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Les Vilaines Cousines ! – Chapitre 4

Les Vilaines Cousines ! - Chapitre 4



IV – Emotions à l’étage

Rabrouées par ma tante Rose, nous nous précipitons donc dans l’escalier qui mène aux chambres. Je prends mes affaires de toilette pour me doucher rapidement avant de descendre aider au service. Je comptais bien ne plus donner à mes cousines l’occasion de me châtier, même si cela passait par quelques corvées domestiques. A l’entrée de la salle de bains, je me heurte à Sandy, qui tient sa vanity-case et quelques affaires.

— Tu te sens toute poisseuse, non ? finaude Sandy.

— Je voudrais me changer, c’est tout, fais-je, les dents serrées.

— Et bien tu vas attendre un peu, j’y vais maintenant…

— Oui et bien moi aussi, et…

— … avec Steff ! Mais si vous voulez vous donner la peine d’entrer, chère cousine, et partager notre bain, faites donc…

Elle m’avait feintée, je suis obligée de faire machine arrière, je ne tiens absolument pas à me retrouver avec ces deux chipies.

— Il y a un problème ? fait Steff, en déboulant, chargée d’un monceau de vêtements.

— Non, pas du tout, dis-je.

— Non, c’est Anne qui veut prendre SA DOUCHE AVEC MOI ! crie Sandy

— Arrête, non mais tu es folle !

Affolée, j’en suis presque à crier.

— Oh oui, complètement folle, fait Sandy en me regardant droit dans les yeux, un grand sourire craquant aux lèvres.

Mes 2 cousines s’engouffrent dans la salle d’eau, me laissant désemparée dans le couloir. Je remarque Jean-Marc, le frère de Steff, à peine plus jeune, qui regarde dans ma direction depuis sa chambre. Il sortait à peine de sa crise d’adolescence boutonneuse, à ce que je savais. Je l’apostrophe :

— Qu’est-ce qu’il y a ?

— Rien, j’ai entendu… que tu étais… enfin que tu allais prendre ta douche avec Sandy, je me suis demandé…

Il était clair à présent que le monde entier s’était ligué contre moi ! Je fulmine :

— Mais non, espèce de débile, elle a lancé cela spécialement dans le but de me faire enrager !

A peine vexé par l’insulte (il devait en voir d’autres avec sa satanée soeur !), Jean-Marc hausse les épaules, marmonne quelque chose et retourne dans sa chambre.

Après un quart d’heure d’attente et deux rappels à l’ordre de ma tante, auxquels je ne réponds pas, les deux s…, comme je me remets à les nommer intérieurement, sortent enfin, à peine habillées. En refermant la porte, je note le regard troublé de Jean-Marc, qui fixe Sandy avec de grands yeux.

Décidée à faire vite, je donne un tour au verrou, me déshabille en vitesse, et jette le linge bleu de la mère Thomas à la poubelle. J’attache mes cheveux et entre dans la baignoire-sabot. Je m’assieds au fond et me savonne brièvement. Je commence à me rincer le dos et les cuisses quand l’eau du pommeau de douche devient subitement glacée ! Je hurle et me dresse, dirigeant d’instinct le jet d’eau vers le fond de la baignoire. A ce moment, mes 2 cousines ouvrent la porte et pénètrent dans la salle de bains !

— Alors comme ça, tu aimes toujours l’eau glacée ? questionne Steff.

— ?a change du sauna, pas vrai ? fait Sandy en parcourant ingénument du regard mon corps exposé.

— Y’a qu’à la campagne qu’on voit ça, hein, se laver à l’eau froide !

Elles avaient dû me couper l’eau chaude, les pestes !

— Et n’oublie pas le savon ! reprend Steff, en lançant le savon du lavabo dans la baignoire !

— Et la brosse à ongles ! crie Sandy en la jetant également à mes pieds

— Et les brosses à dents !

— Et le dentifrice !

— Et le bonnet de bain !

Elles étaient en train de me balancer tout ce qui leur tombait sous la main ! Je me penche, ramasse tout ce que je peux, quand elles renversent sur moi tout le contenu de la corbeille à linge sale ! Slips, chaussettes, maillots, un énorme paquet de linge me fait glisser et trébucher. Je me rattrape in extrémis au rebord de la baignoire, le corps couvert de vêtements puants, coiffée d’un soutien-gorge noir empestant la sueur.

