Thierry, mon homme venait de changer de travail et il n’avait pas de congés cette année. Alors, je suis partie seule en vacances avec notre fille. Ma belle mère nous avait prêté son bungalow quelle avait sur la côte. Comme ça mon homme pouvait venir nous rejoindre les week-ends.
Chaque après midi, ma fille allait au club samuser avec dautres enfants du camping. Depuis presque trois jours la pluie tombait, privée de plage, je regardais des émissions sans importance à la télévision.
Un matin, en allant chercher le pain, jai rencontré Roger, notre ancien voisin de palier. Cétait un homme tout à fait quelconque, bien enveloppé, la soixantaine passée. Nous avons parlés de la pluie et du beau temps, puis chacun est partit de son côté. En début daprès midi, pendant que je regardais la télé, on a frappé à la porte, cétait Roger, qui mapportait quelques coquillages quil avait péché le matin. Pour le remercier, je lui ai offert un café. Sa discussion, ses souvenirs de « guerre », etc., mennuyait profondément. De plus, assis en face de moi, il reluquait mes jambes en se tordant le cou pour essayer dapercevoir ma culotte. Je me suis absentée quelques instants, pour aller aux toilettes.
Au moment de me rhabiller, par provocation, je décidais de ne pas remettre ma culotte. De nouveau assise en face de lui, pour tromper mon ennuie, je me suis amusée à lexciter. Je me suis assise de telle manière quil pouvait voir que je ne portais pas de culotte. Je faisais semblant de mintéresser à sa conversation, il avait du mal à garder les yeux sur mon visage. Il était devenu rouge, une bosse déformait son pantalon, jétais contente de moi.
Il a souhaité un autre café, je suis allée lui préparer. Jétais debout entrain de le préparer, quand Roger sest levé. Il avait les yeux brillant dexcitation. Plus il sapprochait de moi, plus je reculais. Je me suis retrouvée collé contre la paroi du bungalow. Roger était rouge dexcitation. Il me faisait peur, javais été trop loin. Son corps bedonnant touchait le mien. Je nosais pas bouger. Sa main droite passait sous ma jupe, jallais crier mais sa main gauche obstruait ma bouche. Deux de ses doigts fouillaient ma chatte. Il a retiré sa main gauche de ma bouche en me demandant de me taire. « Fallait pas jouer avec moi, salope ! », mavait-il dit. Il a baissé son short et son slip. Ses deux mains attrapaient mes fesses, il se collât à moi, son gland était en contact avec ma chatte. Avec sa main droite il le dirigeait et dun coup il ma pénétrée. Debout, accolé à la paroi, il allait et venait en moi fougueusement. Son sexe avait lair énorme, ma chatte shumidifiait au fur et à mesure de lintensité de ses coups de reins. Je me suis surprise à prendre du plaisir.
Mes mains immobiles jusquà maintenant, entouraient son cou. Il avait du mal à rester debout. Il sest retiré, il a pris mon bras et nous sommes retournés sur le canapé. Effectivement son sexe était beaucoup plus gros que celui de mon homme. A sa demande, je me suis mise à quatre pattes, il sest placé derrière moi et il ma prise en levrette. Dans la glace collée à la paroi, je voyais son vieux corps prendre possession du mien.
Il me baisait ardemment avec des propos salaces. "Prends ça, salope !", et ça attisait mon excitation. J’appréciais de me faire baiser par Roger. Jai jouis une première fois sous ses assauts. Il continuait de saffairer en moi, je décollais sous ses coups de reins, qui étaient de plus en plus rapide, de plus en plus violent. Le plaisir montait à nouveau, je criais, jhurlais de plaisir. Il ma offert un second orgasme, il a jouis à son tour, remplissant ma chatte de sa semence.
Il sest rhabillé et il est partit sans un mot. Jétais avachie sur le canapé, javais limpression davoir rêvé, mais son sperme qui coulait le long de mes cuisses ma rappelée à la réalité. Je suis allée me doucher avant que ma fille ne revienne. Curieusement, je ne me sentais pas coupable de se que je venais de faire.
En fin de journée, en allant faire des courses au supermarché du coin, j’ai rencontré Roger en compagnie de sa femme. J’ai essayé de les éviter, mais rien a faire. Nous avons discutés un petit moment, Roger me regardait en souriant, j’étais mal à l’aise. Sa femme est partie rejoindre une amie, je me suis retrouvée seule quelques secondes, il a glissé des bas dans mon panier en me disant que je serais encore plus belle demain, pour notre rencontre. J’ai rougie et je me suis surprise à mouiller.
