À vrai dire, je ne sais dans quelle catégorie la mettre, trash, y a, SM, fétichisme, y a, érotisme, y a aussi. OK va pour divers!
Depuis des années, je vis avec une femme qui n’est plus là que pour être mon amie. Notre flamme c’est éteinte doucement au fil des ans. Il me fallait une idée pour la raviver et l’idée fut de fêter nos quinze années de mariage. Mais fêter ce genre d’anniversaire, c’est un peu banal. Je dois trouver mieux. Comme nous n’avons pas eu d’enfant suite à une fausse couche de mon épouse, cela me laissait plus de liberté dans mes choix. Je me souviens de nos premières années, tout feu tout flamme. On baisait un peu partout, on pratiquait le naturisme, même un peu de D/s. Cela étant, avec les années, le soufflé était retombé surtout après la fausse couche.
L’idée, elle m’est apparue en traversant la rue, une mère grondait son enfant sur le trottoir. Oui, idée pervers, mais idée quand même. Je profitais en passant, comme chaque jour, devant ce sex-shop et y entrais pour jeter un il sur ce qui pourrait provoquer ce renouveler, réchauffer notre amour, le faire renaitre. C’est un joli petit martinet de pacotille qui me conforta dans mon idée. Il ressemble à s’y méprendre à un vrai, sauf qu’il ne fait pas bien mal. Je l’ai acheté et caché dans mon vestiaire. Il me fallait encore de la corde, on en avait au boulot et de belle chute de bien deux à trois mètres, des fois plus. J’en ai récupéré quelques chutes, les plus longues et hop, dans mon vestiaire. Maintenant, il ne manquait que le prétexte pour utiliser tout ça. En fait, c’est venu tout seul.
Je suis rentré chez nous avec mon matériel dans ma besace. J’ai tout planqué pendant que ma moitié se douchait, dans le vaisselier. Comme elle ne se sèche rarement après sa douche, elle file dans la cuisine avec une grande serviette de bain nouée sous ses bras. C’est quand elle mit la table que je l’ai légèrement bousculée par inadvertance et un verre s’est brisé sur le sol. Je suis entré en scène comme un père fâché grondant sa fille. Ma belle ne sut pas s’il fallait rire ou me prendre au sérieux. Je filais prendre mon martinet. Alors qu’elle ramassait les morceaux, je me suis mis à la flageller avec vigueur. S’il ne causait presque aucune douleur, la symbolique était bien présente. Ma femme se retrouva surprise, avant que je ne la bouscule en lui arrachant sa serviette de bain, la tienne par sa queue de cheval et lui flagelle sa poitrine encore très belle. Elle se prit vite au jeu. Laissant aller son corps au gré de mes envies. Son petit cul, son entrecuisse, tout ou presque y passa avant que je ne la penche sur le dossier du canapé pour la baiser comme un malpropre. À peine ne elle, elle me hurlait de la défoncer, trop heureuse de voir ma flamme enflammer ses sens. Je parvins même à prendre une de mes cordes pour lui attacher ses mains dans le dos.
Peu après, son corps fut pris de secousse, d’ondulation et ce râle sortant du très fond de son être fut fantastique. Jamais elle n’avait jouit comme ça depuis cette malheureuse fausse couche. Nous avions tant donné que nous étions épuisés l’une comme l’autre. Délivrée de ma corde, elle trouva quand même la force de me sucer ma queue qui retrouva un semblant de vigueur, juste assez pour éjaculer dans sa bouche gourmande. Et puis, il y a son regard, il n’est plus le même, ses yeux, ils brillent de mille feux comme le jour où, pour la première fois, je lui dis : « Je t’aime. » Sa bouche est aussi pulpeuse que lors de notre premier baiser. Même son corps semble avoir rajeunis, c’est dire. On ne dormit pas dans notre lit, mais là, sur la moquette du salon, comme à nos tous débuts, pas encore reput de sexe.