Eberluée, je leur crie :

— Non mais ça suffit, vous êtes stupides, j’ai failli chuter, et lourdement !

Et je prends à pleines mains le tas de vêtements qui gisaient dans la baignoire, et d’un effort le soulève et le dépose par terre, au pied de la baignoire. Sandy en profite pour me cingler les mollets avec une chaussette humide !

— Slash !

— Aah !

Je trépigne et saisis Sandy par le bras et par les cheveux, pour la faire cesser. Aussitôt, Steff me saisit à l’épaule et à la toison pubienne ! Nos regards sont furieux, ni Steff ni moi-même ne relâchons nos emprises, quand retentit une voix stridente :

— Qu’est-ce qui se passe là-dedans, c’est le bazar, ma parole !

Georgia, la femme de ménage, entre en furie ! Elle était très brune, la peau mate, le nez aquilin, les cheveux longs. Elle nous fusille du regard devant le tableau apocalyptique. Nous nous séparons comme à regret. Les vêtements sales et les accessoires de toilette flottent éparpillés dans la flaque qui s’agrandit par terre, le jet d’eau arrose l’armoire murale.

— Ah c’est du beau, hurle-t-elle, qui c’est, qui va mettre la semaine à laver le linge et à remettre tout en état ?

Et elle gifle Steff à toute volée !

— Toi, dehors, ordonne-t-elle à Sandy, qui avait levé le bras pour se protéger. Toi aussi, quelle honte, allez dehors ! rugit-elle vers Steff, qui la fixe, la main à la joue, le regard brûlant de haine. Et vous, que je vous apprenne, à mettre la maison dans cet état !

Avant que j’aie pu m’expliquer, elle me tire hors de la baignoire, s’assied sur le bidet et m’attire à elle. De surprise, je trébuche et m’effondre sur elle, à plat ventre sur ses genoux, toujours nue. Georgia n’attendait que ça. Elle assure d’une main son emprise sur ma nuque, et de l’autre me prodigue une fessée énergique, en ponctuant chaque tape d’un méchant commentaire !

— Et tiens sur le petit cul de Mademoiselle ! PAF ! Et tiens encore une, sur les petites fesses de Mademoiselle ! PAF ! Et tiens, pour le linge sale ! PAF ! Et pour toute l’eau renversée ! PAF !

Je veux me révolter et je me cambre, mais je suis incapable de me relever, Georgia me tient trop fortement, et elle m’assène alors, de sa main calleuse, des coups à assommer un b?uf ! (ou du moins la pauvre génisse que je suis). Du coin de l’oeil, je ne peux que remarquer Sandy et Steff, qui, depuis la porte, assistent, bouche bée, à ma punition !

Quand elle juge mon postérieur bien rougi, elle me relâche. Je saute sur mes jambes et recule contre le mur, les larmes aux yeux et les mains sur les fesses. J’étais comme anéantie par la fessée que je venais de recevoir… d’une domestique, en outre !

— Que ça vous serve de leçon, à toutes les trois, entonne Georgia. Je ne suis pas la bonniche qui passe tous vos caprices. Dans vos chambres, maintenant, ou bien j’appelle Rose ! Toi aussi, Jean-Marc, file !

Je l’avais oublié, celui-là ! Il s’était bien rincé l’oeil sur mes attributs féminins, avec les 2 autres s… ! Je couvre prestement mes seins et mon minou. Je n’en reviens pas ! C’est bientôt la dixième personne à voir mes fesses de la journée… ! Ils quittent la pièce. Je me sèche et m’habille rapidement, descends aider ma tante avec mes cousines, sans échanger un seul mot avec elles. Nous dînons rapidement en préparant les crudités, pour les invités, et je monte m’enfermer dans ma chambre.

Je ressasse les événements de la journée, incrédule… tout en massant, culotte baissée, mes fesses, qui me cuisaient toujours autant. Georgia n’y était pas allée de main morte, j’ai encore aux oreilles les claques sonores qu’elle m’avait données. Et supporter la culotte ce soir avait été un supplice.

