Les jours suivants furent assez calmes sauf quelques petites allusions déplacées et quelques mains baladeuses. Il aimait aussi se balader nu dans la maison le sexe en érection, surtout quand ma mère nétait pas là.
Jusquà ce jour où, comme à son habitude, il allait sortir faire courir notre chien dans les bois, mais cette fois si il me dit :
-Tiens, ça te dirait de venir avec moi ?
-Ben, oui, pourquoi pas.
Nous sortîmes donc, mon beau père moi et notre chien, pour aller faire une ballade.
Au bout de quelques instants, ayant parcouru une bonne distance dans la forêt, nous tombâmes sur une petite clairière assez isolée.
Tiens, dit-il, si on se reposait un peu.
Nous nous mirent donc assis dans lherbe sèche, il faisait se jour un soleil magnifique. Jétais vêtue dune petite jupe courte, une culotte blanche et un T-Shirt qui laissait apparaître mon nombril.
Mon beau père était assis en face de moi et narrêtait pas de regarder mon entre jambe avec un regard qui en disait long sur ses envies. A un moment, il mit sa main sur son sexe et je maperçue quil bandait comme un taureau.
Notre chien, qui était parti faire ses besoins, revint vers nous tout essoufflé.
Mon beau père commença à jouer avec lui tout en continuant de mater ma petite culotte.
-Tu aimes les chiens, me demandait-il ?
-Oui, jaime bien les animaux.
-Tu tes déjà imaginé comment tu serais si tu étais une chienne ?
-Non, pas vraiment.
-Tiens, on va jouer à un jeu. On va imaginer que tu es une petite chienne et que tu vas rencontrer un chien en promenade, ok ?
Sur le coup, jai trouvé lidée bizarre mais amusante.
Il me fit donc mettre à quatre pattes tout en noubliant pas de passer sa main entre mes cuisses et de frôler discrètement ma petite chatte.
Il sadressa alors à notre chien et dit :
-Oh, regarde la belle petite chienne que voilà, elle te plaît hein, coquin.
Alors que mon beau père me tapotait les fesses, le chien se mit très vite à venir sentir mon arrière train. Je voulu alors me relever mais mon père me dit, tout en me maintenant fermement dans cette position :
-Non, ne bouge pas, laisse le faire, on va voir comment il réagit.
Lanimal se montrant de plus en plus impatient et précis dans ses coups de langue, mon beau père me baissa brutalement la culotte, la descendit sur les genoux, je neus pas le temps de réagir que le chien avait déjà replongé sa langue entre mes fesses. Mon beau père me fit écarter un peu les cuisses ce qui eut pour effet que le chien commença à me laper la chatte à grand coups de sa langue humide. Je sentais les poils de sa tête me chatouiller les cuisses.
Je voulu alors tout arrêter et alors que lessayais de me relever, mon beau père magrippa par les reins et me dit :
-Non, ne bouge pas, laisse toi faire chérie, tu vas voir tu vas aimer ça.
Mayant bien lubrifiée le sexe et lanus de sa bave dégoulinante, mon beau père le fit monter sur mon dos et guida son gros bâton tout rouge et tout gonflé vers mon vagin. Après quelques coups de butoirs imprécis qui claquèrent sur mes fesses, il rentra dun coup sec son membre tout entier en moi. Je poussai alors un petit cri de douleur, douleur qui sestompa rapidement, laissant la place à un doux moment de plaisir.
Après quelques va et vient rapides et vigoureux, mon beau père fit sortir la verge du chien de mon vagin et la glissa dans mon anus tout en poussant lanimal au cul, javais le ventre en feu. Haaaaa, hummmmm, nonn, pas là, hummmmmmmm, non, haaaaaaaaaa, ouiiiiiiiiii, encoreeeeeee, oui, cest bon. Jentendais la respiration de notre chien se faire de plus en plus rapide. Il avait lair dapprécier de ce taper une gentille petite fille soumise à son beau papa.
Oui, jétais aux anges. Javais déjà vu des chiens faire ça entre eux, ça mémoustillait beaucoup dailleurs et quand je regardais lanimal saillir cette chienne en chaleur javais souvent ma petite culotte humide, entre mes grosses lèvres brulantes. Je mettais souvent ma main dans cette culotte souillée, rentrais un doigt, deux, me masturbais le clitoris jusquà lorgasme, la jouissance parfois. Javais un peu honte de faire ça devant des animaux mais cétait trop délicieux.
Mais je naurais jamais imaginé quun jour ce soit moi cette chienne en chaleur.
Alors que le chien sactivait toujours dans mon petit trou, mon beau père le lâcha, se leva et retira son pantalon puis son slip. Il se mit à genoux devant moi, me pris la tête.
-Ouvre ta bouche chérie.
Sans même essayer de discuter, je fis ce quil me demandait.
Il rentra alors son sexe bandé tout entier dans ma bouche et entreprit une masturbation entre mes lèvres en faisant faire à ma tête de rapide va et vient sur sa queue. Il bandait tellement fort que je sentais son gland gonflé et dur tout au fond de ma gorge.
Après quelques instants et après mettre faite bien labourée, je sentis de longues giclées de sperme menvahir le ventre, puis, quelques secondes après, se fut à mon beau père de se soulager dans ma bouche. Tout en giclant au fond de ma gorge, il me maintenait fermement derrière la tête afin que je ne puisse pas me retirer et me força à tout avaler jusquà la dernière goûte.
Je sentis ensuite le chien se retirer, puis ce fut au tour de mon beau père de sortir sa queue de ma bouche. Jétais épuisée de cet assaut, animal et homme. Je mécroulai toute entière dans lherbe, le corps souillé de sperme tiède. Du sperme me coulait encore au coin des lèvres et jen sentais couler le long de mes cuisses, du sperme de ce chien qui venait de se soulager en moi qui sortait de ma chatte rougie par létreinte de cet animal.
-Alors, ça ta plu hein petite coquine, taime ça hein. Si ta mère savait ça, quelle petite cochonne tu es.
-Non, pas maman, tu vas pas lui raconter hein ?
Il se mit à rire, mais dun rire moqueur.
-Non, tinquiète pas chérie, cela restera entre nous, mais il te faudra être une gentille petite fille avec moi si tu veux que je garde le silence.
-Ok, je ferais tout ce que tu veux mais ne dis rien.
Je ne compris pas tout de suite ce que cela voulait dire, une gentille petite fille, mais je le compris quelque temps plus tard.
Il me suivait souvent alors que je mapprêtais à prendre ma douche, il attendait que je sois nue et entrait sans frapper dans la salle de bain pour pratiquer ses attouchements entre mes jambes, passant ses mains entre mes fesses me sodomisant de deux doigts, me caressant les tétons, me malaxant les seins, membrassant avec sa bouche humide.
Souvent aussi, quand jétais couchée, il venait sois disant pour me dire bonne nuit, il sassoyait au bord de mon lit, glissait une main sous mes draps puis sous ma chemise de nuit, attendait que ma mère séloigne, ouvrait sa braguette, sortait son sexe en érection et me disait doucement :
-Allez ma chérie, tu vas être une gentille petite fille.
Et là, il me fourrait sa bite dans la bouche pour que je le pompe jusquà la dernière goutte.
Ensuite, il se levait, satisfait de ma prestation, et me disait :
-Fais de beaux rêves ma petite cochonne, à demain.
Javais alors compris ce quil entendait par une gentille petite fille.
