Emilie passe devant moi. Je suis assis dans le canapé du salon et je la regarde. Elle est belle, dans sa robe pull jaune. Elle a dix sept ans, et j’en ai seize. Elle est plate comme une crêpe, très grande, des petits seins presque inexistants, de toutes petites fesses un peu rebondies, décidément, ma cousine me fait bander.
Je crois qu’elle le sait parce qu’elle repasse toujours devant moi avec plus d’insistance et me regarde avec ses grand yeux bruns, brillants. Sous son pull, ses fesses se laissent voir par transparence, je trouve cela délicieux. Comme nous passons l’après midi seuls, nous décidons de jouer aux dés.
Après plusieurs minutes à rire et s’amuser, nous disons que celui qui tire le chiffre le plus petit se déshabille à chaque fois d’un vêtement. Je tire le quatre, Emilie tire le 6. Au revoir mon tee shirt. Je fais un cinq, Emilie un six de nouveau. Je ne fais que perdre et me retrouve en slip…
Puis je fais un cinq et Emilie un quatre. Elle se lève doucement et enlève sa robe délicatement. Elle défait ses manches le vêtement tombe sur ses seins, découvre ses minuscules tétons roses, son ventre et son sexe dévêtu. Elle n’avait pas l’air de se rendre compte qu’il lui manque une culotte. Elle avait enlevé un seul vêtement et se retrouvait nue comme un vers devant moi, sa chatte rasée impeccablement à la hauteur de mon visage. Je m’enivrais de bonheur.
Elle s’approchait peu à peu de moi, pris mon slip en me disant, "j’ai perdu" avec sa voix mielleuse. Nous nous retrouvions nus, l’un en face de l’autre. Naturellement, nous nous sommes embrassés, d’abord timidement, puis longuement. Nous nous bavions littéralement dessus.
Nous sommes tombés l’un sur l’autre dans le canapé et comme happée, elle quitta ma bouche de la sienne pour prendre mon sexe sur la langue, ce qui me provoqua des tremblement. Elle léchait mon épais membre avec envie et me disait qu’elle en rêvait depuis longtemps. Elle suçait mon sexe comme une friandise et je ne mis pas longtemps à éjaculer dans sa bouche en poussant un cri puissant. Elle avala mon sperme avec un fort bruit de déglutition puis s’assied sur mon visage.
Sa chatte brûlante, ruisselante et collante de mouille entrait dans ma bouche et se répandait sur mon visage, son délicieux jus de minou m’abreuvait abondamment, pendant que je lui bouffais le clitoris, mon nez collé à son anus.
Après avoir joui et s’être déversée de toute sa jouissance, elle me chevauchait d’un geste et s’empala sur mon pieu d’un mouvement brusque. Je jouis instantanément et comme par magie, je ne débandais pas, je reste fort et la pénètre plus profondément encore et longtemps jusqu’à lui déchirer d’immenses cris de joie. Dans sa jouissance elle laisse échapper un long jet liquide qui me réchauffe encore la bitte. Elle se retire puis engouffre à nouveau mon sexe dans sa bouche comme pour le nettoyer.
Je la retourne, elle est allongée sur le ventre, je présente ma queue devant son anus un peu dilaté, je force, j’ouvre, elle me dit viens. Alors je viens. Mon sexe est emprisonné dans la chair de ma cousine, chaques coussinets de viscère intérieur, chaques cellules se contractent contre ma verge. C’est doux et serré, c’est chaud, c’est brûlant. Elle a une main sur sa chatte. Je regarde son dos, je fais de longs va et vient pour ne pas jouir trop vite, je profite de l’instant, je regarde mon sexe entrer et sortir de son anus qui commence à juter. Je me retire je mets ma langue dans sont petit trou, je bois, puis je remet mon sexe à l’intérieur pour envoyer un long jet de sperme. Elle crie de joie, son clitoris est gros comme une pomme, gorgé de sang, elle jouit un instant après.
Nous allons prendre une douche. Je la nettoie, elle me nettoie. Nous nous caressons, longtemps sous les jets de l’eau chaude. Nous nous embrassons encore et encore. Elle reste dormir à la maison toute la semaine de Noel.
Mes parents rentrent des courses, nous sommes déjà rhabillés. Ce n’est pas grave vu que nous dormons dans la même chambre avec ma cousine. Le seul problème c’est que je l’aime. Comme un fou.