Au matin, je lui fis l’amour comme la première fois. Entre nous, tout repartait de zéro. Elle jouit, jouissait comme quand elle avait vingt ans, même moins. Non, je redécouvrais ma femme, ma petite salope adorée quand elle lèche ma queue après avoir jouit en elle. Elle jouit quand je me gave de son sexe avec ma bouche. En une nuit, tout avait changé et ce n’est rien de le dire !
En rentrant du boulot, je découvrais ma nouvelle épouse, sexe, désirable dans cette petite nuisette de mousseline noire. Peu maquillée, très légèrement parfumée, elle la jouait vampe, tenant mon martinet à la main, elle s’avança vers moi, se flagellant de partout. S’agenouillant devant moi, elle posa le martinet pour me déchaussé, humer mes pieds malodorant, les lécher, les sucer. Je me suis laisser faire, je me suis abandonné pour être précis. Elle tortillait de son beau cul, cela la rendait plus désirable encore. De mon martinet de pacotille, je fouettais sa superbe croupe. Elle ne fut pas longue à venir, jouir, exploser juste derrière la porte d’entrée de notre appartement. Puis, ses mains me retiraient mon pantalon, mon slip qu’elle huma longuement, s’enivrant de mes odeurs intimes, elle avait la rage, l’envie, le désir. Ma queue tendue, elle se coucha sur le dos, repliant, écartant ses jambes pour m’accueillir en elle et s’enfonçant mon slip dans sa bouche. Je la baisais comme nous aimions à le faire dans quelque coin désert dans la ville, sauvage, torride. Je la baisais sauvagement, elle jouissait en lionne muette, mon slip muselant les gloussements de son orgasme. Je jouis sur son corps tout entier, lui étalant mon foutre sur ses seins, son ventre, ses cuisses, même son sur son visage. Je lui interdis de se nettoyer. Ses yeux brillaient encore davantage que la veille.
Après quoi, elle m’emmena prendre ma douche, crachant ma culotte dans le bac de linge sale. Elle me lava de sa bouche. Parfois, elle léchait ses seins, goûtant à mon sperme séché. Elle se fit encore bien plus vicieuse qu’elle ne l’était autre fois. Peut-être avait-elle peur que ce ne fut qu’une courte passade. C’est tout le contraire que je voulais, que cela dur éternellement. Sa langue dans mon sillon, dans mon anus, un délice, sa main sur ma queue, suprême gourmandise. À genou, elle me fait sa meilleure fellation, je jouis sur son visage, ses cheveux châtain clair. Elle me sèche, m’enfile un large short et m’entraine dans la cuisine pour me servir sa meilleure recette, son cul à violer. Penchée, lubrifiée d’une bonne noisette de beurre, j’y pénètre sans difficulté. Elle touille sa soupe et je l’encule. Je masse sa poitrine, elle corrige l’assaisonnement. Elle jouit, je me vide en elle. Là encore, sa bouche se fait avide de ma bite sentant son anus profond.
La soupe est bonne mon général, ma femme est exquise madame la générale. Elle me gâte au-delà de ce que je pouvais espérer avec mon idée déraisonnable, saugrenue. Dans le salon, je l’attache face au dossier d’une chaise, jambes liées à ses mains, la croupe bien au bord. Je flagelle son corps, lui annonçant le motif de cette punition, son manque d’entrain pour le cul durant toutes ces dernières années. Ces oh oui m’encourage, me pousse à être plus "méchant". Je la punis pour n’avoir plus voulu de moi en elle, je punis par ce que je l’aime, elle jouit en me tendant ses lèvres que j’embrasse aussitôt. Dans un soupir sensuel, elle me demande d’être plus pervers, plus sadique. Ce martinet de pacotille ne lui suffit plus !
