartant sans ménagement ses chairs intimes, il a cru défaillir. Il a senti toute la progression jusqu’au fond de son ventre, le glissement de cette bite gonflée contre sa rondelle.
Lorsqu’il a senti la toison contre la peau de ses fesses, il s’est contracté sur le pieu de chair, pour mieux le sentir encore au fond de ses entrailles. Les coups de reins ont alors commencé. Lentement d’abord, la cadence s’est doucement accélérée. Il sentait chaque passage de la corolle du gland sur son point sensible. La boule de feu a grossi au fond de son ventre, alimenté par les coups de reins virils poussant et repoussant la bite maintenant bien lubrifiée d’Eric. Tel un objet, un jouet sexuel, il se laissait envahir par le plaisir. Il sentait sa sève monter, et le plaisir l’a submergé alors qu’Eric éjaculait au fond de ses tripes, se vidant en plusieurs jets puissants, fécondant ainsi son ami devenu esclave sexuel alors qu’il se vidait sur le sol devant lui.
Eric est resté un moment collé à son ami, laissant retomber la pression. Lorsqu’il a senti sa queue perdre sa vigueur, il s’est assis sur le lit pour regarder Jean.
Jean ouvre les yeux et regarde Eric avec plein d’affection. Celui-ci se lève et retire le bâillon.
— Je veux que tu me baises comme ça à chaque fois, dit Jean en cherchant les la bouche de son ami pour l’embrasser.
— J’étais sûr que tu aimerais ça lui répond Eric après l’avoir embrassé goulûment.
— J’ai jamais pris un tel pied …
Eric lui détache les bras.
— Tu aimes être attaché… tu aimes être baisé… est-ce que tu aimerais devenir un vrai esclave comme dans la revue ?
Jean tombe à genoux, les chevilles toujours attachées. Eric est assis sur le lit devant lui et lui remontre la dernière photo de la revue. Jean sourit et fait oui de la tête. Eric attrape la pince toujours en place sur le téton et l’attire vers lui pour l’embrasser à nouveau. Il lui détache le lien autour de la queue et des couilles. Il peut constater que Jean a encore de la vigueur.
— Jean chéri, je vais faire de toi ma chose. Maintenant, je te baiserai comme ça, attaché, à ma merci, à mon service…
— Tout ce que tu veux mon amour