L’histoire que je vais vous raconter se déroule deux ans auparavant. J’avais à l’époque 16 ans (et toutes mes dents) et étais déjà très porté sur le sexe.
Étant fan d’Eminem, je trainais souvent sur quelques forum au sujet de mon idole. J’aimais parler de musique avec des gens qui avaient les mêmes goûts que moi et je faisais régulièrement de petites rencontres sympas mais qui restaient virtuelles. Jusqu’au jour où je rencontrai une jeune fille fort sympathique qui m’attira immédiatement. Nous nous sommes mis à parler très régulièrement et les conversations dévièrent au fur et à mesure vers un domaine que nous adulons tous ici : le sexe.
Je pensais vraiment que notre relation resterait simplement virtuelle, elle habitait dans le Nord, moi dans l’Ouest (Breton et fier!) et contrairement à ce qu’on croit lorsque est jeune, sa majorité ne la rendait pas libre au point de pouvoir venir me voir à sa guise. De plus, elle avait un copain (horriblement jaloux et possessif) depuis 3 ans mais nous verrons par la suite que l’on ne possède jamais une femme.
Je continuais donc de parler à cette jeune fille (ou plutôt cette jeune femme au vu de ses 24 années) nommée Jade. Au bout de quelques semaines, alors que je commençais petit à petit à me lasser, elle m’envoya un message pour me dire qu’elle s’était résolument décidé à venir me voir. J’acceptais avec joie puis nous fixions une date pendant mes vacances. Vous noterez au passage que je n’étais pas du tout inquiet à l’idée de rencontrer une inconnue qui aurait pu être un vilain pédophile (ah si ma mère avait su).
Le jour J je préviens donc ma mère que j’allais voir un ami toute la journée et je m’enfuis du domicile familiale tout excité. Je la retrouvai dans un parking de mon petit village, un pneu en moins. Je vous passe les détails d’un début d’aprèm assez passionnant dans lequel je me suis transformé en garagiste.
Bref après avoir causé, nous décidâmes de nous évader un peu et elle m’emmena dans les campagnes au volant de sa magnifique Opel Corza blanche doté d’un pneu tout neuf (ah le romantisme du 21ème siècle). Elle s’arrêta dans un endroit calme, isolé et ma foi plutôt joli puis se retourna vers moi pour me lâcher un :
– J’ai envie de toi.
A cette époque j’ai 16 ans, je traverse une petite période de vide niveau sexe et je suis tout seul dans une voiture avec une belle blonde de 24 ans au visage d’ange et aux courbes parfaites qui me fixe de ses beaux yeux verts remplis de désirs après m’avoir dit quelque chose qui ne laisse aucun homme insensible. Évidemment je ne suis pas partis en courant !
Et même si j’avais voulu je n’aurai pas eu le temps. A peine ces quelques mots dits que notre jolie jeune femme se rua vers mon jean qui menaçait de craquer sous la pression de mon sexe et le retira. Je me retrouvai donc en boxer. Cela ne dura pas longtemps puisqu’elle arracha presque le dernier rempart de tissu entre cette tigresse et mon sexe. Elle ne laissa pas le temps à mon sexe d’attraper froid puisqu’elle le couvrit immédiatement de sa douce et chaud bouche. Et là commença la meilleure fellation que je n’ai jamais connu. Elle fit glisser sa langue le long de ma hampe jusqu’au gland qu’elle goba. Je sentais sa langue virevolter et mon plaisir bondir. Puis elle avala presque entièrement mon sexe qui était pourtant de taille raisonnable. Je posais ma main sur sa tête et lui caressais doucement les cheveux pendant qu’elle me montrait ses talents et son expérience. Je gémissais de plus en plus. Elle s’arrêta, me regarda avec ces yeux qui trahissaient son amour passionné pour le sexe puis me demanda d’une voix lente et sensuelle :
– Alors, que penses-tu de mes talents de suceuse ?
– Hmmm continue ma petite cochonne !
– J’aime quand tu me parles comme ça, me dit-elle avant de replonger sur mon sexe en feu.
Évidemment à ce rythme là je sentis rapidement la sève monter.
– Hmm je vais jouiiiir tu es tellement douée !
– Ooooh vas-y, lâche toi, vide toi dans ma bouche de salope ! J’ai envie de goûter à ton sperme !
Elle accéléra la cadence et quelques gémissements plus tard je me vidai complètement dans sa bouche.
Elle me regarda, espiègle puis ouvrit la bouche pour me montrer mon sperme avant de l’avaler.
