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L'énigme Koliza – Chapitre 2

L'énigme Koliza - Chapitre 2



Au début de notre promenade, Koliza m’annonce qu’elle a un rendez-vous pour du travail la semaine suivante. Elle a eu l’entretien par l’intermédiaire d’une amie de sa cousine après qu’elle ait envoyé le CV que nous avions établi ensemble. Je suis très heureux pour elle.

Nous marchons près d’une heure avant de nous désaltérer à une fontaine. Koliza faire remarquer en riant que je fais du bruit en buvant. Je lui lance de l’eau. Elle riposte, hilare. C’est la première fois que je la vois rire aux éclats. Nous nous dirigeons vers un banc et nous y reposons. Je lui dis :

— Tu es heureuse ?

— Oui. Il me semble que ma vie s’arrange. Tu m’avais appris une expression heu la roue heu

— La roue tourne !

— Voilà. Ma vie va mieux.

Enhardie, elle se lève :

— Ma fille a d’excellentes évaluations à l’école, j’ai un rendez-vous pour du travail et je m’intègre bien plus à la vie sociale depuis que tu m’as aidée à faire ces grands progrès en français. Quoi de plus ?

Alors, Koliza fait un double tour sur elle même, comme une toupie, oubliant un instant qu’elle porte une jupe évasée et que celle-ci suit son mouvement en se soulevant allègrement. Quand elle y repense, il est trop tard. J’ai tout vu. Enfin, ce qui était visible. Car le string noir qu’elle porte est très fin et si j’ai nettement aperçu le triangle noir sur le devant, la ficelle entre ses fesses est demeurée invisible. Koliza met vivement la main sur la jupe et rougit instantanément :

— Oh ! Je suis désolée !

Je suis abasourdi. Je ne réponds pas. Toujours écarlate, elle ajoute :

— J’espère que tu n’as rien vu

Comment aurais-je pu ne pas voir ? Elle était juste devant moi. Je hoche la tête, lui faisant comprendre que j’ai tout vu.

— C’est très gênant, je suis vraiment désolée, je ne voulais pas.

Elle s’assied à nouveau à côté de moi. Mon cur ralentit et je retrouve mon calme. Je souris.

— J’ai tout vu, oui. Et c’était très excitant.

Koliza éclate de rire. Elle prend cela pour une blague alors que je suis tout à fait sérieux :

— Ce que j’ai dit n’était pas vraiment drôle.

— Oh si ! Je sais que tu me fais marcher. Un homme comme toi, tu ne pourrais pas.

— Je ne pourrais pas quoi ?

— Être excité par ce que tu as vu. J’ai vu plusieurs fois ton ex-femme à l’école et

— Et ?

— Grande, blonde, mince, super belle

— Et ?

— Et toi. Tu es beau, sportif, intelligent, tu

Je ne la laisse pas finir et l’embrasse. Elle me repousse violemment et se lève. Ses yeux ont viré au noir. Elle s’essuie la bouche.

— Tu es dégueulasse.

— Pourquoi ?

— Tu joues avec moi ! Pourquoi tu fais ça ?

— Mais Koliza, je ne comprends rien ! Tu Mince, j’étais sérieux tout à l’heure !

Koliza se prend la tête entre les mains puis s’en va par un petit chemin à travers un bois.

— Attends !

Je me lève d’un bond et pars à sa suite. Elle s’est arrêtée. Quand je pose ma main sur son épaule, elle se tourne et m’enlace avant de m’embrasser. Un baiser long et passionnée. Nos langues roulent encore et encore.

Les yeux de Koliza reprennent ensuite leur belle couleur verte tandis qu’elle essuie ses larmes. Nouveau baiser. Koliza caresse mes fesses et sourit. Je lui dis :

— J’ai tout vu et c’était très excitant. Tu es très excitante, Koliza.

Son sourire est merveilleux et rempli de fierté.

— Je Je ne peux pas croire que je te plais.

— J’ai fantasmé sur tes leggings avant de te connaitre.

Elle éclate de rire puis me fait un clin dil.

— Ce matin, j’ai pensé que cette jupe te plairait, je l’ai mise pour toi. Mais j’en mets tellement rarement que j’ai oublié que j’en portais une aujourd’hui.

— Pour mon plus grand plaisir.

Je l’embrasse en soulevant sa jupe et caresse ses fesses. Elle frissonne et sourit :

— Je ne peux pas croire ce qui arrive et pourtant

Koliza me met la main au paquet, qui a bien durci avec le baiser. Je souris. Elle ajoute :

— Pourtant, c’est réel !

Nous rions. Koliza crie soudain :

— Les enfants !

Je regarde ma montre. Dix minutes.

Nous sortons en courant du petit chemin et parcourons quelques dizaines de mètres avant que Koliza ne s’arrête.

— Je ne peux pas. Vas-y toi. Je vous rejoins.

Je cours tranquillement jusqu’à l’école. Il reste deux minutes avant que la cloche sonne. Je récupère les deux enfants. La fille de Koliza est un peu hésitante, mais comme je lui dis que nous attendons sa maman, elle accepte de rester. Koliza arrive dix minutes plus tard en marchant d’un bon pas. Nous partons en direction de nos logements respectifs avec un peu de retard et le repas est un peu expédié, car les enfants reprennent exceptionnellement les cours une heure plus tôt.

