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Le secret de Judith – Chapitre 9

Le secret de Judith - Chapitre 9



Chapitre 9. Surprises.

–    Salut les amoureux !

–    Hein. Quoi c’est qui ?… Émet mollement Solène, endormie.

Il fait chaud dans la tente. Solène et moi sommes nus sur nos sacs de couchage. Nos corps portent encore les traces de nos violents ébats de la nuit.

–    Eh ben dis-donc, vous avez l’air d’avoir passé une sacrée nuit, vous deux !

–    Hein, quoi !!? Cécile ????? Mais qu’est-ce que tu fous là ?!

–    Ben, quoi, Jeannot, je suis venue pour 3 jours, comme prévu ! T’as tellement picolé et baisé nuit et jour que t’as oublié ta vieille cousine ?

–    Ah oui. Putain, j’avais complètement oublié désolé Cécile. C’est tes trois jours de repos, c’est ça ?

–    Ouais tout à fait ça. Et là il est 10h du mat, j’ai pris l’avion pour Tarbes à 6h30, partie de chez moi à 4h, alors je suis claquée

–    Purée Cécile j’étais pas au courant que tu venais, mais ça fait plaisir de te voir

–    Moi aussi je suis contente de te voir ma poulette. Et contente que vous vous soyez rabibochés Aux dernières nouvelles c’était tendu, non ?

–    Tu lui as raconté ça Jeannot ?

–    Plus ou moins pourquoi, c’est grave ?

–    Bon les tourtereaux, vous pourriez me faire une petite place Je voudrais bien dormir une petite heure Tu bosses pas Solène ?

–    Non, pas aujourd’hui

–    Alors on peut faire la grasse tous les trois.

Cécile entre son sac dans la tente. Elle se déshabille, entièrement… Nous nous écartons un peu et elle se glisse entre Solène et moi.

Nous sommes nus, tous les trois, serrés comme en cette folle nuit de juin.

Cécile elle est si belle la revoir là, près de moi, son corps de femme, voluptueux si près de ma Solène qui n’a même pas l’air d’être jalouse. Elle a passé son bras autour de la taille de Cécile et s’est déjà rendormie. Cécile a les yeux fermés elle aussi. Je ne tarde pas à sombrer à mon tour

**********

11 heures passées. Je me réveille. Je suis collée contre le corps nu de Cécile. Elle dort. Je me serre encore un peu plus contre ce corps chaud, doux Elle est belle J’aime ses seins, amples, gonflés, ses fesses larges et musclées, ses cuisses Je caresse son ventre, à peine Mon auriculaire rencontre les premiers poils de son pubis J’adore. On peut dire qu’elle assume sa féminité ! Elle est épanouie, totalement femme

Je relève légèrement la tête. Jeannot nous regarde. Il me sourit. Amoureusement. « Je t’aime » lui dis-je, sur les lèvres, en silence. Il me répond d’un sourire encore plus large

Cécile bouge. Elle se réveille elle aussi Elle nous regarde tout à tour, souriant elle aussi.

–    Alors les amoureux c’est quoi le programme ?

–    On doit aller chez Judith, la grand-mère de Solène

–    Viens avec nous, tu verras c’est le paradis là-haut. Normalement on doit y dormir ce soir. Aucun problème pour que tu restes aussi.

–    Tu es sûre Solène ? C’est un peu l’incruste

–    T’inquiète ! Judith c’est vraiment la personne la plus cool et la moins formelle du monde. Pas vrai Jeannot ?

–    Je confirme ! D’ailleurs tu n’as même pas besoin de t’habiller plus que ça

–    Ah ! Je vois Dis-donc Jeannot tu as encore sacrément changé depuis qu’on s’est quittés !

–    C’est l’air de la montagne.

–    Oui oui, et l’odeur de la chatte de Solène !

–    Eh oh un peu de respect grosse cochonne ! dit Solène en se jetant sur Cécile pour la chatouiller.

Je regarde les deux seules femmes que j’aie connu jouer, rire Je n’aurais jamais cru qu’elles seraient à nouveau si complices. En juin, c’était plutôt tendu Que pense vraiment Cécile ?

–    Bon les filles. Va pas falloir trop tarder à y aller. Mais je sais pas comment on va faire pour monter chez Judith à trois, on n’a que deux vélos.