Fin de semaine, je rentre. Derrière la porte, personne, dans le salon, personne, dans l’appartement, je suis seul. Je me douche, enfile mon short du week-end quand elle rentre, somptueusement sexy. Robe moulante, talon aiguille vertigineux, queue de cheval sur sa poitrine, aucun maquillage. Elle retrousse sa robe, aucun bout de tissu ne me cache son sexe devenu parfaitement glabre. Devant moi, sa robe retroussée sur ses reins, elle pose un joli sac noir en papier. Je connais ce genre de sac, il provient du sex-shop, celui de mon martinet fantaisiste. De ce sac, je sors une paire de menotte, des pinces reliées par une belle et lourde chainette. J’abaisse le haut de sa robe, dégage ses seins de leur prison, pose les pinces, fixant ma belle épouse dans ses yeux magnifiquement gris bleu. Elle esquisse une légère grimace quand ses mamelons fièrement dressée sont emprisonnés dans le métal des pinces. Je sors encore cette culotte munie de deux beau vibro, un pour son sexe, l’autre, la plus fin, pour son anus. Je la lui tends, elle l’enfile, je l’aide enfoncer ses vibros dans ses orifices intimes. La télécommande en main, c’est le maximum que je mets. J’attire son visage sur mon pénis déjà dégagé de mon short. Non, ce n’est plus la femme que j’ai épousé, celle-ci n’aurait jamais accepté cette culotte, les pinces et cette cravache au fond du sac. Je commence par sa croupe, remontant un peu sur son dos pour mieux revenir sur ses fesses qui ondulent déjà. Elle va jouit, c’est sûr et certain. Je frappe un peu plus fort et elle explose littéralement entre mes mains. Je jouis de la voir jouir dans sa bouche, de l’entendre pousser ses gloussements de bonheur retrouvé. Je ralentis un peu les vibrations de sa culotte.
« Demain, on va chez tes parents, j’exige que tu portes cette culotte ! »
« Oui, tout ce que tu veux, exige, je veux le vivre ! »
C’est si clair, si bien dit que je l’embrasse fort, joue avec cette merveilleuse petite télécommande. Elle vibre déjà, massant ses seins que je sais douloureux, joue avec cette chainette en tirant un peu dessus, juste assez pour me faire une belle grimace. Je l’encourage, elle tire plus fort encore, si fort que les pinces s’arrachent de ses seins. Elle ne crie pas, tout au plus cette vilaine grimace. Je masse cette belle poitrine, pinçant encore ses tétons douloureux. Elle me supplie déjà de persister, je persiste, j’étire, ma queue se tend, je tire, l’incline, sa bouche s’empare de mon sexe pendant que je joue avec ma télécommande.
C’est épuisé que nous allons nous coucher. Elle quitte sa culotte, je l’oblige à sucer les deux vibromasseurs devant moi, de la manière la plus vicieuse qui soit. C’est beau à regarder et je bande de la voir redevenir femme désirable, si ouverte au plan Q de notre jeunesse. Quand elle se couche, le vibro qui remplissait son cul dans sa bouche, je la baise avec tout ce qui me reste de vigueur. Elle me donne tout de son corps. Je la retourne, passe de son sexe à son cul, elle hurle, oui, mais de plaisir quand ma main frappe sa croupe rebondie. Au trot ma belle, fonce, donne-toi sans limite et je fesse encore et ma femme vibre encore. Cela faisait si longtemps que ce n’était plus arrivé, nous jouissons ensemble, d’une même voix, en churs. Nous nous écroulons, nous n’en pouvons plus, nous nous endormons, ma queue encore dans son cul.
Je ne rêve pas, ma bite, elle est bien dans cette bouche qui va et vient avec ces mains qui massent mes boules ? C’est bien ma femme qui tète ma queue, mon chibre. La vache, déjà au réveil, c’est prodigieux. Me sentant réveillé, elle me chevauche, guidant mon zob entre ses cuisses. Elle se pénètre d’un coup sec, poussant un long soupir de bonheur. Je la retourne, ses jambes enlacent mes reins et en avant la musique, rock & roll plein pot. Je commence à douter, ce doute est de savoir si celle que je baise est bien ma femme, une autre ou, plus simplement, une facette cachée de ma femme.
