Résumer de lépisode 22
-Si elle veut garder son jeune amant, votre patronne serait bien obligée daccepter le partage. Et qui sait, peut-être la chose lui plairait-elle. Mais en attendant, vous ne les surveillez plus, vous nessayez plus de voir ce qui se passe entre eux.
-Hier soir encore, répondit Louise. Je les épie constammentMa patronne et Alain regardaient la TV, dans le salon. Je suis soi-disant montée à ma chambre, mais je suis redescendue en douce, sur mes pas
Épisode 23
Je les voyais très bien dans le reflet bleu de lappareil de télé. Ils étaient assis côte à côte sur le divan placé devant la télévision. Après un quart dheure dimmobilité, ma patronne sest relevée. Dans le bar, elle a pris une bouteille dalcool ainsi que deux verres. Quand elle sest penchée vers la petite table à portée de main, son peignoir sest légèrement ouvert. Elle était nue là-dessous. Je voyais sa chair blanche et bleutée, ses seins et son ventre marqué dun large triangle de poils.
Elle avait une expression grave, se mordait les lèvres, le regard fixe. Quand Alain tendit la main, elle poussa son ventre en avant. Jambes écartées elle posa son con sur la paume tendue. A cause de la télévision, je nentendais rien de ce quils se disaient.
Mais je voyaisAlain agitait deux doigts dans la fente gluante. Elle tenait les pans de son peignoir ouverts afin de mieux soffrir à la caresse digitale de son fils dont le sexe pointait à travers louverture de sa culotte de pyjama. Ce nétait pas de la grivoiserie. Rien à fleur de peau. Leurs visages graves portaient lempreinte de la passion la plus sombre.
Parfois, la lueur bleutée de la télévision se reflétait dans leurs yeux, selon leurs mouvements, et semblait les rendre phosphorescents comme ceux des chats. Un peu plus tard, ma patronne sest penchée. Alain a enfoui son visage dans la poitrine moelleuse. Ensuite il a sucé les tétins noirs, ce qui faisait soupirer Madame, dautant plus quil continuait à la branler, les jambes bien écartées.
Elle a baissé la main. Ses doigts ont gainé le membre dAlain. Elle la agité lentement, avec vigueur, ce qui la fait soupirer bruyamment. Ils agissaient avec méthode, sans se presser et sur leurs visages cependant obscurs, je lisais le plaisir que cette caresse réciproque leur procurait.
Je les enviais de samuser ainsi. De ma main, je pressais ma fente. Afin de ne rien perdre du spectacle, je ne me touchais cependant pas. Je savais que jallais me rattraper dès que je serais dans ma chambre.
-Je crois quà votre place je naurais su résister fit Elsa, tout en conduisant la voiture dune main ferme. Il y a peu de sollicitations auxquelles je puis résister. Jadis, peut-être, mais maintenant !!
-Il est cependant dattendre et de pouvoir penser au plaisir que lon va prendre ensuite Je revois encore cette scène. La patronne bien en chair, agenouillée entre les genoux dAlain, le peignoir cette fois étalé sur le sol, les fesses roses presque à terre, la bouche remplie du gland tuméfié, les doigts serrés sur le cylindre de chair. Elle avait une expression à la fois béate et passionnée en suçant la queue. Il faut croire quelle le faisait bien. Alain se tordait sur le divan, les bras étalés, les yeux fermés, le visage crispé en une sorte de moue pleine de volupté. Elle jouait de ses couilles, les malaxait, tandis que la verge tressautait entre ses lèvres.
Elle labandonna sans quil ait joui, sassit en tailleur à même le tapis, Sans quitter du regard la bite braquée, elle ouvrit les lèvres de sa fente, montra son clitoris amplifié par la volupté. Elle se branla, posément, mais sans frénésie, comme une de ces femmes qui cherche son plaisir en sachant quelle a tout le temps dy arriver, parce que rien ne viendra linterrompre.
Après quelques minutes de ce jeu, elle essaya de happer la verge dAlain. Elle se pencha en avant mais ny parvint pas. Du coup le jeune homme se prit entre les doigts et planta son membre dans la bouche grande ouverte. Elle se remit à sucer avec ardeur, tout en poursuivant laimable jeu entre ses cuisses. Cette fois elle manifesta beaucoup plus de frénésie. Sa tête montait et descendait le long de la colonne de chair avec vélocité. A plusieurs reprises, elle lui échappa.
Chaque fois jentrevoyais le gland tuméfié et décalotté quAlain sempressait de remettre dans sa cachette chaude. Entretemps, elle se masturbait toujours, la vulve ouverte.
Je crus quelle allait se faire jouir elle-même, mais il nen fut rien. Lâchant prise elle se mit sur le dos. Alain se jeta sur elle, la pénétra sans coup férir. A grand coups de reins, les jambes croisées sur le dos de son mâle qui lenlaçait étroitement, elle déchargea à linstant même où il ouvrait les écluses de son foutre.
Après, ils restèrent immobiles, côte à côte, à même le tapis. La vulve avait encore les babines retroussées que déjà la bitte devenait un escargot, une longue perle de sperme figée au bout gorgé de sang. La main dans la main, ils se sourirent. Alain promena ses doigts dans la cosse. Ensuite, les seins pendants, ma patronne goba la perle de foutre comme une exquise gourmandise.
Je dus quitter mon poste dobservation. Cen était de trop. Javais lentrecuisse en feu, une motte gonflée et palpitante, nerveuse, pleine de désir qui devait être satisfait. Dans ma chambre, assise sur une chaise, le bas du corps dénudé, je déchargeai copieusement dans mes doigts. Une libération vraiment abondante. Jen eus beaucoup de bien. A tel point que je me hâtai au lit. La lampe allumée, je me payai un deuxième plaisir, en regardant mon sexe et mes doigts masturbatoires Jétais folle de lubricité
Elsa arrêta la voiture dans une petite allée discrète. Elle se tourna vers sa compagne, la regarda en souriant
-et maintenant, dit-elle.
-Maintenant ? Une vraie fournaiseUne touche
Je me foutrai volontiers une touche une bonne touche de vicieusePas vous ?
-Moi aussi mais promenons nous un peu. Faisons quelques pasNous sommes dans un coin désert, passablement sauvage