–    C’est loin à pied ?

–    Ben je pense une bonne heure et demie, dis-je. Et nous on doit impérativement y aller en vélo pour pouvoir redescendre bosser demain.

–    Et si je louais un vélo au village ?

–    Ah ! Ca c’est une idée

–    OK on fait comme ça. Mais je vous signale que vous êtes couverts de terre et de je n’ose imaginer quoi d’autre. Et vous sentez le sexe à plein nez. Alors à mon avis, une douche s’impose. Ce sera pas de refus pour moi non plus.

–    Ah ! Madame hygiène est de retour !

–    Eh oui ! Et j’ai deux ados crados à gérer, quelle galère !

–    Les ados ils ont une libido très exigeante à satisfaire, ma vieille ! Ceci explique cela ! lui répond Solène.

Nous nous habillons sommairement et nous dirigeons vers les sanitaires. Etonnamment il y a encore beaucoup de monde. Je crois qu’il y avait une fête au camping hier soir, on n’y a pas vraiment fait attention ! Les filles filent de leur côté et je me dirige vers l’aile des hommes.

*********

Toutes les douches sont occupées. Je propose à Solène de partager la première cabine qui se libère. Elle est d’accord. Une porte s’ouvre, une femme d’une cinquantaine d’années en sort. Nous entrons.

Nous nous déshabillons. Solène est vraiment belle. Quel corps ! Fin, élancé, avec ces fesses si joliment galbées, ces seins en pommes d’amour, pas très gros mais bien proportionnés et bien saillants sur son buste si mince.

Elle entre sous l’eau et commence à se savonner.

–    Dis donc, vous avez baisé comme des bêtes avec Jeannot J’avais pas vu ces marques sur tes fesses

–    Ah Oui, ça pique un peu. Mais rassure-toi, j’étais consentante et même plus !

–    Eh ben. T’es une sacrée coquine en fait ! Moi qui croyais qu’on t’avait choquée l’autre jour. En tout cas je t’assure que tu ne peux pas laisser ces plaies comme ça. Il faut les soigner. Et tu vas avoir du mal à faire du vélo.

–    Ah ! Oui, j’avais pas pensé à ça ! Bon, en même temps ça monte tout le temps, j’aurai qu’à rester en danseuse !

–    C’est ça ! D’ailleurs tu as vraiment un sublime corps de danseuse !

–    Merci ! Et tu ne crois pas si bien dire, j’ai fait 10 ans de danse

–    Ca ne m’étonne pas. Tu es magnifique. Tellement gracieuse.

Je m’approche d’elle, la rejoins sous le jet d’eau. Je commence moi aussi à me savonner. Elle me regarde intensément. Doucement, sa main quitte son corps pour se poser sur mon épaule. Elle hésite puis commence à me frotter lentement. Je lui donne mon gant de toilette

Solène me lave. C’est doux tellement agréable. Sa main passe sur mes seins qui se gonflent sur mon ventre, mes cuisses, mes fesses, s’immisce entre les lobes. remonte dans mon dos, revient sur mes épaules, ma poitrine Elle ne quitte plus mes seins. Nous nous regardons les yeux dans les yeux. Je lui tends mon gel de toilette intime.

Elle me lave. Elle me lèche. Mon clitoris est gonflé comme jamais. Les yeux fermés, le dos contre la paroi de la douche, les cuisses écartées, je lui offre mon royaume Elle me prend. Elle dévore ma vulve entière, suce mes petites lèvres, sa langue s’immisce dans mon vagin, où son index et son majeur la rejoignent. Elle me fouille. Je gémis Le plaisir monte en moi continue Solène, continue, oui, par là Elle est en moi. Je sens sa tête entre mes cuisses, je la caresse, la presse contre ma chatte C’est un plaisir lent, profond, qui m’envahit petit à petit Je sens un autre doigt titiller mon petit trou Il entre bientôt. De plus en plus loin, rejoint par un second Elle me fouille le cul et la chatte ! Comme moi et Jeannot avec elle Son autre main me malaxe les fesses

Le plaisir est puissant. Il vient de partout Mon bouton sous sa langue, mon con, mon cul J’ai la tête tendue au ciel, une main sur mes seins, l’autre qui fouraille dans sa chevelure brune Cambrée comme jamais, le sexe en avant, je me dresse sur la pointe des pieds, les muscles des jambes tendus à en claquer

La secousse est soudaine et violente. Elle me prend toute entière, me submerge Je tressaille, je perds la tête, le souffle coupé J’essaie de contenir mon cri en mordant mon poing

Solène se relève. Elle se serre contre moi, pose sa tête sur ma poitrine et mon épaule. Un câlin un énorme câlin. Mais elle pleure !