Désirant lui rendre la pareille je la fis s’asseoir sur la banquette arrière puis me jetai sur son cou que je dévorai sauvagement. Je l’embrassai tout en retirant son haut, libérant deux magnifiques boules de chaires bien fermes. Je me dirigeai vers ses mamelons que je mordillai doucement. Elle gémis en glissant ses mains dans mes cheveux. Je continuai à descendre puis remontai sa jupe avant de me jeter sur son beau sexe rasé.
– Ooooooooh oui vas-y ! Bouffe moi la chatte !!
Je m’appliquai donc à lui rendre l’immense plaisir qu’elle m’avait offert avec sa bouche. Je commençai par donner de grands coups de langue le long de sa fente avant d’enfoncer deux doigts dans son vagin et aspirer son clitoris. Elle gémit de plaisir en poussant mon visage contre son sexe :
– Haaaaaaan ouiii on ne m’a jamais aussi bien lécher ! Continue ! Ne t’arrête surtout pas ! Fais moi du biiiien !
Je continuai mes folies buccales quand soudain son portable sonna, le nom de son mec apparu. Ce gros chieur. Elle avait déjà eu du mal à venir me voir parce qu’il était très jaloux et détestait ne pas pouvoir contrôler sa vie. Si elle ne répondait pas il allait probablement péter les plombs. Elle décrocha donc.
Alors je ne sais pas si c’est de la cruauté naturelle mais le fait de savoir que je lui dévorai le minou pendant que son mec lui demandait si tout se passait bien décuplait mon excitation.
– Allô chérie ? Tout se passe bien ? Tu n’as pas eu de problèmes ?
– Hmpff.. Non.. Non aucun problème ! Oh si j’ai crevé sur la route mais rien de gra..hmm-ve !
J’enfonçai ma langue dans son sexe et la tournai dans tous les sens pendant que mes doigts jouaient avec son clito. Elle avait de plus en plus de mal à se retenir d’hurler son plaisir.
– Oui je ne.. hmm rentrerai pas… hmm tard c’est promis !
J’écartai ses deux lèvres et commençai à laper sauvagement sa vulve mouillée de plaisir.
– Haaaaaaaaaaaaaaaaaaan !
– Chérie ? Qu’est-ce qui t’arrive ?
– Hmmm rien ! Je me suis cogné le genou !
– D’accord. Bon je vais te laisser, à ce soir mon amour, je t’aime !
– A ce soir ! Hmmpff je t’aime !
Elle raccrocha puis hurla tout son plaisir contenu.
– Petit salopard, j’ai failli craquer tu es trop boooon !! J’en peux plus, prends moi je t’en supplie !
Je la fis donc sortir de la voiture et l’allongeai sur le capot. Je posai mon gland à l’entrée de son antre brûlante puis m’enfonçai d’un coup, lui arrachant et cri de plaisir. J’entamai de longs et puissants va-et-vients, encouragé par ses gémissements et les insanités qu’elle hurlaient qui m’excitaient tant.
– Vas-y Arthur ! Bourre-moi la chatte ! Défonce moi avec ta grosse bite !
Je m’appliquais, variant les rythmes, ralentissant avant d’accélérer plus que jamais, variant la profondeur de mes coups de reins, bref je voulais vraiment bien faire ! Cela payais puisqu’elle n’en pouvait plus.
– Continuuuuue ! Ça t’excite de défoncer une grosse salope comme moi ? Baise moi ! Baise ta petite chienne ! Je suis ta pute !!
– T’aime ça hein cochonne ? T’aime ma bite ??
– Oh oui je l’adore !! Rentre la encore pluuuuus !
Je la limais encore un petit quart d’heure avant de la retourner pour la prendre en levrette. Je voulais m’occuper de ce cul de déesse que j’admirais depuis tout à l’heure. Sentant que je préparais son petit trou elle essaya de se débattre.
– Non pas par là, tu es trop gros ça fait longtemps que personne n’est passé ici, mon mec aime pas !
Je lui administrais une grosse claque sur les fesses à laquelle elle répondit par un petit gémissement puis posa mon gland sur sa rondelle avant de m’y enfoncer d’un coup. Elle hurla de douleur mais je continuai mes va-et-vients rapides et brutaux tout en lui donnant quelques fessées de temps à autres. Ses cris de douleurs disparurent, remplacés par des hurlements de plaisir.
– Haaaan mon salop vas-y défonce moi le cul ! Encule moi je suis ta salope ! Plus fort ! J’aime vos fessées Maître !
Après plusieurs orgasmes chacun je m’affalai sur elle, vidé dans tous les sens du terme.
Elle rentra ensuite chez elle dans la soirée. Je la revis de nombreuses fois et la revois encore aujourd’hui, elle est devenue mon esclave sexuelle et nous avons exploités l’univers du sexe de toutes les manières possibles et imaginables. Mais ça ce sera peut-être pour une autre histoire !
Arthur.