J’avais hélas jeté le linge bleu de la mère Thomas, qui m’avait bien soulagé… Il est 19h30, puis-je retourner à la ferme des Thomas, à cette heure, et sous quel motif…. ? J’entends mes cousines glousser dans le couloir et descendre l’escalier de service. Elles doivent projeter de sortir. Je les suis de loin, mais ma tante m’intercepte dans le jardin.

— Tiens, Anne, viens donc saluer M. l’adjoint au maire.

Je la suis dans le salon, et dois endurer le traditionnel couplet sur les jeunes, les études, et les filles qui travaillent bien en classe. Lorsque je ressors du salon, vingt minutes ont passé, et mes cousines ont disparu. Jean-Marc bouquine au bas de l’escalier.

— T’aurais p’têt’ voulu savoir où elles sont parties, Steff et Sandy… ? fait-il en se redressant.

Puis il referme son livre et remonte lentement l’escalier.

— Parce que tu le sais, toi ?

— Ouais, je les ai entendues qui rigolaient entre elles. Et qu’est-ce que ça cocottait sur leur passage !

C’est pour couvrir l’odeur forte des femelles en chaleur ! me dis-je in petto. Je lui réponds en fait :

— Elles se sont parfumées pour se sentir belles, c’est tout… Et alors tu saurais où elles sont parties…

— Mmm mmm, fait-il tout en haut de l’escalier, puis il disparaît dans le couloir des chambres.

Je monte souplement les marches à sa poursuite. Adossé à sa porte, il a repris sa lecture.

— Alors, elles sont où, Steff et Sandy ?

— Tu voudrais bien le savoir !

— Ah mais je croyais que tu le savais. Puisque tu ne sais rien, visiblement, je te laisse.

— Viens dans ma chambre, je vais te le dire.

Je le suis prudemment dans sa chambre. Elle est typique d’un jeune de son âge, avec Di Caprio à la plage, Zidane et des motos sur les murs.

— Qu’est-ce que tu donnes en échange, si je te le dis ?

— Et toi, que voudrais-tu, lui fais-je en retour, pensant devoir lui payer un pain au chocolat ou au pire une BD.

— Oh, tu vas dire non !

— Demande toujours, tu verras bien…

— Ben voilà, c’est rapport à Steff, aucune fille ne veut sortir avec moi, ni même qu’on se touche, elles disent toutes : va voir ta p… de soeur, t’auras qu’à apprendre avec elle !

— Ce n’est guère gentil de leur part.

— Et moi à 19 ans je suis toujours puceau !

— Et puis alors ?

— Et alors je te dis où elles sont, si tu me laisses voir tes seins !

= Avec une telle mentalité, c’est sûr que tu vas encore attendre un peu !

Je tourne les talons :

— Allez, bonne nuit, Jean-Marc.

— Eh, attends, fait-il. Tu ne les trouveras jamais, sans moi… En plus, elles ont dit à maman qu’elles allaient nettoyer le store et l’auvent dans la remise… Elles sont tranquilles pour un bout de temps, maman n’ira pas vérifier si elles sont au lit avant 11 heures

Je m’arrête, en proie au doute. Il n’est pas question de céder à son chantage. D’un autre côté, il m’a déjà vue nue un peu plus tôt. Et surtout, j’aurais de quoi me venger en les dénonçant à ma tante ! J’éteins la lumière et me retourne. Il s’assied sur le lit et allume sa lampe de chevet.

— Eteins, ou je repars.

Il s’exécute. Je déboutonne un à un les boutons de mon chemisier. J’écarte les pans de mon chemisier, révélant le soutien-gorge de coton blanc qui contenait sans peine mes seins.

— Alors ?

— Elles rigolaient dans leur chambre, tout à l’heure, je les ai espionnées et elles dansaient comme des folles et elles ont dit plusieurs fois le nom du mec qu’elles vont voir… Eh, je ne les vois pas vraiment, ça compte pas ! fait-il en se relevant, à un mètre de moi.

— Si je te les montre, tu me dis son nom ?

— Son nom à qui ?

Il fixe ma poitrine d’un air ahuri.

— Le nom du mec qu’elles vont voir, crétin !

