L’anneau de domination
Chapitre 1- la découverte de l’anneau
Je me présente, Julien, 23 ans, je suis à la fac et je suis très ami avec Sylvie, la "bombe" de la promo.
Je suis grand, châtain de cheveux, assez musclé, et on dit que je suis charmant mais je ne suis pas très à l’aise avec les filles. Sylvie, elle, est plus petite que moi et est très brune, a les cheveux bouclés, elle a un visage à faire craquer n’importe quelle garçon, elle est d’ailleurs actuellement en couple. Elle a les yeux bleu azur, des levres pulpeuses, un petit nez et des faussettes qui creusent ses joues quand elle sourit. Son corps est, lui aussi irrésistible, des seins bien fermes, des courbes ravissantes et un petit cul bien moulé par ses mini shorts.
Inutile de préciser que je fantasme sur elle depuis qu’on se connait, c’est à dire depuis maintenant 3 ans. Je n’ai jamais eu le courage de lui dire en face que je l’aimais, qu’elle me faisait craquer. Elle s’est liée d’amitié pour moi quand nous avons révisés ensemble la philo, sujet dans lequel j’excelle, ce qui n’était pas son cas.
Depuis, je suis passé dans sa friendzone, cette fameuse zone maudite dont on ne sort jamais, pour mon plus grand malheur. j’aurais bien voulu, moi aussi faire parti de ses prétendants dont la liste était sans fin, et moi aussi, tenter ma chance avec elle, comme tous ceux qu’elle avait connu. Mais non, j’étais voué à me masturber seul dans ma salle de bain en pensant à elle.
Mais un jour, un évenement à changé ma vie.
C’était un dimanche, Sylvie était passé chez moi pour réviser car les exams finaux approchaient. Je lui parlais de l’épicure, de la luxure, elle avait l’air passioné.
"Alors la luxure c’est de rechercher le plaisir partout c’est ça? me demanda-t-elle
Oui, sous toutes ses formes… parfois sexuelles, lui répondis-je, et pris d’un soudain élan de courage ,je posai ma main sur sa cuisse, ca te dirais de le rechercher avec moi?
Qu’est ce qui te prend Julien? me demanda-t-elle, inquiète, en tentant de repousser ma main.
Continuant sur ma lancée je remontais un peu ma main sur sa cuisse jusqu’à atteindre son mini short.
"allez! j’en rêve depuis si longtemps… Je ne sentis pas la giffle arriver, je fus etourdi par la douleur pendant que Sylvie, s’en allait de chez moi en pleurant. Elle avait oublié ses affaires.
Le coeur brisé, démoralisé, encore étourdi par la giffle, je sortit de chez moi en claquant la porte. Je marchai alors sans but en repensant à ma stupidité, j’avais perdu Sylvie. Je m’assit sur un banc dans un parc, en regardant mes chaussures. Un objet brillait dans le sable du parc. Intrigué, je m’approchais, et remuant le sol du pied je sortis un curieux objet doré; on aurait dit une sorte d’anneau, mais il possédait une forme plus cylindrique, l’anneau couvrait ainsi toute une phalange. L’anneau portait des inscriptions à moitié effacées, c’était, pour sur, un anneau très ancien. Parmi ces incriptions j’arrivai à déchiffer "D O M I N E", puisant dans ma mémoire du collège je me rappelai que cela voulait dire "maitre" en latin. L’anneau était très joli, aussi me décidais-je à l’offrir à Sylvie pour me faire pardonner. Je savais qu’elle ne serait plus jamais mon amie comme elle l’était, mais au moins elle m’oubliera au bout d’un temps. Et puis je profiterais de l’occasion pour m’excuser aprement.
Arrivé dans la rue de Sylvie, je décidai de m’arrêter un instant pour réfléchir à ce que j’allais dire.
"je suis vraiment désolé Sylvie, je suis vraiment un gros con, je ne sais pas ce qui m’a pris. Je ne m’attend pas à ce que tu me pardonne mais si tu veux tu peux toujours venir réviser chez moi… Je voulais t’offrir cet anneau…" En me rappelant de l’anneau je le sorti de ma poche et me mit à le contempler. Puis je voulut d’abord l’essayer. Au moment où il fut posé sur mon doigt je ressentit comme une décharge dans ma tête.
Sur le seuil de la porte je me mit à sonner deux fois, comme d’habitude. C’est Mélissa, sa colocataire qui m’ouvrit. quand elle me reconnu, elle cria "Sylvie c’est pour toi!" puis rentra.
Quand sylvie m’apperçut, je lut de la colère sous ses yeux.
"Je suis vraiment désolé sylvie, je suis vraiment un gros con, je…
Ouais t’es vraiment un gros con!" me hurla-t-elle, en claquant la porte sur mon nez.
Heureusement je retint la porte avec mon pied "attend reviens! lui hurlai-je en retour.
Elle avait l’air furieuse, mais curieusement, elle revint sur ses pieds. Elle avait l’air surprise par ce qu’elle venait de faire. "Quoi qu’est ce que tu veux, julien?
Viens me parler, je suis désolé, je n’aurais pas du faire ça…"
On lisait sur son visage qu’elle n’avait qu’une envie c’était de me giffler de nouveau et de repartir, mais m’accompagna tout de même dehors. On s’est assis sur un banc et j’ai commencé à m’excuser platement. Malgrès ce que j’étais en train de dire, je ne pouvait m’empêcher de jeter quelques coups d’oeils brefs sur son décolleté plongeant. À son tour, elle me parlea et m’expliqua qu’elle était très déçue de mon attitude, qu’elle me prenait pour un ami, mais que maintenant elle me prenait pour un vicelard incapable de ressentir des émotions. Elle prononçait ces mots avec animosité, on voyait que je la dégoutais. Je lui fit remarquer que d’habitude elle gardait ses reflexions désagréables pour elle, qu’elle n’aurait pas du venir juste pour me dire cela.
"Mais tu me l’as demandé!" me répliqua-t-elle.
Ça ne lui ressemblait pas trop d’obéir à ceux qu’elle n’aime pas. Je remarquais aussi qu’elle s’était montré craintive quand je m’étais énervé à un moment, alors qu’elle aurait dû se montrer encore plus fachée comme elle le faisait d’habitude quand elle souhaitait intimider.
En revenant chez moi je fis un lien avec l’anneau que j’avais gardé sur mon doigt, serait-ce lui qui m’aurait donné cette aura? Pour le vérifier je procédai alors à un petit test. J’abordai un passant en lui demandant: "Bonjour monsieur pourriez vous me donner dix euros s’il vous plait?
Ce dernier me regarda comme un extraterrestre "et pourquoi vous donnerais-je cette somme?
Ça n’avait pas marché.
J’eus soudain une idée, j’interrompis le même patient qui s’était écarté de moi à grand pas:
"Encore vous, me fit-il!
Oui monsieur répliquai-je, donnez moi dix euros.
L’homme sortit alors de sa poche son porte-monnaie et, tout naturellement, me tendis un billet de dix euros.
Il était tard, j’étais encore tout sourire de ma découverte. J’avais bien fait de ne pas l’offrir! Mon anneau ne m’avait pas quitté depuis cet après-midi. J’allais faire de grandes choses avec cet objet, c’était une certitude. Je pensais alors à demain. C’était lundi. Je pensais alors à Sylvie, j’allais procéder à la masturbation quotidienne en pensant à elle et puis je me dis "Garde ton sperme pour demain tu en auras besoin."