Sous la douche, l’envie d’uriner se fait sentir. Alors mon épouse se presse contre moi, mettant mon pénis bien à la verticale entre nos ventres. Je me prends à aimer cette idée et je me soulage entre nos corps serrés. L’urine coule sur nos jambes, nous nous embrassons. Et puis, il y a cet aveu : « ça me manquait un peu. » Un peu, seulement, je devrais dire quoi, moi qui devais me résoudre à me branler dans les WC comme un con. Cela lui vaut une bonne fessée, cette fois, je compte bien lui rendre la position assise douloureuse.
Là, c’est mieux comme ça, un cul bien rouge et l’eau qui m’a aidé à rendre ce postérieur encore plus sensible à mes baffes. Bon, c’est l’heure de se préparer à partir voir mes beaux-parents. Elle n’oublie pas sa culotte ma belle. Je l’aide même en enfoncer un peu sèchement celui qui va dans son anus. Et avec ses fesses fraîchement fessées, cela rend la chose encore plus agréable, mais pour moi.
Dans la voiture, de ma télécommande, vitesse maxi et mode aléatoire et roule ma poule. Déjà qu’elle grimace assise, avec les godes, plus elle se tortille, plus cela affecte son plaisir. C’est un peu avant d’arrivé devant la maison de ses parents que je dois stopper en urgence, ma belle se cramponne à mon bras, la bouche grande ouverte, ses yeux plongés dans mon regard qu’elle jouit et avec une violence que je reconnaissais à peine ma femme. Apaisée, heureuse, son baiser me le prouve, on termine les derniers kilomètres presque en roue libre.
Après un petit apéritif sur la terrasse de la maison, il est l’heure de passer à table. Oh, pour ça, les beaux-parents ont vite remarqué le changement dans notre couple. Ma belle se tient toujours près de moi, pour ne pas dire collée à moi. À table, je ne manque pas de jouer de ma télécommande, mettant ma douce moitié fort mal à l’aise. Ma belle-mère lui demande même si elle ne souffre pas. Une bien douce souffrance pour tout dire. Elle se mord sa main au moment du supplice finale, l’orgasme. Je savoure l’instant, il est divin à souhait. C’est ainsi toute l’après-midi qu’elle va se mordre sa main. C’est mon beau-père qui, imaginant juste, me demande combien de temps sa fille pourra tenir à ce rythme. Je lui souris simplement en guise de réponse.
Sur la route du retour, vu la circulation et un temps encore bien chaud et beau. J’en profite pour un arrêt surprise dans un petit bois. À peine sa culotte retirée, ses orifices intimes libérés, je glisse ma queue entre ses fesses. Mes cuisses claquent contre ses fesses, ravivant la douleur de sa fessée du matin. D’une main, elle se caresse son sexe, parfois mes couilles. Mon bras autour de son cou, je la redresse pour malaxer ses seins de ma main libre. C’est là qu’une sirène passe à toute vitesse que ma nouvelle femme jouit encore. Je jouis en son cul que je rebouche aussi sec avec sa spéciale culotte vibrante. Cela se voit, ma belle est épuisée. Le hic, c’est que moi, je suis encore rempli de vigueur.
À peine la porte fermée à clef, je la couche, lui retire sa culotte et la baise comme un malade. Il était pourtant tard, mais j’ai voulu la faire hurler encore et elle a hurlé et bien comme il faut. Faut dire que de la voir se transformer pratiquement du jour au lendemain, j’avais retrouvé toutes mes sensations que je pensais perdues à jamais.
Jour après jour, ma femme continue à se transformer, parfois d’elle même. Docile, elle vient se coucher sur mes cuisses pour quémander et jouir d’une bonne grosse fessée. Il lui arrive de se mettre à faire le ménage toute nue avec juste un soutien pour sa poitrine et encore, c’est soutien à balconnet. Il lui arrive de se mettre ses pinces, soit sur ses nymphes, soit sur ses tétons. Elle me dit adorer en se disant que c’est moi qui ordonne. Perso, j’adore quand elle prend ce genre d’initiative. J’aime aussi la menotter, lui imposer mes choix qu’elle exécute immédiatement et heureuse. Au-dessus de notre tête de lit, trône ce martinet de pacotille bien en vue, ma douce le nettoie chaque jour de sa poussière. Il faut la voir entretenir notre maigre matériel. Matériel qui augmente petit à petit.