Le soir, une fois seule dans ma chambre, je me suis allongée sur le lit, je me suis caressée en repensant à cette folle journée, et je me suis endormis après avoir jouis.
Le lendemain, comme chaque après midi, j’ai amené ma fille au club. De retour au bungalow, j’ai enfilé une robe légère et les bas que Roger avait mis dans mon panier. Je ne portais aucun sous-vêtements. Environ une demie heure plus tard, Roger frappait à la porte. Dès que j’ai ouvert la porte, avant même de me saluer, il a soulevé ma jupe pour voir si je portais une culotte. Puis nous sommes allés dans la chambre. Il m’a collé contre le mur, nous nous sommes embrassés fougueusement, pendant que ses mains se perdaient sous ma jupe. C’était si intense, que je perdais le contrôle de mon corps. Roger a retiré ma robe, il a baissé son short en me demandant de le sucer. Je me suis agenouillée et j’ai avalé sa queue. Pendant que je le pompais, il me parlait crûment, ce qui me rendait folle d’excitation. Soudain, il a jouis dans ma bouche, je voulais me retirer, mais il tenait fermement ma tête en me disant : « Avale, salope ! ». Pour la première fois je goutais du sperme, je n’ai pas trouvé ça désagréable.
Il s’est retiré de ma bouche, je me suis relevée et il m’a allongé sur le lit. Il a enfouis sa tête entre mes jambes et il a fouillé ma chatte avec sa langue. C’était divin. Tout en me bouffant la chatte, il me caressait les seins. Mon bassin ondulait au rythme de ses coups de langues. Ne tenant plus, j’ai jouis violemment. Roger avait repris de la vigueur, il m’a mise à quatre pattes et il m’a prise en levrette. Je n’étais plus moi même, je n’étais plus que plaisir. Je le suppliait de me défoncer, il allait et venait fougueusement en moi, m’arrachant des râles de plus en plus fort. Je gémissais au rythme de ses coups de queue. Vaincue, il m’a offert un second orgasme aussi violent que le premier. Roger m’a suivi de peu, remplissant ma chatte de son liquide. Fatigués, nous sommes restés un moment allongés l’un a côté de l’autre. Puis Roger a pris une douche, s’est rhabillé et il est retourné voir sa femme.
Les jours suivants, chaque début d’après-midi, Roger venait me retrouver et nous passions une bonne partie de l’après midi à baiser. Mon homme est venu nous retrouver le vendredi soir et trouvait que je n’avais pas beaucoup bronzé. Roger nous a invité à prendre l’apéro. J’étais mal à l’aise, surtout qu’il m’avait demandé de ne pas porter de culotte sous ma robe. Ce que j’ai fais. Roger a félicité Thierry d’avoir une aussi belle femme. Il était près de 23 heures, mon homme fatigué par la route a souhaité aller se coucher. J’allais partir avec lui, mais il m’a dit que je pouvais, si je le souhaitais rester discuter avec Roger et sa femme. Mon amant m’a fait comprendre qu’il voulait que je reste. Thierry est partit avec notre fille dormir au bungalow. La femme de Roger est aussi allée se coucher quelques minutes plus tard. A sa demande, j’ai suivi Roger dans la forêt et c’est contre un arbre qu’il m’a baisé. Le lendemain matin, mon homme voulait faire l’amour, comme je ne voulais pas faire de bruit, je me suis couchée avec le sperme de Roger en moi. Thierry est venu sur moi et nous avons fais l’amour. J’ai pris beaucoup de plaisir dans ses bras.
L’après midi, nous sommes allés à la plage. Roger et sa femme sont venus s’installer à côté de nous. Discrètement, Roger m’a dit qu’il m’avait entendu jouir dans les bras de mon homme et que ça l’avait terriblement excité. Je suis allée me baigner, Roger n’était pas loin de moi. Je sentais ses mains sous l’eau caresser mon sexe a travers mon maillot de bain. Et ça m’excitait. Je suis sortie de l’eau, j’ai prétexté que j’avais oublier quelque chose au bungalow. Roger est venu me rejoindre quelques minutes plus tard et nous avons baisés. Je suis retournée à la plage, rempli du sperme de mon amant.
Dimanche soir, Thierry a repris la route. Jusquà la fin de mon séjour, chaque après midi, Roger venait me rejoindre au bungalow. Parfois, tard le soir, il frappait à ma fenêtre et je le retrouvais dans la forêt. Je prenais beaucoup de plaisir dans ses bras. Je n’ai jamais revu Roger et il restera un bon souvenir.