Lundi, chacun revient à ses activités : Florent à la Fac, Karine au bureau (elle est secrétaire dans un cabinet d’assurances).
Comme le lui a ordonné Florent, Karine s’est bien introduit le mini-gode dans la chatte pour le garder toute la journée.
Le lundi, traditionnellement, la directrice du Cabinet où travaille Karine, Sophie Leclerc, réunit ses collaborateurs pour faire le point sur les dossiers en cours.
Sophie est une très belle femme, cadre dirigeante dynamique, toujours très élégante dans une tenue stricte, tailleur noir, corsage blanc dilaté par une poitrine généreuse, bas noirs et talons hauts, maquillage discret mais très en accord avec la personne, lunettes fines sur les yeux. Elle est coiffée d’un chignon délicatement organisé sur sa chevelure noire.
Avant ses aventures sexuelles déclenchées par son fils Florent, Karine ne prêtait pas attention outre mesure à la plastique de sa directrice. Elle la trouvait effectivement jolie et très classe mais cela s’arrêtait là. Aujourd’hui, son regard est différent.
Subitement, pendant la réunion, Karine ressent une sensation étrange dans son bas-ventre, des pulsations et un léger picotement. Absorbée par le contexte de la réunion, elle avait oublié le gode dans son vagin. La vibration s’intensifie, elle passe la main discrètement sous sa jupe et tire légèrement sur le fil relié au gode pour le rapprocher de son clito. Elle a droit à une véritable masturbation qui lui fait croiser puis décroiser les jambes. Au bout de cinq bonnes minutes, l’orgasme monte et en fermant les yeux, Karine jouit intensément mais discrètement. Elle est complètement déconnectée de la réunion. Quand elle rouvre les yeux, elle s’aperçoit que sa directrice la regarde d’un air inquisiteur. Karine fait un signe de tête pour signifier que tout va bien.
La réunion terminée, Sophie la directrice demande à Karine de venir dans son bureau.
« Que vous arrive-t-il Karine ? Asseyez-vous. Jai eu l’impression que vous aviez un moment de faiblesse pendant la réunion ? »
« C’est vrai Madame, j’ai eu un week-end agité et j’ai ressenti une certaine fatigue un instant mais je vais mieux et je vous prie de m’excuser »
« Vous êtes tout excusée, je suis rassurée. Je suis tout à fait satisfaite de votre travail, je vous trouve très agréable et votre tenue, quelques fois un peu sexy me plaît beaucoup. »
« Vous aussi Madame vous êtes toujours très élégante et je sais que mes collègues masculins vous trouvent également très sexy »
« Pas vous ? »
« Je ne me permettrais pas Madame, du moins de vous le dire »
« Vous pouvez me le dire si c’est le cas. Appelez-moi Sophie, ce sera plus sympa »
La Directrice qui ne s’était pas mise derrière son bureau était assise en face de sa collaboratrice, sa jupe très courte s’était retroussée sous l’effet de la position et on devinait le haut brodé de ses bas. Karine essayait de détourner son regard de ces jambes au galbe parfait mais y revenait souvent.
« Je vois que vous aussi, comme vos collègues, votre regard est attiré par mes jambes. Elles vous plaisent ? »
« Vous me provoquez Madame, heu… Sophie, c’est vrai je vous trouve très excitante »
Sophie se lève de sa chaise, vient se placer derrière Karine et pose ses mains sur ses épaules.
« Vous semblez avoir une très jolie poitrine Karine »
Les mains de Sophie descendent lentement vers cette « jolie poitrine » jusqu’à s’insinuer à l’intérieur du corsage. Karine qui sentait venir une agréable sensation tourne la tête vers sa directrice, sa bouche semblait appeler une autre bouche. Sophie sort une main du corsage de son employée pour lui prendre les cheveux et plaquer ses lèvres pour un baiser passionné. Les langues fouillent littéralement les bouches.
« Lève-toi Karine, je veux te caresser partout et toi aussi caresse-moi, prend mes seins, prends mes cuisses, remonte sur ma chatte, j’ai envie de toi »
Catastrophe ! Linterphone sonne ce qui interrompt le petit jeu.