Hier, on était dimanche, il faisait un temps merveilleux, mais un peu frais. J’ai entrainé ma grande dans une balade, mais pas n’importe comment, entièrement nue sous son manteau à peine boutonné. C’est encore un souvenir de nos premières sorties libidineuse. Seulement, je n’en avais pas à l’époque, là, elle est sous ma veste, notre cravache. C’est idéal dans un bois pour l’obliger à toutes sortes de position aussi vicieuses que libertines. Contre un arbre, j’ai sorti une corde. J’ai aplati ma femme de cette corde contre l’écorce rugueuse et bien serrer avant de cingler son cul, ses cuisses de bien quelques coups bien senti, mais juste ce qu’il faut, c’est pour la savoir proche de l’orgasme. Quand elle y parvient, je l’achève de mes mains, une sur son sexe et l’autre sur sa poitrine écrasée. Au retour, elle jeta un bref coup d’il à une énorme touffe d’ortie. Elle pensait que je ne l’avais pas vue lorgner cette plante. Sur ordre, elle retira son manteau, je frottais son corps avec cette plante, ses mains sur sa tête avaient de la peine à y rester. Pourtant, quand je caresse son sexe, toujours avec cette plante, elle me fixa en se mordant sa lèvre inférieur, je sus qu’elle allait jouir. Dès notre retour, je la pommadais d’une bonne couche de cette crème apaisante.
L’hiver est arrivé avec sa neige et son froid. L’idée de ce supplice, je l’ai piquée dans un court film sur le net. On y voit une femme attachée nue à…Non, pas tout de suite. C’est un peu avant noël, comme d’habitude, le mot promenade oblige ma femme à ne mettre qu’une paire de bas auto-fixant et un manteau, chaud pour l’occasion. Je connais un petit coin qui, en hiver, est délaissé par les promeneurs. Dans le coffre de ma voiture, désormais, il y a tout ce qu’il faut, corde, muselière, bâillon, etc. C’est dans une petite caisse en bois cadenassée.
On est arrivé près d’un arrêt de bus tout aussi déserté que le lieu. Ma belle me tient la main, mon matériel est dans un sac à dos que je porte. En chemin, le froid s’engouffre sous son manteau, de la voir frissonner me met déjà un peu en émoi. Après une vingtaine de minute, nous faisons demi-tour. Près de la voiture, sous le panneau de l’arrêt de bus, j’attache ma belle, main dans le dos. Je passe la corde par-dessus le panneau, pliant ma femme presque en deux. D’un canif, je coupe son manteau, elle proteste mollement, une bonne claque sur sa croupe, ça calme. Sur ses tétons, nos premières pinces. Sur son cul, la canne en bambou de son arrière-grand-père s’abat sèchement. D’un peu de neige, je frotte rapidement le lieu sinistré de ce corps. Encore un bon coup, un peu plus fort. Nouvelle caresse à la neige. Par dix fois je cingle ses fesses et les caresse de neige fraiche. Ensuite, toujours avec de la neige, je me sers de ce corps magnifique comme cible pour ces boules qui se forment dans mes mains. Son corps change rapidement de couleur, ce n’est pas vilain. Je ne l’ai pas muselée, pour lui laisser sa bouche et son nez respirer librement, sans entrave, c’est mieux. Et puis, je la prends, en force, massant son corps pour le réchauffer, surtout sa poitrine, l’objet de toutes mes attentions. C’est peu après qu’elle jouit, un long soupir, un peu comme ces femmes japonaises, cela la rend encore plus belle.