Mon fils et moi arrivons juste à l’heure et une centaine de mètres derrière nous, j’aperçois Koliza et sa fille qui courent. La petite ne s’arrête pas. Koliza est en nage :

— Pfff Je n’ai pas couru autant qu’aujourd’hui depuis 7 ou 8 ans.

Je ris. Nous repartons ensemble, tranquillement. Jusqu’à chez elle. Nous nous embrassons dans l’ascenseur sans échanger un mot. Puis dès que Koliza referme la porte de chez elle. Nos langues sont indissociables, roulant l’une dans l’autre, l’une sur l’autre. Nos mains se baladent, glissent sous les vêtements. Essoufflée, Koliza dit :

— Il faut que j’aille à la douche avant.

— Je suis dans le même état que toi.

— Viens avec moi.

Elle me prend par la main et m’entraine dans la salle d’eau. Nous reprenons nos baisers. Koliza retire mon t-shirt et embrasse mon torse avec envie. Je la laisse s’agenouiller devant moi alors qu’elle vient déboutonner mon bermuda. Et je me félicite ne pas l’avoir arrêtée. Car lorsque mon sexe entre dans sa bouche, c’est tout mon être qui pénètre dans une nouvelle dimension. Celle d’une déesse de la fellation, d’une enchanteresse de la pipe. Intense, tantôt profonde, parfois vive, toujours variée, la flamboyante fellation de Koliza incendie mon corps jusqu’aux tréfonds de mon âme. J’en suis sonné, hébété, étourdi.

Je m’agenouille devant elle, l’embrasse avec une fougue virile. Je l’attire à moi en me couchant en travers de la petite pièce. Koliza n’hésite pas. Elle écarte son string et dirige mon sexe tendu dans sa vulve trempée. Les préservatifs achetés le matin sont oubliés dans la fureur du désir.

Je regarde mon bas ventre disparaitre entre les cuisses de Koliza avant de me laisser submerger par l’érotisme torride des déhanchés de ma partenaire. Lascive, incroyablement sensuelle, Koliza m’enivre de ses ondulations charnelles. Son orgasme est profond, puissant. Quelques secondes plus tard, elle se lève et nous allons dans la chambre.

L’entrée dans la chambre s’apparente à un passage de l’autre côté du miroir. La Koliza qui se retourne face à moi ne semble pas être la même que dans la salle de bains. S’agenouillant une nouvelle fois, Koliza me suce cette fois de manière lubrique et obscène, soutenant mon regard d’un bout à l’autre de sa caresse. Se redressant en ôtant son string, Koliza s’allonge ensuite sur le lit, les jambes largement écartées. Caressant impudiquement son sexe tondu, elle passe sa langue sur ses lèvres, vicieuse et dévergondée. Je la pénètre virilement. L’expression de défi de son visage conforte mon choix énergique. Koliza est double et cette part de sa personnalité aime être prise ainsi.

— Përsëri ! Përsëri ! Fortë !

Mes notions d’albanais me permettent d’être plus ferme encore. Me redressant entre ses jambes, j’attrape son top à deux mains et le déchire dans le sens de la longueur.

— Montre-moi tes gros seins !

D’un geste rapide et précis, Koliza fait tomber les bretelles de son soutien-gorge et dévoile sa volumineuse poitrine. Une mamelle dans chaque main, je la pelote avec véhémence tout en maintenant un rythme puissant à mes coups de rein. Soudain, je me retire et monte sur Koliza pour glisser ma bite entre ses seins. Un mouvement qui semble la ravir si j’en crois le sourire radieux qui illumine son visage alors qu’elle presse mon sexe entre ses nichons.

Je passe ensuite à côté d’elle. Pas besoin de mots. Koliza se tourne et se met à quatre pattes. S’agissait-il là d’un fantasme refoulé ? Au moment où je la pénètre à nouveau, je suis parcouru, durant quelques secondes, de spasmes incontrôlables. Koliza ne se rend compte de rien. Je pose les mains tremblantes sur ses hanches et commence à m’activer. Avais-je seulement rêvé un jour de prendre en levrette un cul d’une telle taille, des cuisses si épaisses, des hanches aussi larges ? Jamais que je m’en souvienne. Cependant, à ce moment là, chacun de mes coups de rein est un pas dans le Jardin dÉden. Ce cul qui vibre, frémit et ondule, les cris d’extase de Koliza, il me semble vivre la scène au ralenti, dans un état de béatitude absolu. Malgré la violence des mes allers-retours, je parviens à l’orgasme après une lente et irrémédiable montée au plaisir. Comme si j’avais senti la moindre progression du plaisir en moi. Ma jouissance est phénoménale et d’une longueur rarement atteinte.

Je m’affale sur le lit, hagard, à bout de souffle. Je ne respire pas, j’halète. La sueur colle à mon corps, des gouttelettes coulent le long de mes tempes. Je me tourne vers Koliza. Même regard éberlué, même souffle court, même moiteur du corps. Elle se tourne, lumineuse :

— Il vient de se passer quoi, là ?

Les yeux au plafond, allongé dans son lit, je viens de coucher avec Koliza et j’ai pris un pied géant. Les yeux au plafond, je sais que ce rapport sera suivi de quelques autres. Peut-être de quelques dizaines. Peut-être de quelques centaines. Les yeux au plafond, j’envisage que Koliza soit la dernière.

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