Cela fait une demi heure que jattends dans la petite chambre lorsque je les entends rentrer. Jai laissé la porte entrouverte pour tout voir. Ils sembrassent à pleine bouche. Lui sait que je suis là et que je regarde. Il la déshabille lentement. Je bande déjà comme un fou. Mon souffle saccélère lorsquil dévoile ses magnifiques petits seins. Il suce un téton. Cela la fait rire. Un rire juvénile, gai, sans complexe qui me va droit au cur. La jupe glisse le long des jambes. La vue de ce petit corps féminin me fait haleter. Quelle beauté! Il lui fait écarter les cuisses en la caressant. Elle vacille rapidement et sassoit sur le canapé en ouvrant ses cuisses. Petite salope! Il la lèche dabord doucement puis de plus en plus fort. Il la broute goulûment maintenant. Je lentends aspirer bruyamment. Au début, la petite se cambre et pousse des soupirs, puis ce sont des petits cris. Il sait y faire le salaud. Il la chauffe encore et encore jusquà ce quelle lui saisisse la tête en poussant un râle de plaisir. Alors, il quitte lentrejambe, remonte et lui prend la bouche. Elle répond à son baiser avec un entrain qui fait plaisir à voir.
« Attends. » Il se lève et se déshabille complètement. Sa bite se dresse bien droite. Je constate avec satisfaction quelle est assez moyenne par rapport à la mienne.
— Tes sure? Je ne veux pas que tu regrettes après.
— Oui, faites le moi! Je vous aime et vous, vous maimez?
— Bien sûr que je taime. Tu vas faire tout ce que je te dirais?
— Oui! Vous savez, cest la première fois. Vous ne me ferez pas mal, hein?
— Tu me fais confiance oui ou non?
— Oui!
— Je veux que tu te souviennes de cet instant toute ta vie, alors on va le rendre spécial. Allonge-toi sur le lit et laisse moi faire.
Il commence par lui attacher les mains et lui bander les yeux puis pose les écouteurs sur ses oreilles. Il avait tout préparé à lavance suivant mes instructions.
— Quest ce que vous faites?
Elle ne peut plus rien entendre. Jattends quil ait fini de lattacher pour entrer. Le spectacle me ravi. Boucle dor est totalement nue, les jambes serrées. Son pubis est couvert dun duvet blond et bouclé. Ses yeux bandés et les écouteurs la rendent aveugle et sourde. Cette merveilleuse beauté juvénile mest livrée prête à être consommée et jai grand appétit. Mes mains fébriles caressent ses mamelons, mes lèvres sucent les tétons. Ma langue savoure chaque centimètre de sa peau douce jusquà son ventre. Jouvre doucement ses jambes pour découvrir la fente de son petit coquillage. Je le respire et savoure les effluves marines caractéristiques des jeunes filles. Je louvre délicatement avec le bout de ma langue. Puis je le lèche tout le long et pénétrant les petites lèvres. Patrick la bien chauffée et son trou est juteux. Elle se tortille comme pour méchapper. Alors jembrasse son sexe goulûment, saisis son petit bouton gonflé entre mes lèvres. Elle gémit et se tortille de plus belle. Sa mouille coule sur mon menton. Boucle dor, chauffée à blanc, réclame lhomme. Je me positionne à genoux entre ses cuisses que jécarte en lui remontant les jambes. Mon sexe me fait mal tellement je bande. Son petit corps se fige lorsque mon gland brûlant pénètre lentement dans sa rose. Surprise par la grosseur de mon sexe, elle tente de refermer ses cuisses mais cest trop tard.
Japprécie de voir son idiot de séducteur me regarder lair ahuri cueillir la fleur de cette petite salope. La sensation de puissance que je ressens à ce moment est un excellent stimulant. Mon gland disparaît petit à petit dans sa vulve juteuse jusquà rencontrer lhymen. Je marrête un instant puis la déflore dun coup de rein. Elle pousse un cri de douleur. Je profite de sa réaction pour menfoncer jusquau fond. Elle se tortille comme une truite dans la main du pêcheur. Son con est étroit et chaud, un véritable régal pour ma queue. Jen prends possession. Je bouge doucement pour laisser ses chairs sadapter à lenvahisseur. « Tu ten rappelleras toute ta vie de ma grosse bite » lui dis-je. Elle finit par accepter ma présence, persuadée quelle se fait dépuceler par le gentil Patrick.
Le miroir de larmoire me renvoie limage du « gros ours » en rut défonçant Boucle dor. Mon gros corps trapu et poilu sur le ventre de la jeune fille renforce lillusion. Patrick, tétanisé par le spectacle de la bête saccouplant avec la belle, se masturbe doucement.
Je vais et je viens doucement, savourant chaque seconde du viol de cette petite princesse. Jai une pensée pour son père si arrogant. Sil savait que je fourre son petit ange, il me briserait méchamment. Je menfonce jusquau fond et je me retire, cognant contre son utérus. Au début, la petite gémissait de douleur ce qui me plaisait bien. Elle gémit toujours mais le registre à changer. Il me semble quelle commence à apprécier. A chaque coup de reins, elle pousse de petits râles typiques. Elle est passée du subit à lacceptation du mâle. Sa petite chatte souvre davantage et elle écarte les cuisses tant quelle peut pour mieux sentir mon membre au fond delle. Alors, je lécrase de tout mon poids et me laisse emporter par livresse de la possession totale. Je me déchaîne en la bourrant méchamment. La petite femelle se cambre soudain et pousse un cri de jouissance qui résonne à mes oreilles comme un signal de victoire. Jarrête de la bourrer et me redresse. Je reste en elle jusquà ce quelle reprenne son souffle. A cinquante ans, jai acquis assez dexpérience pour profiter pleinement de cette mignonne.
Je saisis son clito et le fais rouler doucement entre mes doigts en la limant doucement jusquau fond. Cela lui fait de leffet, son corps semble secouer de décharges électriques. Elle connaît un nouvel orgasme qui cambre tout son corps. Je la laisse se calmer. Il est temps de me vider les couilles. Sans plus me soucier de son plaisir, je menfonce dans son ventre et me laisse aller à ma nature sauvage jusquà ce que je sente le plaisir menvahir. Je lui envoie de grands jets de foutre au plus profond de ses chairs. Sans vergogne, jensemence son ventre fertile et délicat de vestale. Je navais jamais joui avec une telle intensité. Je meffondre lourdement sur le petit corps secoué de spasmes.
« Putain que cest bon ».
Mon sexe gluant glisse hors de son trou damour. Le sperme blanchâtre mêlé de sang sécoule de sa fente et mouille la raie de ses fesses. Je me tourne vers Patrick.
— Je me garde sa chatte et son cul pour linstant. Tu peux prendre sa bouche.
— Merci monsieur.
— Tu toccupes delle jusquà ce que je sois parti. Après seulement, tu la détaches.
— Oui monsieur.
Une toilette rapide avant de rentrer. Je jette un dernier coup dil dans la chambre. Patrick se vide les couilles dans la bouche de boucles dor en la tirant sans ménagement par les cheveux. Son ventre écrase le visage de la jeune fille en grognant de plaisir. Pour la douceur, elle repassera mais je crois quelle a dépassé ce stade.