— Oui, oui, murmure-t-il.

Je dégrafe mon sous-vêtement par-devant et l’écarte de chaque côté. Mes petits seins semblent respirer et mes tétons se dressent de manière tout à fait perceptible. Jean-Marc les fixe, bouche bée, les yeux exorbités, le rouge aux joues.

— Alors, c’est qui ?

— …

— Oh, tu me réponds, maintenant !

— Si tu me laisses les toucher ! fait-il en tendant la main.

— Pas question, je…

— Je te dirai rien si tu me laisses pas les toucher… Allez, deux secondes, c’est tout !

Je me résigne et le laisse faire. Il approche ses mains de ma poitrine menue et empaume mes seins. Puis il se met à les presser un peu trop fortement.

— Doucement, tu me fais mal.

Il s’applique alors à passer ses doigts sur ma peau nue, taquinant mes tétons saillants à chaque passage. La sensation devenait délicate, agréable. Puis de l’ongle des pouces, il me griffe doucement les aréoles en remontant. Je sursaute et gémis, de douleur mêlée de plaisir, en lui saisissant les poignets :

— Arrête, tu me dis son nom, maintenant !

Il me pousse brutalement en arrière, et je trébuche le dos contre un bureau, une jambe repliée sous moi. Toute mon excitation retombe. Le voyou se colle tout contre moi et me pelote maintenant à coeur joie, triturant mes seins, pinçant mes tétons et les faisant saillir entre ses doigts. Je l’entends gémir, et sens également contre ma cuisse les mouvements de son corps. Comme un chien, il s’excite contre moi ! J’ouvre la bouche, mais il pose ses lèvres à côté de mon oreille :

— Le garçon, mmh mmmh, chez qui elles vont, mmh mmmh, c’est Jean-Claude, mmh, mmh…

Il finit sa phrase dans un long soupir et s’immobilise complètement. Je me dégage et me relève, les seins toujours à l’air.

— Jean-Claude qui ? et où habite-t-il ?

— Jean-Claude Marçon, un grand moche, tout plein de fric, la grande maison blanche, sur la place de l’église, il organise une fête chez lui ce soir, et il a invité les filles.

— J’espère pour toi que c’est vrai. Et, à propos, comment les filles ont-elles fait pour entrer dans la salle de bains tout à l’heure ?

— Mmmh… Je sais pas.

Je me penche sur lui, jusqu’à distinguer la tache qui s’était formée sur son pantalon de pyjama.

— Dis-moi, ou tu vas passer un mauvais quart d’heure !

Comme il reste muet, les yeux fixés sur mes seins qui ballottaient, je lui saisis en même temps une épaule et l’entrejambe, et commence à le pincer à travers le tissu.

— Mais, laisse-moi, je ne sais pas, elles avaient peut-être pris le passe… dit-il d’une voix cotonneuse.

Je lui comprime ses parties dans ma main. Il resserre ses cuisses en gémissant.

— Donne-m’en un.

— Un quoi ?

— Un passe, idiot, fais-je en lui tapotant la joue d’une chiquenaude.

Il contracte son bas-ventre et répond :

— Non, je n’ai pas le droit !

Sa veste de pyjama, déboutonnée me donne une idée. Je passe la main par l’entrebâillement et saisis fermement un téton.

— Je compte jusqu’à trois et je t’arrache le téton et les parties, lui dis-je dans un murmure à l’oreille.

Je serre maintenant de plus en plus fort, je sens distinctement la consistance de ses bourses et la fine épaisseur du téton sous mes doigts. Il couine en sursautant :

— Au fond du deuxième tiroir de ma table de nuit… Aïe !

Sans un mot, je mets la main sur le passe, je referme mon soutien-gorge, mon chemisier et je quitte les lieux, en quête d’une bonne vengeance.

Je sors discrètement de la maison par-derrière. Je repère, malgré la pénombre qui s’abattait, Georgia, qui ramasse du linge sous le séchoir. Elle n’arrête jamais de travailler, celle-là ! Je l’observe depuis la porte de service. Elle a vraiment de belles formes, sa chevelure brune et sa robe blanche lui donnaient un air de Carmen… en plus féroce !

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