–    Solène Ma petite Solène Qu’y a-t-il ? Pourquoi ces larmes ?

–    Rien ce n’est rien je suis bien contre toi J’ai eu une période un peu compliquée en ce moment émotionnellement.

–    Ca va pas s’arranger, avec ce qu’on fait là

–    Si si ça s’arrange, au contraire

Nous restons ainsi, sous le jet de la douche, collées l’une à l’autre. Je passe doucement ma main sur ses cheveux, sa nuque, sa colonne vertébrale. Je descends sur ses deux si belles petites fesses Mes doigts commencent à s’aventurer plus loin

–    Non laisse Cécile ce n’est pas la peine je suis bien, je suis heureuse j’ai adoré te donner tout ce plaisir, ça m’a suffi

–    Tu es sûre ?

–    Oui. Je ne veux rien de plus. Juste rester encore un peu contre toi.

–    Il va pourtant falloir qu’on sorte.

–    Encore juste 5 minutes

*********

J’attends mes deux beautés. Que font-elles là-dedans ?

Quand j’y pense Quelle chance. Deux femmes sublimes pour un garçon comme moi.

Les voilà. Elles rient, se tiennent par la taille. Elles sont tellement complices ! On dirait deux surs. Elles sont belles Cécile porte une robe blanche assez sport, à grands motifs de fleurs vives. Hmmmm Ses seins, ses fesses moulés dans ce tissu Elle porte des sandales. Oh ses petits pieds

Ma Solène est en mini-short de toile, débardeur rose moulant à col V, et pas de soutien-gorge visiblement ! Ses jambes, fines, interminables, sa taille de guêpe, ses deux jolies pommes qui pointent sous le fin coton

Je vous aime.

*********

Nous sommes au village. Cécile a loué un vélo. Elle tient absolument à passer à la pharmacie acheter une crème cicatrisante pour mes plaies. Elle ressort avec une crème aux plantes à base de millepertuis. Elle m’assure que c’est très efficace et veut que je l’applique tout de suite. Il faut quand même trouver un endroit pour ça

Nous prenons la route et entamons la montée vers la ferme de Judith. Je suis continuellement debout sur les pédales, c’est éprouvant Au bout de 200m il y a une entrée de champ. Je m’y arrête. Cécile me rejoint. Jeannot est déjà loin devant. Au bout de quelques dizaines de mètres il s’aperçoit qu’on ne suit plus et s’arrête pour nous attendre. Je lui fais signe qu’on le rejoint bientôt.

–    Je crois qu’on peut te soigner ici, non ?

–    Oui sûrement

–    Allez avance un peu plus vers le champ si tu veux et montre-moi tes belles fesses.

Je m’exécute. Mon short et mon slip de coton et dentelles tombent sur mes chevilles. Cécile s’approche. Elle commence à appliquer la pommade. Très doucement, elle suit chacune des traces laissées par la cravache C’est à peine douloureux

–    Ca fait un peu mal quand je touche ?

–    Oui mais c’est rien tu es très douce tu dois être adorée de tes patients.

–    Pas tous !

Elle a fini. Mais sa main s’attarde sur ma croupe Elle me caresse les fesses du revers de la main, à peine un effleurement. Sur le sommet des fesses, de gauche à droite, puis sur la pente vers les hanches, et à nouveau le sommet, le galbe au-dessus des cuisses C’est terriblement sensuel. Je frémis.

–    Tu as des fesses sublimes

–    Je les trouve étroites, plates… Je préfère les tiennes

–    Moi je les adore, tes deux belles collines. Si parfaitement galbées. Pas du tout plates, tu dis n’importe quoi !