« Madame, Karine doit être dans votre bureau ? Jai un client qui attend depuis un petit moment et c’est elle qui a son dossier »
« Je la libère, elle arrive »
« Reviens quand tu pourras tu m’as trop excitée »
Un nouveau baiser sur la bouche, Karine passe rapidement la main sur l’entrecuisse de Sophie et constate que sa culotte est énormément mouillée puis elle revient à son bureau. En fait elle n’est pas mécontente de cet intermède car elle craignait que les caresses ne viennent sur sa chatte et que sa directrice découvre le gode. Elle fait donc un bref passage aux toilettes et se libère du mécanisme qui pour l’instant est au repos.
L’heure de la pause de midi arrive, Karine vient juste de terminer avec son client. Elle prévient sa directrice pour lui dire qu’elle déjeune à la cafétéria avec ses collègues.
Tout le monde est de retour à 14h. Sophie a laissé un mot pour indiquer qu’elle serait en clientèle cet après-midi.
La journée de travail se termine normalement.
18h Karine rentre à l’appartement. Florent est de retour, il est dans sa chambre.
« Florent, tu travailles ? »
« Oui maman demain on a un partiel de philo, je descendrai juste pour dîner rapidement, je me ferai un sandwich ne t’inquiète pas pour moi »
La soirée s’annonce donc assez calme.
Effectivement, Florent fait juste un bref passage en cuisine. En remontant dans sa chambre, passant près de sa mère il lui passe une caresse appuyée sur les fesses.
« Alors maman Karine, ton petit cul bien dodu va bien ? Ce soir je bosse, demain on se rattrapera. Si tu as envie, je t’autorise à te branler jusqu’à demain soir. »
« Travaille bien mon chéri »
Après son repas en solitaire, Karine s’installe devant la télé dans le salon. Elle ne prête qu’une attention toute relative à l’émission de variétés qui se déroule. Tout s’emmêle dans sa tête. La rencontre très spéciale avec Liliane et son frère, la découverte de la face cachée de sa directrice, la découverte de son fantasme pour se gouiner. C’est surtout le début d’aventure avec Sophie qui lui revient en permanence. La verra-t-elle demain ? Que se passera-t-il ? Elle se fait un petit film d’une future rencontre. Elle ferme les yeux.
Sophie est assise dans son fauteuil de bureau, en soutien-gorge bas et porte-jarretelles, les cuisses écartées en train de se branler et lui tend la main pour qu’elle vienne la rejoindre.
« Mets-toi à quatre pattes et rampe jusqu’à moi pour venir me sucer la chatte »
Karine s’exécute en prenant soin de laisser ses seins frotter sur le carrelage pour une meilleure excitation. Elle a entre les dents le double dong. Arrivée près de Sophie, comme dans un rêve interrompu, elle ouvre les yeux, tout s’efface.
Le programme de télé est terminé et l’extinction programmée du téléviseur a plongé le salon dans l’obscurité.
Karine se rend compte que sa culotte est trempe et qu’elle a abondamment mouillé le canapé. Déçue de ce rêve avorté, elle entreprend de se masturber avec les doigts mais ça ne lui suffit pas, elle monte dans sa chambre retrouver son double dong. Elle se met nue sur son lit et comme hier, elle s’enfile l’objet un bout dans la chatte puis l’autre dans le cul. Elle n’a pas la télécommande mais fait jouer les deux bouts à la main tout en se frottant sur le dessus-de-lit. Comme elle était très excitée, l’orgasme ne tarde pas à venir, elle explose en émettant un fort jet de cyprine. Fatiguée, elle s’endort jusqu’au petit matin.
C’est Florent qui la réveille sans entrer dans la chambre. Elle a toujours le jouet enfoui dans ses entrailles mais pas question d’une branlette, il faut se préparer pour aller au bureau.
Florent a déjeuné en vitesse et avant de partir, lui demande si elle a passé une bonne nuit.