Je ne cesse pourtant pas de m’activer en elle, bien au contraire. Elle va encore jouir et cela ne serait tarder. Cette fois, je me calque sur elle, la connaissant par cur, je jouis avec elle. Je la délivre, dernier supplice, de mon nouveau fouet, je l’oblige à se rouler dans la neige, le corps bien tendu derrière l’arrêt de bus. Je tartine encore son corps de neige. Le froid fait son effet, l’envie d’uriner est là, plus pressante que jamais. Ses mains sous ses reins, les jambes en chandelles, son urine vient faire fondre la neige sur son corps, j’en profite pour me soulager sur ses seins, son visage et…punaise, sa bouche, elle l’a ouverte. Elle boit ce qui coule à l’intérieur. Ça, moi qui pensais bien la connaitre par cur, me suis bien planté. Elle boit sa pisse, la mienne, va jusqu’à se lécher ses lèvres. J’ai une femme merveilleusement soumise, dévergondée et si tellement impudique. Je l’adore autant que j’en suis fou d’amour. Je la relève, sors une combinaison de ski de mon sac qu’elle enfile avec mon aide et mes baisers. Sa bouche, ce gout, il m’excite tout comme elle est excitée, chaude à souhait. On se presse de rentrer, elle me raconte ses orgasmes en se branlant ouvertement dans notre voiture. Dans le salon, je la veux, sale, puant nos urines. On baise comme des porcs, c’est encore meilleurs quand elle me raconte tout, le ton vicieux, la voix suave. Plus je la dégrade, plus elle aime ce renouveau dans notre couple.
Dans la baignoire, avant de nous doucher, je lèche son corps, cette odeur, ce gout, tout n’est que vice, perversité et c’est bon ! Sous l’eau, mon auriculaire sous le froid, j’urine dans sa bouche. Pour mieux me boire, elle s’accroche à mon corps comme à une bouée de sauvetage. Je crois que sans le vouloir, nous avons découvert quelque chose de sale qui cimente davantage nos curs. Plus tard, après un repas torride, dans notre lit. Elle pose ses mains sur la tête de lit, me fixant. Je l’attache solidement, écarte ses jambes, les replie, les attache de chaque côté de cette tête de lit et la baise, la masturbe, l’encule. Ses gloussements sont autant de preuve que j’ai été con de ne pas avoir provoqué ça bien avant. Depuis, elle vit sa soumission à chaque instant de son existence, que je sois présent ou pas. Elle sort uniquement vêtue d’un manteau, de bas auto-fixant et de ses talons aiguilles. Même ses propres amies ne la reconnaissent plus et moi, je profite de son corps quand je veux, menstruation ou pas.
On s’est même trouvé des amis qui vivent comme nous depuis quelques semaines. C’est encore le fruit du hasard, une rencontre dans ce bois. Elle était attachée entre deux arbres, son amants, ils ne sont pas mariés, la fouettait d’une chambrière. Cette fine lanière sifflait quand elle déchirait l’air, la femme poussait de petits cris. Très vite, je retirais le manteau de ma belle. En laisse, je m’approchais face à cette femme. Elle eut peur dans un premier temps. Voyant ma femme tenue en laisse, elle comprit. Son amant vint vers nous. Je me permis une caresse sur la joue de cette femme. Ensuite, avec l’accord de l’amant, ma femme était attachée face à cette femme, dans la même position écartelée. À leur taille, je mis une corde. Elles firent vite connaissance, en s’embrassant sans encore se connaitre. Avec son Maître, nous avons bavardé longuement avant de donner à nos femmes ce qu’elles désiraient. Ma femme goutait à la chambrière. À la voir se mordre ses lèvres, à la voir me regarder, elle ne détestait pas.
Ce sont nos amis, des vrais, on pourrait même dire que nous sommes frères et surs de sexe, tous les quatre. On va chez eux, ils viennent chez nous. Dans ses moments, nous nous échangeons nos compagnes, pour notre plus grand plaisir à tous. Il arrive qu’on se mette tous les deux pour en baiser une, puis l’autre. Un an et demi plus tard, nous déménagions dans une maison à louer, grande, assez grande pour y vivre à quatre et jouir, jouir et jouir encore de la chair, de nos vices, de tout ce qui fait que je me suis laissé enculer par notre ami, que j’ai sodomisé notre ami, que nos femmes vivent pleinement leurs vies de soumises permanentes.
Un bien joli conte de fée. Enfin, on peut toujours rêver, c’est gratuit en plus !