Je sens son souffle sur ma peau. Elle m’embrasse. Elle embrasse chacune de mes fesses. Un long baiser, doux, tendre Je ne peux réprimer un profond tressaillement.

–    Cécile. Tu es un amour, mais il faut qu’on y aille

–    Je veux te baiser.

–    Cécile

–    Je veux ta chatte

Elle a glissé sa main entre mes cuisses, sa paume enveloppe tout mon sexe, le presse légèrement je tremble je sens mes tétons pointer sous mon débardeur

–    Attends Cécile pas maintenant Jeannot

–    J’ai trop envie !

–    Moi aussi ! Moi aussi je veux que tu me baises ! Mais attends plus tard. Je te promets.

Cécile retire sa main et se relève lentement, couvrant ma colonne vertébrale de baisers à travers mon débardeur. Je pousse un long soupir. Ma chatte est humide Je me rhabille. Nous reprenons nos vélos. Avant de repartir, Cécile me prend la nuque, et m’embrasse fougueusement J’ouvre mes lèvres, ferme les yeux sa langue franchit mes lèvres, se mêle à la mienne, danse Notre baiser dure longtemps Enfin, nos bouches se séparent.

–    C’est un acompte ma belle.

–    J’ai hâte d’avoir la suite Tu embrasses divinement.

–    Allez, remonte sur ton vélo poulette, je te suis. J’adore voir ton petit cul danser devant moi

Nous arrivons chez Judith. Plus que quelques centaines de mètres la maison est là-bas, dans le vallon. Je suis à bout de force

A l’arrivée, Jeannot nous attend depuis déjà quelques minutes. Il vient vers moi et me serre contre lui.

–    Tu es belle Je t’aime Solène.

–    Moi aussi mon Jeannot.

*********

Nous sommes quatre dans la petite baignoire du torrent. Nus.  Les jeunes jouent, rient, s’éclaboussent un peu.

C’est donc elle, Cécile, la fameuse cousine. Une belle jeune femme ma foi, épanouie. J’adore son corps. Je ne sais pas exactement ce qui s’est passé entre elle et Jean mais je crois comprendre Et Solène ? Elles ont l’air de déjà bien se connaître et s’entendre à merveille. Solène vient de l’éclabousser et l’attraper par derrière. Elles restent collées l’une à l’autre, le bras de Solène autour de la taille de Cécile, sur son ventre. Elles sourient, heureuses. Jean les observe, amusé. Solène dépose un baiser discret dans le cou de Cécile Jean l’a -t-il vue ?

Les trois jeunes se sont allongés dans l’herbe à présent. Ils bronzent. Je remonte tranquillement vers la maison. Je commence vaguement à préparer le repas.

–    Tu as besoin d’aide, Judith ?

C’est Jeannot qui se tient devant la porte-fenêtre de la cuisine. Seul.

–    Non, c’est gentil Jeannot. Tout à l’heure peut-être tu pourras m’éplucher quelques légumes si tu veux. Mais tu ne voulais pas rester un peu au soleil avec les filles ?

–    Non. Je préfère m’installer sur la terrasse.

–    Elles ont l’air de bien s’entendre

–    Oui. Je suis content. J’avais oublié que Cécile devait venir. Et j’avais peur que ce soit un peu tendu.

–    Cécile c’était ton amante n’est-ce pas ?

–    Euh.. Oui. Je ne peux rien te cacher Mais Solène le sait aussi.

–    Et c’est fini ?

–    Oui oui oui.

–    Tu es sûr ?

–    

–    En tout cas, c’est sûr qu’elles s’entendent bien. Elles sont même complices. Très.

–    C’est vrai. C’est aussi pour ça que je suis remonté. Je crois qu’elles avaient des choses à se dire

–    Ou à faire

–    

–    Tu avais compris, n’est-ce pas ?

–    

–    Tu es sûr que tu veux les laisser aller vers là ?

–    Je ne sais pas. Solène m’aime, je le sais. Peut-être que Cécile aussi, ça je ne sais plus. De toute façon c’est compliqué cette histoire. Je préfère qu’elles s’aiment aussi même comme ça.

–    Solène t’aime, oui, c’est sûr. Mais Cécile est ensorcelante. Même moi j’aimerais la croquer.

–    Oui, elle est très belle… Elles sont toutes les deux si belles De toute façon, si elles le veulent, je n’y peux rien, non ?