« Un peu seule sans ta queue mais nous verrons plus tard. Pense à ton interro. Bonne chance »
Arrivée au Bureau, Karine fait la bise à tout le monde comme à son habitude, y compris à la patronne. Elle scrute une réaction de Sophie mais rien. Dans la matinée Sophie porte un dossier à Karine et lui glisse à l’oreille :
« Les seins de Karine se portent toujours bien ? Viens me voir cet après-midi »
Les mardis le bureau à l’habitude de déjeuner au grand complet dans un petit restaurant proche de l’agence, (Quatre employés plus la directrice)
A 12h30 le petit groupe est installé. Sophie fait face à Karine. Les discussions sur l’actualité vont bon train. De temps en temps, Karine sent un pied qui lui caresse les jambes, comme elle se doute de la provenance, elle écarte les cuisses et regarde fixement sa directrice. Il lui tarde que le repas soit terminé pour revenir au bureau et voir la suite.
Un peu avant la fin de la journée, Sophie appelle Karine à l’interphone.
« Oui Madame »
« Apportez-moi le dossier que je vous ai remis ce matin, il faut qu’on étudie mieux les circonstances de cet accident pour fixer le montant de l’indemnisation. »
Le dossier sous le bras, Karine entre dans le bureau sans frapper.
« Voilà Madame, je n’ai rien trouvé d’anormal »
« Venez près de moi, je ne vous ai pas fait venir pour que vous m’appeliez Madame. Nous allons travailler ce dossier jusqu’à ce que vos collègues aient débauché. »
L’invitation est très claire.
Karine s’est rapprochée de Sophie qui tout en tournant les pages du dossier lui caresse les jambes jusqu’à atteindre le haut des cuisses.
« Tu n’as pas de culotte petite salope ? »
« Non Sophie, je me suis préparée en pensant que nous reprendrions notre rencontre d’hier. Je ne sais pas si j’ose vous dire que j’ai rêvé à vous toute la nuit. Je vous avais trouvée déshabillée sur votre fauteuil, vous m’appeliez mais je me suis réveillée en sursaut toute mouillée. »
« D’abord, en privé, il faut me tutoyer et je suis bien décidée à rendre ton rêve réel. Je vais vérifier que tes collègues sont bien partis et je reviens te voir »
A son retour, elle demande à sa conquête de se déshabiller en gardant ses sous-vêtements.
Lentement comme si elle faisait un strip-tease, Karine dégrafe son corsage, se caresse les seins par-dessus son soutien-gorge, jette son corsage sur le bureau, fait lentement glisser sa jupe à terre, et campée sur ses jambes, écarte les cuisses pour se caresser la chatte.
« Oui, branle-toi. Fais-toi mouiller que j’aille te sucer »
Sophie s’est également déshabillée en enlevant son soutien-gorge et n’a gardé que son porte-jarretelles et ses bas. Elle a également défait son chignon laissant tomber langoureusement ses cheveux sur ses épaules jusqu’à la naissance de ses seins.
« J’adore tes seins Sophie, j’avais tellement envie de les voir, tes tétons sont magnifiques dans leur érection, moi aussi j’ai envie de te sucer »
Les deux femmes se rejoignent et les mains se promènent sur les corps.
Sophie s’occupe surtout de la chatte de Karine et se baisse pour approcher ses lèvres et sa langue.
« Ton jus est bon, tu es archi mouillée, viens par terre nous serons plus à l’aise »
Positionnées en 69, les langues pénètrent les chattes
« Oui baise mon con Karine, c’est bon, embrasse-moi le cul, branle-moi, continue, je vais jouir. Ça y est Ahhhhh ! Mets-toi debout au-dessus de ma figure, fais-toi jouir pour m’inonder de ton jus, j’aimerais que tu me pisses dessus »
A son tour Karine a un bel orgasme qui laisse échapper un puissant jet suivi d’un déferlement d’urine. Très excitée, elle se couche sur le corps humide de sa partenaire, les seins s’entrechoquent et s’ensuit un long moment de répit. Un peu reposées nos deux gouines se relèvent.
« Tu veux prendre une douche Karine ? »
« Non, je préfère me rhabiller directement pour garder ton odeur le plus longtemps possible »
« Moi aussi, nous avons les mêmes désirs. Nous allons nous quitter, attention à ne pas avoir d’attitude équivoque devant nos collègues »
« Bien Madame la directrice, j’y veillerai »
« Au revoir ma petite salope »