–    Non. En effet Tu es bien sage pour ton âge mon Jeannot

–    Je les aime toutes les deux. Différemment.

–    Alors dans ce cas

*********

Ma chatte est inondée Je dégouline. Elle me boit, me lèche, me mange.

Sa langue lèche mon capuchon, dévoile mon petit bouton, tendu. Elle remonte, redescend Elle couvre mes lèvres de tendres baisers, poursuit tout autour de ma fente, sur mon pubis, mes cuisses, le creux de l’aine… A présent elle prend l’une après l’autre mes petites lèvres gonflées entre celles de sa bouche pulpeuse, elle les suce, les baise, les lèche Sa langue dardée s’immisce dans ma fente, elle va et vient, descend jusqu’à mes fesses, ma rondelle Elle la lèche, tourne autour, entre un peu, ressort Puis elle revient vers mon con. Elle se pourlèche de mon jus Parcourt sans fin mon vestibule. Je gémis, je me cambre Ses mains sont sur mes seins, elles les malaxent, pincent mes tétons plus durs que jamais Elles prennent mes hanches, mes fesses encore douloureuses Oooh

Je suis à elle. Je n’en peux plus. Je veux qu’elle me baise, me pénètre. Mes cuisses enserrent son corps, mes jambes parcourent son dos, son cul.

Soudain, elle se relève

–    Non ! Non Cécile ! Reviens !

–    Ne t’inquiète pas ma belle Solène, je reviens tout de suite. J’ai juste une petite idée pour mieux te baiser

Elle s’éloigne. J’ai l’impression qu’elle retourne au torrent. Je ne me relève pas. Je reprends un peu mon souffle, allongée dans l’herbe.

Elle revient. Cécile s’allonge près de moi. Nous nous regardons. Nos bouches s’approchent se rencontrent. Nos lèvres se bécotent doucement, tendrement Puis je sens sa langue. Elle lèche mes lèvres. Je lui tends la mienne. Elles se mêlent, nos bouches s’ouvrent Nous nous embrassons de plus en plus profondément, furieusement JE LA VEUX ! Elle me mange et je la dévore Je pelote ses seins lourds, gonflés Ses hanches, ses fesses. Oh ses fesses larges, musclées Je les presse de toutes mes forces, les serre dans ma paume. Sa jambe se glisse entre les miennes. Sa cuisse remonte contre mon pubis, ma moule est toute trempée Elle se frotte, presse mon sexe A chaque pression, si forte, totale, sur ma chatte toute entière, une vague de plaisir monte en moi.

Ses mains me parcourent toujours, nos bouches ne se séparent plus que pour croquer une joue, une épaule, un sein Je suis à bout. Je l’attends je la voudrais en moi…

Elle glisse Le long de mon buste. Tout en me léchant avec gourmandise. Elle atteint mon bas-ventre. Je soupire J’écarte les cuisses en grand Viens ! Viens en moi !

Sa tête rencontre à nouveau ma chatte Sa langue revient Et ses doigts. Des doigts de fée. Ils parcourent ma fente quand sa langue titille mon clitoris gonflé de sang Je mouille à nouveau de plus en plus. Ses doigts s’aventurent dans mon vestibule, deux d’entre eux passent le col et pénètrent ma caverne Ils s’avancent glissent sur ma paroi ventrale atteignent l’extrémité jouent, reviennent 3 doigts. L’entrée s’élargit. Je gémis de plus en plus fort 4 doigts. Et tout son poing ! Elle avance son poing jusqu’au fond de mon con écartelé ! Ma chatte enserre son poignet, sa main est en moi, elle me caresse Je râle Elle continue à m’embrasser le pubis, lécher mon bouton dressé, mordre l’intérieur de mes cuisses. Sa main libre s’aventure sur mes fesses Je deviens folle. Elle s’approche de mon petit trou et commence à le travailler. Elle introduit l’index, me masse Mon rectum s’assouplit petit à petit, s’habitue à cette présence Deux elle s’avance. Elle me fouille de partout. Je jouis. Un orgasme me prend ! Par mon sexe et mon cul Je jouis. Profondément. Je ferme les yeux un long cri rauque Je le laisse monter, et me submerger

Je suis vidée, mais Cécile ne me laisse pas tranquille ! Elle saisit violemment mes cuisses, mon bassin, et me retourne.

–    Donne-moi ton cul ! Donne-moi ton beau petit cul ! Je le veux !

Oh putain ! Je n’attends que ça ! Prends-moi violemment ma belle petite salope de Cécile !

Je me cambre et lui offre mon cul et ma chatte, ouverts, écartés comme jamais    

Elle plonge à nouveau entre mes fesses. Son nez dans ma raie sa langue dans mon petit trou ses doigts sur ma chatte. Et quelque chose d’autre ! Quelque chose de froid Qui s’immisce entre mes lèvres !

–    Qu’est-ce que tu fais Cécile !!?

–    Ne t’inquiète pas c’est pour mieux te baiser, ma petite chienne ! C’est long et fin comme une bite c’est ma bite à moi !

J’ai compris ! C’est un galet. Un long galet du torrent, lisse et froid Mais qui se réchauffe. Il parcourt ma fente, s’y plonge de tout son long. Va et vient, frotte mon clitoris Il s’est recouvert de mon jus bouillant, sa tête s’approche de l’entrée de mon vagin Cécile le fait pénétrer doucement Il s’avance. Il est long, long comme la bite de mon Jeannot Mais plus large ! Il est en moi, va et vient comme un sexe d’homme Cécile le dirige, le manie doucement, puis de plus en plus vite. Il fouille mes parois, tape contre le fond de ma matrice Il me défonce !

Dans mon cul, ses doigts s’enfoncent, de plus en plus loin vite

C’est trop ! Je gicle. J’explose. La cyprine jaillit de mon vagin en longs jets Et l’orgasme me submerge à nouveau. Je convulse. Des vagues se forment en moi, l’onde part du diaphragme, mon ventre se gonfle, la vague descend jusqu’à mon sexe, explose, creuse mon ventre, puis une autre se reforme plus haut et déferle à nouveau Ca n’arrête plus Cécile s’est retirée mais tout mon corps est la proie des orgasmes qui s’enchaînent encore et encore Mon corps se soulève J’éjacule mon jus intime tellement fort ! Je crie, je crie Ca me prend de partout, je perds la tête, la lumière m’éblouit Je tremble, je vacille. Et je m’effondre. Sans force. Vidée.

*********

Je suis couverte du jus de Solène. Cette petite est une sacrée fontaine ! Elle m’a copieusement aspergé le visage, les seins, le ventre, pendant que je lui défonçais la chatte et son petit cul. Elle a joui comme une folle ! Je n’avais jamais vu ça ! Les orgasmes venaient sans arrêt, sans même que je la touche

Oh putain comme j’ai aimé ça ! Je n’avais jamais été aussi loin avec une fille Merde ! J’aime cette fille ! J’ai encore envie de la baiser ! Sans fin

Je me couche près d’elle, me serre contre son corps trempé. Elle me sourit, épuisée, mais avec une telle béatitude Je dépose un doux baiser sur ses lèvres.

*********

–    C’était bien ?

–    C’était dément. Je n’avais jamais ressenti ça Je ne savais pas qu’on pouvait jouir autant, avoir autant d’orgasmes à la suite, si forts Je ne savais pas non plus que je pouvais devenir une telle fontaine

–    Et elle ?

–    Je crois qu’elle a aimé ça aussi

–    

–    Tu es jaloux ?

–     Je ne sais pas. Je suis heureux que vous vous entendiez bien. Mais je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi fort J’ai un peu peur. Peur de vous perdre

–    Mais je t’aime toujours ! Si je ne t’aimais pas, si je n’avais pas confiance en toi, en ton amour, je ne te l’aurais pas raconté

–    Et elle, tu l’aimes ?

–    Oui non je ne sais pas ! C’est une histoire dingue J’adore qu’elle me baise ! Mais toi aussi mon Jeannot Et je ne la connais presque pas

–    Ca existe, l’amour à trois ?

–    Je ne sais pas je crois que oui mais comment ?

Solène se blottit contre moi. Nous nous serrons fort l’un contre l’autre dans le lit. Je l’embrasse doucement, la caresse. Il est tard. Nous tombons de sommeil.

(à suivre)

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